Les attaques de Paris déclencheront-elles un réveil ?
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Trois jeunes chrétiens français criaient leur soutien pour l’équipe nationale dans le Stade de France à Paris durant un match amical contre les Allemands, le vendredi soir 13 novembre.
Soudain une explosion à l’extérieur du stade secoua leur secteur de gradins.
« Nous nous sommes dit que c’étaient des feux d’artifice » remarquèrent- ils après. Mais ils savaient que quelque chose n’allait pas. L’odeur de la bombe flottait au-dessus du stade alors que deux autres kamikazes se faisaient sauter.
Les jeunes racontent : « Ils se sont fait exploser entre les portes D et H. Nous étions à la porte H. Nous avons entendu le bruit horrible des bombes et le stade tremblait. Nous avons eu peur, nous avons cru que le stade allait s’écrouler. »
Le match a continué et il n’y avait pas d’annonce parce que les autorités ne voulaient pas faire paniquer la foule. Pourtant, le service de sécurité du président Hollande, qui était en couverture, l’a rapidement éloigné du stade.
Une des jeunes a noté : « Le plan des terroristes n’a pas fonctionné. Dieu a permis qu’ils soient en retard, qu’ils ne soient pas entrés et qu’ils se soient fait exploser quand il n’y avait pas de foule en dehors du stade. »
Pas loin de là, à l’Église Évangélique ‘Paris Métropole’, près de la Place de la Bastille, l’Église a expérimenté un sens peu habituel de la présence du Saint Esprit alors que les chrétiens priaient et intercédaient durant la réunion de prière de vendredi soir.