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Bob Marley ou Jésus ?

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David Porter

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Deux horribles accidents évités

train-1728537 640Un de mes amis, Christophe, fait un travail dont tous les petits garçons rêvent : il conduit des trains dans la très belle région de France qu’est l’Alsace.

Je dis « travail de rêve, » mais je ne suis pas sûr que c’est toujours ce dont rêvent les petits garçons, de nos jours. D’après ce que je sais de mes petits-enfants, ils rêvent probablement de tuer des monstres à trois têtes dans des châteaux de l’espace. C’est un bon travail aussi, si tu arrives à le décrocher.
Une nuit, alors que Christophe conduisait son train à travers la campagne, les phares ont illuminé quelque chose sur les rails, devant. Il a réagi très vite et arrêté son monstre lancé à pleine vitesse juste quelques mètres avant qu’il n’écrase un jeune homme désespéré qui se tenait sur les rails.
Cet homme avait prévu de se suicider et mon ami devait être son bourreau involontaire. Mais Christophe était éveillé, à son poste, et sa réaction rapide a sauvé la vie d’un homme. Nous entendons parler de conducteurs détruits par la drogue et l’alcool, qui causent des accidents au cours desquels de nombreuses personnes meurent.
Mais un homme doit sa vie à Christophe, qui était alerte et faisait de son mieux.
Nous devons notre vie
Quelqu’un d’autre nous a sauvé d’un accident ferroviaire éternel.
« Quant à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés, que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’œuvre parmi les hommes rebelles. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres. » (Ephésiens 2)
Ce train du jugement de Dieu se précipitait vers nous. Nous nous tenions sur les rails, coupables et condamnés, attendant l’exécution de la sentence. Le verdict signifiait une mort éternelle, une horrible conscience de la séparation d’avec Dieu, originellement prévue pour le diable. Mais tous ceux qui ne veulent pas de la seigneurie de Dieu dans leur vie le rejoindront.
« Mais Dieu est riche en compassion. A cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous a rendus à la vie avec Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés –, il nous a ressuscités et fait asseoir avec lui dans les lieux célestes, en Jésus-Christ… » (Ephésiens 2)
Mais, c’est-ce que cela ? Il y a quelqu’un qui se tient entre le train et toi et moi. C’est Jésus, et Il a payé le prix que la justice exigeait à cause de nos péchés. Le train l’a percuté, Lui, et pas nous.

« En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter. En réalité, c’est lui qui nous a fait s; nous avons été créés en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d'avance afin que nous les pratiquions. » (D’Ephésiens 2, SG21)
A présent, Il offre le pardon des péchés, un nouveau cœur, purifié devant Dieu, et une vie épanouissante qui continue jusque dans l’éternité, pour tous ceux qui viennent à Lui. Demande pardon. Détourne-toi de cette vie qui te conduit à un crash avec la justice. Place ta foi dans le Seigneur Jésus. Fais-Lui confiance et sers-Le.
Échappe à l’accident ferroviaire et vit !
____________________________

Le réveil qui a secoué le monde

a1Il y plus de 100 ans, en 1906, un journaliste du Times de Los Angeles (USA) se rendit à une réunion dans la rue Azusa. Elle commençait à faire parler -beaucoup- dans la ville et au-delà. Il ne fut pas du tout impressionné de ce qu’il vit dans ce bâtiment.

Il décrivit pour ses lecteurs des gens qui : « …lisaient des énoncés bizarres et racontaient un credo que nul mortel sain d’esprit puisse comprendre. Les adeptes de cette doctrine bizarre pratiquent les rites les plus fanatiques, prêchent les théories les plus effrénées et s’excitent dans un état de folie. »

Il poursuivait : « L’assistance se compose essentiellement de gens de couleur, quelques rares blancs se trouvent parmi eux ; le voisinage passe des nuits terribles à cause des hurlements de ces adorateurs qui restent des heures à se balancer dans une attitude de prière insoutenable."

Ces gens prétendaient être baptisés du Saint Esprit et avoir le don de parler en langues !

Le journaliste insistait sur le sensationnel (avec sans doute des exagérations et un point de vue qui n’était pas impartial) sans voir le fond. Avec un peu de perspicacité spirituelle, il aurait vu des gens ayant un amour intense pour le Seigneur Jésus et un désir de le connaître dans toute sa puissance.

Des gens de toutes les nations sont venus pour être baptisés dans le Saint Esprit lors de ces réunions. Rentrés chez eux, ils ont prêché Jésus avec une puissance qui leur était inconnue auparavant. Le réveil à la rue Azusa ne dura que trois ans (bien qu’une petite église issue du réveil continua encore des années), mais il a déclenché un mouvement qui a secoué le monde.

A la fin du 20eme siècle, quand Time/Life magazine analysa les derniers mille ans pour déterminer quels étaient les 100 événements qui marquèrent le plus le dernier millenium, le réveil de la rue Azusa figura sur la liste !

Croissance incroyable

« Aujourd’hui, un demi-milliard de gens s’identifie en tant que Pentecôtiste ou Charismatique, et les Pentecôtistes à eux seuls sont plus nombreux que les Anglicans, les Baptistes, les Luthériens et les Presbytériens tous ensemble. » (Life Magasine en ligne). Dans le monde, ce mouvement est devenu la deuxième tendance chrétienne la plus grande après les Catholiques Romains.

Boze le Rottweiler merveilleux

dog-218965 640Vous allez sûrement penser que ça devient du n'importe quoi,

mais cette semaine, j'aimerais vous encourager à être comme

 le Rottweiler de mon frère.

C'est le seul chien que je connaisse qui porte trois noms. Mon frère
Charlie l'appelait " Bozo ", ou " Boze ". Ma belle-soeur l'appelait " Lazy "
(= paresseux). Quand le premier petit fils est né, il avait du mal à dire
" Boze ", alors notre héros canin est devenu "Bubba ".

Son ancien maître, de toute évidence, ne voulait plus de lui et l'a
abandonné au bord d'une route. Et un jour, le chien affamé et affaibli est
venu au garage de mon frère (mon frère était garagiste). Et comme il a bon
coeur, il l'a nourri et vous connaissez la suite de l'histoire : depuis ce
jour là, mon frère avait un chien !

Boze est le genre de chien dont on se méfie : " Attention, chien méchant ! ".
Maintenant qu'il mange bien, il est grand, fort et à l'air menaçant. La
plupart des gens qui ne le connaissent pas marchent le plus loin possible
de lui. C'est vrai que d'après l'Encyclopédie Britannique,

" Depuis le moyen âge et jusqu'au début du 20ème siècle, le Rottweiller était le chien
de garde des bouchers. En allant au marché, ceux-ci attachaient à son cou
une bourse contenant tout leur argent. ".

Mais en fait, c'est un gentil chien : quand quelqu'un vient, il l'accueille
en le regardant passer tranquillement, la langue pendante et dégoulinante
de bave ou au pire, il l'accueille avec une indifférence flagrante.

Mais avec les autres chiens, c'est une autre histoire ! Il aime la bagarre
et s'ils entrent dans son territoire, on se croirait dans une partie de
catch avec les aboiements en plus. Il n'est pas méchant, seulement il aime
la bagarre.

Un jour, mon frère aidait sa belle-mère à la ferme. Dans son pick-up, il
traversait tranquillement le pâturage en profitant du beau paysage, avec
Boze à l'arrière du véhicule. Tout à coup, les chiens du voisin sont
apparus et ont commencé à aboyer.

Personnellement, je crois qu'il y a une sorte de protocole entre les chiens
pour des situations comme celles-ci. L'animal dans le pick-up aboie et il
prend son air méchant ; les chiens par terre aboient et ils prennent leur
air méchant. Chacun a l'air d'un gros dur, mais personne n'est blessé.
C'est un bon arrangement, surtout s'il y a des femelles tout près qui
observent la scène.

Mais le problème, c'est que Boze aime la bagarre.

Délivré de la colère contre son père

Une fois, Claude Huot est allé dans la rue avec un ami pour inviter les gens aux réunions spéciales d’évangélisation à Pont à Mousson, près de Nancy. L’ami a remarqué à quel point cet homme d’une cinquantaine d’années a l'époque, s’animait quand il parlait de Jésus-Christ avec les jeunes et les ados dans la rue. Mais quand vous connaissez son histoire, sa passion ne vous étonne pas ...

john-and-yoko-1087206 640Du haut de ses 15 ans, Claude regardait les hippies dans la rue. Ils se fichaient du monde des adultes et avaient créé une contre-culture propre à eux. Cette confrérie de jeunes dans les années 60 et au début des années 70 ne faisait plus confiance à « l’establishment ».

« Je voyais les hippies dans la rue - cheveux longs, sac à dos, concert de pop musique - et je ne rêvais que de cela » dit-il.

Claude était l’aîné des cinq enfants de la famille Huot habitant Montbéliard. Il était profondément frustré à cause de conflits permanents avec son père. « Quand j’avais 15-16 ans je voulais déjà partir vivre dans la rue parce que je trouvais la vie à la maison tellement difficile, avec un père qui ne pensait qu’à travailler. »

C’était sa mère qui devait s’occuper des enfants, pour la plupart, et les jeunes en ont bien profité. Mais, quand papa rentrait à la maison , maman lui disait les bêtises qu’ils avaient faites.

« C’était alors des coups qui pleuvaient. Pendant des années ma relation avec mon père se limitait à des conflits, voire même à de la violence parce que régulièrement il débouclait son ceinturon pour me prouver son amour paternel. »

Alors Claude quitta le foyer familial. Vous l’auriez reconnu dans la rue à son look un peu spécial—cheveux longs, pieds nus, jeans déchirés, etc. « Ce n’était pas Coco Chanel » dit-il.

Sa mère n’a pas facilement accepté son départ. Elle grondait son mari pour le manque d’affection pour son fils et elle parcourait les rues pour essayer de trouver Claude et lui acheter quelque chose à manger.

Mais ce n’était pas tout : « C’était une maman qui pleurait souvent, mais elle pleurait dans sa chambre en priant » dit Claude. « Elle croyait en un Dieu, mais elle n’avait pas la notion de l’Evangile qu’elle possède aujourd’hui. Un jour elle est sortie de sa chambre de prières, en pleurs et dit à son mari et aux autres : ‘‘Un jour vous verrez mon fils changera et il reviendra à la maison. Il ne sera pas habillé comme maintenant - les jeans déchirés, les cheveux longs. Il aura un costume et une cravate. Dieu va le changer.’’ »

Tout le monde se moquait d’elle.

Mme Richard

Peu de temps après cette expérience, Claude 18 ans, était assis à la table du café Mulhouse de Montbéliard lorsqu’une femme d’une soixantaine d’années entra : Mme Richard, la directrice d’une école dans la ville.

« Elle s’est assise en face de moi et elle m’a appelé par mon prénom, quelque chose qui m’a étonné. » se souvient Claude.

« Comment connaissez- vous mon prénom ! »

« C’est Dieu qui me l’a dit. »

« Cette femme m’a expliqué que le Seigneur l’avait envoyé me parler spécialement. » Elle faisait la sieste chez elle, un mardi après-midi et le Seigneur lui avait parlé en disant d’aller au Café de Mulhouse. « Là tu rencontreras un jeune qui se prénom Claude. Tu lui parleras de l’amour de Dieu et du plan de Dieu pour sa vie. »

Claude était ébahi : « Quelqu’un qui ne me connaissait pas a été envoyé par Dieu pour m’interpeller et me parler du message de l’Evangile !

« A l’époque j’avais des visions du fait de la drogue que je consommais, mais avoir affaire à quelqu’un ayant des visions, indépendamment de toute consommation de drogues, et encore mieux des révélations de Dieu, ça chamboulait les choses qui se trouvaient au fond de mon coeur. »

Le jeune homme était un peu sonné. Il partit vagabonder en Turquie, Grèce et dans les Iles, mais quelque chose tournoyait à l’intérieur de lui-même. Des questions lourdes se posaient. Il revint quelques semaines après en France avec le désir de changer de vie.

Il alla alors chez les Richards et cette deuxième rencontre l’a amené directement à une décision qui donna à sa vie une réorientation à 180 degrés.

« C’est un message qui m’a percuté, m’a fait réfléchir ... avant de faire une expérience personnelle avec le Dieu de l’Evangile, je n’étais pas incroyant. Je croyais que Dieu était quelque part dans son ciel s’occupant de grandes choses, mais il ne pouvait pas être soucieux de ma personne, de ma manière de vivre. »

Claude a mis sa confiance en Jésus pour le pardon de ses péchés et prit un nouveau départ dans la vie. Il commença à étudier la Bible et à prier. Il était régulièrement aux réunions de l’église évangélique de Montbéliard et chez la famille Richard. Il y avait toute une bande de jeunes qui vint au Seigneur durant la période où Claude fit son expérience.

Surprise Bouleversante

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