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Bob Marley ou Jésus ?

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Joyce Meyer: guérit de l'horreur de l'abus sexuel

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Une fille revient des morts

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‘Célibataire’ ne rime pas avec ‘misère’ !

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Quand vous rencontrez quelqu'un du Cambodge, il vous demande souvent : « De quel pays venez-vous ? Combien d'argent gagnez-vous ? Avez-vous une femme et des enfants ?

 

Je réponds : « Je viens de la France, Je gagne assez pour vivre. (Je ne crois toujours pas que c'est leur affaire combien je gagne) et je suis célibataire.

 

Quand ils entendent que je n'ai pas de famille, soit ils disent : « Je ne vous crois pas » ou ils rient, pensant que c'est une blague.

 

Avant de venir au Cambodge, je n'ai jamais travaillé avec autant de célibataires. Je sais que le célibat n'est pas facile pour tout le monde. Certains des célibataires que j'ai connu sur le champ missionnaire luttent parce qu'ils sont seuls et ils désirent quelqu'un avec qui ils peuvent partager leur vie.

 

Je vous dirai comment cela a été pour moi : le fait d'être célibataire n'a jamais été un fardeau. Je ne me lève pas le matin en me disant : « Je ne peux pas croire que je suis toujours seul ! C'est terrible ; je vis toujours tout seul dans cette maison !»

 

J'ai 37 ans, (Nb : à l’époque que l’article a été écrit), je suis célibataire et je suis content.

 

J'ai un frère. II s’est marié assez jeune. Je ne crois pas que Marc aurait pu rester célibataire et le Seigneur le savait. Lui et Rachel ont quatre merveilleux enfants. Mon frère a 39 ans, Il est marié et heureux.

 

Des fois, je plaisante avec mon frère lui disant que s'il a quatre enfants, lui, j'en ai des dizaines ... dans les bas quartiers et les rues de Phnom Penh ! (la capitale)

 

Je ne crois pas que les couples mariés sont plus heureux que les célibataires ni les célibataires plus heureux que ceux qui sont mariés.

 

Si vous êtes la personne que Dieu veut que vous soyez, vous serez épanoui.

 

Si vous êtes célibataire et si vous croyez que c'est bien pour vous, ne laissez pas la pression de votre famille, vos amis, votre église ou votre culture essayer de faire de vous ce que vous n'étiez pas destiné à être.

 

II y a pas mal d'écritures bibliques qui nous encouragent de nous marier et pas mal qui nous encouragent de poursuivre le célibat. L'un n'est pas mieux que l'autre.

 

Nous connaissons les bénédictions qui viennent quand on partage sa vie avec un autre, surtout quand les deux servent le Seigneur ensemble.

 

Voilà quelques-unes des bénédictions que j'ai eu en étant célibataire :

 

-Beaucoup de liberté dans le service pour le Seigneur. Je n'aurais pas pu voyager dans des pays étrangers, prêchant sur tous les six continents, voyageant parfois durant des mois, si j'avais eu une épouse et des enfants à la maison. Et je ne suis pas obligé d'être chez moi tous les jours pour le déjeuner ou à 18h le soir.

 

-J'ai beaucoup de temps. Un ami missionnaire qui est marié et content et a de beaux enfants m'a dit : « Le jour où je me suis marie, j'avais 50 % moins de temps pour le ministère. » II n'a pas de regrets, mais il sait qu’il ne peut plus faire tout ce qu'il faisait dans le temps.

 

Aux USA, j'ai un ami, Dave, qui a maintenant presque 70 ans. II est célibataire pour toute sa vie. Dave, qui vit dans l'état d'Utah, a eu un ministère pour des milliers de gens qui se sont laisses attrapés dans le filet du Mormonisme. II a vraiment fructifié sa vie.

 

Pour certains qui sont tellement passionnes par leur appel, leur vision, le célibat est parfois la meilleure option.

tpatIl y a aussi des défis au célibat :

Il y a aussi des défis au célibat :

- Vous n'avez personne avec lequel vous pouvez partager votre cœur à la fin de la journée (Heureusement, le Seigneur a pourvu à de bons 'frères ainés’, des hommes d'intégrité qui m’ont encouragé et qui m’ont donné de sages conseils.)

-Étant avec une femme célibataire pour une réunion ou conduisant une célibataire chez elle, je dois faire attention à moi-même (les tentations ne meurent pas sur le champ missionnaire !) Je dois faire attention que je ne donne pas un message incorrect à la fille et aussi faire attention que les voisins et les gens de la ville qui me connaissent ne soupçonnent pas un mauvais comportement de ma part.

Après onze ans au Cambodge, travaillant pour la plupart du temps avec des femmes célibataires, j’apprends toujours comment établir des limites et marcher comme il le faut devant Dieu.

Elle manquait son appel

Dans les années 50 quand ma mère était infirmière en Angleterre, elle a reçu un appel d’être missionnaire en France. Elle avait une amie, aussi une célibataire, qui avait un fort appel d'être missionnaire en Inde.

Maman est allée en France avec la mission WEC où elle a rencontré Papa. Son amie a rencontré un gentil chrétien qui n’avait aucune idée de quitter l’Angleterre pour un pays étranger. Ils se sont mariés, ont eu une famille, et acheté une maison. L’amie de ma mère n’est jamais allée en Inde.

Elle a servi Dieu toute sa vie, mais elle n'a jamais commencé le travail pour lequel Dieu l'a préparée.

Il y a quelques années de cela, je me souviens d’avoir prié avec une célibataire à la fin d'une réunion de jeunesse en France. Elle me parlait comment Dieu lui avait donné à cœur de servir parmi les filles vendues en esclavage en Inde.

À la fin de la prière, avec des larmes aux yeux, elle a dit : « Mais, mon petit ami, aussi un Chrétien, n'aucun désir de partir en Inde. » J'ai pensé à l’amie de ma mère et me suis demandé si cette fille chrétienne allait jamais servir Dieu en Inde.

Si Dieu vous a appelé, ne permettez à personne ni quoi que ce soit de vous empêcher d'entrer dans sa volonté pour votre vie. Vous n'avez qu'une seule

Vie. Ne la gaspillez pas.

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Comment se connecter avec Dieu ?

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La question la plus importante de toutes les questions est celle-ci : « Où vais-je passer l’éternité ? »  Et une deuxieme question qui va avec: "Comment se connecter avec Dieu?"

Dieu dit dans sa Parole, la Bible : " Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du cœur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent."

"Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romains chapitre 10:9-13)

Dieu demande deux choses : la repentance de nos péchés, c’est-à-dire, nous Lui demandons pardon pour l’avoir offensé et nous nous tournons de nos péchés vers Lui pour le suivre. Puis, croire ! Croire que le Fils de Dieu, Jésus, est mort à notre place pour payer le prix que nos péchés demandaient. Croire que, si vous criez vers le Seigneur, vous serez sauvée.

Vous recevrez le don de la vie éternelle. Vous serez vraiment un enfant de Dieu. Jésus est vraiment vivant. Dieu son Père l'a ressuscité d'entre les morts. Il est avec son Père et Il entend nos prières. Nous sommes acceptés par Dieu à cause de ce que Jésus a fait.

L'experience de John


Un ami, John, a fait cela. Voilà son expérience :

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Comment Pardonner les assassins de votre famille ?

Graham Staines and family

Interview Gladys STAINS    

Juste après minuit, le 23 janvier 1999 le missionnaire australien Graham STAINS, 58 ans, et ses deux fils, Philip, dix ans, et Timothy, six ans, dormaient dans le break familial.

Ils assistaient au « Camp Biblique du Jungle » près du village de Monoharpur dans l’état d’Orissa en Inde.

Soudain, les cris d’un gang violent les ont réveillés. Les hommes en colère ont entouré leur voiture et ils ont brûlé vif Graham et ses deux fils dans la voiture. Plus tard on a trouvé leur corps sans vie serrés dans les bras les uns des autres.

M. Stains avait travaillé presque 35 ans en Inde en aidant les pauvres, les illettrés et surtout les lépreux. Certains groupes d’Hindous radicaux l’ont accusé d’avoir obligé des gens à devenir Chrétien. L’activiste Hindous Dara Singh a été accusé pour les meurtres.

Sa femme Gladys et sa fille Esther, 13 ans au moment des attaques, ont survécues. Selon Wikipedia: "She continued to live in India caring for leprosy patients until she returned to Australia in 2004. In 2005 she was awarded the fourth highest civilian honor in India, Padma Shree, in recognition for her work with leprosy patients in Odisha."

Gladys Stains a été à Chateau-Thierry et nous avons eu l’occasion de l’interviewer.

Interview faite pour Victoire par Alain Blin-nouveau


Victoire : Comment faire son deuil, est-ce possible ?

Gladys : Cela peut prendre du temps, il faut faire face au choc, à la haine. Je dois dire que la prière et le soutien de très nombreux frères et sœurs dans la durée ont été extrêmement importants. Dieu  a été et reste mon appui indéfectible.

... il m’arrive d’être triste, mon mari et mes enfants me manquent, de toute façon même sans que je sois en Inde, Graham, Timothy et Philip sont toujours avec moi, j’ai appris à vivre sans eux, mais ils sont à jamais dans mon cœur (il y a des dates, les anniversaires de mes fils, par exemple qui sont des moments difficiles). J’y fais face avec la consolation du Seigneur.

Victoire : Comment pardonner ?

Gladys : C’est une chose impossible sans la grâce de Dieu.

En fait, sans que je le sache, il m’y avait préparée, avant cette épreuve. Quelque temps auparavant en lisant le passage dans lequel Abraham offre ce qu’il a de plus cher, son fils Isaac, Dieu m’avait montré que ce qu’il y avait de plus cher pour moi sur cette terre en mon cœur pouvait m’être enlevé.
Lorsque ce drame est arrivé, même si intérieurement j’étais effondrée, j’ai tout de suite su que je ne voulais pas que l’amertume ronge mon cœur. Nous avions reçu un appel pour servir le Seigneur en Inde et notre désir à tous était qu’Il se glorifie au travers de nos vies.

Le fait que j’ai pu pardonner rapidement pourrait donner de moi une fausse impression de dureté, il n’en n’est rien, je me suis simplement abandonnée entre les mains de Dieu. La douleur était indicible, mais la fidélité de Dieu et son amour ont été encore plus grands.

Il fallait aussi que je soutienne Esther notre fille qui est restée en dépit des circonstances attachée au Seigneur. Dans une telle situation il faut également réaliser que la question « pourquoi ? » ne mène nulle part, c’est une voie sans issue.

Victoire : Et votre relation avec l’Inde, vos projets ?

Gladys : Aujourd’hui, même si les enfants et Graham sont enterrés en Inde, qu’un hôpital portant le nom de mon mari a été fondé, si je suis encore à ce jour secrétaire de la mission et si je continue d’aimer les gens de ce pays, je sens au fond de mon cœur que l’Inde n’est plus ma maison.

Je visite l’Inde, je n’y vis plus, une nouvelle page est en train de s’écrire, je ne sais pas encore où Dieu conduira mes pas, pour le moment je sillonne le monde pour partager mon expérience du pardon, je sais également que cela n’aura qu’un temps, car j’ai d’autres choses à vivre et à partager pour l’avenir.

Depuis 2004 je vis en Australie où j’ai pu soutenir ma fille Esther pendant ses années à l’Université.
Aujourd’hui elle a 25 ans, elle termine ses études de médecine et vient de se marier, ma présence à ses côtés ne doit plus être la même.

Ma profession d’infirmière exige une remise à niveau de mes compétences, alors rester en Australie et exercer mon métier, écrire un livre, ou me tourner vers un approfondissement de la Parole pour l’enseigner ….. J’attends une réponse de mon Seigneur.

Victoire : Comment vous est venu le désir de la mission ?

Gladys : Petite fille, j’écoutais maman me lire des livres racontant la vie des missionnaires, il lui arrivait souvent, saisie par le Saint-Esprit de pleurer en lisant, et cela m’a profondément marquée.
Une fois elle a lu un article sur une femme qui avait créé une maison pour les veuves et les pauvres en Inde, je me souviens l’avoir vue pleurer sur cette situation.

Ces histoires des missions faisaient également partie enfants, de nos lectures à l’école du dimanche.

A l’âge de 13 ans j’ai pris conscience que je devais donner mon cœur à Jésus. Au cours de la session missionnaire d’une convention chrétienne, 5 ans plus tard, j’ai répondu à un appel de Dieu, je me suis avancée et j’ai publiquement fait part de ma décision de Le servir en mission, décision qui bien entendu incluait le choix de mon futur conjoint.

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Photo: Unknown Original uploader was Kijacob at en.wikipedia - Transferred from en.wikipedia; transferred to Commons by User:Josve05a using CommonsHelper. (Original text : http://varunslife.blogspot.com/2008/08/past-revisited.html & http://im.rediff.com/news/2011/jan/21sld3.jpg and many other sources.)

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Il me le faut maintenant !

Roger Lewis

Durant les années 1960, le psychologue Walter Mischel a mené une expérience avec des enfants de quatre ans. On appelle maintenant cette expérience « le test guimauve. » L'objet de l'exercice était de déterminer la capacité de chacun des petits d’attendre la gratification.

Chaque enfant a eu une guimauve. Soit il la mangeait de suite , soit il attendait le retour du chercheur vingt minutes plus tard, attente récompensée par deux guimauves.

Certains enfants ne pouvaient pas attendre. Ils ont englouti la guimauve immédiatement. Les autres luttaient pour ne pas la manger. Ils ont couvert les yeux, ils se sont parlé à eux-mêmes, chanté, joué, ou même essayé de dormir. Ceux qui tenaient le coup ont été récompensés par deux guimauves quand le chercheur est revenu.

Douze à quatorze ans plus tard ils ont de nouveau évalué les mêmes enfants. Les différences étonnaient les chercheurs. Ceux qui avaient été capables de contrôler leurs désirs et attendre la gratification en tant qu'enfants de quatre ans, étaient plus efficaces socialement et personnellement à leur adolescence .

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Des astuces pour rester fort dans un tsunami de tentation !

Parfois il semble que nous vivons dans un monde noyé dans un océan de tentation sexuelle. La société se moque des tabous du passé. Pire, ils se moquent des conseils clairs de la Parole de Dieu.

Un chrétien qui désire rester pur jusqu’au mariage se trouve parfois la risée des amis de classe. Une célibataire qui ne « s’éclate » pas de temps à l’autre est considérée un peu bizarre.

C’est déjà difficile quand on est marié, mais quand on est célibataire la situation se complique encore.

Comment rester pur et plaire à notre Seigneur, que nous aimons plus que la vie, quand il semble qu’il y a des tentations qui nous guettent à chaque coin de la rue et à chaque poste de télévision ou d’ordinateur ? Y a t-il des stratégies pratiques que nous pourrions mettre en place ?

Nous avons posé cette question et les réponses des lecteurs nous ont touché. Les réponses viennent des nouveaux chrétiens aussi bien que des « vieux routiers ». La plupart sont célibataires, mais quelques mariés ont partagé leur expérience. Voici des extraits de leurs réponses :

Une jeune femme dans la trentaine nous conseille :

« La plus grande difficulté n’est pas de rester pure physiquement mais bien dans ses pensées, car c’est là que peut être la source de départ de l’acte.

« La plus grande richesse et force est de rester honnête avec soi-même et avec Dieu. De ne pas cacher sa souffrance, de ne pas faire le ou la spirituelle. Quand cette souffrance vient « je vide mon sac devant Dieu. » Il entend tout ce que j’ai sur le coeur sincèrement et Lui vient à sa façon m’entourer, me rappeler qu’Il est là et que j’ai oublié qui Il est pour moi….

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Comment déminer les conflits dans le couple

par Denis et Nathalie Biava

Bien que nous soyons mariés depuis 20 ans, il nous arrive encore de ne pas être d'accord. Dans la plupart des cas, cela n'engendre aucun conflit. Cependant, il arrive (rarement heureusement) que l'ambiance soit un peu moins romantique !

Comme par exemple cette fois où , sur l'invitation d'un pasteur, je devais prêcher lors d'une réunion de jeunesse, et ce même soir, ma fille, avait une audition de musique. Certes, ma femme était avec elle mais nos enfants ont aussi besoin qu'on leur montre de manière pratique notre intérêt et notre amour à leur égard.

J'avais promis à ma femme d'être à l'heure pour assister à l'audition. Je suis certain qu'elle a dû faire un effort pour croire que cela allait se réaliser.

La rencontre s'est terminée à une heure raisonnable pour me permettre de me rendre à l'audition ; cependant, pris par les discussions et la joie de retrouver plusieurs, ma mémoire a fait défaut et j'ai oublié le rendez-vous promis…

Je me suis rendu à l'audition tardivement, elle était presque terminée. Alors j'ai commencé à réfléchir sur la situation en préparant ma défense, car dans mon for intérieur je me savais coupable.

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Enfant difficile: désobéissant, insolent, et pire encore

boy-297231 640Les jeunes parents sont souvent désemparés devant le comportement de leur enfant, et ne savent pas comment réagir. Concernant l’éducation, nous avons recueilli les conseils et réflexions de plusieurs personnes au travers d'interviews, de témoignages, etc. ...

Nous croyons que cela apportera un éclairage sur ce sujet, disons-le, vital !

« En l'espace de quelques mois, après la naissance de sa petite soeur, notre fils a radicalement changé. Turbulent de nature, mais sans soucis à l'école, il s'est mis à ne plus rien faire, à ne plus obéir » nous confie une jeune mère.

« II a commence à avoir des idées morbides et ne parlait que de mort. Nous ne comprenions pas ce qui se passait, d'autant plus qu'il fréquentait régulièrement le club du dimanche. Désobéissant, insolent et, pire, du haut de ses cinq ans, il levait la main sur moi et brutalisait sa petite soeur de trois ou quatre mois.

« C'était très difficile. J'ai connu une période de détresse ou je priais lorsque j'étais seule, demandant de l'aide au Seigneur afin de corriger mon fils et de ne pas avoir d'excès de violence en cas de « ras le bol ».

« J'ai réussi a me contrôler pendant des mois puis un jour il m'a bousculé alors que je le disputais. J'ai perdu tous mes moyens et je l'ai gifle tellement fort que tout son coté gauche fut bleu pendant quelques jours. Alors j'ai culpabilise et j'ai réalisé que cette gifle ne changerait rien et que seul le Seigneur pouvait régler cette situation. Je me sentais seule et incomprise. J'ai prié et j'ai été conseillée par des soeurs en Christ.

Une solution trouvée

« La maitresse nous a conseillé d'aller voir un psychologue pour enfant, ce à quoi nous n'aurions jamais pense. Après de brèves séances, il est ressorti que notre fils entretenait une jalousie vis-à-vis de sa soeur, après cinq années de vie de fils unique. La connaissance de ce fait et surtout la grâce de Dieu nous ont permis d'adopter un comportement diffèrent, adapté à cette situation (davantage de surveillance, d'attention, de tendresse....). Beni soit le Seigneur ! Maintenant, tout est rentré dans l'ordre.

brown-304685 640« Depuis septembre, mon fils est devenu un petit garçon qui connait les limites a ne pas dépasser, qui se conduit très bien avec sa soeur et qui m'aide a la maison. II a beaucoup plus de respect envers moi et les autres. II est actuellement en CP a l'école et tout va bien.

« Je sais que le Seigneur a fait son ceuvre dans son coeur et j'ai vu un changement complet en dix huit mois - un temps qui m'a paru une éternité. J'ai moi-même évolué dans ma vie de maman ainsi que dans I'education de mes enfants, que je ne fais pas seule d'ailleurs, car il y a un papa qui lui aussi apporte son amour »

Dans l'éducation des enfants, nous devons admettre qu'il n'y a pas de

« professionnel » en la matière. Nous aimons nos enfants et nous souhaitons le meilleur pour eux. Nous n'avons pas la prétention d'apporter des solutions toutes faites, mais au travers de témoignages et d'interviews, nous souhaitons vous donner des pistes de réflexion, vous permettre d'éviter des erreurs

« communes » et vous encourager a garder les valeurs fondamentales que le Seigneur nous a données concernant l'éducation et la famille. Proverbes 15:20 ;

« Un fils sage fait la joie de son père, et un homme insensé méprise sa mère."

Une institutrice s'exprime

Voici l'interview d'une institutrice, qui fait le constat de l'éducation laïque dans notre société :

Victoire : Depuis combien de temps exerces-tu dans l'enseignement ?

Géraldine P. : Depuis 30 ans maintenant, 3 années pour le primaire et 27 pour la maternelle.

Victoire : Tout d'abord, quels changements notoires en matière d'éducation as-tu constatés entre le début de ta carrière et aujourd'hui ?

Géraldine : Par exemple, les enfants -mais aussi les parents- n’ont plus le même respect qu'auparavant envers l'instituteur. D'autre part, l'adage des enfants est aujourd'hui : ' ce que je veux, quand je veux et comme je veux ' !

En outre, nous remarquons surtout un manque de persévérance ; ils ne vont pas au bout de leur travail. Les parents se déchargent sur les instituteurs. Voici une anecdote qui m'a été rapportée par une collègue :

Dans la rue, elle a croisé un élève et sa maman. La maman lui a dit bonjour mais pas l'enfant et, un peu plus loin, elle entend la mère dire a son fils : « Pourquoi n'as-tu pas dit ‘bonjour’ à la maitresse ? Mais qu'est ce qu'on t'apprend à

l'école ? » Cela est significatif...

Victoire : Peux-tu citer quelques anecdotes révélatrices de l'éducation d'aujourd'hui ?

Géraldine : Voici deux exemples où l'éducation fait la différence. Un enfant ne voulait plus venir à l'école car il peinait à terminer un travail. Les parents sont venus me voir en me demandant de le laisser et de ne pas l'obliger s'il ne voulait pas. Dans l'autre cas, la maman a demandé des explications, a sermonné l'enfant,

qui a réussi a finir le travail.

Victoire : Une fois les enfants au primaire, y a-t-il des changements d'attitude (davantage de respect, de docilité...) ou non ? Quels sont les échos chez les enseignants du primaire ?

Géraldine : Globalement, les comportements ne changent pas. Cela empire même ! II y a besoin de l'aide des parents, sinon, on subit.

Victoire : Si tu avais quelques conseils  donner aux parents du fait de ton expérience au milieu des tout-petits, quels seraient-ils?

Géraldine : Premièrement, je dirais aux parents qu'il faut éduquer les enfants, l’école prolonge l’action mais elle ne fait pas le travail à la place parents. Cette éducation doit comporter le respect (des autres, du matériel,...), les règles de politesse, les notions du bien et du mal. Deuxièmement, je les encouragerais a surveiller le temps passe devant la télévision, ainsi que le contenu des émissions, cassettes et autres DVD ».

Le conseil de cette institutrice nous interpelle et nous permet, en tant que parents Chrétiens, de nous situer.

Un autre avis

Pour voir le sujet sous un autre angle, nous avons interrogé un couple, Salvatore et Anna Polito. Lui est pasteur, mais ils sont aussi parents, avec les mêmes défis que tout le monde.

animation-1296889 640« Quand nous enseignons la politesse, le respect, etc ... nous devons être des exemples pour nos enfants en les pratiquant nous-mêmes dans notre vie quotidienne. » avouent-ils. « Notre vie personnelle doit être un modelé pour eux, un tuteur grâce auquel leur vie va pouvoir se calquer pour grandir bien droit. II en va de leur équilibre psychologique et moral. Ce sont les parents qui éduquent les enfants, et non l'école, l'église ou les amis.

« D'autre part, les enfants sont de petits filous » constatent-ils. « Lorsqu'ils n'obtiennent pas de l'un des parents la réponse désirée, ils s'empressent de solliciter l'autre parent avec l'espoir d'obtenir cette fois-ci gain de cause. Les enfants doivent sentir l'unité du couple dans les décisions les concernant.

Cela fait grandir le respect et l'obéissance des enfants vis a vis de leurs parents. »

Mais qui dit éducation, dit aussi expression pratique de l'amour. Voilà comment les Politos essaient de mettre cela en pratique : « Les enfants doivent se sentir aimes.

« II faut prendre du temps pour les questionner sur leur journée à l'école, leur travail. Ils apprennent quand les parents s'intéressent à eux et s'inquiètent pour eux.

« II faut aussi être attentif aux paroles que nous utilisons lorsque nous devons leur faire un peu de morale ou une réprimande. II y a des mots qui tuent et qui engendrent des sentiments désastreux pour de longues années.

« II ne faut jamais les culpabiliser ni les traiter d'incapables. Dans notre rôle de parents, nous devons savoir choisir les mots qu'il faut pour les remettre sur les rails.

« Afin qu'ils poussent droit dans les voies du Seigneur, il est important que nos enfants nous voient actifs pour Dieu. Nous devons arriver à leur inculquer la crainte de Dieu et l’amour pour le prochain. Nous devons aller à l'église nous-même avant de leur commander d'y aller.

« II nous faut prier pour eux, et avec eux, et défendre toujours l'oeuvre de Christ en toute circonstance. Nous devons avoir du respect pour le pasteur et tous les membres d'église, et non critiquer dès le retour à la maison ».

Albert Einstein aimait à dire : « II n'existe pas d'autre éducation intelligente que d'être soi-même un exemple, même si l’on ne peut empêcher que ce soit un monstre ! »

En tant que parents Chrétiens, nous voulons que cette éducation forme nos enfants à l'image du Seigneur.

Nathalie Biava

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L’héritage d’une mère qui prie

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Phyllis Porter
Je me souviens de l’époque où j’étais petite fille. Parfois je revenais un peu tôt avec l’autobus de l’école et j’entendais maman dans la chambre à coucher qui intercédait pour ses enfants et ses petits enfants.

Sans le savoir, elle m’enseignait à prier par son exemple. Nous habitions en pleine campagne à ce moment-là et il me semble que j’entends toujours sa voix, chantant fort des louanges alors qu’elle travaillait hors de la maison. Je jouais avec les voisins et maman se croyait toute seule, alors elle chantait à pleins poumons, glorifiant le Seigneur.

Cela me donna le goût de la prière. Quand je fus moi-même jeune maman, j’aimais passer du temps au piano, jouant, chantant, priant—bref me réjouissant d’un bon moment avec le Seigneur.

Un jour, ma fille Christi – qui avait quatre ans à l’époque- entra et vint pour être câlinée. Après cela, je lui ai dit d’aller jouer de nouveau et j’ai continué à prier.

Je la croyais partie jusqu’à ce que j’entende une petite voix derrière moi qui pleurait et priait. « Chérie, qu’est ce qu’il y a ? » « Elle me regarda en disant : « Jennifer (sa meilleure amie) ne connait pas Jésus ! »

Nous avons prié ensemble et elle est retournée jouer. Elle apprenait à son tour les leçons de prière.

Mon mari David a été gagné au Seigneur par sa grand-mère qui l’emmenait à l’église quand il était petit. Souvent les dimanches après-midi, il l’entendait dans sa chambre à coucher, priant et intercédant.

David dit que cela l’a tellement marqué que s’il ferme les yeux, il entend toujours sa voix qui crie à Dieu.

La prière est un héritage qui nous a été donné. Mais avons-nous donné le goût de prier à la génération qui nous suit ? Vos enfants, vous voient-ils prier et passer du temps devant le Seigneur quelquefois ? Vos petits-enfants savent t-ils que vous êtes en communication avec le trône de Dieu ?

C’est vrai que la prière est souvent solitaire et nous avons besoin de temps seuls à seuls avec le Seigneur. Mais nous avons aussi besoin de transmettre ce riche héritage de la prière à la génération qui nous suit. Cela ne se transmet pas seulement par les enseignements, mais ça se communique quand la prochaine génération sent la présence de Jésus, la puissance et la communion du Saint Esprit quand nous prions.

Personne n’avait besoin de me dire que maman avait communion avec le Père. Dans les larmes qu’elle versait on voyait la présence de Dieu.

Demandez à Dieu de vous donner un cœur de prière pour que vous puissiez le transmettre.

 

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Eric Célérier raconte le commencement de Top Chrétien

eric1INTERVIEW EXCLUSIVE D’ERIC CÉLÉRIER, FONDATEUR DU SITE WEB  « TOP CHRÉTIEN  »

Propos recueillis par Carolle Wright

Victoire magazine : Raconte brièvement comment le Top C a commencé ?

Eric Célérier : « Le Top chrétien a commencé à Givors où mon épouse et moi étions partis pour implanter une église.

En 1997, je me suis dit que ce serait bien de présenter l'église sur Internet et j'ai donc fait un petit site très simple et sans prétention. Je me disais que je toucherais peut être quelques personnes de plus de la ville ou de la région.

Mais la première personne à me contacter sur le site fut un Brésilien nommé Gilberto et qui 
étudiait l'espagnol au Brésil en vue de devenir 
professeur. Il devait faire un séjour d'un mois 
en Europe et il recherchait des chrétiens pour 
l’accueillir.

Il s’est donc servi d’Internet, a 
trouvé le site de l’église de Givors et a pris 
contact avec nous pour savoir si nous pouvions le recevoir. Nous l’avons accueilli avec beaucoup de plaisir et découvert ainsi de nouveaux 
horizons.

Cette expérience m’a fortement interpellé quant à l’incroyable potentiel d’Internet. Dès que l’on fait quelque chose sur le 
Net, cela devient visible dans le monde entier 
et on n’imagine pas toujours l’impact que cela 
peut avoir.

Un an après le démarrage de ce premier site, j’avais déjà à cœur d’utiliser Internet pour 
faire de l’évangélisation, et c’est ainsi que 
je lançai le site  « Réalités de la foi  » en 
partenariat avec la revue du même nom. Un an

Plus tard, un ami pasteur, Fabien Créteur, m’appela me disant  :  « Eric, il n’y a pas vraiment de portail chrétien sur Internet ! Pour-
quoi n’en ferais-tu pas un ? » Ce à quoi je répondis  : «Très bonne idée, mais je n’en ai 
absolument pas les capacités  ».

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Mais parle, donc ! Une clé du coeur de la femme, un secret du succès de l’homme .

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Aux yeux de l’homme, les sujets de conversation de sa femme se limitent souvent aux propos suivants : « Oui, aujourd'hui j'ai fait des pommes de terre à midi parce que je n'avais plus de pâtes. Le petit a vomi trois fois. Je crois que c'était ces trois tablettes de chocolat qu'il a grignotées sans que je le remarque. Et bla, bla, bla... »

Ce bavardage continue ainsi, sans arrêt, durant une vingtaine de minutes…Tout ce discours lui semble uniquement ponctué par la question : « Est-ce que tu m'écoutes ? », qui réapparaît toutes les trois phrases.

D’après la femme, la conversation de monsieur ressemble plutôt à l’exemple qui suit : « Mhm ... mhm ... oui ... mhm ... mhm ... l’Olympique de Marseille ? T'as vu le score ? Non, c’est pas possible ! Un but juste devant le gardien ? Il dormait celui-là ! Et bla, bla, bla… »

Et ainsi de suite, durant une vingtaine de minutes.

Aujourd'hui, la situation varie d’un couple à l’autre, car comme nous l’avons noté, la femme n’attend plus toujours son époux au pas de la porte à la fin de la journée. Mais ce qui reste inchangé, c’est que les femmes et les hommes ont des manières différentes de communiquer.

Ils habitent vraiment deux planètes différentes et parlent des langues étrangères l’une à l'autre !

Pourtant, savoir communiquer crée des liens solides dans un mariage. Si le détective Colombo se mettait à la recherche de ce qui a tué l'amour au sein des couples, il conclurait que l'arme du crime était souvent le poison d’une langue méchante ou encore la négligence d’une langue silencieuse.

Dieu parle avec franchise du petit « monstre » qui rôde dans notre bouche. J’emploie le terme « monstre », mais notre langue peut tout aussi bien se révéler être un ange. Tout dépend du cœur qui l’utilise.

« C'est du fruit de sa bouche que l'homme rassasie son corps, c'est du produit de ses lèvres qu'il se rassasie. La mort et la vie sont au pouvoir de la langue ; quiconque l'aime en mangera les fruits. » (Prov. 18 : 20, 21, Bible Segond)

16331916468 6223b8cbe9 qC’est avec notre langue que nous contribuons à édifier notre partenaire ou que nous le détruisons. Il en est de même avec nos enfants.

Même notre silence peut avoir l’effet d’une arme dévastatrice. Si vous ne croyez pas cela, c’est peut-être que vous n'avez jamais vexé votre femme ou votre mari au point de subir ensuite « une vague de froid » de trois jours durant lesquels on ne perçoit plus un mot. Même le repas semble froid ! Voici ce à quoi ressemble un tel dialogue :

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien !

Misère !

Et qu'existe-t-il de plus pitoyable qu’un mari scotché à la télévision pendant trois heures durant lesquelles ses seules répliques sont : « Chut ! Je n'entends rien ! »

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