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Sourire et réflechir

Sourire et réflechir (56)

Pourquoi j’ai menacé mes fraisiers !

 

Il y a quelques années, j’ai planté des pieds de fraisiers dans le jardin. La première année, nous avons eu quelques petits fruits, mais rien d’extraordinaire. La deuxième année, c’était pire. Alors, j’ai compris qu’elles ne donneraient rien et que, même si elles le faisaient, je devrais me battre contre les oiseaux pour pouvoir les manger. Et franchement, j’étais fatigué de les désherber.

« Je pense que je vais arracher ces fraisiers, » ai-je dit à ma femme.

Ils ont dû m’entendre parce que, peu de temps après, je les ai surpris en train de parler entre eux : « Vous avez entendu ce qu’a dit le patron ? Il pense nous arracher ! »

« Nous arracher ? » a couiné un autre. « Non ! »

Ces pieds se sont mis au travail. Je pouvais les entendre quand j’étais tout près : « Uuuh ! Huuun ! »

Et voilà qu’après quelques semaines, j’ai eu une bonne récolte de fraises sucrées, acidulée et juteuses. Ce qui m’a fait me demander pourquoi je ne les avais pas menacés avant.

Bon, avant d’aller plus loin, je dois mentionner deux choses : même s’il est vrai que j’ai menacé de les arracher, il est possible que j’ai imaginé les avoir entendu parler entre eux. Tu l’avais peut-être deviné, pas vrai ?

Plus important, il est possible que ma femme ait quelque chose à voir avec cette récolte. Comme une bonne fée scintillante de poussières d’étoile, elle a dû donner un peu d’engrais « Croissance miraculeuse » à plusieurs de ses plantes et je crois que mes pieds de fraisiers ont bénéficié de son aide généreuse.

Cela n’en reste pas moins réconfortant de penser que mes menaces y sont un peu pour quelque chose.

Le Seigneur a-t-Il déjà menacé Ses fraisiers ?

Le Seigneur est comme moi pour ce qui a trait aux plantes. Ou peut-être que je suis comme Lui. En tout cas, Il attend un retour sur investissement et les fraisiers ou les figuiers qui ne produisent pas risquent de se retrouver arrachés et jetés de l’autre côté de la clôture.

« Il dit aussi cette parabole: Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint pour y chercher du fruit, et il n'en trouva point. Alors il dit au vigneron: Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce figuier, et je n'en trouve point. Coupe-le: pourquoi occupe-t-il la terre inutilement ? Le vigneron lui répondit: Seigneur, laisse-le encore cette année; je creuserai tout autour, et j'y mettrai du fumier. Peut-être à l'avenir donnera-t-il du fruit; sinon, tu le couperas. » (Luke 13:6-9 LSG)

Ce qui m’amène à me demander : « Hmmm, est-ce que je produis du fruit ? Ce pourrait être une bonne idée. »

Comme ma femme, le Seigneur est là pour verser de « l’engrais croissance et fruits miraculeux » sur ma vie, mais je dois tout de même désirer grandir et produire.

Il est surprenant de voir à quel point la croissance augmente quand on décide de grandir. Il est rare que la croissance se produise par hasard.

Comment grandit-on avec l’aide de Dieu ?

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C’est comme ça. J’apprends à vivre avec ?

 

Suzy entre dans la chambre et découvre une chaussette qui la défie depuis le parquet. Son mari paresseux est étendu sur le lit, en train de lire la dernière édition de l’Équipe.

« Tu ne pourrais pas mettre tes chaussettes dans le panier à linge ? Ce n’est pourtant pas difficile !Tu es tellement mou. Je dois repasser derrière toi comme si tu étais un enfant de trois ans. »

Georges serre les dents avant de marmonner : « J’aurais dû mieux regarder ta mère avant de t’épouser. Tu lui ressembles de plus en plus. »

« Ma mère ! » s’écrie Suzy. « Si tu veux tout savoir, mon père ramassait toujours ses chaussettes et ma mère n’était pas son esclave personnel. »

« Il est probablement arrivé à la conclusion qu’il était plus facile de ramasser ses chaussettes que d’être harcelé jusqu’à la mort, » rétorque-t-il, la mine renfrognée, en tournant une page de son magasine.

Nous ne parlerons pas des dix minutes suivantes de cette conversation entre amoureux. Disons simplement que le ton est monté de façon dramatique. Comme deux joueurs au tournoi de Roland Garros, chacun a essayé de marquer le point en perçant les défenses de l’autre.

Elle a fini par fuir la chambre en claquant la porte derrière elle.

Maintenant, j’ai une question pour toi. Comment ce couple pourrait améliorer sa relation de 50 % ? Facile. L’un d’eux doit se taire. Et je ne parle pas de pester en silence. Nous devons garder nos disputes pour des choses qui valent réellement une dispute.

Si Suzy était entrée dans la chambre et y avait trouvé une autre femme, LA, ça aurait valu une discussion animée. Mais, ce couple continue à se disputer pour des petites choses futiles (mais qui sont souvent l’expression de problèmes plus profonds).

Quelqu’un doit faire quelque chose.

Le pouvoir enivrant du statu quo

Il y a de nombreuses situations que nous avons acceptées comme faisant partie de notre vie, en pensant que nous ne pouvons rien y faire. Les disputes continuelles entre Suzy et Georges, par exemple. Mais sont-ils vraiment impuissants face à cette situation ? 

Qu’en est-il d’un mari qui se plaint parce que sa femme ne fait pas la cuisine ? Il n’est pas impuissant. Il peut apprendre lui-même ! Quelqu’un m’a dit qu’il y avait des livres qui expliquent comment faire.

Et cet homme coincé dans un travail qu’il déteste ? Il a constamment des maux d’estomac à cause de cela. Sais-tu qu’il peut suivre des cours du soir pour se spécialiser dans un autre domaine ? (« Mais je sui fatigué quand je rentre à la maison »). Ou ce péché que nous avons si souvent essayé de supprimer ? Ou ce trait de caractère qui se saisit de toi et ne veut pas s’en aller ?

Nous luttons parfois un peu, mais pour nombre de ces situations, nous haussons les épaules et disons : « J’ai essayé. Les choses ne changent pas, alors pourquoi dépenser de l’énergie ? » Changer semble plus compliqué que de vivre avec cette situation.

Que faire ?

Un ami m’a parlé d’un pasteur de l’Europe de l’Est qui prêchait aux États-Unis. Alors qu’il se tenait derrière le pupitre, il a remarqué que sa brayette était ouverte. Il a eu une idée : il a demandé à tout le monde de fermer les yeux pour prier.

Pendant que leurs yeux étaient fermés, il a fermé sa brayette, mais sa cravatte s’est coincée dedans ! Nous pouvons tous imaginer sa question : « Que faire ? »

Tu peux accepter ton incapacité à changer la situation, t’asseoir et profiter de la joie de rouspéter le reste de ta vie. Ou...

Si tu ne peux pas faire ce que tu veux faire, fais ce que tu peux. Même si ce n’est qu’un petit pas, fais ce que tu peux. Arrête de te plaindre à propos de quelqu’un d’autre, en disant à quel point tu es malchanceux, etc. Fais ce que tu peux.

« La porte tourne sur ses gonds, le paresseux se retourne dans son lit. Le paresseux plonge sa main dans le plat mais trouve trop fatigant de l'amener jusqu'à sa bouche. » (Prov. 26:13, 14 BFC)

Se plaindre, c’est plus facile que d’agir. Pourquoi cesser ces joutes verbales avec son épouse quand il peut s’évader en imaginant à quel point sa vie serait merveilleuse avec cette belle jeune femme au travail ?

Pourquoi cesser d’essayer de transformer son époux quand il en a tellement besoin ? Pourquoi cesser de paresser au travail quand on est tellement mal payé et que le patron est si injuste ?

Pense à un domaine de ta vie dans lequel tu es bloqué. Que pourrais-tu y faire ? Fais le !

« Mais, tu sais... »

Allez paresseux ! Tu as tendu la main et saisi la nourriture. Ramène-la dans ta bouche. Tu peux le faire.

Une amélioration de 25 % ? 

Améliore ton mariage d’au moins 25 à 50 % en te donnant à fond, peu importe ce que ton conjoint fait. Améliore ton travail en trouvant de la fierté dans le travail bien fait. Aide ton église à retrouver la vie en étant présent à chaque réunion, en chantant de tout ton cœur (même si cela empêche ton voisin de dormir), en priant de toutes les fibres de ton être et en refusant de prendre part aux critiques et aux commérages. Tu peux le faire.

En attendant le grand réveil du siècle, fais déjà ce que tu peux faire maintenant. Lis la Parole et APPLIQUE-la à ta vie. Prie régulièrement, même si tu ne ressens rien. Manifeste la vie de Christ en toi pour que les autres voient que la foi véritable apporte vraiment quelque chose.

Ne te satisfais pas d’un : « C’est comme ça. Il faut simplement l’accepter ». Fais ce que tu peux, même si ce n’est pas grand-chose. Fais-le, c’est tout.

______________________________

Hmmm …

« Offre moi la chance de contribuer et je travaillerai dur, en étant concentré et, une fois que je commencerai à voir du progrès, je m’y consacrerai avec passion. » Travailler avant d’être passionné mesure notre talent en termes de contribution, non en un modèle idéalisé de perfection. La passion naît quand on se sent nécessaire, quand on approche de la maîtrise, quand on fait un travail qui compte vraiment. Seth Godin
 

 

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Recette pour une vie débordante

« Ne portez de jugement contre personne et Dieu ne vous jugera pas non plus; ne condamnez pas les autres et Dieu ne vous condamnera pas; pardonnez aux autres et Dieu vous pardonnera. Donnez aux autres et Dieu vous donnera: on versera dans la grande poche de votre vêtement une bonne mesure, bien serrée et secouée, débordante. Dieu mesurera ses dons envers vous avec la mesure même que vous employez pour les autres. » (Luc 6 : 37-38, BFC)

Les docteurs d’aujourd’hui me sidèrent. Tes genoux ne fonctionnent plus ? Ils les remplacent ! Une mauvaise hanche ? Pas de problème, il y a une opération pour cela.

Personnellement, j’attends qu’ils commencent les chirurgies de remplacement de cerveau. Le mien est un peu usé. Je dis à ma femme que nous devrions travailler ensemble, parce qu’il ne me reste qu’une moitié de cerveau et qu’elle n’en a plus qu’un demi, elle aussi. On pourrait croire qu’un demi cerveau plus un autre demi ferait un cerveau entier. Mais non, c’est toujours un demi.

Actuellement, nous faisons des progrès en ce qui concerne les cerveaux artificiels. Aujourd’hui, nous avons les IA – Intelligence Artificielle (ou Ignorance Artificielle). J’aime ces émissions où l’on voit une pièce comme la verrait un robot. Quelqu’un entre et on entend un son mécanique tandis que la petite machine fait le point sur cette personne. « Homme blanc. La soixantaine. Devrait perdre 5kg. A un air bizarre. » Ensuite, un rayon mortel jaillit du robot et rôtit le pauvre gars. Une voix mécanique annonce : « Menace éliminée. »

Nous sommes un peu comme ce robot.

Menace éliminée

Nous jugeons et évaluons constamment les autres. Notre jugement en révèle davantage à notre sujet – nos valeurs, nos antécédents, notre fierté, notre insécurité – qu’il n’en révèle sur la personne que nous jugeons.

Si nous avons une mauvaise opinion des autres, cela peut révéler l’une ou l’autre de ces deux choses : soit nous avons une mauvaise opinion de nous-mêmes et nous essayons d’abaisser les autres à notre niveau, soit nous sommes arrogants et pensons que personne n’est aussi compétent, intelligent et bon que nous.

Aucune de ces attitudes ne me semble saine.

Quand on passe son temps à juger les autres, on finit par être jugés aussi, à la fois par Dieu et par les autres. Qui pourrait tenir le coup face à un examen aussi minutieux ?

Wouah ! Donc, il faut être « Alice au Pays des Merveilles », béatement aveugle, délicieusement naïf devant les fautes des autres ? Cela pourrait nous exploser au visage. Nous devons être honnêtes et lucides dans notre évaluation des autres. Si quelqu’un a mangé de l’ail et de l’oignon, nous reculons d’un pas ou deux, mais nous continuons à parler. Et nous lui offrons discrètement des Tic Tac.

Mais le genre de jugement dont Jésus parle conduit à la condamnation et la condamnation implique une finalité qui ne laisse place ni à la miséricorde, ni au changement. « Je t’ai jugé et tu vas aller en prison où tu serviras jusqu’au terme de ta peine ! Tu récoltes le résultat de tes actions. »

Profilage

Nous sommes constamment en train de « profiler » les autres. Nous mettons les gens qui sont beaux dans une catégorie et nous leur donnons une longueur d’avance. Les gens quelconques doivent

rester tout en arrière. « Il est trop blanc, trop noir, trop rouge. Elle est trop maigre, trop grosse, infirme, handicapée, etc. » Certaines des meilleures personnes que j’aie jamais rencontrées m’ont paru très bizarres de prime abord (tous mes amis qui lisent ces lignes se demandent immédiatement : « est-ce qu’il parle de moi ? »

Notre travail n’est pas de juger ni de condamner les autres. Jésus a le droit de nous juger mais il ne le fait pas. Il prie pour nous et nous aime d’une façon incroyable. (Romains 8:34,3). Le diable essaye de nous juger et de nous condamner mais le Seigneur le fait taire (Zacharie 3:1,2).

Si le Seigneur ne laisse pas Satan juger et condamner mon frère, qui suis-je pour le faire ? SELAH (fais une pause et réfléchis-y !)

Si nous cherchons des imperfections, nous en trouverons. Si nous cherchons les fruits de Dieu chez Ses enfants, nous les trouverons.

Comment agir envers notre frère moins-que-parfait ? Nous savons comment il est et nous l’aimons. Tout comme l’Esprit de Dieu nous remplit et attise les dons spirituels dans notre vie, Il attise aussi notre amour pour les autres.

L’amour voit l’invisible

Le jugement et la condamnation voient la condition de mon frère comme définitive. L’amour le voit dans un processus de changement, en train de devenir tel que Dieu le veut, même si nous devons plisser les yeux pour voir les signes de la gloire de Dieu en lui. (2 Corinthiens 3:18)

L’amour de Dieu qui remplit notre cœur -

- Est bon et patient.

- Il n’est pas fier (le jugement et la condamnation dégoulinent souvent d’un cœur fier).

- L’amour n’est pas envieux (est-ce que l’envie ne serait pas une motivation pour condamner les autres?)

- L’amour ne se vante pas, ne s’enfle pas d’orgueil (nous ne croyons pas que nous sommes les seuls à avoir tout compris).

- Il n’est pas agressif (envers notre femme, notre mari ni nos enfants)

- Il ne cherche pas son intérêt, ne s’irrite pas, ne soupçonne pas le mal,

- Il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit de la vérité ;

- Il protège toujours.

L’amour est toujours confiant, toujours plein d’espoir… Wouah ! Attends une minute ! L’amour voit son frère non comme un criminel qui doit être condamné, mais comme une œuvre de Dieu en cours. Nous continuons d’espérer le changement parce que nous prions pour lui, nous aimons pour tirer vers lui, nous nous accrochons à lui. Nous refusons d’enfermer nos frères dans la prison de notre esprit. Nous sommes là pour eux et nous anticipons leur croissance.

L’amour persévère toujours. (Il ne cesse jamais d’espérer, ne cesse jamais de vouloir le meilleur pour cette personne. Nous ne nous laissons jamais aller à un désir de vengeance.)

(D’après 1 Corinthiens 13).

« Ô Seigneur, fais de moi cet homme par Ton Esprit. Je n’en suis pas encore là, alors s’il te plaît, sois patient avec moi. »

Voilà une question pour toi : qui est la personne que tu connais qui vit le plus comme cela ? Pour ma part, je pense à plusieurs personnes – pas parfaites, rassure-toi, mais qui croient en l’autre et l’aide à grandir par leurs prières, leur exemple et leurs encouragements. Parle-moi un peu de cette personne.

 

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Le bon côté d’être fou

stagger-2092704 640Parfois, je me dis que la vie serait plus simple si j’étais (plus) fou. Si j’étais fou, je pourrais accomplir de grandes choses.

Et si je me tapais la tête contre un mur et me réveillais persuadé d’être Napoléon ? Dans mon esprit, je commanderais de grandes armées. Les gens me révéreraient et me craindraient. Et, dans la mesure où je serais fou, je pourrais laisser de côté les parties où je grelottais en Russie et où je mourrais du cancer sur une île isolée.

Je pourrais aussi croire que je suis un grand chanteur qui aurait gagné « la France a un incroyable talent ». Je pourrais m’appeler Elvis Porter ou David Pavarotti. Je pourrais chanter à pleins poumons en descendant la rue. Tu me prendrais pour un fou, et après ? Je serais une légende dans ma tête.

Mais si je suis fou, comment pourrais-je le savoir ? L’illusion me paraîtrait réelle. « Si je suis en train de rêver, ne me réveillez pas ! »

 

Le délire des croyants en Christ ?


De nombreuses personnes pensent que les chrétiens vivent dans un monde fantaisiste.

Une des stars du nouvel athéisme, Christopher Hitchens, a écrit : « La relation entre la foi religieuse et le désordre mental est, du point de vue du tolérant et du « multiculturel », à la fois terriblement évident et hautement inavouable. »

Un article du Forbes magazine montre son désaccord : « Une nouvelle étude de ‘’Harvard’s T.H. Chan School of Public Health’’ a prouvé que les enfants et les adolescents élevés avec des pratiques religieuses ou spirituelles tendaient à avoir une meilleure santé physique et mentale que les autres enfants de leur âge. » (Cela t’amène à te demander qui est délirant quand tu considères les faits plutôt que les préjugés.)
(https://www.forbes.com/…/raising-kids-with-religion-or-sp…/…)

Ok David, mais quand même ! Le cœur du christianisme, c’est la foi en la résurrection de Jésus qui a payé le prix pour nos péchés et qui est ressuscité d’entre les morts par la puissance de Son Père. A-t-on jamais vu une chose pareille ?

Je me suis posé cette question. « Est-ce que je crois vraiment que Jésus est revenu d’entre les morts et qu’Il est toujours vivant ? » Cette foi est centrale pour être en accord avec Dieu, d’après la Bible.

« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du cœur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. (La Bible, Romains 10 :9-11)
Est-ce que je le crois ?

Et puis, j’ai pensé : “Je prie le Seigneur Jésus et je SAIS qu’Il est là, qu’Il m’entend. Un homme mort ne peut pas entendre. Un homme mort ne peut pas répondre. Oui, je crois qu’Il est vivant. »


Un sixième sens

 

Nous limitons un peu bêtement la réalité à ce que nous pouvons percevoir avec nos cinq sens. Mais Dieu nous a équipé d’un « sens spirituel » avec lequel nous pouvons savoir. Nous pouvons croire. Allons David, tu crois vraiment cela ?

A une époque, des hommes instruits ont déterminé qu’il existait seulement trois dimensions. Tu peux choisir leur nom parmi ces termes : longueur, largeur, hauteur et profondeur. A présent, nous n’en sommes plus aussi sûr.

Margaret Wertheim écrit : “… nous avons l’habitude de penser à l’espace comme ayant trois dimensions, mais la relativité décrit un univers à quatre dimensions et la théorie des cordes dit qu’il en a dix – voire onze selon les versions. Il y a des variations de la théorie en vingt-six dimensions et, récemment, des purs mathématiciens ont été tout excités par une version décrivant un espace à vingt-quatre dimensions. » (https://aeon.co/…/how-many-dimensions-are-there-and-what-do…)

Donc, est-ce que le fait de limiter notre perception de la réalité à ce que nous disent nos cinq sens est vraiment si intelligent ?


Le bon côté de la folie


Est-ce que je crois réellement que Jésus est ressuscité d’entre les morts ? Oui ! Je sais qu’Il est vivant parce que je Le connais. Je Le connais.

De nombreuses personnes croient certaines choses à propos de Jésus. Mais écoute un peu ça : « Et c'est à cause de cela que je souffre ces choses ; mais j'en ai point honte, car je sais en qui j'ai cru, et je suis persuadé qu'il a la puissance de garder mon dépôt jusqu'à ce jour-là » (2 Timothée 1 :12).

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La crainte-- vaincre l’épouvantail nommé Crainte

cartoon-2027047 640Internet est un fabuleux moyen de trouver de bonnes illustrations. Nous pouvons aussi y trouver l’avis d’autres personnes qui vont te dire que cette merveilleuse illustration n’est qu’un tas d’âneries.

Par exemple, il y avait cette histoire très inspirante de la maman aigle qui apprend à ses jeunes comment voler. Elle les fait monter sur son dos, vole haut, haut dans le ciel, puis les fait tomber. Le petit n’a plus qu’à battre des ailes pour essayer de voler. Quand il risque de s’écraser, elle se glisse en-dessous de lui, retourne dans le ciel avant de le laisser tomber à nouveau.

Au bout du compte, le petit apprend à voler (ou meurt).

J’allais vous parler de cette image, aujourd’hui, mais après quelques recherches profondes et ardues (peut-être quinze minutes sur youtube et internet), il semble qu’il y ait plus de votes contre la véracité de cette histoire que de votes pour.

Je commence moi-même à en douter. Au moment où l’aiglon est assez âgé pour voler, il est presque aussi gros que ses parents.

J’imagine la discussion de sa maman avec une de ses tantes : « Tu ne le croirais pas, Marie-Chantale ! Ce garçon est aussi gros qu’une vache et mange comme un cheval. Quand je me suis glissée sous lui pour le rattraper, il m’a presque écrasée sur le sol ! »

Les hauteurs nous effraient


Ça a réellement gâché une belle illustration. Mais, que sa maman le prenne ou non sur son dos, cet apprentissage du vol doit être effrayant. Les nids des aigles sont VRAIMENT très haut.

Tu t’imagines au bord d’un nid perché à trente mètres, en train de rassembler ton courage pour sauter pour la première fois ? « Ok, je peux le faire… Oui, allez, on y va… euh, demain… peut-être. Après tout, on pourrait bien en mourir. »

Comme mon copain l’aiglon, j’ai remarqué que j’avais une tendance à craindre les choses que je ne veux pas faire ou, plus particulièrement, les choses dont j’ai peur. Résultat, je tergiverse. Je me tiens au bord du nid et j’imagine tout ce qui pourrait mal tourner. L’imagination alimente le sentiment de crainte et le saut nous semble soudain haut de 300 mètres plutôt que de 30.

Le dictionnaire dit que la crainte est « une peur ou une anxiété extrême au sujet d’une chose qui va arriver ou qui pourrait arriver. »
Quelques synonymes de crainte : anxiété, appréhension, consternation, détresse, frayeur, stress, inquiétude, malaise.

Donc, ta belle-mère prévoit une visite et la crainte remonte à la surface de tes émotions.

Cet examen final et important se dresse à l’horizon et tu prévois déjà le désastre, un mois à l’avance. La crainte.

Deux amis différents ont le cancer et tu t’imagines en train de subir de la chimiothérapie. La crainte.

Le pasteur te demande d’enseigner à l’étude biblique du mercredi soir et tu imagines que personne ne va venir, que tu vas oublier tout ce que tu voulais dire et que le monde tel que tu le connaissais va arriver à son terme.
« Et si mes enfants avaient un terrible accident. »

(Pour les jeunes) « Et si j’avais un bouton le jour de mon rendez-vous. »
Et si...

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Trouver un sens à l’histoire de ta vie

 

A une époque, j’ai travaillé pour le journal d’une petite ville. La célébration d’un centenaire quelconque approchait et l’éditeur m’a demandé d’écrire des articles sur l’histoire de la petite ville à coté où j’étais allé à l’école.

J’ai interviewé un vieux type qui voulait me montrer un champ, près de la ville, où des bandits étaient censés avoir enterré leur butin. Personne ne l’avait jamais trouvé. Mais en chemin, il a pointé un pin proche de la route, qui était plié selon un angle bizarre.

Il m’a raconté que, dans sa jeunesse, les enfants pliaient l’arbre et s’y accrochaient pour être projeté dans les airs quand les autres lâchaient. Ils l’ont tellement fait que l’arbre est resté penché et n’a plus jamais poussé droit. 

Il n’y a pas que les arbres qui se retrouvent courbés par les circonstances. Ca arrive aux hommes et femmes aussi.

Parfois, « des choses arrivent » dans la vie et ces choses affectent notre qualité de vie, parfois même le cœur même de ce que nous sommes. Des choses arrivent – de bonnes choses et de mauvaises choses – et te changent, te propulsent dans des accomplissements dont tu n’aurais jamais rêvé ou te détruisent.

La vie est bizarre. Parfois, de bonnes choses ruinent ta vie. Demande aux gens qui ont gagné à la loterie. Et, parfois, les choses difficiles te transforment en la personne que tu rêvais d’être – demande aux gars du GIGN ou du RAID.

Abattu ou lancé ?

Nos actions et nos réactions déterminent si ces « choses » nous construisent ou nous tuent.

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Deux horribles accidents évités

train-1728537 640Un de mes amis, Christophe, fait un travail dont tous les petits garçons rêvent : il conduit des trains dans la très belle région de France qu’est l’Alsace.

Je dis « travail de rêve, » mais je ne suis pas sûr que c’est toujours ce dont rêvent les petits garçons, de nos jours. D’après ce que je sais de mes petits-enfants, ils rêvent probablement de tuer des monstres à trois têtes dans des châteaux de l’espace. C’est un bon travail aussi, si tu arrives à le décrocher.
Une nuit, alors que Christophe conduisait son train à travers la campagne, les phares ont illuminé quelque chose sur les rails, devant. Il a réagi très vite et arrêté son monstre lancé à pleine vitesse juste quelques mètres avant qu’il n’écrase un jeune homme désespéré qui se tenait sur les rails.
Cet homme avait prévu de se suicider et mon ami devait être son bourreau involontaire. Mais Christophe était éveillé, à son poste, et sa réaction rapide a sauvé la vie d’un homme. Nous entendons parler de conducteurs détruits par la drogue et l’alcool, qui causent des accidents au cours desquels de nombreuses personnes meurent.
Mais un homme doit sa vie à Christophe, qui était alerte et faisait de son mieux.
Nous devons notre vie
Quelqu’un d’autre nous a sauvé d’un accident ferroviaire éternel.
« Quant à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés, que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’œuvre parmi les hommes rebelles. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres. » (Ephésiens 2)
Ce train du jugement de Dieu se précipitait vers nous. Nous nous tenions sur les rails, coupables et condamnés, attendant l’exécution de la sentence. Le verdict signifiait une mort éternelle, une horrible conscience de la séparation d’avec Dieu, originellement prévue pour le diable. Mais tous ceux qui ne veulent pas de la seigneurie de Dieu dans leur vie le rejoindront.
« Mais Dieu est riche en compassion. A cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous a rendus à la vie avec Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés –, il nous a ressuscités et fait asseoir avec lui dans les lieux célestes, en Jésus-Christ… » (Ephésiens 2)
Mais, c’est-ce que cela ? Il y a quelqu’un qui se tient entre le train et toi et moi. C’est Jésus, et Il a payé le prix que la justice exigeait à cause de nos péchés. Le train l’a percuté, Lui, et pas nous.

« En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter. En réalité, c’est lui qui nous a fait s; nous avons été créés en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d'avance afin que nous les pratiquions. » (D’Ephésiens 2, SG21)
A présent, Il offre le pardon des péchés, un nouveau cœur, purifié devant Dieu, et une vie épanouissante qui continue jusque dans l’éternité, pour tous ceux qui viennent à Lui. Demande pardon. Détourne-toi de cette vie qui te conduit à un crash avec la justice. Place ta foi dans le Seigneur Jésus. Fais-Lui confiance et sers-Le.
Échappe à l’accident ferroviaire et vit !
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Boze le Rottweiler merveilleux

dog-218965 640Vous allez sûrement penser que ça devient du n'importe quoi,

mais cette semaine, j'aimerais vous encourager à être comme

 le Rottweiler de mon frère.

C'est le seul chien que je connaisse qui porte trois noms. Mon frère
Charlie l'appelait " Bozo ", ou " Boze ". Ma belle-soeur l'appelait " Lazy "
(= paresseux). Quand le premier petit fils est né, il avait du mal à dire
" Boze ", alors notre héros canin est devenu "Bubba ".

Son ancien maître, de toute évidence, ne voulait plus de lui et l'a
abandonné au bord d'une route. Et un jour, le chien affamé et affaibli est
venu au garage de mon frère (mon frère était garagiste). Et comme il a bon
coeur, il l'a nourri et vous connaissez la suite de l'histoire : depuis ce
jour là, mon frère avait un chien !

Boze est le genre de chien dont on se méfie : " Attention, chien méchant ! ".
Maintenant qu'il mange bien, il est grand, fort et à l'air menaçant. La
plupart des gens qui ne le connaissent pas marchent le plus loin possible
de lui. C'est vrai que d'après l'Encyclopédie Britannique,

" Depuis le moyen âge et jusqu'au début du 20ème siècle, le Rottweiller était le chien
de garde des bouchers. En allant au marché, ceux-ci attachaient à son cou
une bourse contenant tout leur argent. ".

Mais en fait, c'est un gentil chien : quand quelqu'un vient, il l'accueille
en le regardant passer tranquillement, la langue pendante et dégoulinante
de bave ou au pire, il l'accueille avec une indifférence flagrante.

Mais avec les autres chiens, c'est une autre histoire ! Il aime la bagarre
et s'ils entrent dans son territoire, on se croirait dans une partie de
catch avec les aboiements en plus. Il n'est pas méchant, seulement il aime
la bagarre.

Un jour, mon frère aidait sa belle-mère à la ferme. Dans son pick-up, il
traversait tranquillement le pâturage en profitant du beau paysage, avec
Boze à l'arrière du véhicule. Tout à coup, les chiens du voisin sont
apparus et ont commencé à aboyer.

Personnellement, je crois qu'il y a une sorte de protocole entre les chiens
pour des situations comme celles-ci. L'animal dans le pick-up aboie et il
prend son air méchant ; les chiens par terre aboient et ils prennent leur
air méchant. Chacun a l'air d'un gros dur, mais personne n'est blessé.
C'est un bon arrangement, surtout s'il y a des femelles tout près qui
observent la scène.

Mais le problème, c'est que Boze aime la bagarre.

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Quand Jésus va-t-Il revenir ?

sunset-189912 640Quand j’étais enfant, les pasteurs ne passaient pas beaucoup de temps à dire : « La racine grec de ce mot veut dire... » Non, c’était plutôt : « Hé toi ! Jésus revient et tu ferais mieux de te repentir ou bien tu vas avoir de gros soucis. » Peut-être pas toujours de façon aussi abrupte, mais il m’est arrivé de l’entendre de façon encore plus abrupte.

Quand j’ai commencé à travailler en tant que pasteur, j’ai remarqué que, si je voulais une réponse forte de mon auditoire, je devais prêcher sur la Croix, sur le Ciel et l’enfer, ou sur la seconde venue du Seigneur. Réponse garantie si je faisais ne serait-ce qu’à moitié bien mon travail.

J’ai été un peu surpris en lisant une conversation que Billy Graham a eue avec John F. Kennedy. D’après l’évangéliste, une des choses dont le président voulait parler était la seconde venue de Jésus.

Signes extraordinaires … ou bizarres ?

Quand je travaillais au Luxembourg, le secrétariat de l’Union Européenne s’y trouvait. Il y avait là un ordinateur censé pouvoir garder des données sur tout le monde. Il remplissait tout le sous-sol du bâtiment Jean Monnet, d’après ce que j’avais entendu dire.

Comme de nombreuses personnes aiment spéculer sur les signes annonçant le retour du Seigneur, certains s’étaient aventuré à dire que cet ordinateur était peut-être la Bête redoutée de l’Apocalypse.

Un ami missionnaire anglais et moi, nous avons plaisanté en disant que nous pourrions nous rendre là-bas, écrire 666 sur une fenêtre et le prendre en photo. Ensuite, nous aurions pu dire : à minuit, un certain jour de l’année, quand la lune brille à un certain angle, regardez ce qui apparaît ! Quelle augmentation de fonds cela aurait engendré pour nous aider dans notre ministère missionnaire !

Nous avons décidé de ne pas le faire pour deux raisons. Ce n’était pas vrai et je ne veux pas me mettre mal avec Dieu, étant donné qu’Il n’aime pas particulièrement les mensonges. (Pour mes amis super-sérieux, nous ne faisions que plaisanter, d’accord ? De toute façon, c’est certainement mon ami John qui y a pensé le premier. Ou pas.)

A un certain moment de ma vie, je me suis coupé de tous les « signes » un peu ridicules annonçant soi-disant le retour du Seigneur. Des « alertes enlèvement » frivoles ne font rien pour augmenter la crédibilité de l’Église. Il y a eu des livres comme : « 88 raisons pour lesquelles le Seigneur reviendra en 1988. » Quand il a été évident qu’Il n’était pas venu, l’auteur a fait savoir qu’il avait fait une petite erreur de calcul et a sorti un autre livre sur le retour du Seigneur en 1989.

Ça n’a pas mieux marché.

Tu sais quoi ? Malgré toutes les sottises et les exagérations de certains, il y a un fait inéluctable : Jésus Christ revient !

Jésus revient

Voilà la promesse que Dieu a faite à ce sujet : « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » (1 Thessaloniciens 4 :16-18).

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Une bénédiction sur mille générations pour ta famille

child-child-2083948 640J’ai eu une nouvelle pensée, récemment, alors que je priais pour ma famille. Beaucoup de gens se plaisent à dire que tu peux être maudit pour les péchés de tes aïeux jusqu’à la troisième ou quatrième génération.

« Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements » (Exode 20:5-6).

Bon, je ne sais pas ce qu’il en est de la malédiction. Je pense que nous sommes coupables de voir ce que nous voulons (comme d’avoir quelque chose de nouveau et de cool à prêcher?). Mais, pourquoi se concentrer sur le négatif ?

Moi, je dirais que ce verset promet que, dès le moment où je place ma foi en Christ, une bombe atomique de bénédictions explose dans ma vie et que toutes les malédictions sont soufflées au loin. Regarde ce qu’Il dit : « fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandement. » 

Quand je donne ma vie à Christ, la malédiction du diable est brisée et Christ promet un millier d’années de bénédictions pour ma famille.

Évidemment, je sais que, sociologiquement parlant, les familles transmettent des traits de caractères – bons et mauvais. Et nous devons faire avec cet héritage dans nos vies. Mais, en Christ, nous ne sommes plus des prisonniers ! Nous pouvons grandir pour devenir meilleurs.

Des bénédictions – pour tes arrière-arrière-arrière-etc.-petits enfants.

Donc, je priais un matin quand j’ai senti que le Seigneur me poussait à prier ainsi : « Dieu, je veux que tu bénisses ma famille sur un millier de générations ! Mes enfants, mes petits-enfants, leur enfants, etc., encore et encore dans l’avenir. Fais de notre famille une source de bénédictions. Si le monde est encore là dans un millier d’années à partir de maintenant, que ma famille soit bénie et qu’elle soit une source de bénédictions pour les autres, dans le nom de Jésus. »

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