Menu
RSS
Bob Marley ou Jésus ?

Bob Marley ou Jésus ?

« … en quelques mois...

Principes pour vaincre le péché sexuel

Principes pour vaincre le péché sexuel

Richard Exley traite le...

Joyce Meyer: guérit de l'horreur de l'abus sexuel

Joyce Meyer: guérit de l'horreur de l'abus sexuel

Joyce Meyer a été désigné...

Prev Next

Deux choses qui m'embêtent

 7eb3406d-598b-4ef2-b3a0-3054929321d5-fotor-20240503114914

Deux choses qui m'embêtent

Je vais vous raconter deux choses qui m'irritent au plus haut dégré.

La première est quand je suis en retard. Je me précipite dans la ville de Reims, essayant d'arriver à l'heure à la réunion. Il semble qu'il y ait 40,000 feux tricolores qui poussent du béton et 39,999 brillent rouge quand ils me voient approcher.

L'autre est jaune, changeant en rouge juste avant que j'arrive.

Dans ma Peugeot, je suis tout agité : " Pourquoi tous ces feux rouges ? Qui mettrait un feu rouge juste là ? Il n'y a qu'une voiture par jour qui vient de cette petite rue à coté. Je parie qu'ils le font pour nous ralentir " ! La montre au-dessus du tableau de bord s'accélère.

Finalement, il y a une occasion d'aller un peu plus vite et seulement une voiture devant. Je peux gagner un peu de temps. Mais lui ! Il roule à cinq kilomètres par heure en-dessous la limite de vitesse. " Ai, yi, yi ! Que faites-vous, mon pote ? Vous croyez que c'est une promenade du dimanche ? (Enfin, c'était le dimanche). Ne savez-vous pas qu'il y a des gens qui doivent être à l'heure ? C'est une rue, pas un parc public " ! (Je pense cela mais je ne le dis pas parce que je risque de le voir plus tard dans l'assemblée. Il sera peut-être plus disposé d'écouter l'évangile si je ne l'ai pas insulté avant).

Lui, est-il gêné ? Pas du tout. Il continue sa progression sans soucis et moi en train de piquer une crise nerveuse derrière lui. Il apprécie l'architecture de notre belle ville et les oiseaux aussi. Il écoute sans doute de la musique classique. Ma tension sanguine s'élève comme je regarde la montre courir vers l'heure du rendez-vous.

Enfin, j'arrive à la réunion--à l'heure--après ce qui semblait des années de stress. Et ils commencent dix minutes en retard.

Et la deuxième chose qui me tracasse ?

C'est le dimanche. Je pars bien avant l'heure pour être un peu en avance pour la réunion. Je roule tranquillement dans la ville, le coeur plein de joie et sérénité, écoutant une belle musique. J'apprécie le beau soleil et la vie en générale quand tout d'un coup…...

...…tout d'un coup je regarde dans le rétroviseur et je vois cet idiot collé à ma parechoc par derrière. C'est évident qu'il est pressé et je ne roule pas assez vite pour lui. Il essaie de me doubler mais c'est impossible (" C'est la ville, espèce d'andouille ! Vous ne pouvez pas doubler ").

Il me colle comme le chewing gum colle à ma chaussure. Ma tension de sanguine s'élève. J'oublie la belle musique. Je lui lance des regards méchants par la rétroviseur.

Honnêtement, le monde serai mieux avec un peu de patience (et si je partais quelques minutes plus tôt). Enfin, Dieu nous partage un petit secret. Il estime tellement la foi patiente qu'il permet que nous tombions dans des situations où la foi patiente grandira. Ces expériences n'incitent pas toujours de bons résultats des examens de la  tension du sanguine si vous n'avez pas appris à vous relaxer et lui faire confiance.

Ecoutez ce qui dit Eugène Peterson : " Il y en a encore : Nous continuons de crier notre louange même quand nous sommes coincés par les troubles, parce que nous savons comment des troubles peuvent développer la patience passionnée en nous, et comment cette patience forge le fer trempé de vertu, nous gardant toujours alertes pour ce que Dieu fera prochainement. Dans une telle anticipation nous n'avons jamais le sentiment de manquer quelque chose. Au contraire-nous ne pouvons pas trouver assez de conteneurs pour contenir tout ce que Dieu répand généreusement dans nos vies par l'Esprit Saint " (Romains 5 : 3,4, version Le Message).

La vie colle t-elle à votre parechoc derrière maintenant ? Au lieu d'exploser de stress pourquoi pas : a) prendre un jour de congé et aller ailleurs pour regarder un peu autres choses ; b) regarder profondément la Parole de Dieu pour constater ce que Dieu a promit à son peuple dans des situations difficiles ; c) commencer de le louer et lui dire qu'il est votre abri, votre calmant, et Celui qui t'aidera à coup sûr.

Faites cela, même quand vous n'en avez pas envie et juste derrière vous la vie fait " biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip " sur son klaxon. Ralentissez et croyez au Seigneur Jésus.

Quand vous regardez vers Lui au lieu de regarder dans le rétroviseur à ce problème qui vous serre de près, la vie change. La belle musique de louange sort de la radio et vous voyez des oiseaux et la belle architecture en passant dans la vie.

A propos, si vous serrez quelqu'un de près dans votre impatience-détendez-vous ! Vous n'aimez pas que les autres vous le faites . Ne le faites pas aux autres. (Souviens-toi de cela le dimanche prochain, David).

En savoir plus...

Délivré de la colère contre son père

Une fois, Claude Huot est allé dans la rue avec un ami pour inviter les gens aux réunions spéciales d’évangélisation à Pont à Mousson, près de Nancy. L’ami a remarqué à quel point cet homme d’une cinquantaine d’années a l'époque, s’animait quand il parlait de Jésus-Christ avec les jeunes et les ados dans la rue. Mais quand vous connaissez son histoire, sa passion ne vous étonne pas ...

john-and-yoko-1087206 640Du haut de ses 15 ans, Claude regardait les hippies dans la rue. Ils se fichaient du monde des adultes et avaient créé une contre-culture propre à eux. Cette confrérie de jeunes dans les années 60 et au début des années 70 ne faisait plus confiance à « l’establishment ».

« Je voyais les hippies dans la rue - cheveux longs, sac à dos, concert de pop musique - et je ne rêvais que de cela » dit-il.

Claude était l’aîné des cinq enfants de la famille Huot habitant Montbéliard. Il était profondément frustré à cause de conflits permanents avec son père. « Quand j’avais 15-16 ans je voulais déjà partir vivre dans la rue parce que je trouvais la vie à la maison tellement difficile, avec un père qui ne pensait qu’à travailler. »

C’était sa mère qui devait s’occuper des enfants, pour la plupart, et les jeunes en ont bien profité. Mais, quand papa rentrait à la maison , maman lui disait les bêtises qu’ils avaient faites.

« C’était alors des coups qui pleuvaient. Pendant des années ma relation avec mon père se limitait à des conflits, voire même à de la violence parce que régulièrement il débouclait son ceinturon pour me prouver son amour paternel. »

Alors Claude quitta le foyer familial. Vous l’auriez reconnu dans la rue à son look un peu spécial—cheveux longs, pieds nus, jeans déchirés, etc. « Ce n’était pas Coco Chanel » dit-il.

Sa mère n’a pas facilement accepté son départ. Elle grondait son mari pour le manque d’affection pour son fils et elle parcourait les rues pour essayer de trouver Claude et lui acheter quelque chose à manger.

Mais ce n’était pas tout : « C’était une maman qui pleurait souvent, mais elle pleurait dans sa chambre en priant » dit Claude. « Elle croyait en un Dieu, mais elle n’avait pas la notion de l’Evangile qu’elle possède aujourd’hui. Un jour elle est sortie de sa chambre de prières, en pleurs et dit à son mari et aux autres : ‘‘Un jour vous verrez mon fils changera et il reviendra à la maison. Il ne sera pas habillé comme maintenant - les jeans déchirés, les cheveux longs. Il aura un costume et une cravate. Dieu va le changer.’’ »

Tout le monde se moquait d’elle.

Mme Richard

Peu de temps après cette expérience, Claude 18 ans, était assis à la table du café Mulhouse de Montbéliard lorsqu’une femme d’une soixantaine d’années entra : Mme Richard, la directrice d’une école dans la ville.

« Elle s’est assise en face de moi et elle m’a appelé par mon prénom, quelque chose qui m’a étonné. » se souvient Claude.

« Comment connaissez- vous mon prénom ! »

« C’est Dieu qui me l’a dit. »

« Cette femme m’a expliqué que le Seigneur l’avait envoyé me parler spécialement. » Elle faisait la sieste chez elle, un mardi après-midi et le Seigneur lui avait parlé en disant d’aller au Café de Mulhouse. « Là tu rencontreras un jeune qui se prénom Claude. Tu lui parleras de l’amour de Dieu et du plan de Dieu pour sa vie. »

Claude était ébahi : « Quelqu’un qui ne me connaissait pas a été envoyé par Dieu pour m’interpeller et me parler du message de l’Evangile !

« A l’époque j’avais des visions du fait de la drogue que je consommais, mais avoir affaire à quelqu’un ayant des visions, indépendamment de toute consommation de drogues, et encore mieux des révélations de Dieu, ça chamboulait les choses qui se trouvaient au fond de mon coeur. »

Le jeune homme était un peu sonné. Il partit vagabonder en Turquie, Grèce et dans les Iles, mais quelque chose tournoyait à l’intérieur de lui-même. Des questions lourdes se posaient. Il revint quelques semaines après en France avec le désir de changer de vie.

Il alla alors chez les Richards et cette deuxième rencontre l’a amené directement à une décision qui donna à sa vie une réorientation à 180 degrés.

« C’est un message qui m’a percuté, m’a fait réfléchir ... avant de faire une expérience personnelle avec le Dieu de l’Evangile, je n’étais pas incroyant. Je croyais que Dieu était quelque part dans son ciel s’occupant de grandes choses, mais il ne pouvait pas être soucieux de ma personne, de ma manière de vivre. »

Claude a mis sa confiance en Jésus pour le pardon de ses péchés et prit un nouveau départ dans la vie. Il commença à étudier la Bible et à prier. Il était régulièrement aux réunions de l’église évangélique de Montbéliard et chez la famille Richard. Il y avait toute une bande de jeunes qui vint au Seigneur durant la période où Claude fit son expérience.

Surprise Bouleversante

En savoir plus...
S'abonner à ce flux RSS