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Bob Marley ou Jésus ?

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Témoignage

Témoignage (81)

Le Harlem Globetrotter, Meadowlark Lemon: « Clown-Prince de basket-ball » et prédicateur !

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Dieu accomplissait puissamment ses rêves d’enfant.


Un garçon de onze ans dans une salle de cinéma regarda bouche bée un documentaire concernant une équipe de basket dans lequel tous les joueurs étaient noirs comme lui.

Et ils ont fait des choses avec un ballon de basket qui l’ont fait rêver. C’était décidé. Meadow George Lemon III serait un Harlem Globetrotter quand il serait grand.

Un rêve d’enfant ? Oui, mais celui-ci s’est accompli au-delà de ce qu’il pouvait imaginer. Le site web du Basketball Hall of Fame (panthéon des plus grands joueurs de basket) dit de « Meadowlark » Lemon :

« - Peu d'athlètes dans n’importe quel sport ont eu le même impact sur leur sport au niveau mondial que Meadowlark Lemon. Peut-être le plus connu et bien-aimé membre des Harlem Globetrotters, Lemon a joué dans plus de 16.000 matchs -- 7500 consécutivement -- pour les Globetrotters dans une carrière qui a débuté en 1954 et a duré jusqu'en 1978. Connu comme le "Clown-Prince de Basket-ball," Lemon favorisait son tir de crochet "impossible à manquer" du milieu de terrain. Et ses gestuelles comiques divertissaient des millions de fans dans plus de 70 pays à travers le monde. »

Le petit garçon assis dans le cinéma était devenu un homme qui jouait au basket devant des papes, des présidents et des rois.

Il est mort en Décembre 2015 comme une des personnalités du sport mondial la mieux connue de sa génération. (Regardez Meadowlark jouer : https://www.youtube.com/watch?v=NMuy8QrXhZU)

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C’est fini ! Tes péchés sont pardonnés !

success-816490 640« Une présence glorieuse dans ma chambre, avec une cavalerie bruyante, invisible, mais très présente ! Cette fois, comme contraint d’abdiquer, j’ai crié : ‘‘ SEIGNEUR JESUS SAUVE -MOI !”

Les questions de vie et de mort préoccupèrent Alain T. très tôt. Né en Côte d’Ivoire, de père d’origine malienne, et de mère française, il posait déjà des questions à l’âge de trois ans.

« Maman, tu vieilliras ? » « Oui ». « Et moi ? » « Oui ».
« Est-ce que tu mourras ? » « Oui ». « Et moi ? » « Oui ».
Alain lui a demandé à ce moment-là, pourquoi il vivait si la fin était la mort ?

« J’ai grandi avec cette réflexion, ce malaise intérieur. A l’école primaire, ainsi qu’au collège, mes parents m’ont inscrit dans des écoles confessionnelles catholiques. J’y ai suivi des cours de catéchisme, j’allais à l’église, et j’ai même aspiré devenir enfant de choeur !

« Lorsqu’est venu le temps de me faire baptiser, mon père n’a pas accepté, prétextant que j’étais d’origine musulmane, et que je le deviendrai un jour. Un bon point malgré tout : j’ai découvert l’existence d’un paradis ! J’ai découvert également l’existence d’un jugement de mes oeuvres, mais par contre selon ce qu’on m’a appris, celles-ci détermineraient mon entrée ou non dans ce paradis.

« Il est à noter que très tôt déjà, outre le fait que j’étais très préoccupé par des questions d’ordre existentielles , j’avais peur de la mort, et parlais donc à ce Créateur chaque soir dans l’intimité de ma chambre d’enfant, lui exposant mes petits bobos, et surtout, lui demandant de m’épargner une mort violente !

« J’étais poursuivi par l’idée d’être une créature pensante, qui devait s’éteindre comme une plante, et ne plus jamais exister !! Je croyais au plus profond de moi qu’une vie après la mort ne pouvait qu’exister ! »

Peur de génies, de mauvais esprits

« Vivant en Afrique, j’ai été également très tôt confronté à des histoires racontées de génies, de mauvais esprits, de sacrifices humains, et d’âmes de personnes mortes qui parlaient à travers d’autres personnes !

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La mitraillette du Caporal Fowler

gun-145131 640Le 24 décembre 1944 fut une très froide veille de Noël à Bastogne pendant la Bataille des Ardennes. Dans le village de Champs, à 5km de Bastogne, le Caporal Willis Fowler soupçonne qu'une attaque allait bientôt s’y perpétrer. Il a donc démantelé sa mitraillette complètement.

Il a nettoyé et lubrifié chaque partie, et puis il l'a remontée. Elle était en parfait état de fonctionnement. Quelques heures plus tard, à 3h du matin, l'attaque allemande est venue.

Les autres mitraillettes des américains dans le village ont été recouvertes de glace et de neige, et ne fonctionnaient pas. Seule la mitraillette du Sgt. Fowler a marché.

Le caporal pouvait voir quatre chars sur la colline surplombant la ville, avec un grand nombre de soldats qui s'avançaient. Le Caporal Fowler, invisible et caché sous la neige dans son trou, attendait. Quand il eut un coup de feu clair sur l'infanterie en avant, il adressa une rivière mortelle de plomb sur eux. Il semblait qu'ils étaient tous tombés.

Il continua de défendre le village jusqu'à l’aube, tirant presque continuellement.

Sans leur infanterie qui leur servait comme une protection vitale contre les bazookas anti-char, les quatre chars ne pouvaient pas s'avancer. Ainsi le village et les quelques dizaines de soldats américains furent sauvés parce qu'un homme était prêt pour le futur.

Et vous?

Et vous? Êtes-vous prêts?

« Il en est ainsi de celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n’est pas riche quant à Dieu» (Luc 12 :21 Darby).

Les prophéties de la Bible parlent clairement du temps de la Tribulation et le retour du Seigneur. Tout comme le jour de Noël 1944, il y a des difficultés sur le chemin. Et tout comme le Caporal Fowler, nous serions bien avisés de nous préparer.

Jésus nous a avertis à ce sujet : « Tenez-vous prêts, car c'est à un moment que vous n'auriez pas imaginé que le Fils de l'homme viendra » (Matthieu 24:44, BDS).

Pour nous inciter à être prêts pour les moments difficiles à venir, Jésus raconte la parabole suivante (Matthieu 25:1-13, BDS):

« Ce jour-là, il en sera du royaume des cieux comme de dix jeunes filles qui prirent leurs lampes et s'en allèrent à la rencontre du marié.

Cinq d'entre elles étaient insensées, les cinq autres étaient avisées : les jeunes filles insensées prirent leurs lampes sans penser à emporter de réserve d'huile, mais celles qui étaient avisées prirent, avec leurs lampes, des flacons contenant de l'huile.

Comme le marié se faisait attendre, elles s'assoupirent toutes et finirent par céder au sommeil. À minuit, un cri retentit : « Voici l'époux ! Allez à sa rencontre ! » Toutes les jeunes filles se levèrent et préparèrent leurs lampes. Alors les jeunes filles insensées s'adressèrent à celles qui étaient avisées : « Donnez-nous de votre huile, car nos lampes sont en train de s'éteindre. »

Mais celles-ci leur répondirent : « Non ! Il n'y en aurait jamais assez pour nous et pour vous. Courez plutôt vous en acheter chez le marchand. » Elles partirent en chercher. Pendant ce temps, le marié arriva : celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle de noces, et l'on ferma la porte.

Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour ; mais elles eurent beau crier : « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! » Il leur répondit : « Vraiment, je vous l'assure : je ne sais pas qui vous êtes. » C'est pourquoi, ajouta Jésus, tenez-vous en éveil, car vous ne savez ni le jour,
ni l'heure de ma venue.».

L’huile est un symbole de l'Esprit Saint dans la Bible, et la lumière un symbole de Dieu. Sans étirer cette parabole trop loin, on pourrait dire que ces cinq femmes ont manqué de la présence de Dieu dans leurs vies. Elles avaient un peu d'huile, mais pas assez. Elles ont eu « un peu de Dieu », mais pas assez pour toute la nuit.

Un peu de Dieu

De même, aujourd'hui, beaucoup en Belgique et en France, et peut-être vous qui lisez cet article, vous avez un peu de Dieu dans votre vie, mais pas assez. Cela peut suffire pour le moment mais quand la nuit de la vie viendra, et les temps difficiles, sera-ce suffisant? Si l'ennemi attaque à 3 h du matin, aurez-vous assez de Dieu pour vous défendre dans la bataille?

Etes-vous une des nombreuses personnes qui pensent qu’aller à l'église chaque dimanche est une perte de temps ? Vous voulez un peu de Dieu, mais pas trop.

Il y aura un jour où vous serez bien heureux d’aller à l'église, une journée où vous serez bien heureux d’avoir une abondance de Dieu dans votre vie.

Comme la Bible dit dans Luc 12:21 (Darby): « Il en est ainsi de celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n’est pas riche quant à Dieu »

Que le Seigneur nous aide tous à être riches dans la foi et préparés pour les temps à venir.

Kerby RIALS

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partager cette bonne nouvelle avec vous.

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La troisième fois fut la bonne !

aDaouda (David) est le fils aîné d’une famille musulmane de six enfants du nord-est de la Côte d’Ivoire. Dès l’enfance, ses père et mère l’ont éduqué dans la pratique des principes fondamentaux de la religion musulmane.

A l’âge de six ans, il a du quitter ses parents, qui vivent au village,  pour la ville (Bouna),  afin d’être scolarisé à l’école française au CP. Il vivait avec sa grand-mère maternelle, une musulmane pratiquante qui l’aimait beaucoup.

« Dans l’optique de me protéger des agressions des autres enfants à l’école et en dehors de l’école, grand-mère m’a confié aux enfants de notre voisin qui étaient plus grands que moi. En effet, ce voisin n’était pas musulman, mais chrétien de l’Eglise Protestante Baptiste Libre. »

Lors des fêtes de Noël, les enfants du voisin venaient demander à la grand-mère l’autorisation pour que David aille à l’église avec eux pour les festivités de Noël. La grand-mère acceptait. Ces festivités étaient marquées par des projections de films sur Jésus, des concerts de chants et la distribution de livres et de biscuits aux enfants.

David fut marqué par ce qu’il a vu : « La première fois à l’église, j’ai été touché par les chants et le film, qui,  jusqu’à ce jour sont gravés dans mon cœur.

« Par  la suite,  c’est moi-même qui demandais la permission à grand-mère pour aller suivre les projections de films et les concerts d’évangélisation à l’église. Elle acceptait, sans voir en cela un danger pour ma foi musulmane.

« Je continuais à pratiquer la religion de mes parents, mais j’aimais énormément la manière de faire des chrétiens (chants et prières) ; la graine était semée. »

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Stéphanie Reader: nouvelle vocation pour la scientifique

stephaniereader-serie-727x412Stéphanie Reader ne cherchait pas une vie intéressante et épanouie. Elle en avait déjà une. Mais à un moment donné, quand Dieu l’a défiée d’aller dans une nouvelle direction, elle a dit « oui! »

Ce « oui! » fait  la différence pour beaucoup de femmes au Canada et dans la francophonie.

S. Reader détient un doctorat et un post-doctorat en biochimie de l’Université du Québec à Montréal, spécialisée dans le domaine de la mort cellulaire programmée (apoptose). 

Ses travaux de recherche ont été publiés dans de nombreuses revues scientifiques de haut niveau. Elle a œuvré pendant plusieurs années dans le domaine de la recherche en oncologie en qualité de directrice de projet pour une compagnie pharmaceutique.

Stéphanie a donné des conférences scientifiques dans plusieurs pays du monde et a également participé à des congrès au diapason des découvertes les plus récentes de la science moderne. Elle est aussi conférencière dans le domaine de la bioéthique et une chrétienne engagée.

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Une balle dans la poitrine, la paix dans le coeur

2281946768 c07ea21231 zAllongé par terre, saignant d’une hémorragie interne, Billy Petit se trouvait face à face avec la mort. Il dit au Seigneur : « S’il faut que je rentre aujourd’hui à la maison, je suis prêt. » Mais Dieu avait d’autres desseins pour lui …

La « femme » se dirigeait tout droit vers Billy Petit, assis derrière le guichet numéro deux d’une banque de Pontoise. L’agence venait d’ouvrir à 8h30 (Elle a attendu 8h50 pour agir). Cette « femme avait l’air un peu étrange—perruque noir, robe noire, chaussures noires, grand sac noir.

Pour Billy, employé de banque de 31 ans à l’époque, et aussi pasteur d’une église évangélique, c’était son dernier jour de travail avant son départ en vacances. Quelques clients attendaient patiemment que l’on s’occupe d’eux.

Il n’aurait jamais imaginé, même dans ses pires cauchemars que cette « femme » fasse ce qu’elle allait faire.

En fait, il ne s’agissait pas d’une femme, mais d’un jeune homme, déguisé en femme. Cet ancien employé de l’agence avait été renvoyé deux ans auparavant pour détournement de fonds. Pendants deux ans il avait mijoté sa revanche. Billy ne travaillait même pas à cette agence lors des faits mais il a quand même été le premier à faire les frais de la vengeance de ce « justicier ».

Une balle dans la poitrine

Plongeant sa main dans son sac, l’homme a sorti un revolver avec un silencieux. « Les mains en l’air » ! a-t-il ordonné. Avant que Billy n’ait le temps d’obéir, l’étranger lui a tiré une balle à bout portant juste à côté du coeur.

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Riche à 25 ans !

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Franck Slowik

Réussir ma vie, tels étaient mon rêve et mon objectif. J’avais 21 ans et j’étais un idéaliste.

Je voulais trouver une compagne avec laquelle partager ma vie, trouver un super travail qui me permettrait de gagner beaucoup d’argent, fonder une famille dans une belle et grande maison… je voulais le « pack » complet de l’homme heureux.

Le seul problème fut  que les circonstances semblaient m’éloigner peu à peu de mon rêve. J’ai abandonné les études avant le bac, je ne voulais plus apprendre car je ne voyais pas où me menaient les études et je courais après l’amour et ne récoltais que des déceptions. J’étais pourtant sérieux dans mon cœur mais pas dans les actions.

J’ai travaillé, de région en région et de saison en saison, cumulant les petits boulots. J’étais plutôt débrouillard.

Un jour, un collègue de travail m’a affirmé la chose suivante : « Si tu veux réussir ta vie, il faut avoir la foi ». Quelle belle phrase ! Cela raisonnait dans mon cœur. La foi pouvait me faire réussir.

En fait, j’avais la foi. J’étais certain que quelqu’un dirigeait l’univers. Je me souviens que je campais dans le jardin quand j’étais adolescent et que je me posais plein de questions en regardant le ciel et les étoiles. J’étais certain que nous n’étions pas le fruit du hasard.

Et maintenant, cet homme me dit qu’il faut la foi. Je cherchais donc à avoir cette foi pour réussir. J’étais tellement convaincu de réussir que j’avais dit à mes amis que je serais riche à 25 ans.

Je recherchais la foi comme un malade qui cherche un remède pour guérir. Le seul problème qu’il y avait c’était que je ne savais pas de quoi je souffrais, ni quel remède prendre. Mais je continuais à y croire et j’avançais.

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Tant pis pour qui?

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Pardonne: Il est important de prendre du temps pour vivre ce processus afin de ne pas en souffrir plus encore plus tard.

 Rebecca Dernelle Fischer

Tant pis pour qui?

Avez-vous déjà profité de la fraîcheur d’une vieille église de pierre lors d’une promenade ?

Je connais un homme pour qui c’était la plus grande joie. Il partait durant l’après-midi, marchait plusieurs kilomètres pour enfin s’installer dans l’église luthérienne de la ville.

Durant tout l’été, les concerts d’orgues se suivaient mais ne se ressemblaient pas (bon disons, en tout cas pour ses oreilles de connaisseur). Cet ami aimait passer du temps à chercher les programmes des concerts, choisir ceux qui lui plaisaient, programmer ses promenades,...

Mais tout a bien changé. Depuis environ deux ans, vous ne trouverez plus cet homme assis sur un banc, savourant la fraîcheur de l’air et la beauté de la musique. Non, il n’est pas mort, ni malade, mais il est blessé, et sa blessure est intérieure.

Voici ce qui s’est passé...

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La lutte le plus redoutable—avec toi-même !

Porters

David Porter*

Parfois les batailles les plus grandes que nous livrons ne sont pas avec le diable mais avec nous-mêmes.

Dieu m’avait parlé ainsi qu’à mon épouse depuis un certain temps en ce qui concernait la mission mais nous ne savions pas si Dieu voulait seulement que notre église soit plus engagée ou s’Il voulait que nous, nous partions en mission.

(J’espérais que ce serait le premier !)

En juin, 1979 nous étions dans une réunion et Dieu nous a parlé d’une manière convaincante ; Il voulait que nous quittions notre pays pour Le servir ailleurs.

Nous étions secoués jusqu’au fond de nous-mêmes.

Plus tard, pourtant, je n’ai pu que dire « Oui ! » au Seigneur dans une réunion émouvante et continuer de dire « Oui ! » dans la froide lumière du jour quand vous n’avez aucun sentiment n’est pas exactement la même chose.

(« Oui, Seigneur ??? »)

Plusieurs mois après notre expérience dans cette réunion, j’étais dans mon bureau en train de me soucier du comment tout cela allait se dérouler en pratique. La mission nous avait donné son approbation pour le service au Luxembourg mais nous n’avions pas encore quitté l’église où nous étions pasteurs.

Vous ne pouvez imaginer des gens moins qualifiés que nous. Nous n’avions jamais quitté notre pays et la plus grande part de notre expérience a été dans des petites villes et villages à la culture semblable à la nôtre.

Mes enfants Seigeur?

Nous avions trois enfants qui avaient moins de huit ans. Assis, derrière mon bureau je me suis posé les questions : « Et nos enfants ? Que feront-ils pour l’école ? Dieu, tu nous as appelés, mais nos enfants sont obligés d’aller avec nous. »

(Plus tard, j’ai enfin compris que si Dieu nous a appelés, mon épouse et moi, Il savait probablement qui étaient nos enfants, et eux aussi étaient dans son plan.)

Je commençais à paniquer en imaginant l’énormité des changements qui nous attendaient. Nous avons une image idéalisée du service dans un autre pays qui ne cadre pas forcement avec les luttes de la vie de tous les jours.

Le seul endroit où j’ai su aller en de tels moments-là est à genoux et j’ai répandu mon cœur devant le Seigneur. Soudain, Il fut là, tout comme la nuit où j’avais senti son appel tellement fort dans ma vie. De telles expériences sont rares (et précieuses) pour moi.

C’était comme si Dieu m’avait montré Jacob juste avant sa mort. Son fils Joseph est venu le voir et il demanda que le patriarche bénisse ses deux fils Ephraïm et Manassé.

Jacob leur imposa les mains pour les bénir mais il alla au-delà d’une simple bénédiction. « Et maintenant, j'adopte pour miens les deux fils qui te sont nés en Egypte, avant mon arrivée ici. Ephraïm et Manassé seront mes fils au même titre que Ruben et Siméon » il dit en effet.

Le vieux Jacob adopta ses petits-fils et ils eurent un héritage dans le pays de la promesse tout comme les autres fils de Jacob.

Et là, dans mon bureau, Dieu parla à mon cœur de la même manière : « J’ai pris tes enfants. Ils sont à moi ! »

Trente-six ans plus tard j’atteste que le Seigneur a pourvu parfaitement pour « ses enfants. »

Le Luxembourg nous a placés dans une situation un peu compliquée à cause des trois langues (et aucune n’était l’anglais), mais Dieu a pourvu d’une façon inattendue à l’éducation des enfants et ils ont eu une très bonne éducation.

Maintes fois nous avons appelé « au secours ! » pour nos enfants en Lui rappelant sa promesse.

Et il a été fidèle. Tous les trois sont adultes, mariés, en train de servir le Seigneur. Et ils ont des petits enfants tellement beaux, intelligents, au-dessus de la moyenne dans tous les domaines !

Nous lui rappelons toujours sa promesse. Je crois que cela Lui fait plaisir quand nous faisons appel à ses promesses.

Un appel missionaire devient un coeur missionaire

Pourtant, je trouve qu’un bon commencement dans l’obéissance ne suffit pas. Si Dieu vous appelle, il veut que vous restiez fidèles jusqu’à ce qu’il vous dise de faire autre chose. Cette vérité a provoqué une autre lutte en moi.

Les quatre premières années en Europe furent assez difficiles pour moi. Il fallait que toute la famille apprenne le français, commence à comprendre la culture Luxembourgeoise, et à travailler avec les autres pour établir ce qui était, à ce moment-là, la seule œuvre du plein évangile avec comme vocation de toucher les Luxembourgeois en premier lieu. (Il y avait des églises qui s’exprimaient en portugais et en italien mais les Luxembourgeois eux-mêmes ne parlent pas ces langues en règle générale).

A la fin des quatre années j’étais fatigué physiquement et spirituellement. Je suis rentré aux USA pour une période de visites aux églises qui nous soutenaient.

Dans mon esprit, j’étais plus ou moins décidé à rentrer au Luxembourg pour encore quatre années parce que je croyais que je devais cela au Seigneur et aux gens qui nous soutenaient.

Mais, je pensais rentrer ensuite définitivement au pays. Notre fils ainé partirait en fac à ce moment-là et son frère et sa sœur n’étaient pas loin derrière lui. Je ne pouvais pas m’imaginer en Europe pendant que nos enfants habitaient les USA.

Je n’ai pas consulté le Seigneur pour formuler mes plans et honnêtement je ne voulais pas trop son avis.

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La « mort » d’un motard « hors la loi »

pastorTerry Goff

J’ai fait mes premières expériences avec Dieu à sept ans quand la monitrice de notre classe de l’école du dimanche fit appel au pasteur parce que nous faisions trop de bêtises.

Le pasteur nous a parlé de notre manque de respect vis-à-vis de la monitrice, de notre église et de Dieu, lui-même. Il a conclu avec une invitation au salut et j’ai répondu de bon cœur. J’ai fait une expérience tangible avec le Saint-Esprit !

Quand j’eus dix ans Dieu m’a parlé dans une réunion de l’église et m’a dit qu’il voulait que je prêche l’évangile. J’étais très timide et la pensée de me lever devant des gens pour parler m’effrayait.

A cette même époque il y avait deux garçons bien connus qui étaient un peu plus âgés que moi qui ont déclaré que Dieu les avait appelés à prêcher et l’église était aux anges. Le diable m’a convaincu que si je parlais de mon appel, tout le monde penserait que je suivais simplement ces autres garçons.

Alors, je gardais cela pour moi-même.

Dieu loin de ses pensées

J’avais onze ans lorsque nous avons déménagé en Californie et notre famille n’assista plus régulièrement aux réunions d’une église. J’ai fait la découverte des sports et les autres commençaient à m’aimer pour mes talents athlétiques.

Bientôt, Dieu fut loin de mes pensées.

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