Marco Ceara: le défenseur qui prêche
- Publié dans Interviews
- Écrit par Keith Sorbo
- Soyez le premier à commenter!
Il y a beaucoup de défenseurs jouant dans les équipes de football, mais pas beaucoup qui prêchent.
Il y a beaucoup de défenseurs jouant dans les équipes de football, mais pas beaucoup qui prêchent.
Une révolution dans les chants et la louange de l’église s’est produite ces dernières années. Dans beaucoup d’assemblées les batteries et les guitares ont émigré dans le culte du dimanche matin.
Roger Lewis
Durant les années 1960, le psychologue Walter Mischel a mené une expérience avec des enfants de quatre ans. On appelle maintenant cette expérience « le test guimauve. » L'objet de l'exercice était de déterminer la capacité de chacun des petits d’attendre la gratification.
Chaque enfant a eu une guimauve. Soit il la mangeait de suite , soit il attendait le retour du chercheur vingt minutes plus tard, attente récompensée par deux guimauves.
Certains enfants ne pouvaient pas attendre. Ils ont englouti la guimauve immédiatement. Les autres luttaient pour ne pas la manger. Ils ont couvert les yeux, ils se sont parlé à eux-mêmes, chanté, joué, ou même essayé de dormir. Ceux qui tenaient le coup ont été récompensés par deux guimauves quand le chercheur est revenu.
Douze à quatorze ans plus tard ils ont de nouveau évalué les mêmes enfants. Les différences étonnaient les chercheurs. Ceux qui avaient été capables de contrôler leurs désirs et attendre la gratification en tant qu'enfants de quatre ans, étaient plus efficaces socialement et personnellement à leur adolescence .
Daniel Brion
Au cours de son ministère terrestre, Jésus s’est beaucoup servi d’images de la nature et de la vie courante pour dispenser son enseignement. Il surprenait ses auditeurs en leur donnant des paraboles que les disciples ne comprenaient pas toujours.
« Un semeur sortit pour semer,…. Un père avait deux fils,…… Un marchand de perles trouve une perle de grand prix,… » etc.
S’il avait dû parler de la sécheresse spirituelle dans laquelle le chrétien risque de se retrouver à un moment ou à un autre de sa vie, il aurait peut-être utilisé, par analogie, la sécheresse climatique que le pays d’Israël a souvent connue dans son histoire.
Qu’est-ce qu’une sécheresse ?
"La sécheresse est une déficience conjoncturelle (établie par rapport à une valeur de référence, une moyenne) des apports d’eau par les précipitations."
Plus l’écart à la moyenne est grand plus la déception est grande, car la sécheresse est surtout l’insatisfaction d’une attente, voire d’un "dû" dans l’esprit de certains. La sécheresse a des répercussions sur les différents secteurs de l’économie dont la production en dépend directement ; on pense notamment aux activités agricoles.
A Bethlehem (Maison du pain) - il n’y avait plus de pain à cause de la sécheresse. Depuis longtemps, il n’y avait plus de moisson. Elimélec a donc quitté Bethlehem avec Naomi et leurs deux fils pour aller au pays de Moab où il y avait de quoi se nourrir.
"Cathy(*) s’affaissa lourdement dans son lit. La soirée n’avait pas été facile. Son fiancé l’avait une fois encore pressée et ils s’étaient disputés. Cette tension concernant les relations sexuelles avant le mariage surgissait constamment entre eux.
Les arguments de son fiancé ricochaient dans la tête de Cathy où régnait la confusion : « Nous nous aimons. Nous nous marierons. Dieu comprendra. C’est une partie naturelle de la vie. Si vraiment tu veux me montrer ton amour, tu le feras. J’ai aussi des besoins, tu sais ! »
Et le pire était qu’une grande partie d’elle-même criait pour faire exactement ce qu’il voulait. Elle était déjà allée au-delà de ce qu’elle se sentait autorisée et un froid s’était glissé dans sa relation avec le Seigneur Jésus. Pourtant, elle aimait Nicolas(*) et elle ne songeait pas vivre sans lui.
« Mais Dieu, n’es-Tu pas trop exigeant ? Les temps ont changé. Les filles ne se marient plus à 16 ans. Avec des études et le désir d’un peu de stabilité financière avant le mariage, la vie n’est plus comme elle était il y a 50 ans de cela. Et puis, il y a la pilule…et nous allons nous marier. C’est sûr ! »
Pourquoi pas ?
Esther EDEL
Deux ASTUCES stratégiques et 10 BONUS
Tout commence avec nos crises d’adolescence. Nous nous rebellons contre nos parents, ce que nous appelons aussi «conflits de générations ».
Jusqu'à mes 14 ans, Je suis allée à l’école du dimanche, on m’a enseigné à travers la Bible à respecter mes parents, par des versets comme : « Enfants, obéissez à vos parents, selon le Seigneur, car cela est juste. Honore ton père et ta mère, afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre » Ephésiens 6v1 « Enfant, obéissez en toutes choses à vos parents, car cela est agréable au Seigneur » Colossiens 3v20
C’est facile pour des adultes de nous dire cela, mais comment le mettre en pratique quand nous ne sommes pas toujours d’accord avec eux !!!
Converti grâce à un coton démaquillant !
Christophe Riaud
Ma conversion a débuté un soir, dans ma salle de bain. Avant d'aller dormir, je me nettoie le visage en appliquant de la lotion sur un coton (et oui, nous aussi les hommes, pouvons prendre soin de nous !).
J'habite alors Paris, une ville bien connue entre autres pour sa pollution... Ce soir, je suis impressionné par la quantité de poussière recueillie par le coton, et je montre ce dernier à ma compagne. Et alors sa réponse sera le début d'une soirée bien chargée en débats enflammés, car elle réplique : " tu es poussière et tu retourneras poussière, alors qu'est ce qui t'étonne ?"...
En effet, surpris par cette affirmation, je lance : "attends, ne me dis pas que tu prends cela à la lettre ? Et puis tu vas me dire que les miracles décrits dans la Bible se sont REELLEMENT passés ? ".
Philippe André
Garçon violent de banlieue, ce jeune a fait une rencontre qui bouleversa sa vie.
D’origine nord-africaine et de culture arabo-musulmane, la famille Oujibou émigre en France au début des années 1970, alors que Saïd n’a que trois ans. Très tôt, il s’intéresse à l’Islam, la religion de ses pères.
La famille est pratiquante et inculque au jeune garçon les préceptes que tout bon musulman doit connaître.
Bien vite, la conscience spirituelle de Saïd le travaille : « Très, très jeune, des questions émergent, notamment au sujet du salut. L’Islam aussi parle du paradis et de l’enfer.
« Il fallait absolument que je trouve par quel moyen fiable je pouvais aller au paradis. Mes parents, pour avoir un espoir de gagner le paradis, essayaient quant à eux d’accumuler un maximum de bons points spirituels. »
Au moment propice, le Tout-puissant fait le premier pas. Saïd raconte :« Ma première relation avec Dieu, je l’ai eue à l’âge de 9ans. Une voix intérieure m’assurait qu’un jour je connaîtrai la vérité. Cette profonde conviction ne m’a jamais quitté.
« J’avais la certitude que cette vérité-là serait complètement différente de tout ce qu’on m’avait enseigné.»
En quête de Dieu
A partir de ce moment-là, Saïd ne se satisfait plus de cette seule relation maître-esclave que connaît l’Islam et recherche une relation différente.
Au fond de lui naît ce besoin d’une vraie relation avec Dieu, personnelle et concrète. « Au-delà des prières rituelles, le musulman n’a aucun contact avec Dieu. » Car avec Allah, point d’intimité ni de relation directe. Encore moins d’amour et de tendresse.
« Il n’est pas l’homme que j’ai épousé » m’a dit la jeune femme avec des larmes qui mouillaient ses joues. Elle semblait prête de mettre fin à son mariage.
La femme d’un pasteur bien connu a divorcé. Sa raison: « Je voulais essayer de trouver le Bonheur avec quelqu’un d’autre. »
Une femme dans la cinquantaine quitte son mari pour quelqu’un qu’elle a rencontré sur Internet. Son couple semblait aller nulle part et elle voulait cette joie à laquelle elle avait aspiré toute sa vie.
En fin de compte, pourquoi pas? « Pourquoi ne pas mettre un mariage misérable à mort pour chercher quelqu’un qui me rende heureux ? » Beaucoup de vedettes de cinéma diront : « Vous avez raison ! Enfin, pourquoi vous marier en premier lieu ? Vivez avec cette personne sans vous marier. Faites ce qui est le mieux pour vous. Et si vous faites du mal aux autres, c’est dommage, mais vous avez la responsabilité de chercher ce qui vous épanouit en premier lieu. »
Et si c’est dur ? Filez ! Oui!
Oui?
Peut-être pas. Les statistiques pour les remariages sont pires que pour ceux qui se marient pour la première fois. Et pour un troisième mariage n’en parlons pas. C’est pire.
Et vivre ensemble sans être marié ? Ne vous mentez pas. Si vous voulez avoir mal, allez-y. Quelque part, nous devons nous arrêter et faire face aux problèmes. Le mariage n’est pas l’histoire de Cendrillon : ‘vivre-heureux ensemble-à toujours’—à moins que vous y travaillez.
La bonne nouvelle est que le mariage peut être cent fois mieux que l’illusion.
Pourquoi devons-nous rester ensemble et travailler pour faire marcher notre mariage ?
par Denis et Nathalie Biava
Bien que nous soyons mariés depuis 20 ans, il nous arrive encore de ne pas être d'accord. Dans la plupart des cas, cela n'engendre aucun conflit. Cependant, il arrive (rarement heureusement) que l'ambiance soit un peu moins romantique !
Comme par exemple cette fois où , sur l'invitation d'un pasteur, je devais prêcher lors d'une réunion de jeunesse, et ce même soir, ma fille, avait une audition de musique. Certes, ma femme était avec elle mais nos enfants ont aussi besoin qu'on leur montre de manière pratique notre intérêt et notre amour à leur égard.
J'avais promis à ma femme d'être à l'heure pour assister à l'audition. Je suis certain qu'elle a dû faire un effort pour croire que cela allait se réaliser.
La rencontre s'est terminée à une heure raisonnable pour me permettre de me rendre à l'audition ; cependant, pris par les discussions et la joie de retrouver plusieurs, ma mémoire a fait défaut et j'ai oublié le rendez-vous promis…
Je me suis rendu à l'audition tardivement, elle était presque terminée. Alors j'ai commencé à réfléchir sur la situation en préparant ma défense, car dans mon for intérieur je me savais coupable.
Nathalie athée, moi croyant non pratiquant ! C’est avec un tel état de coeur que nous nous sommes rendu pour la première fois de notre vie dans une réunion d’une Eglise Evangélique, en février 1984.
Nous y avons trouvé des jeunes et des moins jeunes, mais tous étaient manifestement heureux d’être là – le contraire de ce que j’étais lorsque je me rendais dans une église traditionnelle.
Nous ne pouvions pas nous empêcher d’observer les uns les autres et bien des questions fusaient dans notre tête. La musique et les chants nous enchantaient, mais notre curiosité était doublée d’une certaine méfiance.
Pourtant c’est ce jour que Dieu choisit pour nous révéler son existence.
Durant cette réunion dominicale, il se passa un « phénomène » bien surprenant, mais bel et bien réel !
Gérard Vergnol
La soirée de ce vendredi 27 AOUT 10 se terminait bien : une soirée « pizza »suivie d’un temps d’Evangélisation et de témoignages. Je me sentais fatigué bah ! c’est normal après une telle soirée … Je ferme la porte , dehors il pleut et je me dépêche de rejoindre ma voiture et je constate que ma jambe droite traîne un peu et semble lourde.
Samedi matin : diagnoctic du médecin : une sciatique ! avec quelques médicaments ça devrait passer. Mais voilà ça ne passe pas et dans la nuit de samedi à dimanche les choses empirent : ma jambe devient de plus en plus insensible, je ne peux plus faire mes besoins naturels normalement si bien qu’au matin de ce Dim 29 08 10 le service d’urgence (de Sarrebourg) est contacté.
Transfert dans un service neurologique ( CHU de NANCY) un « IRM » est réalisé : tout va très vite !