David Wilkerson révèle les secrets pour réussir votre vie Chrétienne
- Écrit par David Porter
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Bien qu’il soit puissamment utilisé par Dieu, David Wilkerson n’a pas été épargné par la douleur. Des temps difficiles ont façonner son ministère et l’a rendu même encore plus efficace. Voilà, une partie de l’interview que Victoire magazine a réalisé avec lui avant sa mort.
« Plus vous êtes dans le feu, plus le fer est trempé. Le Seigneur « trempe » ses serviteurs » dit-il. « Je crois que vous allez dans un des deux sens—soit vous vous endurcissez, soit vous adoucissez. Plus j’avançais dans la vie, plus je suis devenu conscient de la grâce dont j’avais besoin et de la patience de Dieu envers moi.
« Mon épouse a eu 26 opérations—cinq pour la cancer---et je commençais à voir la grâce dont nous avions besoin et comment Dieu est miséricordieux. Mes deux filles ont un cancer et ma petite-fille de 11 ans est morte d’une tumeur au cerveau. »
Dans sa vie ce processus d’être trempé est venu en partie : « au travers de la souffrance et par la révélation du cœur de Dieu. »
LA VIE VICTORIEUSE
En parlant d’une de ses prédications il dit : « il faut beaucoup d’entrainement pour mettre en pratique ce que je prêche parce qu’à certains moments je dis : « je crois que Dieu m’aime et qu’il fait de moi ses délices », et dès que je trébuche je dis « comment cela se fait-il ? Comment allons-nous rattraper celui-ci ? » Ou bien, « Seigneur, ai-je traversé la ligne cette fois ci ? M’enlèveras-tu le Saint Esprit ? » Nous passons tous par ces moments.
« Aussi longtemps quo vous vivrez, la lutte avec la chair sera présente. La chair est chair… Cela ne change pas. Pour cela il faut faire confiance à Dieu en tout et dire : ‘Seigneur…tout ce que je peux Te donner c’est ma foi.’ C’est alors que Dieu répond : ‘C’est cela que je désire. Arrête toutes tes luttes et marche par la foi jusqu’à ce que la victoire vienne.’ »
Une des marques du ministère de David Wilkerson est sa transparence. Il n’a pas toujours eu une telle vision de la grâce. « J’ai écrit entre 35-40 livres et il y en a probablement deux d’entre eux que j’aimerais retirer et détruire. Il y en a quelques-uns que je ne peux pas vivre, moi, puisque le Seigneur m’a enseigné des choses depuis. Il y a des vieux sermons que je déchire afin qu’ils ne soient jamais publiés après ma mort. »
Alors, à quoi ressemble cette personne qui marche véritablement avec Dieu ?
« Tout cela se résume dans un seul mot—la charité, Wilkerson répond. Cela commence dans notre foyer. Il a dit que si je vendais tous mes biens pour donner aux pauvres et si j’offrais mon corps comme martyr…et si on peut facilement me provoquer, et si j’avais de la jalousie et de l’amertume, mais si je n’ai pas l’amour tout cela est chose vaine.
« Quand bien même je vendrais tous mes biens et me rendais dans des taudis au Kenya pour y vivre dans une hutte si je n’ai pas les caractéristiques de charité de Gal 5 :22 alors je n’ai rien. Le talent, l’éducation ne remplacent pas un cœur charitable. »
Il croit que c’est surtout dans le mariage que l’on voit le résultat de cette sorte de vie. « C’est ma femme qui pourra vous dire si je grandis en Christ. Si après 56 ans de mariage elle ne peut pas vous dire que nous nous aimons plus maintenant que quand nous avons commencé, alors mon ministère a été vain. »
Mais comment continuer la croissance spirituelle ?
« En abandonnant vos droits. Je n’ai pas le besoin d’avoir raison. Nous avons cédé nos droits en ce qui concerne notre relation l’un à l’autre. Ce besoin d’avoir raison, nous l’avons abandonné et cela a résolu nos différends » affirme-t-il avec un sourire.
« Puis nous sommes devenus serviteurs l’un de l’autre, ainsi que de nos enfants. J’ai cinq enfants et dix petits-enfants. Mes enfants sont dans le ministère. »
Wilkerson raconte l’histoire d’un prédicateur bien connu qui avait un ministère de guérison. La femme d’un pasteur était assise près de la femme de celui-ci. L’évangéliste était un héros et considéré comme un grand homme.
« La femme lui demanda : ‘ Comment vit-on avec un si grand homme ? ’ La réponse fut : ‘ je ne sais pas ; ce n’est pas cet homme-là qui rentre à la maison et avec qui je vis.’ »
« Je crois que le jugement commence à la maison » Wilkerson conclut. « Si je ne suis pas charitable, cela se verra. »
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Source de photo, inconnu