Menu
RSS
Bob Marley ou Jésus ?

Bob Marley ou Jésus ?

« … en quelques mois...

Joyce Meyer: guérit de l'horreur de l'abus sexuel

Joyce Meyer: guérit de l'horreur de l'abus sexuel

Joyce Meyer a été désigné...

Une fille revient des morts

Une fille revient des morts

Naomi Brillon « Des femm...

Prev Next

Rempli de l'Esprit-deuxième partie

smiley-1706235 640 

6. Si vos lèvres et votre langue commencent à balbutier, le Saint-Esprit essaye de vous amener à parler.

Peut être n’entendez vous pas des mots dans votre esprit mais quand vous décidez de vous abandonner à Lui, le Saint-Esprit vous animera.
Lors de cette expérience, toute les fois que vos lèvres tremblent et votre langue bégaie, le Saint-Esprit essaye de vous faire parler et les mots, je vous assure, sont présents. Ils peuvent ne pas être dans votre esprit mais ils seront dans votre bouche. C’est alors que la foi doit prendre le contrôle. Dites au Seigneur que par la foi vous allez parler, pas dans votre langue maternelle mais dans une langue dont Il vous donne les mots. C’est un pas de foi absolu mais le Seigneur l’honorera.

Comprenez bien que je ne vous suggère absolument pas d'inventer les mots. Ce que je dis, c’est que votre bonne volonté pour parler et votre détermination à faire cet énorme pas de foi seront souvent récompensées par ces mots étranges sortant de votre bouche.

Rappelez-vous que cet acte de foi pour parler est lié à ces occasions où vous avez eu des lèvres balbutiantes. Vos lèvres peuvent frissonner et s’agiter rapidement. Votre langue peut être épaisse et lourde et vous pouvez même avoir des difficultés à louer Dieu dans votre propre langue. Le Saint-Esprit agira puissamment sur vous dans ces moments là mais Il ne parlera pas à votre place. Il veut vous inspirer à parler.

Souvent, la peur vous empêche de vous donner totalement à la parole quand vous sentez vos lèvres balbutier. Il y une merveilleuse sensation de liberté quand le chrétien, faisant un pas de foi, commence à prononcer des mots qu’il n’a jamais appris.

Un jour, alors que je commentais ce point dans une réunion d’enseignement à des croyants de diverses Eglises, une dame leva la main; je la reconnus, et elle dit que ses lèvres tremblaient régulièrement mais qu’elle ne pouvait pas dépasser ce stade.

Par la foi je lui dis : « Vous serez remplie de l’Esprit aujourd’hui ». J’eus l’intuition que l’enseignement sur le sujet et la puissance du Saint-Esprit allaient la libérer. Quand plus tard j’invitais les gens qui avaient soif du baptême de l’Esprit à s’avancer, la dame vint devant. Après quelques instants, elle se mit à parler en langues. Elle devait se rendre compte que le Saint-Esprit était sur elle et voulait qu’elle parle. Elle ne bégayait plus, elle parlait.

7. Parlez même si ce ne sont que quelques syllabes qui se présentent d’abord.

Ne vous inquiétez pas si ce ne sont que quelques syllabes ou quelques mots qui viennent d’abord. Plus de facilité viendra par la suite.
Remarquez que le candidat qui reçoit une autre langue prononcera tout d’abord des louanges à Dieu. Dans Actes 10 :46, la version SEGOND révisée de la Bible, dit que la maison de Corneille, quand elle reçut la plénitude de l’Esprit, « exaltait Dieu ». Le même passage dans la Segond déclare : « Ils glorifiaient Dieu ».

Alléluia, loué soit Dieu, merci Jésus, gloire à Dieu, et les variations de ces phrases de louanges montrent les limites de la langue française pour louer Dieu. Dans beaucoup d’autres langues c’est la même chose. Dans une nouvelle langue, les mots peuvent tout d’abord vous paraître redondants et répétitifs. Vous louez Dieu d’abord dans cette nouvelle langue. Par la suite, l’Esprit vous donnera plus de facilité et un vocabulaire complet pour prier pour des besoins dont vous n’avez aucune idée (Romains 8 :26- Jude 1:20).

Ne revenez pas en français ou à votre langue maternelle quand vous parlez en d’autre langues ; qu’il n’y ait que quelques mots ou très peu.
Continuez à coopérer avec le Saint-Esprit en utilisant votre bouche pour former les mots. Ne soyez pas effrayé de remuer votre langue et vos lèvres. Vous ne pouvez parler aucun langage sans utiliser les organes de la parole.

En savoir plus...

Etapes pour être rempli de l’Esprit

a

Doyle Jones

Maintenant vous êtes prêts pour votre Pentecôte personnelle. Il n’est pas vraiment difficile de recevoir le baptême du Saint Esprit. L’intention du Seigneur n’a jamais été d’en faire une expérience réservée à de rares privilégiés. Il ne veut pas que ce soit difficile. Ce qu’Il attend pourtant des croyants, c’est qu’ils le recherchent de tout leur cœur. Voici quelques suggestions sur ce qui peut être nécessaire pour être rempli du Saint Esprit.

Ces étapes ou suggestions, ne sont pas placées par ordre hiérarchique, elles ne sont pas non plus des méthodes que le candidat applique mécaniquement mais elles sont destinées à aider la personne à se concentrer pour faire tout ce qu’elle peut pour coopérer avec Celui qui baptise, c'est à dire, le Seigneur Jésus.

1. Créer une atmosphère de louange en honorant et en adorant Jésus.
Les disciples le firent avant la Pentecôte.

« .. et ils retournèrent à Jérusalem avec une grande joie, et ils étaient continuellement dans le temple louant et bénissant Dieu. » (Luc 24 :52 et 53).

S’exercer à glorifier Dieu est très important si l’on veut recevoir le Saint-Esprit. De prime abord, cela peut vous paraître peu naturel mais continuez à louer Christ jusqu’à ce que cela ne paraisse plus étrange à vos oreilles.

Il vous faut aussi apprendre à prononcer des louanges à haute voix et non plus seulement dans votre esprit. Les louanges étaient exprimées à voix haute le jour de la Pentecôte :

« .. chacun les entendait parler dans sa propre langue ». (Actes 2 :6)

Les langues sont exprimées à haute voix bien que le niveau sonore ne soit pas toujours extrêmement élevé. Cela ne veut pas dire que le Saint-Esprit n'agit pas si on ne le fait pas. C’est une simple suggestion, destinée à vous aider, en tant que candidat, à louer Dieu librement.

2. Attendez-vous à parler en langues

Comprenez bien que le Saint-Esprit désire avec passion vous envahir et Jésus est impatient de vous baptiser (Luc 11 :13). Ne doutez pas un seul instant que vous allez parler une autre langue. Attendez-vous à cela.

Laissez complètement de côté votre langue maternelle.
Quand l’Esprit vient sur vous, réalisez que vous abandonnez tout à fait votre langue maternelle quelque soit la difficulté à parler cette nouvelle langue. On a souvent noté qu’on ne peut s’exprimer en deux langues à la fois. Ne soyez pas effrayé de laisser le connu pour l’inconnu. Louez Dieu du plus profond de votre cœur avec des lèvres préparées à parler quand les mots arrivent.

3. Recevez le baptême du Saint-Esprit.

Ceci, c’est votre rôle. N’attendez pas que Dieu vous donne l’Esprit. Il l’a déjà fait. Le Saint-Esprit fut donné le jour de la Pentecôte avec la puissance du baptême.

C’est à vous de le recevoir. Si quelqu’un vous fait un cadeau, vous n’avez pas à le mendier pour le recevoir. Tout ce que vous avez à faire, c’est de tendre la main et de prendre ce qui vous est offert. C’est la même chose pour le baptême du Saint-Esprit. Ne mendiez pas, ne suppliez pas. Remerciez seulement Dieu pour ce cadeau.

Il y a bien des années, j'ai eu le privilège de participer à une réunion pendant une nuit entière, dans une église que nous avions fondée à l'étranger.

Cette église de très grande taille, (plusieurs milliers de fidèles maintenant), m’invita à parler à 2h30 du matin. J’avais déjà parlé dans une autre église qui démarrait mais j’étais tout à fait prêt à venir pour encourager les gens à recevoir le baptême du Saint- Esprit.

Ce soir là, à peu près 15 personnes le reçurent, incluant une dame si désireuse de ce baptême qu’elle priait à haute voix, suppliant Dieu de la remplir du Saint-Esprit.

Je vins vers elle et lui dit doucement : « Vous n’avez pas à mendier, Dieu veut vous remplir du Saint-Esprit. Louez-Le seulement ». Elle se mit à louer Dieu et quand je posai mes mains sur elle, elle commença tout de suite à parler en langues.

En savoir plus...

Ton image de toi-même: est-elle importante?

sunglasses-1284255 1280C’était un jeudi matin, assise sur mon canapé, j’étais un train de parler à Dieu quand une pensée m’est venue : Comment est-ce tu peux aimer véritablement ton prochain si tu ne t’aimes pas toi-même?  Aïe…

Cette question de s’aimer soi-même m’a souvent posé problème. Comment puis-je m’aimer ? Je ne suis pas assez comme ci, et pas assez comme ça. Je fais ce que je ne veux pas faire et je ne fais pas ce que je devrais faire. Je ne suis pas capable de faire ci ou de faire ça. Untel est mieux que moi, untel fait mieux que moi etc. Toujours en train de chercher ce qui n’allait pas en moi, jusqu'à en oublier les qualités que Dieu m’a données.

J’avais même du mal à accepter les compliments. Il faut admettre que j’ai un côté très perfectionniste, donc quand ça ne fonctionne pas, je suis dure avec moi-même. Bref. Ce matin là, Dieu m’a ouvert les yeux sur le « qui suis-je réellement » et « comment je m’identifie ».

Le monde nous propose un tas de définitions à ce sujet… : S’aimer soi-même c’est prendre soin de soi ; par exemple manger équilibré, faire du sport, avoir confiance en soi, accepter ses défauts et ses qualités, arrêter de vouloir plaire aux autres, ne pas se comparer aux autres, se respecter, faire des choses pour notre bien être etc. Ces définitions sont justes mais restent incomplètes et parfois superficielles.

Pour certains s’aimer soi même c’est se regarder dans un miroir et s’embrasser ou pour d’autres c’est passer des heures à s’admirer en pensant qu’il ou elle est le plus beau ou la plus belle.

 Certains disent que s’aimer soi-même c’est prendre soin et répondre aux besoins de l’enfant intérieur qui est en nous afin de créer une famille intérieure pour développer notre trinité intérieure, de cette manière nous ne nous sentirons plus seul.

Toutes ses définitions ont un point commun : elle mène vers l’égoïsme. Mais voici ce que nous dit la Bible à ce sujet :

« Tu aimeras ton prochain, comme toi-même » Matthieu 22 : 39

Pour véritablement aimer son prochain (conjoint, famille, amis, étrangers, ennemis…) il faut d’abord s’aimer soi-même. Comment faire ? Partir de la source : Qui suis-je ? Une créature de Dieu, devenue enfant de Dieu. Est-ce que Dieu a fait une erreur en me créant ? Certainement pas ! Car Dieu ne fait jamais d’erreur. Lorsque Dieu a créée Adam et Eve, la Bible dit :

« Dieu regarda tout ce qu’il avait fait, et il constata que c’était très bon » Genèse 1 :31

Or, chaque fois que nous nous dévalorisons ou nous sous-estimons, nous disons à Dieu indirectement qu’Il a « mal fait » son boulot, mais la Bible dit aussi :

                  « Par la grâce qui m'a été donnée, je dis à chacun de vous de n'avoir pas de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun. » Romains 12 : 3

Nous devons avoir une juste estime de soi, ni trop bonne ni trop mauvaise mais une juste estime de soi. Le Roi David a dit :

« Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien. » Psaumes 139 : 14

La société d’aujourd’hui nous trompe sur beaucoup de choses, par exemple : l’image de la femme, celle-ci doit mesurer tant et peser tant, elle doit se maquiller comme ci et s’habiller comme ça etc.  Nous laissons la société rentrer dans nos esprits au lieu de combattre ces idéologies. Nous nourrissons nos esprits avec ces choses charnelles et superficielles jusqu’à en oublier notre véritable identité. Notre identité en Christ.

Parfois nous laissons aussi nos blessures du passé prendre le dessus et nous laisser croire que nous sommes incapables et que nous ne vallons rien… peut être à cause d’un viol vécu, ou une enfance difficile à cause des mauvaises paroles que l’on a reçues.

Nous avons laissé ces personnes ou ces paroles voler notre véritable destinée en Jésus. Et il est maintenant difficile d’en sortir, particulièrement après des années. Satan veut nous faire croire que nous ne valons rien, que toutes ces paroles négatives que nous avons reçues sont vraies pour détruire notre image de soi, la Bible dit :

« Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. » Jean 10 : 10

Nous devons faire la démarche de venir à Jésus, venir au pied de la croix, apporter nos fardeaux et nos blessures car la Bible dit :

                  «  Il guérit ceux qui ont le cœur brisé, Et il panse leurs blessures » Psaumes 147 : 3

Pour s’aimer soi-même il faut aussi savoir pardonner les autres mais aussi se pardonner soi-même. Lorsque l’on pardonne, cela nous libère d’un gros poids. Nous devons faire cette démarche et Dieu fait le reste que nous ne pouvons pas faire. Cela peut mettre un certain temps certes mais la guérison est au bout !

La définition de la Bible de l’amour de soi nous mène donc vers autrui et non vers nous même. Une fois que nous apprenons à nous aimer nous même, c’est là que nous commençons véritablement à aimer notre prochain.

Lydie est originaire de Tours en France. Avec son mari Mark, elle travaille au Congo.

-------------------------------------------------

cup-1004269 640Abonnez-vous gratuitement à notre réflexion de la semaine—Taches de Café. Vous allez rigoler, réfléchir et grandir dans votre personnalité. En plus, nous vous mettrons au courant dans ce newsletter quand il y a des nouveaux articles sur le site de Victoire Magazine.fr. Simplement envoyez un email à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et dites “abonner”.

Si vous aimierez connaitre Jesus comme Seigneur et Sauveur, écrivez-nous Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et nous serons contents de 

partager cette bonne nouvelle avec vous.

Image: pixabay.com

En savoir plus...

Deuxième partie: Tuer des gorilles dans votre mariage

gorilla-969972 640Le compromis

Parallèlement, les deux intéressés doivent apprendre ce que représente le compromis. En effet, s’il vous arrive d’être en désaccord à propos d’un sujet quelconque, efforcez-vous de trouver une solution intermédiaire.

Par ailleurs, si cela semble impossible, dites : « Bon, cette fois-ci nous ferons ce que tu veux, mais n’oublie pas que la prochaine fois nous ferons ce que je pense être le mieux. »

Mais David, je croyais que vous aviez dit que le mari était l’autorité dans la famille. Eh oui. Et en tant qu’autorité instituée par Dieu, il a le droit de céder à sa femme parce qu’il l’aime et la respecte.

Et sinon, qu’elle le respecte et qu’elle se soumette. Mais comme nous l'avons déjà dit, qu’on n’utilise pas la question de soumission et de l’autorité du mari comme excuse pour qu’il fasse toujours ce qu’il veut.

S’il croit qu'une décision aura un impact négatif sur sa famille, il lui faut être assez courageux pour prendre ses responsabilités et trancher, même si son épouse n’est pas d’accord. Cependant, il est nettement préférable d’arriver à s'entendre.

La mentalité de Christ

Le point le plus important est le fait qu’un couple chrétien a la possibilité de voir toutes choses comme Jésus-Christ les voit.

« Nous avons la pensée de Christ. » (2 Cor. 2 :16)

Voilà la raison pour laquelle c'est un non sens pour un chrétien de se marier avec quelqu’un qui ne l’est pas. Vous avez (je l’espère) une manière de considérer le monde inspirée par Dieu et sa Parole, tandis qu'un non-chrétien le considérerait comme une chose qui prend fin lorsqu'on rend son dernier souffle.

Une chrétienne a raconté son expérience. Elle s’était mariée avec quelqu’un qui ne croyait pas. Ils ont eu un enfant et quelques années après, elle priait avec l’enfant dans sa chambre avant qu’il s’endorme.

Le papa passa, s’arrêta devant la porte entrouverte et se moqua de la foi de la mère devant l’enfant. Cela eut l’effet d’une flèche qui atteignit son coeur. Imaginez le trouble dans le coeur du petit quand il vit son papa et sa maman en désaccord sur une chose tellement importante.

Cependant, si on est marié avec quelqu’un qui ne croit pas, ou qui croit en une religion qui n’est pas biblique, cela ne doit pas être une excuse pour divorcer. La Bible est claire à ce sujet :

« Si un frère a une femme non-croyante, et qu'elle consente à habiter avec lui, qu'il ne la répudie point ; et si une femme a un mari non-croyant, et qu'il consente à habiter avec elle, qu'elle ne répudie point son mari. Car le mari non-croyant est sanctifié par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiée par le frère ; autrement, vos enfants seraient impurs, tandis que maintenant ils sont saints. » (1 Cor. 7 : 12-14)

Mais si le couple croit en Christ, les partenaires veulent accomplir la volonté de Dieu pour leur vie et leur union. Cette perspective les aide à choisir le lieu où ils vivront, ce qu’ils feront dans la vie, les priorités qu’ils établiront pour dépenser leur argent, l’assiduité aux réunions de l’église, la fidélité dans le témoignage, et ainsi de suite.

En savoir plus...

Des "gorilles" qui menacent ton couple

gorilla-752875 640David Porter

Comment vois-tu le monde ?

 Quelqu’un a demandé : « Savez-vous où dort un gorille de 250 kilos ? » La réponse : « Partout où il veut dormir. »

Or, on sait que la Bible dit : « Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes ... » (Cantique des Cantiques 2 : 15). Dans le mariage, les petites choses ruinent souvent tout.

Mais il y a aussi ces gorilles de 250 kilos qui menacent notre couple et qui s’imposent pour essayer de le détruire.

 « Non, le monde n’est pas comme ça ! »

Votre manière de voir le monde peut être une entrave à une bonne entente dans votre couple. Il existe un mot précis qui exprime cette idée en anglais : « worldview ». Il peut également se traduire en allemand par le terme suivant : « Weltanschauung ».

Ces mots désignent la manière particulière dont chacun d’entre nous voit et interprète le monde. Cette vision est formée par notre personnalité, nos parents, notre culture, nos propres expériences, ainsi que par beaucoup d’autres éléments.

Rappelons un point essentiel à ce sujet : nous ne trouvons pas deux personnes qui portent exactement le même regard sur le monde. Même après cinquante ans de mariage, nous ne voyons pas tout à fait le monde comme notre partenaire.

Quand nous nous sommes mariés, les parents de mon épouse ainsi que l’environnement de son enfance et de son adolescence influençaient beaucoup sa manière de voir le monde.

En revanche, ma façon de réfléchir était formée par la vérité, la réalité, et tout ce qui est juste, pur et vrai. Du moins, c’est ce que je croyais…

Avec une telle attitude, pouvions-nous toujours être d’accord dans l’interprétation des choses de la vie ? Au début, par exemple, j’aimais bien faire une petite sieste le dimanche après-midi. Mais elle s’irritait contre moi si je m’allongeais sur le lit sans enlever mes vêtements.

Moi, de mon côté, je ne voyais aucune raison d’ôter mes vêtements durant la journée alors que j’étais propre et que je n’allais pas salir les couvertures. (Ce n’était pas moi qui devais les laver).

Nous avons eu je ne sais combien de « discussions » à ce sujet. Qui avait raison ? Tous les deux.

Mais si nous nous disputions pour des détails si insignifiants, cela n’augurait rien de bon pour le futur, parce que l’on retrouve des centaines de situations analogues tous les jours.

Et que faire alors quand on évoque des sujets vraiment importants ?

gorilla-914585 640Nous rencontrons beaucoup moins de problèmes maintenant et je crois qu’il y a deux raisons à cela :

1. Elle s’est vainement fatiguée à essayer de changer un homme comme moi, et elle a conclu que j’étais sans espoir. Alors pourquoi devrait-elle gaspiller son énergie ?

2. Plus nous vivons ensemble, plus nous apprenons à voir le monde de la même manière (ce n’est pas le cas à 100%, je vous rassure, mais c’est beaucoup mieux). Le cas échéant, nous nous respectons, même si nous ne sommes pas forcément d’accord.

En savoir plus...

Une célibataire décide de ne pas fréquenter les hommes avant de trouver l’homme que Dieu destine pour elle

Interview avec Nathalie Fordwor (étudiante à UCL en Angleterre)nat

Yasmin Ocansey (traduit de l'anglais par William Luj)

YO: Natalie, pour inaugurer cet interview, peux-tu nous parler un peu de toi-même ?

Natalie : Bon. Actuellement j’étudie à l’UCL, en Angleterre, l’éducation et la technologie, et Dieu me façonne pendant que je suis ces cours, mais je réalise qu’ils sont pour mon bien et pour sa gloire.

YO: Je veux demander rapidement. Depuis combien de temps marches-tu avec le Seigneur ?

Natalie : J’ai grandi “Chrétienne”, mais à cette époque, cela ne signifiait réellement rien pour moi, je ne lisais pas la Bible, et je pensais que Dieu était quelque part très loin sur un trône mais j’ai finalement donné ma vie à Christ pendant l’été, entre mon année junior et mon année senior.


YO: Je vais te mettre sur la sellette maintenant et te demander de définir ce qu’est un simple chrétien.

Natalie : Wouah, c’est une question profonde, mais je vais faire de mon mieux pour répondre. Je suppose que, dans une certaine mesure, un simple chrétien est quelqu’un qui est capable de passer du temps avec ses amis non-chrétiens et de s’en contenter, d’être dans une sorte de saine attente et de contentement, et aussi de faire la fête avec d’autres couples sans avoir l’impression que vous êtes du dehors, c’est-à-dire quelqu’un d’étranger. C’est aussi prendre le temps de grandir et de comprendre qui vous êtes en Christ. Parce que dans mon cas, par exemple, le sujet de la soumission m’effrayait.

YO: Réellement, étais-tu une féministe dans une autre vie ?

Natalie (rires) :Peut-être que j’étais une féministe non-déclarée. En fait, le Seigneur a commencé à m’enseigner de changer il y a environ deux ans. Donc, par exemple, le verset dans la Bible qui exhorte les épouses à se soumettre à leurs maris avait l’habitude de m’ennuyer mais, quand j’ai pris du temps pour le lire, j’ai remarqué le verset suivant qui parlait de « Maris, aimez vos épouses » et j’ai réalisé que le défi pour les hommes était bien plus grand, et ainsi je n’avais pas à paniquer au sujet de la soumission.

YO: Je pense que toi et la chanteuse de gospel Jamie Grace, vous avez quelque chose en commun et, sois libre de me rectifier si je ne suis pas précis, je crois que vous avez résolu de vous contenter de rien de moins que le meilleur de Dieu quand il s’agit de la question du flirt et des sorties romantiques, ce faisant, que vous avez refusé de céder à la pression du flirt et ces sorties ?

Natalie interrompt : Amen ! Ceci est en fait très, très vrai ! Il y a à peu près quatre ou cinq ans de cela, j’ai dit à Dieu que je ne voulais pas flirter ni avoir des sorties romantiques avec qui que ce soit, si ce n’est la personne qui sera mon mari. Point !

YO: De toute évidence, cela n'a pas été facile car tu n’as JAMAIS fréquentais un garçon, mais tu as réussi à rester cohérente. Comment celas’est-ilpassé?

Natalie : Cela a été intéressant. Avant j’aurais dit que j’étais un peu anxieuse. Comme à l’école secondaire, je ne me serais pas considérée comme partie prenante du club des « jolies filles raffinées ». Donc ensuite j’ai été assez anxieuse, avec en plus le regret de n’avoir jamais rien réalisé de concret. En fait, je me sens comme si j’ai été occupée à me protéger, pour être juste.

YO: En parlant de se protéger, ma prochaine question sera en fait de savoir si tu as senti que cela t’avait protégé de chagrins inutiles ?

Natalie : Oui, Cela l’a définitivement été, surtout si l’on considère que j’étais précédemment une pleureuse et quelqu’un d’immature. Je sens que, si j’étais entré dans une relation qui m’aurait blessée, cela m’aurait pris plus de temps à guérir et, que j’aurais construit des murs supplémentaires autour d’un cœur déjà gardé. Je me souviens avoir entendu un sermon qui parlait de la différence entre garder son propre cœur et, permettre à Dieu de garder son cœur. Donc auparavant, je le gardais avec toute ma puissance, mais il y a une grande différence entre permettre à Dieu de garder votre cœur et le garder vous-même.

YO: J’aime cela, parce que je crois que nos frêles mains humaines sont à jamais si glissantes, mais quand Dieu est le gardien de notre cœur, cela parle de réelle sécurité.

Natalie, Il t’arrive aussi d’être une des personnes les plus pétillantes que j’ai jamais rencontrée. C’est ridicule, en fait, je pense que parfois il devrait être interdit de pouvoir être aussi heureuse et pleine de joie comme tu l’est, mais tu es célibataire, et une pensée récurrente semble être que les célibataires sont généralement des gens malheureux.

YO: Natalie : Commençons avec ce point : “le diable est un menteur” ! (rires)

Il est intéressant de noter comment les gens me considèrent maintenant, car il y a des années mon surnom était « geignarde pleurnicharde » parce que je gémissais et gémissais tout le temps, et j’ai littéralement conduit ma mère à la folie. En plus j’étais une trouillarde, et assez malade tout le temps, donc c’était comme si ma joie était toujours extirpée, loin de moi. Mais c’est après que j’ai donné ma vie au Christ que je suis venu à connaître la vraie joie et la paix.


YO: Au sujet de cette position sur le fait de te marier la personne avec qui tu auras une relation amoureuse, est-ce que cette position était prise avant que tu sois devenue chrétienne, ou a-t-elle été cimentée par le fait que tu es devenue chrétienne ?

Natalie : Je pense avant que je sois devenue chrétienne. C’était plutôt une sorte de mécanisme de défense aux questions du genre « pourquoi n’as-tu pas de flirt ? ». Mais quand ma marche avec le Seigneur est devenue plus profonde, j’ai réalisé que c’était quelque chose que je voulais définitivement. J’ai appris de Lisa et John Bevere, qui ont expliqué comment les relations basées sur une alliance sont tellement plus que deux personnes qui s’aiment.

YO: Comment gardes-tu ton cœur contre la jalousie ?

Natalie : je peux seulement dire que cela a été par grâce. Dernièrement, il y a eu un désir. Parfois, il y a certaines photos que je vois et ça me fait espérer que je suis plus proche d’arriver. En ce moment une chose que je fais est de consciemment me dire que les étapes des justes sont conduites par Dieu et que les étapes de mon mari sont conduites par le Seigneur.

UntitledYO: Je veux ton opinion là-dessus. Tu sais, il semble y avoir deux écoles de pensée concernant le processus pour trouver un mari. D’une part, nous avons ceux qui penchent vers une révélation dramatique de Dieu, le ciel qui s’ouvre, et le mari qui tombe du ciel, quelque chose comme cela.

D’autre part, il y a ceux qui pensent que c’est plus d’un acte de collaboration avec Dieu Prenons l’exemple de Ruth.Nous pouvons clairement voir le doigt divin dans cela. La bible dit : « Et comme cela est arrivé », et ce que je sais, c’est que, quand quelque chose ressemble à une coïncidence particulièrement dans la Bible, c’est très probablement une intervention de Dieu. Dieu a orchestré qu’elle irait dans le champ de Boaz, mais il y avait un point où Ruth devait agir et où Boaz devait répondre ? Quelleest ton opinion là-dessus ?

Natalie : Oui, je vois ce que vous voulez dire, comme s’il y a effectivement un « Celui-là » et, est-il possible de rater celui-là ? Vous savez, à la fin de la journée, autant que je sache, il y en a un, et je veux celui-là. Je suis venu à la conclusion que Dieu est un entremetteur parfait, donc j’attends mon tour.

YO: Comment fais-tu normalement avec les questions innombrables et embarrassantes sur qui tu fréquentes ?

Natalie : J’ai l’habitude de répondre “Ne vous inquiétez pas, je vous ferais savoir quand je saurais aussi. Au fond, l’idéeestjuste de détournerl’attention.

YO: Que dirais-tu qu’est ton plus grand défi en tant que célibataire chrétienne ?

Natalie : Je pense que l’un des défis les plus évidents est quand vous réalisez que vous prenez de l’âge et que votre anniversaire revient chaque année et que vous réalisez que vous êtes toujours célibataire. Parfois, je plaisante avec le verset « les premiers seront les derniers », et je me rappelle simplement qu’avec Dieu il n’y a pas de temps perdu.

YO: La solitude est un mot qui est associé avec « célibataire », mais penses-tu qu’il y a une différence entre la solitude et le fait d’être seul, et selon toi quelle est cette différence ?

Natalie : Des choses très, très profondes. Certainement, il y a une différence. Je pense qu’être célibataire le temps de se lier avec Dieu et le Saint-Esprit est un temps précieux. Parfois je me dis que si je suis trop occupé à appeler ou à passer du temps avec quelqu’un, il me manquera ce moment unique de liaison ?L’état d’être solitaire, c’est quand cela devient dangereux parce que vous avez tendance à laisser l’envie, l’amertume vous envahir, quand vous êtes offensé facilement et que vous êtes incapable de vraiment vous réjouir dans les relations avec autrui. Vous pouvez aussi être offensé quand quelqu'un dit quoi que ce soit en rapport avec les relations !

YO: Alors, à quoi ressemble une journée habituelle dans ta vie ? Quel genre de choses fais-tu pour rester occupée ?

Natalie : Récemment, quand les gens me posent cette question, je ne suis pas sûr de savoir comment répondre sans ressembler à une ringarde de Jésus. Dès le début du mois de janvier cette année, je suis très heureuse de m’asseoir dans le bus ou le train, ce qui est devenu ma vie. J’aime aussi surfer sur Internet pour chercher une nouvelle musique de culte. La musique est certainement une grande chose pour moi. J’aime l’art et, vu comme le soleil se fait rare à Londres, j’aime profiter et passer du temps avec des amis.

YO: Juste pour conclure l’interview, t’arrive-t-il parfois de te demander si tout cela en vaut la peine, et ce que tu fais avec ces pensées ?

Natalie : Quand je vois le fruit de couples qui exercent ensemble le ministère ou qui se supportent l’un l’autre, je suis en paix en ce qui concerne le fait que cela en vaut la peine. Avoir des mentors ou des modèles, et voir la fidélité de Dieu dans leurs vies m’encourage.

YO: S’il te plaît, partage avec nous la leçon plus précieuse que tu ais apprise jusqu'à maintenant dans ta vie de célibataire

Natalie : Une chose que le Seigneur m’a enseignée est l’humilité, l’humilité dans tous les aspects de ma vie. Je sais combien cette vertu est primordiale dans nos relations, parce que parfois, quand je regarde les couples autour de moi, je me demande « comment réagirais-je à cela ? »

Prenez par exemple ce scénario : vous rentrez à la maison fatiguée, vous avez fait les achats par vous-même.Votre mari jette un regard sur les choses que vous avez achetées et demande « qu’est-ce que tu as fait, tu as oublié ceci, cela ? Maintenant voyez, la façon la plus naturelle de répondre sera « Excuse-moi, sais-tu combien de temps j’ai couru ça et là, et combien de choses j’ai dû porter, etc. etc. »

Mais l’humilité vous apprend à réagir autrement et à dire « Je suis désolée, je sais que tu avais mentionné cela, mais j’ai oublié ». Donc l’humilité va très loin pour déterminer s’il y aura des éclats d’explosion à la maison ou ce qui va maintenir la paix.

« Dieu aide-moi », et l’un verset qui régulièrement résonne en moi est le verset de la Bible qui dit que : « Il n’est pas venu pour être servi mais pour servir ». Et notre rôle consiste seulement à servir et à aimer.

-------------------------------------------------

cup-1004269 640Abonnez-vous gratuitement à notre réflexion de la semaine—Taches de Café. Vous allez rigoler, réfléchir et grandir dans votre personnalité. En plus, nous vous mettrons au courant dans ce newsletter quand il y a des nouveaux articles sur le site de Victoire Magazine.fr. Simplement envoyez un email à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et dites “abonner”.

Si vous aimierez connaitre Jesus comme Seigneur et Sauveur, écrivez-nous Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. et nous serons contents de 

partager cette bonne nouvelle avec vous.

 

 

 

 

En savoir plus...

Dieu se souvient de mon porte-monnaie

StockSnap WTI11TRZ8F

yasmin ocansey

Je me suis empêchée de regarder dans mon sac pour la énième fois. Je désirais que l’argent apparaisse de façon magique mais hélas, non (rire).

Ça restait toujours un billet brun et un billet vert : 12 ‘cedis’ ghanéens (soupir). C’était le prix de l’aller-retour en taxi de la maison à mon travail. Ça voulait dire qu’il n’y aurait pas de déjeuner aujourd’hui et amenait la question : « Comment-allais-je aller au travail le lendemain ? ».

Le jour de paie était loin …

Avant que je n’ouvre la bouche pour parler avec Dieu, le Saint-Esprit me fit taire en me disant : « Tu prends soin de mes affaires, je prendrai soin des tiennes. »

« Okay, Seigneur. Que veux-tu que je fasse aujourd’hui ? »

Je me sentais dirigée à partager ce que j’avais appris ce jour-là avec d’autres, alors j’ai fait un bref message audio, j’ai prié et je l’ai envoyé sur Internet avec l’application ‘Whatsapp Contacts’.

Environ dix minutes plus tard, j’ai regardé les retours : « Merci. » - « C’était une bénédiction ! », etc. …

Soudain un message me frappa. Il venait d’un homme d’un certain âge que j’avais rencontré une fois quand j’avais servi comme maitresse de cérémonie.

Voici le message : « Passez, svp, par mon bureau et demandez à parler avec le secrétaire du groupe ». Je pensai : « C’est probablement une autre occasion de travailler comme maitresse de cérémonie », et puisque j’avais besoin d’argent, je m’y rendis.

Arrivée au bureau tout essoufflée, je me suis dit : « J’espère que ça vaut la peine Seigneur ». Je suivis les instructions du message et demandai le secrétaire du chef du groupe.

Quelques minutes plus tard, j’étais plus riche de 500 cedis ghanéens. Cet homme gentil avait à l’évidence été touché par ce que j’avais dit et avait voulu me bénir.

En savoir plus...

Dieu parle par la bouche d'une guichetière

431123097 8027172271 mFranck Alexandre

Au début du ministère, épuisé et déprimé devant les nombreuses difficultés, j’avais décidé de tout abandonner (1988).

Je m’étais rendu au guichet de la banque où mon épouse et moi avions notre compte pour y reprendre notre argent et fermer ce compte. Il n’y avait vraiment pas grand chose dessus, mais suffisamment pour louer un petit véhicule de déménagement et partir.

Ce matin là, devant le guichet, il y avait une longue file de gens. L’attente sembla interminable, mais finalement, mon tour arriva. J’ai alors expliqué à la jeune demoiselle mes intentions de fermer notre compte. Alors gentiment, elle tapota sur le clavier de son ordinateur et m’annonça ce qui restait dessus.

Je lui ai dit que je souhaitais récupérer toute la somme. Elle procéda alors au retrait et attendit que l’opération s’effectue. Elle recommença une nouvelle fois, puis une troisième fois.

Derrière moi, l’impatience des clients devint palpable. Je crois que tout le monde se demandait ce qui était en train de se passer. Et je voyais la demoiselle plutôt stressée et de plus en plus inquiète. Sans vouloir faire de mauvais jeu de mots, son inquiétude commença à m’inquiéter aussi.

Soudain, elle se mit à frapper l’écran de l’ordinateur. Maintenant, j’étais inquiet ! Je devais louer le véhicule au plus vite et quitter la ville dans les plus brefs délais. Je voulais tout plaquer ! 

Mais elle se mit à me regarder fixement et avec dépit, elle me dit : « Monsieur Alexandre, je suis désolée, mais ça ne veut pas marcher. J’ai servi de nombreuses personnes avant vous et je n’ai eu aucun problème. Là je ne comprends pas ce qui se passe. »

Alors j’ai commencé à hausser le ton lui disant que la mission d’une banque consistait bien à protéger l’argent que lui confiaient ses clients, mais qu’elle se devait aussi de leur rendre cet argent à tout moment.» Visiblement gênée, les joues toutes rouges, observée par tous les autres clients, elle me regarda fixement une seconde fois quand son visage devint tout blême….

Elle me dit alors : « Monsieur Alexandre. Il y a peut-être une raison à tout cela. Peut-être que vous ne devriez pas partir. Vous devez rester dans cette ville. Il doit y avoir quelqu’un qui veut que vous restiez là. »  

En savoir plus...

Une aventure à la parisienne !

windsong

Daniel Emonnot

Lorsque le stationnement était encore possible sans trop de problème dans Paris, nous faisions partie d'une assemblée chrétienne dans cette ville.

A la sortie d'un culte, notre pasteur me demanda si je pouvais être la, un âpres midi de la semaine afin de aider à l'aménagement de la salle. Nous devions recevoir le groupe de louange Wingsong pour une soirée unique.

L'après midi en question, au moment de tourner dans la rue où se trouvait notre église, il y avait un cordon de police, barrières, voitures de police en travers … personne ne passe!

Le quartier fait parti de ces lieux parisiens favoris pour les cinéastes, vue sa configuration pour y tourner certains films, et de ce fait, bien souvent nous nous trouvions confrontés, sans en avoir été averti, à cette ambiance "hollywoodienne".

Après avoir commencé à préparer la salle, j'allais voir le responsable du tournage afin de lui expliquer la situation.

Nous avions programmé une soirée et que dans les instants qui allaient venir un camion allaient arriver contenant tout le matériel du groupe, et vue le poids de l'ensemble, ce camion devait évidemment stationner au plus prés de l'église.

Refus total de négociations de cet homme qui m'expliqua dans de grandes phrases que son travail était très important etc.

La soirée s'annonçait, on ne peut plus mal, rue barrée avec filtrage des passages, interdiction à tout véhicule de rouler, quelle ambiance!

A un moment de cet après midi spécial, j'entendis de l'agitation provenant de la rue.

Je sortis, et vis que juste à l'angle, devant le barrage de police, se trouvait un fourgon noir d'une longueur démesurée, que chacun se posait déjà la question: comment était il déjà arrivé jusque la, vue l'étroitesse des rues!

Un des policiers était en train d'expliquer la situation par talkie walkie au cinéaste à l'autre bout de la rue.

En savoir plus...

Garder les bagarres pour ce qui vaut une bagarre

couple-1030744 640Un jour, j’ai visité un couple marié depuis plusde cinquante ans. La mamie a remarqué que leur mariage portait beaucoup plus de fruits après cinquante ans qu’au début. « Nous nous connaissons tellement bien », dit-elle. « Je sais même ce qu’il pense. »

« Tu ne sais pas ce que je pense ! » a réagi le papi.

« Oh, si ! », répondit-elle avec certitude.

Elle n’a pas donné d’exemple, mais je comprenais ce qu’elle voulait dire. En effet, souvent mon épouse et moi rencontrons des situations dans lesquelles je sais ce qu’elle pense avant même qu’elle me dise quoi que ce soit.

Pourtant, nous ne verrons jamais tout de la même manière. C’est mieux ainsi. Tantôt ma femme voit plus clair, tantôt c’est moi. L’essentiel est de s’aimer et de se respecter même quand nous n’arrivons pas à nous mettre d’accord dans une circonstance donnée.

Garder les bagarres pour ce qui vaut une bagarre

Vous devez pouvoir mesurer ce qui est important dans votre couple et insister lorsque cela semble nécessaire. Mais pour les petites choses qui, en réalité, n’en valent pas la peine, ne vous irritez pas. Ne vous disputez pas pour des broutilles ; ne vous affrontez que pour des sujets réellement importants.

Mais d’un autre côté, il ne faut pas non plus laisser s’accumuler les petits renards au point qu’ils deviennent un gorille. Sachez parler calmement et laissez votre conjoint s'exprimer. Nous pouvons être en désaccord sans être désagréables.

« Les petits renards » disparaîtront devant notre amour et notre respect l’un pour l’autre.

« Recherchez non pas la beauté que donne une parure extérieure ... mais celle qui émane de l'être intérieur : la beauté impérissable d'un esprit doux et paisible, à laquelle Dieu attache un grand prix ... Vous de même, maris, vivez chacun avec votre femme en faisant preuve de discernement : elles ont une nature plus délicate. Traitez-les avec respect : elles doivent recevoir avec vous la vie que Dieu accorde dans sa grâce. Agissez ainsi afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières. » (1 Pierre 3 : 3, 4, 7, Bible du Semeur)

Le compromis

En savoir plus...

Comment faire face aux “clashs” dans le couple

argument-238529 1280Quelqu’un a demandé : « Savez-vous où dort un gorille de 250 kilos ? » La réponse : « Partout où il veut dormir. »

Or, on sait que la Bible dit : « Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes ... » (Cantique des Cantiques 2 : 15). Dans le mariage, les petites choses ruinent souvent tout.

Mais il y a aussi ces gorilles de 250 kilos qui menacent notre couple et qui s’imposent pour essayer de le détruire..

« Non, le monde n’est pas comme ça ! »

Votre manière de voir le monde peut être une entrave à une bonne entente dans votre couple. Il existe un mot précis qui exprime cette idée en anglais : « worldview ». Il peut également se traduire en allemand par le terme suivant : « Weltanschauung ».

Ces mots désignent la manière particulière dont chacun d’entre nous voit et interprète le monde. Cette vision est formée par notre personnalité, nos parents, notre culture, nos propres expériences, ainsi que par beaucoup d’autres éléments.

Rappelons un point essentiel à ce sujet : nous ne trouvons pas deux personnes qui portent exactement le même regard sur le monde. Même après cinquante ans de mariage, nous ne voyons pas tout à fait le monde comme notre partenaire.

Quand nous nous sommes mariés, les parents de mon épouse ainsi que l’environnement de son enfance et de son adolescence influençaient beaucoup sa manière de voir le monde.

En revanche, ma façon de réfléchir était formée par la vérité, la réalité, et tout ce qui est juste, pur et vrai. Du moins, c’est ce que je croyais…

En savoir plus...

Suite: Etre rempli de l’Esprit, ce n’est pas difficile

2015-12-16 19.47.01

Objections

(voir la premiere partie de cet article: http://www.victoiremagazine.fr/k2-categories/item/267-etre-rempli-de-l-esprit-ce-n-est-pas-difficile

6. « J’ai peur de marcher selon la chair et de recevoir du diable une fausse langue ».

D’abord, cette assertion montre un exemple de foi négative et vous vous placez en position d’échec quand vous dites que le diable va vous tromper.

Cela contredit la nature même de Dieu : pourrait-Il permettre que vous soyez dupé en recevant du diable un don que vous Lui demandez à Lui, Dieu ?

C’est aussi une position anti-scripturaire. Jésus dit : « Quel est le père parmi vous qui donnera un serpent à son fils s’il lui demande un poisson, ou un scorpion s’il lui demande un œuf ? Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste ne donnera-t-Il pas le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent » (Luc 11:11.)

Si notre père terrestre sait donner de bonnes choses à son enfant, alors certainement notre Père céleste nous donnera ce qui est le meilleur pour nous.

Si un père terrestre ne trompe pas son enfant en lui donnant autre chose que ce qu’il lui demande, notre Père céleste ne permettra pas que nous recevions autre chose que ce que nous Lui demandons.
Dieu ne nous donne rien de falsifié. Quand vous recherchez Jésus pour être baptisé dans le Saint-Esprit et que vous avez à cœur de dire certains mots, croyez que Dieu ne permettra pas au diable de vous donner une contrefaçon.

Le Saint-Esprit fait pénétrer en vous les mots d’une autre langue et vous recevez ce que vous avez demandé. Gloire à Dieu !

7. « Je pense que je n’ai pas la foi pour recevoir ».

Chaque fois que vous dites cela, vous êtes vaincu avant même d’avoir commencé.

Vous avez la foi.

L’apôtre Paul dit dans Romains 12 :3 : « Je dis à chacun de ne pas avoir de lui même une trop haute opinion, mesurant votre valeur selon le degré de foi que Dieu vous a donné ». Dans ce passage, Paul parle de la responsabilité du chrétien à l’égard de Dieu (Romains 12 :1-2) et à l’égard de la société (Romains 12 :3 -21).

Il rappelle à ses lecteurs que Dieu n’a pas donné la foi aux chrétiens pour leur bénéfice personnel mais pour Lui et pour les autres.

La foi doit être entretenue en regardant à Jésus (Hébreux 12 :2,) en lisant la Bible et en écoutant la Parole de Dieu annoncée (Romains 1 :17).

L’écoute de la Parole suscita la foi chez Corneille et les autres Gentils lorsque le Saint-Esprit tomba sur eux.

Luc écrit : « Le Saint-Esprit descendait sur tous ceux qui écoutaient la parole » (Actes 10 :44). La Parole anima leur foi. Croyez ce que dit Dieu. Ne croyez pas ce que vous n’allez pas recevoir !

Répétez les promesses de Dieu encore et encore, non seulement dans votre esprit mais aussi tout haut.

En savoir plus...
S'abonner à ce flux RSS