Dieu nous avait aveuglés parce qu'll nous attendait Spécial
- Écrit par David Porter
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Ils ne voyaient pas le dealer qui les attendait parce que Dieu avait un autre rendez-vous qui a changé la direction de leur vie. Lisez ce témoignage étonnant de Guy et Elisabeth Bergamini de Reims, France.
Guy: Je suis né dans une famille immigrée italienne. Mon père s'est retrouve ouvrier chez
Peugeot a Sochaux après avoir fait faillite, ce qui a été pour lui une catastrophe.
Sa vie a bascule dans I’alcool et la violence. J'ai souvent été sa tête de turc, lui, blond aux yeux bleus pensait que j'étais un batard du fait que j'étais noir de cheveux.
Très tôt, une graine de haine bientôt arrosée par l’athéisme, est tombée dans mon cœur. Lorsque j'avais huit ans, ma sœur de onze ans, atteinte de leucémie est morte. Ma mère, folle de souffrance répétait: «il n'y a pas de Dieu. S'il y en avait un, pourquoi cet homme qui nous fait tènement souffrir n'est pas parti a la place de cette petite?»
A 14 ans, j'ai fait mes premières rencontres avec la drogue et I ‘alcool. Avec mes copains, nous avions des chaines a vélo et tous les samedi soirs, nous allions dans les bals de la région uniquement pour casser.
La violence était réelle. Je n'arrivais pas a concevoir que dans le monde le mot bonheur puisse exister. Cela a duré jusqu'à L’âge de 17 ans ou j'ai eu des démêles avec la police.
Puis un soir, en rentrant à la maison, j'ai vu pour la énième fois mon père ivre frapper ma mère. Alors j'ai voulu égorger mon papa, car il me semblait que justice pouvait être faite et que cet acte pouvait effacer des années de tristesse et d'humiliations. J'ai laissé mon papa dans son sang et j'ai quitté la maison.
Je n'y suis pas retourne avant quatre ans. Mais un poids énorme de culpabilité (ce que je n'avais jamais connu) était entre dans mon cœur.
Depuis, je me suis réconcilié avec mon père et je sais que Dieu m'a pardonne.
Apres cela, j'ai cru trouver la paix dans un mouvement hippie qui prônait: "faites I ‘amour et pas la guerre". En fait c'était un monde de vols, de tromperies, de fric. J'ai essayé plusieurs
fois d'en sortir mais désormais, j'étais lie aux drogues dures.
Puis j'ai rencontré Elisabeth, j'avais vingt ans, elle en avait seize. C'était la première fois, mis à part I ‘amour de ma mère, que quelqu'un m'aimait. J'ai pensé que j'allais trouver la paix et que L’idée de mourir pouvait s'en aller. Hélas, I ‘amour d'Elisabeth n'a pas fait le poids contre cette maitresse qu'était la drogue et dans laquelle, elle aussi, était tombée.
Elisabeth:
En opposition à la vie perturbée de Guy, la mienne était très équilibrée. Je suis née d'une mère hongroise et d'un père yougoslave. Mes parents avaient fui la Yougoslavie ou ilsétaient persécutes.
Mon père travaillait aux usines Peugeot. II a construit la maison et a consacré sa vie à sa famille. II était orthodoxe mais, faute d'orthodoxes dans la région, nous avons été élevés dans la religion catholique. J'étais fervente jusqu'à l’âge de seize ans.
Mais, je voyais beaucoup de mensonges autour de moi. Rien ne me satisfaisait, j'avais un vide dans le cœur. Petit à petit, j'ai ouvert les yeux sur le monde et j'ai plaqué la religion.
Mes études étaient brillantes. En première C (la premier S actuelle), j'ai commencé à vouloir autre chose que les études. J'ai rencontré cette bande de hippies; il me semblaitqu'ils avaient u ne liberté que je cherchais. En fin de compte, c'était toujours ce vide que j’essayais de combler.
Je me suis amourachée d'un hippie et j'ai sombre dans la drogue. Mes études ont été catastrophiques. Je découchais. Je mental constamment.
Guy:
Essayez d'imaginer les parents d'Elisabeth: moi majeur et elle, seize ans! Un « complot » parental et médical se mit en place pour nous séparer. Pour notre dernière journée ensemble, un samedi, nous étions complétement "shootés" et avions envie de nous jeter dans le canal.
Mais nous avions rendez-vous à 13h30 avec un dealer, nous ne I ‘avons pas trouvé. Cent mètres plus loin, nous avons été abordés par une femme, que je ne connaissais pas. Elle me dit: "Tu t'appelles Guy, ce que tu cherches depuis tant d'années, Jésus, seul, peut te le donner, II est le chemin, II est la vérité, II est la vie!"
Et des larmes coulaient sur son visage. J'avais les dents déchaussées. J'étais creux. Je tremblais. J'avais de la drogue dans une poche, un couteau dans I ‘autre. "Jésus t'aime", pour moi, c'était des "Bondieuseries". J'ai pris cette dame par les bras et je lui ai fait faire le tour de la place, en la secouant.
Je lui ai dit: « Où est Dieu? II n'y a pas de Dieu! »
Elle me disait: « Jésus t'aime. Ce que tu cherches dans la drogue, jamais tu ne le trouveras! C'est Lui qui m'a dit d'être ici sur cette place, qui m'a montré ton visage, qui m'a dit ton nom parce qu'll te connaît ».
Puis elle m'a mis dans la poche un papier avec ses coordonnées et m'a dit: « Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, tu peux venir! »
Nous sommes remontés au lieu de rendez-vous du dealer. II était là, j'ai rouspété parce qu'il n'était pas à I ‘heure. Mais il me dit qu'il était là depuis onze heures du matin, ce que me confirma la serveuse du bar: Cela fut le premier miracle: Dieu nous avait aveuglé parce qu'll nous attendait un petit peu plus loin.
Les trois jours suivants, je me suis éclate dans la drogue. Mais le mercredi 12 juillet 1972, il y avait une lutte en moi: « Jésus t'aime! II est le chemin, la vérité et la vie!» Même s'll existait, comment pouvait-ll aimer quelqu'un qui veut tuer son père?
Et le soir, avec Elisabeth nous sommes allés voir la dame. Depuis 3 ans, chaque fois qu'elle priait, elle voyait les images de jeunes gens aux cheveux longs défiler devant elle. Elle voyait les drames qu'ils vivaient.
Puis Dieu a commencé a lui donner une série de noms. Cette femme m'a accueilli comme si j'étais son fils. Elle m'a parlé de Jésus qui guérissait les malades, qui était au milieu des gens de mauvaise vie. Jésus m'avait tènement aime qu'll avait donné sa vie pour moi.
Et ce soir-là, pour la première fois de ma vie, j'ai osé Lui parler. « Si tu es ce Christ-là, alors c'est toi que j'ai toujours cherche! »
Apres sept ans de drogue, mon corps physique a été visite par la puissance de Dieu et j'ai été guéri, délivré. Mais cela n'a pas été le cas pour Elisabeth.
Elisabeth:
II est vrai que ce mercredi, nous avions été vraiment attires à aller chez cette dame. Là, nous avons trouvé un ami de galère. II s'était converti 15 jours plus tôt, avait souhaité nous parler, mais n'avait pas pu.
Cela a permis que l’on rencontre Madame Richard. Guy a demandé pardon pour ses pèches. Moi, j'étais toujours dans I ‘expectative. Quelques semaines plus tard, je fus hospitalisée pour une fausse couche et un début de septicémie.
Comme a dit ma voisine de lit, j'ai failli « passer de I'autre cote »! Mais, j'ai vraiment réalisé que Jésus était vivant et qu'll pouvait nous guérir aussi! Je Lui ai dit: « j'abandonne toutes mes armes, tout mon orgueil et je marche avec toi. »
Le médecin avait dit que jamais je ne pourrai avoir d'enfant; dans les livres, on lit que les enfants de drogués sont atteints par pas mal de séquelles.
Nous avons cinq enfants magnifiques.
Lors de ma cinquième grossesse je faisais de I’ hypertension, ce qui empêche I’ irrigation correcte du placenta. Au huitième mois, on a dû m'hospitaliser. Le bébé n'avait pas du tout grossi depuis un mois.
Nous nous posions pas mal de questions, mais j'ai lu un verset d'Esaie ou il parlait de sa vigne: «Moi, I’Eternel j'en suis le gardien. Je I’arrose à chaque instant de peur qu'on ne I’attaque, nuit et jour je la garde ».
J'ai su que ce serait une petite fille car je me suis appuyée sur cette parole. Le fait que Dieu me disait qu'll arrosait d'instant en instant m'a rassurée. Le bébé est né à terme, il avait pris plus d'un kilo en six semaines.
Dieu guérit encore maintenant.
Guy :
Un matin, alors que je lisais la bible seul, j'entends clairement: "Tu seras un ouvrier de la onzième heure". Ces paroles me furent répétées au cours d'un temps de prière avec des amis: « C'est Moi qui t'ai parlé il y a quelques heures. Tu seras I’ ouvrier de la onzième heure. Je t'appelle à travailler dans ma vigne". Depuis, cela fait maintenant plus de 40 ans, qu'on parcourt le monde entier pour annoncer le beau message de Jésus.
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Pour en savoir plus sur le ministere de Guy Bergamini, visitez son site Benir les Nations : http://benirlesnations.com