Ton attitude enrichie-t-elle ta vie ou pourrit-elle ta vie ?
- Publié dans Sourire et réflechir
Quatre histoires pour ceux qui ont choisi une bonne attitude.
NOTRE ATTITUDE VIS À VIS DU TRAVAIL
Le pasteur A. Stanley raconte l’histoire d’un ami entrepreneur qui construisait des maisons.
Les ouvriers travaillaient devant une maison et les toilettes du chantier étaient à proximité . Tout à coup, l’équipe a vu venir la camionnette du nettoyeur des toilettes du chantier. Ils l’entendaient aussi parce que le son de la radio était fort.
Les ouvriers grognaient en eux-mêmes parce que le nettoyage des toilettes entraînait toujours une odeur abominable. Ce jour-là, un nouvel ouvrier faisait ce travail. Il avait l’air un peu bizarre avec ses tatouages et quand il entra dans les toilettes tous se résignèrent à supporter les émanations certaines.
Mais l’homme ferma la porte des toilettes et y resta longtemps. Les ouvriers l’ont entendu pendant qu’il travaillait. Au bout d’un moment, ils sentirent une odeur, mais cette fois-ci, elle n’était pas nauséabonde.
C’était … bon et agréable ! Enfin l’homme est sorti et le patron voulut lui dire quelque chose. « L’odeur est tellement agréable que ça donne envie de l’utiliser ».
L’ouvrier a répondu : « L’homme qui faisait ce boulot avant ne faisait pas du bon travail. Je vais veiller à ce que vous soyez bien servi dès maintenant. »
Le patron exprime son appréciation mais l’autre réplique : « Moi, je travaille pour Dieu. » Là-dessus, il est rentré dans son camion, remit la musique très fort (ils ont remarqué
que c’était de la musique chrétienne) et il est parti.
Le patron quant à lui a pris un moment pour glorifier Dieu. Cet ouvrier avait un boulot sale, désagréable, avec probablement un salaire de misère.
Et il l’a bien fait … pour le Seigneur. Parfois, nos actions témoignent plus
fort que nos paroles.
Comment faites-vous votre travail ?
NOTRE ATTITUDE VIS À VIS DE LA GÉNÉROSITÉ
B. Conley raconte l’histoire d’une femme qui avait de gros problèmes financiers. Son mari avait été drogué et probablement avait abusé d’elle. Ils étaient divorcés.
Elle travaillait comme serveuse dans un petit restaurant fréquenté surtout par les camionneurs, probablement pour un salaire minimum afin de pourvoir aux besoins de ses enfants. Elle vivait dans un quartier défavorisé de la ville.
Pasteur Conley assistait le pasteur principal de l’église, et celui-ci avait à coeur de collecter une offrande pour la pauvre femme. Il ne dit pas aux gens de l’église le nom de la personne qui allait bénéficier de leur largesse parce qu’il ne voulait pas qu’elle se sente gênée.