Une braise enflammée tombe son Coran
- Publié dans Témoignage
- Écrit par David Porter
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Moussa Koné, petit-fils et fils d’imams, destiné à être le 13ième de la famille, était un élève studieux en matière de Coran. Un jour, lisant ce livre vénéré de l’islam avec son père, il lui posa la question suivante : « Si, ce soir, toi et moi, nous venions à mourir, irions-nous au paradis ? »
« Mon fils, je ne le sais pas. Et je ne peux pas le savoir, parce que le Coran ne dit pas clairement si nous pouvons aller au paradis. »
Plus tard, à la quête du salut éternel et intrigué par l’absence de réponse claire de sa religion à ce sujet, le jeune Moussa (Moïse) a commencé à sonder le Coran pour en savoir plus.
Après une étude attentive de neuf mois du Coran, Moussa est arrivé aux conclusions suivantes : Il n’y a aucune certitude du salut dans le Coran. Que la lecture de la Bible, comme Parole de Dieu, est conseillée par le Coran.
Le Coran affirme que Jésus est le Messie, le fils de Marie, l’Apôtre de Dieu, la Parole de Dieu, l’Esprit venant de Dieu, le Confident de Dieu et l’Honoré ici-bas et dans l’au-delà. Il a été crucifié et il est ressuscité.
Voilà quelques questions posées à Moussa par le correspondant de Victoire magazine, Guy Bergamini.
Comment Dieu s’est-il révélé à vous et de quelles manières ?
Après tous ces temps d’études du Coran, un soir, après avoir récité mes prières, j’ai demandé à Dieu de se manifester : « Dieu, montre- moi qui Tu es, manifeste-toi, dirige-moi vers Toi. » J’étais assis sur ma couchette, le dos plaqué contre le mur, mon Coran à la main et je lisais la sourate Ya-Sin.
Brusquement, j’ai vu une braise enflammée tomber sur la page de droite de mon Coran. Ensuite une deuxième, puis une autre, et encore, encore. Mon Coran a commencé à brûler.
J’étais médusé. Je ne ressentais aucune douleur, même quand la couverture s’est mise à flamber à son tour. Les cendres du Livre étaient là. J’étais comme électrisé par le spectacle !
La peur s’est emparée de moi. J’avais la certitude que je devais accepter Jésus comme Sauveur de ma vie et lui confesser mes péchés. J’ai fait le bon choix. Il a pardonné tous mes péchés d’impudicités, ceux de sorcellerie, et bien d’autres encore.
Pouvez-vous citer pour nos lecteurs quelques sourates (versets) qui affirment l’incertitude du salut de l’homme pécheur ?
Le Coran déclare que Dieu a décidé de remplir l’enfer d’hommes et de djinns (démons) à la fois. L’homme pécheur est rempli d’angoisse car il ne sait pas quelle sera la décision de Dieu à son sujet. La sourate 19 (Marie) déclare aux versets 69 : « Il n’y a personne parmi vous qui ne passera pas par l’Enfer : Car (il s’agit là) pour ton Seigneur d’une sentence irrévocable. Ensuite, Nous délivrerons ceux qui sont pieux et Nous y laisserons les injustes agenouillés. » Tout le monde ira donc en enfer…
Dans le Hadith Bokhâri, le prophète de l’islam dit : « … Tu peux te servir de mes biens, mais je ne peux te sauver du jugement de Dieu. Veille sur toi. » Si par contre le Coran ne me donnait aucune certitude d’être sauvé, il me donnait la certitude d’aller en enfer. La sourate 102 (At -Takathur) aux versets 6 à 8 affirme : « Vous verrez, certes, la Fournaise. Puis, vous la verrez certes, avec l’œil de la certitude. Puis, assurément, vous serez interrogés, ce jour-
là, sur les délices. »
Mais le musulman fidèle n’a-t-il pas des œuvres à placer dans la balance ?