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Marco Ceara: le défenseur qui prêche

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Il y a beaucoup de défenseurs jouant dans les équipes de football, mais pas beaucoup qui prêchent.

 

Marco Ceara, brillant latéral qui jouait il y a quelques années dans l’équipe de Paris Saint Germain, prêche avec le même enthousiasme qu’il marque son adversaire dans un match.

Bien qu’il ait la rage de vaincre en football on a le sentiment que sa passion de gagner les âmes brûle encore plus fort. Apres Paris, il a joué pour le Drapeau du Brésil Cruzeiro au Brésil et maintenant Coritiba.

Ce Brésilien de 35 ans, né Marcos Venâncio de Albuquerque, dit quand il prêcha devant un auditoire à l’église Porte Ouverte de Reims. « Quand j’avais 18 ans, j’ai entendu l’appel de Jésus » annonça – t-il à l’assistance composée de bien des jeunes venus voir le footballeur.

Il parla du changement que Jésus a fait dans sa vie.

Champion du monde

Sa vie de footballeur avait bien démarré. Il jouait dans l’équipe professionnelle de Santos au Brésil à l’âge de 19 ans. Mais là, sa foi lui a coûté son travail quand le président lui a dit : ‘ Si tu continues de parler de Jésus, je te vire du club.’ » Marco a choisit Jésus. (voir l’article suivant)

Le Seigneur lui a donné un autre travail et il avança dans sa profession jusqu’à ce qu’il fasse partie d’une des meilleures équipes du monde, l’équipe brésilienne SC International. En 2006 cette formation se mesurait contre le club mythique, FC Barcelone, en finale de la Coupe du Monde des Clubs.

Plus de soixante sept mille supporters remplissaient le stade Yokohama / International Stadium au Japon. Marco se trouvait en face de son compatriote Ronaldinho, qui avait gagné le Ballon d’or comme le meilleur joueur en Europe en 2004.

« Tout le monde me disait : ‘ Comment vas-tu le marquer ? ’ dit-il. J’ai eu une stratégie. J’ai loué Dieu. J’ai prié Dieu. ‘ J’ai besoin de toi. J’ai besoin de ta force. ’ » il dit dans sa prédication à Reims.

« La Bible dit que le cheval se prépare pour la bataille mais la victoire vient de Dieu. Ca signifie que nous devons nous préparer mais la victoire vient d’en haut, de Dieu.

« J’étais prêt pour jouer ce match mais je crois que ça ne suffisait pas. J’avais besoin de quelque chose de plus. Et cette chose en plus c’est Dieu dans nos vies » « Dieu t’accorde cette bénédiction (son aide) pour que tu parles de cette bénédiction (pour qu’il bénisse des autres à leur tour). Dieu veut utiliser nos vies pour sauver d’autres personnes. »

Ce jour-là Ronaldinho ne marqua pas et International est devenu champion du monde des clubs, 1-0.

Sa venue en France—Début désastreux

Après son succès avec SC International, le PSG a acheté ses droits d’International pour 2,5 millions d'euros. Mais ses débuts en France ont été difficiles. Son intégration s’avérait difficile parce qu’il ne parlait pas le français. La carte au restaurant aurait pu être écrite en chinois en ce qui le concernait et il parle de ses débuts : « On commandait donc toujours la même chose : des pâtes ou des pizzas. »

Le manque de communication avec ses co-équipiers l’entravait aussi sur le terrain.

Puis, contre Caen le malheur frappa. Il marcha sur le ballon devant son but et l’équipe du stade Malherbe en a profité pour marquer le seul but de la rencontre.

Les supporters parisiens n’ont pas la réputation d’être les plus patients et les critiques pleuvaient sur sa tête. Mais l’entraîneur à l’époque, Paul Le Guen, a pris sa défense : « C’est un très bon joueur, dit-il. S’il y a quelqu’un qui fait ce qu’il faut pour s’affirmer, c’est Ceara. »

Mais l’affirmation qui lui donnait le plus de force venait de sa fille du haut de ses quatre ans.

« En rentrant chez moi, après cet épisode difficile, ma fille m’a embrassé en me disant que j’étais le meilleur latéral du monde (sourires). En 2006, après notre victoire en Coupe du Monde des clubs avec l’International, beaucoup de gens disaient que j’étais le meilleur latéral du monde. Ma fille m’a alors rappelé cet épisode et cela m’a encouragé. C’est également Dieu qui m’a aidé. Je me tourne vers lui pour affronter les difficultés et les batailles que la vie me réserve. Ce n’était pas facile mais je pense que l’avenir sera encore meilleur. »

Sa fille et son entraîneur avaient raison et Marco a maintenant disputé plus de 100 matchs sous les couleurs de Paris. Et, bien qu’il désire gagner, il est conscient qu’il témoigne pour Christ en tout, même par sa manière de jouer.

« Je considère que je dois donner le meilleur dans mon travail et il n’est pas nécessaire d’être malhonnête pour y arriver. Je suis défenseur, et à ce poste, tu as pour objectif de marquer l’attaquant et de le presser. J’essaye de vivre concrètement ce que je viens de dire en axant mon jeu sur la technique et non sur la force ou les fautes. Il faut que je sois honnête dans le jeu. Il est important d’être le même sur le terrain que dans la vie normale. Pendant le match, Dieu doit continuer à être honoré par mes actes et mes paroles. »

Il doit aussi être sage dans sa manière de témoigner. « C’est un vrai défi de rester fidèle à la Parole de Dieu mais je veux l’être ... au PSG, la première difficulté que j’ai rencontrée, c’était quand je signais des autographes. En fait, j’ajoutais ‘ Jésus vous aime ’ en dessous de ma signature et on m’a demandé de ne plus le faire car je devais respecter les personnes dans leur croyance. Maintenant, tous les joueurs du PSG savent que je suis croyant. Ils me respectent beaucoup en tant que chrétien. »

Comme tout artisan, il veut donner de son meilleur et laisser un bon souvenir de lui comme Raï, Valdo, Ricardo et plusieurs grands joueurs brésiliens qui sont passés par le PSG. « Je veux poursuivre ma belle histoire avec le Paris Saint-Germain et faire partie de ces joueurs qui ont marqué l’histoire du club. »

Mais la motivation qui pousse plus que toutes les autres est de vivre pour le Seigneur Jésus. C’est pourquoi il joue ... et prêche !

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(d’autres sources consultées :http://www.benchpresschampion.com; le web magazine: Horizons Evangéliques ; www.PSG.com, le Figaro, Le Parisien)

Dernière modification lelundi, 02 mai 2016 12:55

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