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Témoignage

Témoignage (81)

L’appel de Dieu

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David Vanderstraeten

Né dans une famille aux convictions religieuses partagées, j’ai grandi dans une atmosphère teintée de spiritualité mais sans réelle pratique.

C’est lors de la naissance de mon frère cadet que nous avons été amenés à être en contact avec une église évangélique ou le plein évangile était prêché dans toute sa simplicité. Mon frère étant né avec beaucoup de complications, la médecine malgré sa bonne volonté et ses compétences ne pouvant rien pour lui ; à l’île de la Réunion la décision fut précise de l’envoyer en Métropole pour voir d’autres spécialistes.

C’est donc là en France métropolitaine que ma mère fut mise en contact avec une église évangélique et Dieu opéra un miracle dans la vie de mon frère. Dès leur retour à la Réunion, ma mère prit contact avec un pasteur et suite à la visité pastorale nous nous rendions régulièrement aux réunions de cette église évangélique.

Je n’avais que 8 ans à l’époque mais j’écoutais et je buvais les paroles du pasteur concernant la personne de Jésus. C’est d’ailleurs à cette époque que j’eus l’occasion de faire ma première expérience. Mon frère malade atteint d’une otite souffrait depuis deux jours. Nous étions un mercredi et il était midi. Je me suis mis à genoux et avec la simplicité d’un enfant, j’ai fait cette simple prière : « Jésus, si ce que j’ai entendu sur toi est vrai guéri mon frère maintenant et je te promets que j’irai à toutes les réunions d’évangélisation du mercredi après-midi. »

Voilà, la prière était faite et mon frère fut miraculeusement guéri ce jour-là et moi, depuis ce jour-là j’assistai à toutes les réunions du mercredi. Plus tard à l’âge de 10 ans alors que je participai à une colonie de vacances et que les enfants s’étaient retrouvés pour un temps de partage spirituel avec les animateurs, Dieu me remplit de son Esprit Saint et à cet âge là, Dieu m’appela à son service. De retour chez moi, je disais à ma mère, un jour je servirai Dieu.

Ma volonté

Les années ont passé et quelque part je poursuivais des buts qui m’étaient propres. En fait, je cherchai à faire ma propre volonté. Je me destinai à devenir pilote de Ligne et je mettais tout en œuvre pour y arriver jusqu’à un jour du mois de septembre 1988.

En effet, alors que j’étais dans le sud de la France dans le Gard pour mes études, je fus interpellé par le Pasteur qui me demandait ce que je faisais. Sa question était pertinente car il me mettait devant une réflexion. Qu’étais-je en train de faire de ma vie ? J’avais beaucoup d’amis et je me disais si je dis « oui » à Dieu je perds tout. Mais ce jour-là Dieu avait un rendez-vous avec moi.

Je connaissais l’évangile, je participai aux réunions de l’église, mais Il y avait plus que cela. « On ne naît pas chrétien, on le devient. » Il fallait donc faire un choix, celui de devenir un chrétien, pas un religieux, pas un membre d’une association cultuelle ou autre mais le choix d’accueillir Jésus dans ma vie.

Je me suis donc arrêté et ce jour là seul avec Dieu j’ai ouvert mon cœur, confessé mes péchés en demandant pardon à Dieu pour ce que j’avais pu faire de mauvais et pour n’avoir pas fait ce qu’il voulait que je fasse. Et ce jour-là, une grande paix à envahie tout à nouveau mon cœur, l’appel de Dieu a retenti de nouveau à mon cœur. J’ai donc vu le pasteur et le 30 octobre 1988 je fus baptisé pour le pardon de mes péchés à Alès.

De retour à la l’île de la Réunion, je me suis mis au service de mon pasteur et au fond de moi, il y avait cette soif d’être utile à l’œuvre de Dieu coûte que coûte. Je faisais du nettoyage, raccompagné les personnes le soir après les réunions en utilisant le véhicule de l’église et bien d’autres taches que l’on me demandait de faire. Tout ce que je faisais je le faisais pour Dieu.

Puis un soir, j’ai prié et demandé à Dieu de me donner un verset de sa parole puisqu’il m’appelait à un service différent, ressentant un appel au ministère pastorale. Pendant des heures je ne tins devant Dieu et tout en priant et en cherchant la face de Dieu, celui-ci me conduisit dans une lecture de la parole de Dieu, qui littéralement vint se graver sur mon cœur et je me suis levé en remerciant le Seigneur.

Les étapes de l'appel

 

L’étape suivante m’amena à en parler avec le pasteur et il m’encouragea et me fit comprendre qu’il était là pour moi. Il me confia au fur et à mesure d’autres responsabilités. Les chrétiens m’observaient et avaient un témoignage à mon encontre. J’étais là avec eux et pour eux. Et un jour le pasteur me demanda de préparer un message d’évangélisation de 10 minutes. Je trouvai que le temps était trop court mais au bout de 8 minutes j’avais tout dit et je laissai la place au pasteur. Depuis ce jour, Dieu a continué de m’utiliser dans le ministère de la parole nous étions alors en 1991. 

Dans les mois qui suivirent je sentais que Dieu m’appelait à aller me former. Je priai pour cela et j’en parlai avec mon pasteur. Celui-ci n’y était pas opposé, d’autres en revanche ne jugeaient pas cela nécessaire. Quoiqu’il en soit, après un temps de prière, Dieu m’ouvrit une porte et je me rendis au Continental Theological Seminary de Bruxelles le CTS, en septembre 1992.

Là pendant 4 ans je pus me former et Dieu m’enrichissait chaque jour. Je restai conscient que le séminaire théologique ne produit pas des pasteurs mais que ce temps de mis à part pour l’étude m’était favorable. De retour à la Réunion, Dieu m’ouvrit la porte et j’entrais à plein temps dans l’œuvre de Dieu nous étions en décembre 1996.

Aujourd’hui toujours actif dans l’œuvre et étant dans la région parisienne pour travailler à l’implantation d’une œuvre à Orly, ce verset de l’appel de Dieu sur ma vie est toujours un encouragement.

Il y a donc eu des étapes dans cet appel. Premièrement, il y a eu la conversion, le jour ou j’ai donné mon cœur à Jésus et l’ai reçu comme mon sauveur personnel. Puis, alors que je le servais simplement au sein de son peuple, un appel spécifique celui du ministère de la Parole fut déposé sur mon cœur.

L’étape de la formation fut importante non pas que celui-ci est réductrice si nous ne la faisons pas mais qu’elle m’aida énormément. Enfin et depuis plus de 14 ans de ministère à temps plein, une formation continue dans la pratique quotidienne du ministère. Il y a beaucoup de détails qui ont été comme des jalons qui tracés le chemin en me conduisant au cœur de la volonté de Dieu pour ma vie.

Aujourd’hui encore et plus que jamais le Christ appelle, qui donc se lèvera et répondra « Me voici, envoie moi ? »

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Hors-Je

3 D Hors JeA l’approche de l’Euro 2016, « Hors Je » nous raconte les expériences de vie, de ballon et de foi chrétienne de six footballeurs professionnels côtoyant ce milieu du football que l'on se plaît tant à critiquer.

Ce documentaire original et fort, produit par Agapé Média, est sans artifices, à l’image du discours intense et vrai de ses protagonistes.

L’équipe de tournage a suivi au plus près des footballeurs professionnels dans leurs quotidiens au Standard de Liège, au FC Nantes, et au FC Zurich. Dans un sport où le collectif laisse trop souvent la place au culte de soi, Paul-José Mpoku (Espoir belge, International congolais, Standard Liège, Chievo Verone), Gilles Yapi-Yapo (International ivoirien, Fc Nantes, Fc Bâle, Fc Zurich), David Alcibiade (LOSC, FC Nantes), Cissé Baratté (ex International ivoirien, ASEC Abidjan, Angers SCO) Yohann Michaud (retraité, FC Tours, Angers SCO) et en bonus Aurélien Collin ( Kansas City, Orlando) décrivent avec profondeur leurs échecs et leurs succès face aux innombrables excès du foot-business.

A contre-courant du système, ces six acteurs ou ex-acteurs du monde professionnel du ballon rond nous partagent un autre football, au centre duquel on ne trouve ni gloire, ni argent mais Dieu Lui-même.

Victime d'une grave blessure qui l'a éloigné des terrains pendant de longs mois suite à un tacle assassin (plus de 2 millions de vues sur Youtube), Gilles Yapi Yapo, ex-nantais, détonne notamment par sa sérénité et son attitude exemplaire vis-à-vis de son adversaire :

"Même si je n'ai pas compris pourquoi cela m'arrivait, j'ai choisi de faire confiance à Dieu. J'ai eu l'occasion de dire à mon adversaire que je lui pardonnais et j'ai prié pour lui avec toute ma famille lorsque j'ai vu que c'était une situation pesante pour lui".

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Rescapé de la mer

shark-674867 640Dans sa jeunesse, Jean-François GAMBEE frôla la mort lorsque son voilier traversa un banc de baleines agitées.

Ce Breton aimait la mer. Ce jour-là, quelques jours après son départ du Cap Vert en direction de l’Afrique du Sud, alors que son bateau avançait lentement sur une mer très calme, il se trouva subitement au beau milieu des baleines qui venaient a cet endroit probablement pour se reproduire.

«J'ai vu des baleines qui avaient trois fois la taille de mon bateau » s'émerveille- t-il. Pour ces grosses bêtes, Jean-François jouait le trouble-fête et ce fut avec beaucoup de crainte qu'il observa pendant trois quarts d'heure des monstres marins passant sous et autour de son petit bateau.

« Je me sentais infiniment petit ».

Une autre fois, alors qu'il partait d'Abidjan vers le Brésil, il vit un aileron saillant à un mètre de l'eau. La distance entre son bateau et l'aileron diminua rapidement.

Dans la mer calme et claire, il vit un requin bleu de sept mètres juste derrière son voilier. Sa gueule faisait la largeur du bateau.

Ces deux évènements lui procurèrent un grand respect pour la mer. II réalisa qu'un faux pas pourrait signer son acte de mort. Toutefois, ce n'est pas la crainte de la mort qui le poussa vers Dieu, mais une émotion bien plus profonde : l'amour pour son fils. Voici son histoire.

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« Je suis ne à Dunkerque au bord de la mer et ai été élevé dans une famille très convenable par un papa ouvrier et une mère secrétaire.

Très jeune, j'aimais me promener le long des quais avec mon Papa le dimanche matin. Nous ocean-631603 640faisions de grandes balades dans la Zone portuaire, et les grands bateaux, venus du monde entier, m'attiraient.

La vie de ces marins me paraissait formidable.

Je décidai donc de devenir marin et à 16 ans je m'engageai dans la marine. J'ai navigue pendant 4 ans. La mer était ma vie, mais la discipline militaire ne me convenait pas.

Je rentrai à Dunkerque pour acheter mon premier voilier, et à 22 ans je quittai Dunkerque pour la première fois, seul maitre à bord du Capricorne--un petit voilier de contre-plaqué de huit mètres--qui allait me faire découvrir le Portugal, les Canaries, l'Afrique, le Brésil et la Guyane.

Apres deux bonnes années de navigation et de rencontres multiples, je décidai de rentrer à Dunkerque.  J’avais l'intention de repartir avec un voilier plus grand.

Le but ? Le tour du monde par les Canaux de Patagonie (proche du Cap Horn).

Au port d'attache, cette année-là, j'ai rencontré Maryse, celle qui allait devenir ma femme, la plus jolie fille du pays de Dunkerque.

Rencontre Imprévue

Et tandis qu'un soir j'étais sur mon bateau, Liberté, que je préparais pour pouvoir affronter tous les océans, deux marins m'ont demandé de l'aide.

Ils étaient en panne de moteur. Je les aidai à amarrer leur bateau et les invitai à mon bord. C'est autour d'un bon café bien chaud qu'ils m'ont remercié

de mon aide et m'ont parlé de Jésus !

Déjà plusieurs personnes m'en avaient parlé ! Mais je considérais toutes les croyances comme étant le propre des gens faibles! Me moquant d'eux et de leur Jésus, je leur dis: 'S'il est vivant il viendra me parler lui-même'.

Malgré mes longs cheveux et ma vie de bohème ils sont venus me rendre visite plusieurs fois. Ils m'ont invité à manger chez eux. ((Ca c'est intéressant! Ca ne se refuse pas !)

C'est ainsi que j'ai assisté à une réunion de baptême, un dimanche après-midi. Ils m'ont offert la Bible.

Une perte douloureuse

Je me suis marié avec Maryse, et en cadeau de mariage nous sommes partis pour une grande promenade. Nous avons visité les Antilles et nous y avons parcouru presque toutes les iles. Puis nous avons travaillé à Saint-Martin.

Une grossesse a changé nos plans momentanément, et après deux années de périple nous sommes revenus au pays en avion pour la naissance du bébé. Notre billet de retour était en poche car dès l'enfant arrivé, nous étions décidés à passer par Panama et à visiter le Pacifique !

Trois mois après notre retour, une jolie petite fille est arrivée. Julia faisait déjà toute notre joie quand trois jours après sa naissance, les médecins ont diagnostiqué une malformation cardiaque majeure.

Elle est décédée dans la même nuit!

J'étais capable de traverser l’océan, de faire face aux tempêtes, et de rencontrer des baleines qui mesuraient le double de mon bateau, mais j'étais impuissant devant la mort!

Nous avons décidé d'avoir très vite un autre enfant.

Le Dieu qui parle

Cette grossesse a été très suivie. Un beau garçon, Basile, nous est né mais dès sa naissance, il a eu de gros problèmes de santé. Il a été question de l'envoyer, lui aussi, à Lille (Centre Hospitalier) 'pour changer son sang' nous disait-on!

C'est à ce moment-là qu'un matin j'allai au bord de la mer, le seul endroit paisible pour moi. Je me suis mis à marcher au bord de l'eau et je me suis tourné vers le ciel, vers ce Dieu vivant dont on m'avait parlé-ce Dieu qui parle même!

J'ai crié vers ce Dieu du ciel qui m'était inconnu. Je lui ai crié toute ma détresse. Je suis remonté dans ma voiture pour rejoindre la clinique ou l’on m'attendait pour des décisions à prendre concernant Basile.

Sur la route Jésus est venu me répondre ! Comme je vous l'écris c'est lui qui m'a parlé. Une voix apaisante m'a montré le panneau 'danger de mort’ au bord de la route.

Dieu m'a montré calmement mon état de mort. J'ai vu sa main descendre sur le berceau de mon fils, et une joie immense a rempli mon coeur!

Quelques minutes plus tard j'étais au chevet de ma femme, et je lui dis que tout allait bien se passer car je venais de rencontrer le Seigneur !

Les médecins sont arrivés et je leur ai demandé d'examiner à nouveau mon fils.

Ils sont vite revenus avec lui en nous disant qu'ils ne comprenaient pas ce qui s'était passé, mais que l'enfant ne présentait plus de problème sanguin!

Ils nous ont rendu Basile et nous avons partagé cette joie ensemble. J'ai appelé le chrétien qui m'avait offert la Bible et qui m'avait dit que Jésus parle. Je lui ai dit: 'Ca y est. Il m'a parlé'!

Mais bien plus que de m'avoir parlé, Il avait bouleversé mon coeur!

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J'ai demandé à ce chrétien d'appeler son pasteur ; il est venu prier pour nous et la semaine suivante nous avons participé à une réunion. Dieu nous à de nouveau parlé et nous a montré le prix qu'il avait payé pour sauver notre fils et nous sauver nous-mêmes.

Son amour a rempli nos coeurs. Comment avait-il pu répondre à des gens qui ne s'intéressaient même pas à lui ?

Il nous a montré un nouvel 'océan' bien plus grand que le Pacifique—l’océan de son amour! Nous ne voulons plus naviguer sur un autre océan que celui-là!

Nous avons vendu le bateau pour suivre Jésus!

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Images: Peggy Marco, Pixabay; Fgyongyver; Angelo Giordano

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Etonnante vision du ciel juste avant la mort

fog-79456 640Nous avons tous des témoignages d'interventions divines dans notre vie. Mais que faire quand l‘issue de notre prière n'est pas ce que nous avons souhaité ?

Jean et Marie-Jo Sere nous ouvre leur coeur en racontant leur expérience quand leur fils Jean-Luc est tombé malade d'un cancer mortel. Ils nous témoignent qu'il y a toujours de l’espoir—même dans la douleur.

« C'est en juillet 1995 que le médecin dit a Jean-Luc : "Tu sais, ce kyste qui est sur ton pouce, il serait bon de l'enlever ; c'est certainement un kyste synovial, ce n'est pas grand chose".

Jean-Luc venait de fêter ses 20 ans le 6 juillet...

Quelques jours plus tard le chirurgien nous appelle : il a une nouvelle importante et grave a nous dire. Nous apprenons qu'il s'agit d'un cancer et que les poumons sont atteints.

Alors commence une série de rendez-vous à Marseille au Centre Paoli Calmette, hôpital spécialisé dans les cancers. C'est un sarcome d'Ewingue (cancer des os et des poumons) qui se développe en principe chez l’adolescent, mais que rien jusque la n'avait révélé.

Habitant Hyères, nous décidons d'aller chez des amis Chrétiens qui ont un chalet à Chateauroux des Alpes pour assimiler cette nouvelle et aussi pour chercher la face da Dieu.

Apres un temps en famille, ou nous avons jeuné et prié avec Jean-Luc, nous sommes sortis marcher, mon fils et moi la long d'un torrent. Apres un échange très profond, nous arrivons a cette certitude que nous sommes en train da vivre d'une certaine manière, ce qu'ont vécu Abraham et Isaac à Morija.

Et tres clairement, cette pensée s'impose a mon esprit: « Donne-moi ton fils ».

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« Terroriste-Combattant pour la liberté » zappé par le doigt de Dieu

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La mère de Stephen Lungu a accouché de lui quand elle avait 14 ans. Les choses se sont dégradées pour les deux après cela.

L’ado zimbabwéenne avait été obligée de se marier avec un homme de 50 ans. Un petit frère puis une sœur suivirent rapidement Stephen. La jeune femme s’est retrouvée avec trois enfants avant son 20eme anniversaire.

L’horreur régnait dans le foyer. L’enfant regardait son papa, un homme respecté dans l’église, battre sa mère. A l’église il était bien ; à la maison il était une bête sauvage.

« Nous ne sourions seulement que quand il partait pour le travail » se souvient Stephen.

Quand il a eu quatre ans, il a essayé d’intervenir pour aider sa maman, mais il a été poussé contre un mur. Alors que sa tête saignait, une rage brulait dans son cœur : « Quand je serai grand, je vais te tuer » s’était-il dit. « Je voulais le tuer tous les jours. »

Finalement sa mère n’en pouvait plus et elle s’est échappée dans une autre ville. Là, elle laissa son fils de six ans, Stephen avec son petit frère et sa petite sœur pendant qu’elle allait aux toilettes.

Elle n’est jamais revenue.

Les enfants attendirent des heures et finalement la police les trouva. Les garçons furent séparés de leur sœur et Stephen ne la revit que 39 années plus tard.

La misère dans l’orphelinat

 Pendant quatre ans il alternait entre des parents difficiles et l’orphelinat. Pour lui et son frère l’orphelinat était pire que leur foyer tourmenté. Quelques-uns des garçons plus grands le battaient.

Quand il l’a dit au responsable, l’homme a demandé leur nom.

Seulement Stephen ne connaissait pas leur nom. Mais l’homme insistait, le fouettant de douze coups parce qu’il ne le disait pas. Stephen criait dans son cœur : « Dieu, si tu es là, je te déteste. Pourquoi Tu m’as créé pour souffrir dans ce monde ? »

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Le bébé bien arrosé

baby-933097 640II envoya sa parole, Il les guérit et les fit échapper à la tombe ! (Ps 107 v 20)

Notre belle-fille Murielle, quand elle était élève a l'école de sage-femme, était en permanence au contact du miracle de la vie ! Elle était aussi confrontée à la mort.

Dernièrement, en quelques minutes, l’évènement le plus heureux tourna au drame. Une maman qui développa une hypertension grave pendant toute sa grossesse, donna naissance à un bébé mort. L'accouchement fut fatal a ce petit être qui quelques minutes avant de quitter le sein maternel faisait l’espérance de toute la famille.

Quand Murielle nous partagea sa peine, mes yeux se tournèrent vers notre petite dernière Lise. Je regardai avec une louange vers notre Père céleste dans mon coeur, cette jeune fille en pleine sante. Une fois encore, Dieu me rappela sa bonté et sa grandeur envers nous.

Avant de connaitre le Seigneur Jésus, nous avions une vie toute différente. La drogue avait fait ses ravages dans le corps d'Elisabeth mon épouse durant cette période de notre rébellion. Elle ne devait pas avoir d'enfant. Apres sa conversion au Seigneur Jésus, Dieu I'a guérit et cinq enfants sont nés.

Grossesse dangereuse

Des le début de la cinquième grossesse, les choses ne se déroulèrent pas comme les précédentes. Elisabeth développa une hypertension grave.

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Gilbert Ringenbach--il trouve enfin d'aventure, d'endroits lointains, exotiques même

battleship-1110098 640Lorsque Gilbert Ringenbach entre quelque part, les gens bien souvent sourient sans s'en rendre compte.

La joie émane de lui et il la communique.

Cela ne date pas d'hier. Ce fils de la grande dépression économique (ne en l935) faisait déjà rire ses petits copains, inventant des histoires de Tarzan à Tahiti et de D'Artagnan. Les copains s'asseyaient dans I ‘escalier de la maison de sa mère et le petit comique les amusait avec ses grimaces et ses gestes.

Même les profs de L’école appréciaient son humour. Une fois, pendant la seconde guerre mondiale, ils l'ont appelé pendant la pause de la recréation.

"Ringenbach, chantez ce chant pour nous." Avec beaucoup de fierté, le gamin mettait les épaules en arrière, remplissait ses poumons et chantait un chant des résistants Français, "Vous n'aurez pas I ‘Alsace et la Lorraine", au grand bonheur de ses profs.

Heureusement qu'il n'y avait pas de collaborateurs dans le coin, sinon le petit aurait pu finir à Auschwitz!

Au plus profond de lui-même, il rêvait d'aventure, d'endroits lointains, exotiques même. II vivait ses aventures dans ses rêves. A 14 ans, il rejoint son père pour travailler à l'usine à Belfort. Sa joie de vivre naturelle l'accompagnait.

Avec son copain Raymond, ils présentaient des sketchs imitant Laurel et Hardy, Bourvil et bien d'autres. Le propriétaire du cabaret "La Coupole", à Belfort, les laissa même jouer leurs sketchs pour amuser ses clients.

L'acteur "perd la mémoire"

Cela dura quelques années. Les deux jeunes rêvaient d'une carrière dans le monde de spectacle. Un jour, le grand acteur Jean Tissier vint a Belfort. "Nous avons tente de lui demander de nous pistonner," se souvient Gilbert avec un sourire. "II a du perdre la mémoire."

Ses rêves d'aventure le poussèrent à s'engager dans la marine française à I ‘âge de 17 ans. II n'y trouva pas ce qu'il espérait. La perte de liberté butait contre sa soif d'aventure. Ce n'était pas son rêve.

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Franck Alexandre : occultisme écrasé

franckUN UNIVERS OBSCUR

Pendant toute mon enfance, j'ai vu ma mère tirer les cartes. Elle pratiquait ce que sa propre mère lui avait enseigné. Il m'arrivait de m'asseoir en face d'elle attendant qu'elle dévoile mon avenir.

Une chose me fait sourire aujourd'hui, ma mère qui était connue pour être une "devineresse", n'a jamais vu que son fils serait un jour "prédicateur de l'évangile".

Les voies de DIEU ne sont pas nos voies. Esaïe 55 : 8 La cartomancie ne lui suffisant plus, ma mère a pratiqué, la chiromancie (lecture de la vie passée, présente et future au travers des lignes de la main), la radiesthésie avec un pendule, la divination par vision.

A partir de photos, elle exerçait une influence sur la vie des gens. Je n'étais à l'époque que le spectateur fasciné de ces choses. J'étais désireux d'utiliser un jour cet "héritage familial".

AMBIANCE FAMILIALE
Notre famille qu'elle était elle ? Nous habitions à Sedan dans les Ardennes. La ville était frappée par le chômage qui nous touchait depuis quelques années.

Mon grand-frère avait de mauvaises fréquentations. Il se droguait et buvait de l'alcool. Il vivait un malaise intérieur profond. Il devenait très violent. Un jour à la maison, il a voulu s'empaler sur un sabre. La pointe du sabre s'est bloquée dans la boucle en métal de son ceinturon. Grâce à cela il eut la vie sauve. Nous avions échappé à un drame.

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Quand le feu est tombé sur des hippies

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« L’Esprit de Dieu descendit comme une colombe » Matthieu 3.16

Soir après soir, semaine après semaine, et par dizaines, des jeunes hippies, filles et gars, étaient saisis par la puissance du Saint-Esprit. Il en venait de partout. C’était extraordinaire et merveilleux.

Les rencontres se déroulaient dans une grande simplicité. Nous étions assis à même le sol, soit sur le palier de l’école maternelle du quartier, soit dans notre salle à manger.

Quelques guitares, quelques choeurs de louange, des témoignages de vies transformées, des prières et un message centré sur Jésus, composaient nos soirées d’évangélisation.

Le Saint Esprit agissait dans les coeurs et nombreux étaient ceux qui expérimentaient instantanément la révélation de Jésus-Christ. Dieu donnait également des dons spirituels, don de paroles de connaissance, don de prophétie et de guérisons, pour confirmer sa présence et sa volonté de sauver et de bénir ces vies cassées, déchirées et malheureuses.

Il n’était pas rare de voir des jeunes abandonner aux pieds de Jésus, leurs doses de drogues, de la marijuana ou des cachets hallucinogènes, des amphétamines ou autres stupéfiants.

Les larmes de repentance étaient abondantes.

Les guérisons physiques également. Plusieurs étaient atteints de maladies sexuellement transmissibles, d’autres de troubles dus à l’absorption de drogue. Mais ce qui était merveilleux, c’était de voir les jeunes libérés de la dépendance. Rares sont ceux qui sont retombés. Les visages rayonnaient de la vie de Jésus.

Des membres mécontents

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Comment connaitre Jésus pour avoir la vie éternelle?

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Comment avoir cette relation personnelle avec Jésus Christ ?

Ne souhaiteriez-vous pas expérimenter cette vie nouvelle en Jésus-Christ ?

Voici la marche à suivre :

1.       Repentez-vous devant Dieu de tous vos péchés, c’est-à-dire de tout ce qui, en vous, est une offense à Sa sainteté. Demandez-Lui pardon et, avec son aide et sa puissance, changez de direction de vie. Sortez-vous de ces choses qui Lui déplaisent et L’attristent. « Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir… » (Actes 17:30)

2.       Croyez au Seigneur Jésus-Christ. Croyez qu’Il est mort sur une croix à votre place. Croyez que Dieu, Son Père, L’a ressuscité des morts. Croyez qu’Il change la vie de chacun de ceux qui viennent à Lui par la foi. « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus…Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Rom 10:9 à 11, 13)

Attachés-vous à Lui de tout votre cœur. Il a donné sa vie pour nous. La moindre des choses que nous puissions faire en retour, est de vivre notre vie pour Lui.

Voici un modèle de prière que pouvez utiliser : « Seigneur, je viens à Toi avec sincérité et de tout mon cœur. Je Te demande pardon pour toutes mes fautes. Seigneur Jésus, je crois que Tu es mort à la croix pour mes péchés et que Tu es ressuscité. Je crois que Tu m’écoutes, en ce moment-même. Tu me pardonnes et Tu me changes. Je te remercie de tout mon cœur. Je veux Te suivre tous les jours de ma vie. Avec le secours de Ta puissance, je m’engage à vivre comme Tu le veux. Amen ! »

Si, alors que vous priez, vous êtes sincère devant Dieu, vous démarrez une nouvelle vie en tant que Son enfant.

Si vous avez  fait  cette prière et que vous souhaitez avoir de l’aide dans votre vie pour Christ, écrivez-nous et nous serons contents de vous envoyer de la littérature gratuite qui vous aidera dans votre nouvelle marche avec le Seigneur Jésus.

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