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Une athée et un croyant non pratiquant rencontrent quelque chose d'inexpliquable

n-fotor-202408081119Nathalie athée, moi croyant non pratiquant ! C’est avec un tel état de coeur que nous nous sommes rendu pour la première fois de notre vie dans une réunion d’une Eglise Evangélique, en février 1984.

Nous y avons trouvé des jeunes et des moins jeunes, mais tous étaient manifestement heureux d’être là – le contraire de ce que j’étais lorsque je me rendais dans une église traditionnelle. Nous ne pouvions pas nous empêcher d’observer les uns les autres et bien des questions fusaient dans notre tête.

La musique et les chants nous enchantaient, mais notre curiosité était doublée d’une certaine méfiance. Pourtant c’est ce jour que Dieu choisit pour nous révéler son existence.

Durant cette réunion dominicale, il se passa un « phénomène » bien surprenant, mais bel et bien réel ! En effet, sans que nous le sachions, Nathalie et moi étions en train de vivre une expérience identique et particulière durant laquelle nous avons ressenti et découvert ce que peut être la présence de Dieu : une paix profonde, un bien être et une chaleur bienfaisante qui se manifester en nous.

Nous étions comme séparés du reste de l’auditoire, en train de vivre des moments particuliers, mais tellement bienfaisants. A l’issue de cette réunion, Nathalie, athée certaine de la non existence de Dieu, sortit de ce lieu de culte convaincue de l’existence de ce Dieu qu’elle ne connaissait pourtant pas. Pour ma part je ne comprenais pas grand - chose à ce qui m’était arrivé, mais pour la première fois de ma vie je voyais que le soleil brillait.

Véritablement quelque chose s’était passé à l’intérieur de nous. Le soir même, je demandais à l’ami, qui nous avait dirigé dans cette Eglise de m’expliquer ce que nous avions vécu le matin même. Rayonnant, il m’expliqua qu’il s’agissait de Jésus qui se révélait à moi.

A l’issue de ces moments, notre vision changea avec Nathalie, nous avions décidé d’en savoir un plus et ainsi de nous rendre chaque dimanche dans l’Eglise Evangélique la plus proche de chez nous. C’est ainsi que nous avons découvert la Personne de Jésus, au travers du message de l’Evangile qui était prêché par le pasteur. Et c’est dans un moment solitaire, devant la lecture de l’Evangile de Matthieu que je compris que Jésus était mort pour mes péchés et qu’à la croix de Golgotha il me donnait la possibilité d’effacer mon péché par le moyen de la repentance.

C’est à ce moment que je pleurais de tout mon coeur reconnaissant que j’avais offensé Dieu et son Fils Jésus et je lui demandai pardon pour tout le mal que je lui avais fait en étant éloigné de lui et de sa Parole.

Du côté de Nathalie, ses convictions se faisaient de plus en plus fortes, et l’existence de Dieu n’était plus un problème. Loin de là, son expérience personnelle de repentance lui donnait de plus en plus envie de plaire à ce Dieu qu’elle découvrait jour après jour. C’est ainsi que nous avons décidé de mettre en règle nos jeunes vies, sur les conseils du pasteur. Voulant obéir à Dieu et à sa Parole, nous avons décidé de nous marier et de nous faire baptiser au mois d’octobre de cette année 1984. Nous connaissions Jésus depuis quelques mois seulement, mais son amour avait tellement percuté notre coeur qu’il était impossible de faire marche arrière. Ainsi depuis ce jour de février 1984, des années se sont écoulées. Notre amour pour le Seigneur Jésus n’a fait que grandir, et aujourd’hui, Nathalie et moi - même sommes heureux de servir Dieu dans le ministère pastoral.

Il a sauvé notre âme de la perdition éternelle, il peut encore le faire pour vous aujourd’hui.

Denis et Nathalie Biava

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As-tu pardonné à Dieu ?

Le titre de cet article nous envoie tous chercher un abri, au cas où des éclairs se mettraient à tomber, pas vrai ? 2eadf4b4-2b0f-4a4b-8757-ca6b55eaf7cd-fotor-20240703113630

Mettons les choses au clair dès le départ : Dieu ne doit aucune excuse à aucun d’entre nous, parce qu’Il n’a jamais rien fait de mal et toutes Ses interactions avec nous sont bonnes. Le Seigneur n’a fait de tort à personne parce que Sa nature est juste et que ce qu’Il fait pour nous est pour notre bien.

Ceci étant dit, parfois, profondément, à un niveau qui dépasse nos mots, nous avons l’impression qu’Il nous a laissé tomber. Qu’Il a promis et n’a pas tenu Sa promesse. Qu’Il a été injuste envers nous. Qu’Il a favorisé les autres et pas nous. Ou qu’Il ne nous a pas donné quelque chose que nous pensions qu’Il nous donnerait.

Il n’est pas coupable, mais nous avons l’impression qu’Il l’est. Nous verbalisons rarement ces doutes, mais ils rongent tout de même notre âme.

Par exemple

Comme cette fois où un missionnaire a témoigné d’un miracle financier pour son œuvre et que j’ai dit  (très spirituellement) : « Louez soit le Seigneur, c’est merveilleux ! » alors que je pensais, au plus profond de moi : « Et moi, Seigneur ? Nous allons aussi avoir des besoins si nous voulons aller là où Tu nous as appelés. » Et tu sais quoi ? Le Seigneur a fini par venir à nous, à temps, pour faire autant, voire plus, que ce qu’Il avait fait pour cet autre gars.

La réponse est arrivée plus tard, cela dit, et, à ce moment-là, je traversais un moment difficile.

Si tu n’as jamais été en colère contre Dieu, je me demande si tu Le connais réellement. Certains des plus grands hommes de Dieu ont parfois eu l’impression que le Seigneur les avait laissés tomber.

Écoute le prophète Habakuk : « Jusqu'à quand, ô Éternel?... J'ai crié, Et tu n'écoutes pas! J'ai crié vers toi à la violence, Et tu ne secours pas ! Pourquoi me fais-tu voir l'iniquité, Et contemples-tu l'injustice? Pourquoi l'oppression et la violence sont-elles devant moi? Il y a des querelles, et la discorde s'élève. » (Habakuk 1:2-3 )

Jérémie le prophète ajoute : « Tu m'as persuadé, Éternel, et je me suis laissé persuader; Tu m'as saisi, tu m'as vaincu. Et je suis chaque jour un objet de raillerie, Tout le monde se moque de moi » (Jérémie 20:7).

Savais-tu que même le Seigneur Jésus, pendant les jours qu’Il a passé sur Terre, nous a compris et a ressenti la même chose que nous, parce qu’Il a été éprouvé, Lui aussi. « Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? Mon Dieu! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos » (Psaumes 22:1-2).

Votre réaction

Mais alors, que dois-je faire quand je suis en colère contre Dieu ?

Avec respect, reconnais tes sentiments. Avec sagesse, reconnais que tes sentiments n’ont pas forcément la vérité absolue. Tu as déjà ressenti des tas de choses qui, en fin de compte, n’étaient pas vraies, n’est-ce pas ?

Commence à aligner tes sentiments avec la vérité de la Parole de Dieu. Honnêtement, si David et Dieu sont là, devant toi, et qu’ils ne sont pas d’accord, lequel des deux a tort, selon toi ? Je n’ai rien créé. Je ne peux pas voir les choses du point de vue de l’éternité. Tant de choses se passent sur lesquelles je n’ai aucun contrôle et je ne saurais même pas quoi faire si je l’avais.

Pardonner Dieu est un acte de confiance, de foi qui admet que, même si je ne comprends pas ce qui se passe, Dieu le sait. Il sait ce qu’Il fait. Il fait concourir toutes choses à mon bien, selon Son plan, et Sa parole est vraie. Il ne nous laisse jamais tomber. Ce n’est pas qu’Il ne nous a jamais laissés tomber jusqu’à présent. Il ne nous laissera jamais tomber, point.

La présence de Dieu

A une époque, je traversais beaucoup d’épreuves et j’avais l’impression de ne pas recevoir de réponse de la part de Dieu. J’étais frustré et en colère contre la vie et meme un peu contre Dieu parce qu’Il me semblait qu’Il ne faisait pas Son travail. (Et c’est quoi, Son travail ? C’est bien ça, la question, non ? Nous voulons un Père Noël qui bondit à chaque fois que nous claquons des doigts, n'est pas?).

Un jour, je suis tombé à genoux et j’ai prié quelque chose du genre : « Seigneur, je T’aime et je crois en Toi. Tu es mon Dieu. Mais il faut que je Te parle. Dans Ta Parole, Tu as dis ceci, et ce n’est pas ce qui se passe. Et tu as dit ça et, regarde ! Qu’en est-il de cette situation ? De ce besoin? Et de ça, et de ça ? »

J’ai déversé toute mon amertume devant le Seigneur et j’ai attendu qu’Il me foudroie. La foudre n’est jamais tombée.

J’ai eu l’impression que l’huile chaude de la joie de la présence de Dieu se déversait sur moi. La colère a laissé la place à un amour guérisseur. Sa présence m’a rempli.

Non, je n’ai pas vu immédiatement la réponse à toutes mes prières et Il n’a pas répondu à tous mes doutes et à toutes mes questions sans réponse. C’est Lui-même qu’Il m’a donné, et c’était plus que suffisant.

Beth Moore, l'auteur, s'est battue pour surmonter les abus sexuels subis pendant son enfance et d'autres épreuves. Voici ce qu'elle a trouvé : "Le but de la vie n'est pas l'absence de douleur. C'est la présence de la gloire. La gloire de Dieu. Et parfois, c'est dans la douleur qu'elle se manifeste le plus clairement. Non seulement j'ai appris que la douleur ne tue pas, mais j'ai aussi appris que je ne perdrai jamais et ne serai jamais trahie par la seule chose qui a le pouvoir absolu de me détruire - Dieu lui-même.""

Quand tu vois et expérimente la présence du Seigneur, tes circonstances perdent de leur importance, parce que Sa présence te donne une perspective que tu n’avais pas encore. Quand tu es proche de Lui, tu sais qu’Il fait toutes choses selon Son bon plan pour ta vie et pour le monde.

Apprends à remercier Dieu continuellement, même s’il te semble que le ciel s’effondre. Garde la colère et la frustration hors de ton cœur et fais-Lui confiance. Remercie-Le chaque jour.

As-tu pardonné à Dieu ?

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Tu n’as pas envie de donner, pas vrai ?

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Semences de générosité

Le mot « donner » induit des réponses différentes selon les personnes.

Un jour, j’ai vu un sans-abri en train de mendier, avec une pancarte, et j’ai pensé : « Eh nous y voilà encore. » La bataille habituelle a commencé dans ma tête.

« Il faut aider les pauvres. »

« Est-ce vraiment quelqu’un de pauvre ou seulement quelqu’un qui ne veut pas travailler ? » (Même si se tenir en plein soleil, au mois de juillet, est certainement au moins aussi dur que de travailler dans un bureau avec la clim.)

« Est-ce que je dois lui donner quelque chose ou pas ? » Aucune des deux réponses ne m’apporte de la joie.

Pourtant, les moments les plus heureux de ma vie ont découlé de ce verbe « donner » - que j’aie donné quelque chose à quelqu’un ou que quelqu’un m’ait donné quelque chose.

Au moins six choses se produisent quand nous donnons :

Un besoin est assouvi – la joie jaillit. La foi s’épanouit. « Car le secours de cette assistance non seulement pourvoit aux besoins des saints, mais il est encore une source abondante de nombreuses actions de grâces envers Dieu. » (2 Corinthiens 9:12). Quelle joie quand nous prions et que Dieu répond à notre besoin ! Quand nous donnons, nous devenons les mains de Dieu pour répondre aux prières des autres et ils Lui font alors encore davantage confiance.

Dieu répond aux besoins de celui qui donne. La joie jaillit. La foi s’épanouit. « Car Dieu aime celui qui donne avec joie. Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre » (2 Corinthiens 9: 7, 8).

Celui qui donne et celui qui reçoit se rapprochent l’un de l’autre. J’ai donné de façon anonyme à de nombreuses reprises parce que je ne crois pas qu’on devrait faire sonner la fanfare quand on donne. Mais il y a des gens qui nous ont aidés durant nos missions et je me sens proche de ces partenaires. Cela te remplit d’humilité quand des gens te font suffisamment confiance pour investir dans ce que tu fais. Tu ressens la camaraderie des soldats qui combattent côte à côte.

Nous changeons, quand nous donnons. J’ai ressenti pour la première fois un appel à participer à la mission lors d’une convention. En 1975, un missionnaire à l'Indonésie et un missionnaire local de Teen Challenge à Dallas ont prêché dans notre petite église de l’est du Texas. Ils nous ont mis au défi de donner, même si l’église avait déjà de grands besoins pour une annexe pour l’école du dimanche et pour un local de bureau. Nous avons quand même commencé à supporter sérieusement la mission chaque mois – et Dieu a pourvu aux besoins de l’annexe, qui a été payée à 100 % (même si notre assemblée a beaucoup transpiré et fait beaucoup de sacrifices pour cela). Pour moi, une graine a été plantée lors de cette réunion, qui a finalement donné : « Oui, Seigneur, j’irai », quatre ans plus tard.

Dieu est glorifié. « En considération de ce secours dont ils font l'expérience, ils glorifient Dieu de votre obéissance dans la profession de l'Évangile de Christ, et de la libéralité de vos dons envers eux et envers tous » (2 Corinthiens 9:13). C’est bien beau pour le conducteur de la louange de dire : « Levons tous nos mains et louons le Seigneur. » Mais quand nous répondons à un besoin, les gens élèvent spontanément leur cœur et leurs mains vers le Seigneur pour Le louer.

On prie pour toi. « Ils prient pour vous, parce qu'ils vous aiment à cause de la grâce éminente que Dieu vous a faite » (2 Corinthiens 9:14). J'ai bien besoin de la prière. Et vous?

Donner n’a pas à être une corvée. Nous pouvons donner avec un cœur joyeux pour répondre aux besoins ou simplement donner au Seigneur parce que nous débordons de joie et de reconnaissance envers Lui. Parfois, quand Il répond à une prière, j’aime bien donner quelque chose juste pour dire : « Merci » à Celui qui me donne tellement.

Quand ils ont fait un appel aux offrandes pour construire le tabernacle, à l’époque de Moïse, le peuple a répondu avec tellement d’enthousiasme qu’ils ont finalement dû leur dire d’arrêter de donner. Ils avaient plus qu’assez.

"Dieu fais-nous le don d’un cœur généreux, S'il Te plait."

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Deux choses qui m'embêtent

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Deux choses qui m'embêtent

Je vais vous raconter deux choses qui m'irritent au plus haut dégré.

La première est quand je suis en retard. Je me précipite dans la ville de Reims, essayant d'arriver à l'heure à la réunion. Il semble qu'il y ait 40,000 feux tricolores qui poussent du béton et 39,999 brillent rouge quand ils me voient approcher.

L'autre est jaune, changeant en rouge juste avant que j'arrive.

Dans ma Peugeot, je suis tout agité : " Pourquoi tous ces feux rouges ? Qui mettrait un feu rouge juste là ? Il n'y a qu'une voiture par jour qui vient de cette petite rue à coté. Je parie qu'ils le font pour nous ralentir " ! La montre au-dessus du tableau de bord s'accélère.

Finalement, il y a une occasion d'aller un peu plus vite et seulement une voiture devant. Je peux gagner un peu de temps. Mais lui ! Il roule à cinq kilomètres par heure en-dessous la limite de vitesse. " Ai, yi, yi ! Que faites-vous, mon pote ? Vous croyez que c'est une promenade du dimanche ? (Enfin, c'était le dimanche). Ne savez-vous pas qu'il y a des gens qui doivent être à l'heure ? C'est une rue, pas un parc public " ! (Je pense cela mais je ne le dis pas parce que je risque de le voir plus tard dans l'assemblée. Il sera peut-être plus disposé d'écouter l'évangile si je ne l'ai pas insulté avant).

Lui, est-il gêné ? Pas du tout. Il continue sa progression sans soucis et moi en train de piquer une crise nerveuse derrière lui. Il apprécie l'architecture de notre belle ville et les oiseaux aussi. Il écoute sans doute de la musique classique. Ma tension sanguine s'élève comme je regarde la montre courir vers l'heure du rendez-vous.

Enfin, j'arrive à la réunion--à l'heure--après ce qui semblait des années de stress. Et ils commencent dix minutes en retard.

Et la deuxième chose qui me tracasse ?

C'est le dimanche. Je pars bien avant l'heure pour être un peu en avance pour la réunion. Je roule tranquillement dans la ville, le coeur plein de joie et sérénité, écoutant une belle musique. J'apprécie le beau soleil et la vie en générale quand tout d'un coup…...

...…tout d'un coup je regarde dans le rétroviseur et je vois cet idiot collé à ma parechoc par derrière. C'est évident qu'il est pressé et je ne roule pas assez vite pour lui. Il essaie de me doubler mais c'est impossible (" C'est la ville, espèce d'andouille ! Vous ne pouvez pas doubler ").

Il me colle comme le chewing gum colle à ma chaussure. Ma tension de sanguine s'élève. J'oublie la belle musique. Je lui lance des regards méchants par la rétroviseur.

Honnêtement, le monde serai mieux avec un peu de patience (et si je partais quelques minutes plus tôt). Enfin, Dieu nous partage un petit secret. Il estime tellement la foi patiente qu'il permet que nous tombions dans des situations où la foi patiente grandira. Ces expériences n'incitent pas toujours de bons résultats des examens de la  tension du sanguine si vous n'avez pas appris à vous relaxer et lui faire confiance.

Ecoutez ce qui dit Eugène Peterson : " Il y en a encore : Nous continuons de crier notre louange même quand nous sommes coincés par les troubles, parce que nous savons comment des troubles peuvent développer la patience passionnée en nous, et comment cette patience forge le fer trempé de vertu, nous gardant toujours alertes pour ce que Dieu fera prochainement. Dans une telle anticipation nous n'avons jamais le sentiment de manquer quelque chose. Au contraire-nous ne pouvons pas trouver assez de conteneurs pour contenir tout ce que Dieu répand généreusement dans nos vies par l'Esprit Saint " (Romains 5 : 3,4, version Le Message).

La vie colle t-elle à votre parechoc derrière maintenant ? Au lieu d'exploser de stress pourquoi pas : a) prendre un jour de congé et aller ailleurs pour regarder un peu autres choses ; b) regarder profondément la Parole de Dieu pour constater ce que Dieu a promit à son peuple dans des situations difficiles ; c) commencer de le louer et lui dire qu'il est votre abri, votre calmant, et Celui qui t'aidera à coup sûr.

Faites cela, même quand vous n'en avez pas envie et juste derrière vous la vie fait " biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip " sur son klaxon. Ralentissez et croyez au Seigneur Jésus.

Quand vous regardez vers Lui au lieu de regarder dans le rétroviseur à ce problème qui vous serre de près, la vie change. La belle musique de louange sort de la radio et vous voyez des oiseaux et la belle architecture en passant dans la vie.

A propos, si vous serrez quelqu'un de près dans votre impatience-détendez-vous ! Vous n'aimez pas que les autres vous le faites . Ne le faites pas aux autres. (Souviens-toi de cela le dimanche prochain, David).

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Mauvais tournant au Texas

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Une mauvaise direction conduit à des détours plutôt qu’à la bonne destination

« Écarte de ta bouche la fausseté, Éloigne de tes lèvres les détours.
Que tes yeux regardent en face, Et que tes paupières se dirigent devant toi.
Considère le chemin par où tu passes, Et que toutes tes voies soient bien réglées »

 (Proverbes 4:25-27)

Un soir, je me trouvais à Austin, au Texas, et je devais me rendre à Dallas, à trois heures de route. C’était avant l’ère GPS, en tout cas pour moi. Comme j’approchais de l’autoroute 35, j’ai pensé avoir vu l’hôtel où nous avions séjourné la nuit précédente et calculé que, si je me trouvais de ce côté-là de l’autoroute, je devais tourner à droite pour la prendre en direction de Dallas.

J’ai conduit joyeusement à travers le Texas de nuit jusqu’à voir un panneau sur l’autoroute indiquant : « San Antonio : 100km. » San Antonio se trouvait tout à fait à l’opposé de l’endroit où je voulais aller.

Je ne savais pas qu’Austin avait deux hôtels de la même chaîne de chaque côté de l’autoroute. J’avais pris le mauvais hôtel comme point de repère !

J’étais un peu fatigué en retraçant ma route vers Austin puis en me dirigeant finalement vers le nord et ma destination. Je me suis effondré sur mon lit tard cette nuit-là (ou plutôt, tôt le lendemain matin).

Ta direction détermine ta destination

Le pasteur Andy Stanley a parlé des « principes du chemin. » Pour dire les choses simplement, dans la vie, si tu te diriges vers San Antonio, tu n’arriveras jamais à Dallas, peu importe à quel point tu le veux. La direction dans laquelle tu avances détermine ta destination.

« La route sur laquelle j’avance détermine toujours l’endroit où je vais finir par arriver. C’est profond, n’est-ce pas ? » a dit Stanley. « Peu importe où j’ai envie d’être, le chemin que je prends détermine toujours ma destination. Les plans, les intentions, les attentes du conjoint… rien de tout cela ne compte, je termine toujours là où la route que j’ai choisie m’emmène… C’est la direction et non l’intention qui détermine notre destination.

« Cela me brise le cœur de voir combien de gens avec qui je parle ne font pas la connexion entre les choix qu’ils ont fait et l’issue » continue Stanley. « Ils ont fini par croire cette notion populaire qui dit que, tant que les intentions sont bonnes, tant qu’ils écoutent leur cœur (quoi que cela puisse vouloir dire), tant qu’ils font de leur mieux, peu importe le chemin qu’ils prennent. Ils croient qu’ils vont forcément terminer au bon endroit. Mais la vie ne fonctionne pas comme cela. » (Les principes du chemin : comment aller de là où tu es à là où tu veux être– Andy Stanley).

Sais-tu où tu es ?

Alors, je te le demande, là, au début de 2024 : « Où es-tu et dans quelle direction avances-tu ? Est-ce bien le chemin qui mène à la destination que tu veux ? Cette direction est-elle la volonté de Dieu pour toi ? Est-ce sain ? Est-ce qu’elle va t’aider, ainsi que ceux que tu aimes le plus ? Dieu t’a-t-Il créé pour ce chemin ? »

Stop ! Réfléchis-y un moment. Réfléchis vraiment. Dans quelle direction te diriges-tu ?

Si tu ne marches/trébuches/te précipites/etc. pas dans la bonne direction, comment vas-tu faire pour te rendre au bon endroit ? Si tu es sur le mauvais chemin, que tu avances dans la mauvaise direction, tu n’y arriveras jamais. Prie Dieu avec foi pour qu’Il t’aide à prendre le bon tournant. Décide de changer de direction.

Tu n’atteindras peut-être pas ta destination cette année, ni peut-être même pas dans dix ans, mais tu te dirigeras vers elle. Si tu es sur le mauvais chemin, dans la mauvaise direction, tu ne l’atteindras jamais. Tourne-toi dans le bon sens.

« Confie-toi en l'Éternel de tout ton cœur, Et ne t'appuie pas sur ta sagesse; Reconnais-le dans toutes tes voies, Et il aplanira tes sentiers.Ne sois point sage à tes propres yeux, Crains l'Éternel, et détourne-toi du mal... »(Proverbes 3:5-7)

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Jesus a radicalement changé ma vie!

billIl y a 30ans cette semaine, ma vie a radicalement changé.

J'avais 22 ans et je n'allais nulle part. J'avais déjà échoué à l'université.J'avais des petits boulots par-ci par-là. J'avais des rêves et des ambitions, et un tas de talent, mais je n'arrivais pas à sortir le bateau du port. Je n'arrivais même pas à le maintenir à flot.

Je coulais. Rapidement.

Les drogues et l'alcool, qui étaient si amusants, ne me satisfaisaient plus. Peu importe combien j'en prenais, et peu importe les combinaisons. La drague, les relations brisées, la fête, tout ce que je consommais. Tout cela me laissait vide, misérable, frustré et...tourmenté.Je n'avais aucune paix. C'était l'enfer sur terre.

J'étais désespéré.

Quelque chose en moi a commencé à crier. J'avais besoin d'aide. Rapidement.

Je cherchais la paix. Les drogues ne marchaient plus, en fait, elles empiraient les choses. Le sexe, la musique, l'argent, l'égoïsme...rienne me donnait la paix.

Quelque chose en moi criait à Dieu :"Qui que tu sois, où que tu sois, aide-moi, donne-moi la paix."

J'ai étudié différentes religions. J'ai cherché. Je me suis frayé un chemin dans la grotte sombre e tboueuse de mon âme. Tourmenté. Désespéré.

Je coulais rapidement.

Finalement, une nuit de début septembre, je me suis faufilé dans la chambre de ma mère et j'ai pris sa bonne vieille Bible. La dernière chose que je voulais, ou dont j'avais besoin, était la religion. J'avais besoin de paix. Et d'amour. Et de pardon.

Beaucoup de doutes sur Jésus ont traversé mon esprit. J'avais déjà un peu essayé ce genre de choses quand j'étais enfant et adolescent. Rien de très sérieux, mais je connaissais certaines des bases. Et oui, les gens que j'avais rencontrés à l'église à l'époque étaient, rétrospectivement, vraiment gentils, chaleureux, aimants et...pacifiques. Mais, je n'étais pas prêt pour un voyage religieux, mec.

Cependant, je ne pouvais pas nier la lumière que j'avais vue dans les yeux d’une femme âgée qui m’enseignait quand j'avais environ 8 ans. Cette lumière était brillante. Elle suintait de l'amour. Et de la paix.

Alors je me suis plongé dans cette bonne vieille Bible.Mais je n'avais lu que l'Ancien Testament, la partie écrite avant la vie de Jésus.Je voulais faire mes PROPRES recherches.Je voulais découvrir parMOI-MÊME. Pas d'église, pas de religion, pas de paroles d'hommes. J'essayais juste de trouver ce Dieuqui était apparu à la Mer Rouge et avait sauvé Charlton Heston dans ce célèbre film.

Alors j'ai lu, et j'ai crié à Dieu."S'il te plaît, aide-moi."

Et j'ai lu, et j'ai crié. Et j'ai lu, et j'ai lu, et j'ai lu. Et j'ai pleuré.

Et puis...Il est venu.

Mes yeux étaient tombés sur le 53e chapitre d'Isaïe, un prophète qui a écrit vers 700 av. Il décrivait le futur Messie et comment il allait mourir pour les péchés du peuple.

"Mais il était blessé pour nostransgressions,

Il a été meurtri pour nos iniquités,

Il a reçu le châtiment de la paix,

et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris."

Et puis...Il est venu.

Le langage humain est inadéquat pour expliquer ce qui s'est passé à ce moment-là.

C'est comme si une vague d'amour et de paix s'était abattue sur moi, comme je ne l'avais jamais ressentie auparavant.

Une vague après l'autre d'amour liquide a déferlé sur moi et en moi et, en un instant, j'ai su que Jésus était réel. Et qu'il m'aimait. Et qu'Il avait fait tout cela...POUR MOI. Et que d'une manière ou d'une autre, Il était là, dans ma chambre de la cité Liddonfield, début septembre 1992.

Son amour s'est brisé sur moi et je suis né de nouveau.

C'était...non, ...IL était...accablant, et exaltant, et passionnant, et gentil. Et la paix. Il était, et il EST, la paix.

J'ai pleuré, pleuré et pleuré. Et je me suis délectée de son amour. Et je lui ai donné tout mon coeur, tout mon amour, et toute ma vie.

Et en un instant, ma vie a complètement changé.

D'un jour à l'autre, j'étais complètement différente.

Pas parfait.

Pas toujours ce que je voulais être.

Et pas toujours ce que je vais être.

Mais je n'étais certainement pas ce que j'étais avant.

Et tout cela, c'est grâce à Lui. Parce qu'il est l'amour.

Et depuis lors - il y a trois décennies -Il a été indéniablement fidèle.

Et tellement, tellement bon.

Je n'ai jamais regretté, ne serait-ce qu'une seconde, de lui avoir remis mon cœur et ma vie. Jésus. Le Prince de la Paix.

Il y a 30ans cette semaine, ma vie a radicalement changé. Et je ne reviendrai jamais en arrière.

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Électrocuté ...et puis!

David Nolent, Directeur de Top Chrétien site web, il travaille principalement sur la vision, l’innovation, les projets d’annonce de l’Evangile, les partenariats et les finances.

david nolentÉlectrocuté, j'ai vu la mort de très près...

J'étais tétanisé par le courant qui parcourait tout mon corps. Cela faisait déjà 40 secondes que j'étais électrocuté… cela me parut comme une éternité ! Je voyais les gens me regarder sans comprendre pourquoi j'arrêtais de jouer de la guitare et de chanter. Je me suis dit : "Si personne n'arrête ce courant, dans 2 secondes, mon cœur va lâcher.".

Une fête gâchée

Heureusement, Eric, le bassiste, cria : "Débranchez tout ! David se prend un gros coup de jus !". Et ce fut la délivrance. A cause du courant, ma guitare avait été collée sur mes mains, qui avaient été gravement brûlées. J'étais complètement sonné tel un boxeur qui prend un uppercut et qui tente de se relever. Nous étions en 1997, à Arras dans le nord de la France, plus précisément le 21 juin lors de la fête de la musique. Ce jour-là, j'ai vu la mort de bien près…

Bien sûr, au grand regret de mon groupe de musique, le concert en plein air a dû être annulé. Après avoir repris mes esprits et en attendant d'être soigné, je décidai de me promener dans les ruelles d'Arras pour écouter les autres groupes de musique. Cette expérience m'avait vraiment secoué dans tout mon être. "J'ai failli mourir", me dis-je. "Si j'étais mort, où serais-je maintenant ? Ce Dieu d'amour en qui j'ai toujours cru, qui est-il au fait ? Et pourquoi je crois qu'il est 'amour' alors que je ne l'ai jamais vu ?"

Une erreur de jeunesse qui fait mal

Je continuais à marcher quand mes pensées s'évadèrent pour me ramener à 2 ans plus tôt, à Evreux en Normandie. Je revis V. pleurer toutes les larmes de son corps. Je ne comprenais toujours pas pourquoi j'avais fait cela. J'avais juste voulu faire comme tous les jeunes de mon âge, avoir une première expérience, sortir avec quelqu'un. Mais il faut dire que, dès le départ, je n'étais pas bien convaincu de cette relation. Et l'inévitable arriva au bout d'un an, j'avais "cassé" avec elle avant de partir continuer mes études à Lille. Elle était brisée. Deux ans après, je n'arrivais toujours pas à me pardonner. Je n'étais pas en paix avec moi-même et avec Dieu. J'avais brisé le cœur de quelqu'un. S'en était-elle remise ? Je me sentais si coupable…

Un voyage inattendu

Six mois après l’électrocution, je partis en Angleterre pour terminer mes études d'ingénieur en tant qu'étudiant Erasmus. Je rencontrai Marc, un gars avec qui on parla de la Bible et de Jésus pendant de longues minutes. Je lui expliquai être contre la religion : selon moi, ce n'est pas en allant à l'église qu'on devient meilleur. Je lui partageai aussi ma réflexion : nous sommes tous pécheurs, moi le premier ; mais essayer de faire le bien est suffisant. Ce qu'il me partagea ensuite changea toute ma vie. Il me dit que la Bible n’amenait pas vers une religion mais vers une relation avec Dieu.

Vous avez un nouveau message

Il m’expliqua le message central de la Bible : non pas "Va à l'église" mais "Reçois Jésus le cadeau de Dieu !". Puis il me dit : "Jésus, c'est le Fils de Dieu qui s'est fait homme pour s'offrir en sacrifice à la croix, pour enlever notre culpabilité en prenant nos fautes.".

Quand il me dit ces mots, j'eus la conviction que c'était vrai et je sentis la culpabilité de tous mes péchés s'envoler ! Je ressentis immédiatement la présence de l'amour de Dieu et une paix indescriptible !

Ils se marièrent et…

Depuis ce jour, cette présence est toujours là et ma vie a complètement changé en positif. Et même si ce n'est pas facile tous les jours, je sais que Dieu est mon Père, qu'il est là et cela fait une grande différence !

Aujourd'hui, je suis marié avec la merveilleuse Iryna et nous avons 3 superbes petites filles, Maria, Anna et Elisa ! Nous allons dans une superbe église en région parisienne où nous rencontrons d'autres croyants qui vivent la même relation avec Dieu que nous.

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Le pouvoir de la vulnérabilité

Pierre Bergeron
Un guerrier dans l’âme, c’est ce que je suis.  Avant même de servir 21 ans dans les Forces armées canadiennes, déjà, j’avais adhéré aux principes qui régissent le guerrier :eduard-delputte-DezIqettd-E-unsplash1

• Respecter un code d’honneur de façon indéfectible.
• Ne pas être arrogant, car l’arrogance est une faiblesse qui peut être exploitée.
• Servir le peuple en défendant nos libertés et notre façon de vivre.
• Faire preuve d’empathie envers ceux que je protège.
• Ne jamais accepter la défaite tout en acceptant que la mort est inévitable.

Entretenir l’esprit guerrier et vivre sa vie à fond est un travail de tous les jours. Une bonne partie de ma vie s’est passée à foncer sans toutefois reconnaitre mes vulnérabilités; et ce, pour différentes raisons.  Cependant, durant les dernières années, j’ai commencé à comptabiliser ces moments vulnérables. Au début, je n’ai pu en nommer que quelques-uns.  Pourtant, en poussant ma réflexion, j’ai réalisé qu’il y en avait beaucoup plus que je pensais.

La maladie de Louise durant les six derniers mois, mes défis avec l’arthrose m’ont aidé à me donner la permission d’oser « réhumaniser » une partie de mon parcours.  Assumer sa vulnérabilité n’est pas une faiblesse. Après tout, l’apôtre Paul dans la Bible nous rappelle que nous expérimentons l’Évangile dans nos vies en même temps que la fragilité des « vases » qui la contiennent.  Donc, le fait de prendre un risque émotionnel en acceptant l’incertitude, ses faiblesses et ses limites, oser se montrer sous son vrai jour est une démonstration de courage.

À maintes reprises, j’ai été inspiré par une partie d’un discours que Théodore Roosevelt prononçait en 1910 libellé : « l’homme dans l’arène ».  Connais-tu ce texte ?
« Ce n’est pas la critique qui compte. Celui qui montre du doigt l’homme qui fait un faux pas ou qui explique comment on aurait pu mieux faire n’est qu’un observateur.
Le crédit appartient à l’homme (à la personne) qui lutte vaillamment dans l’arène le visage imprégné de poussière, de sueur et de sang, l’homme qui se trompe et manque souvent son coup…
Parce qu’il n’y a pas d’efforts sans erreur.  Mais celui qui lutte vraiment pour accomplir, qui connaît les grands enthousiasmes et les grandes dévotions; qui se dévoue à une grande cause…
Celui qui connaît, à la fin, le triomphe de l’accomplissement, et qui, au pire, s’il échoue, le fait en osant beaucoup… »

En fin de compte, être une bonne influence pour mes enfants, petits-enfants et collègues, n’est pas d’être le super père, grand-père et mentor en dénie de sa vulnérabilité.  C’est d’être authentique avec mes victoires en étant aussi capable de jeter un regard honnête sur mes imperfections, mes blessures et défaites.

Je veux témoigner à mes enfants, petits-enfants et amis, que vivre sa vie à fond, que ce soit au niveau personnel, spirituel ou professionnel, requiert une bonne dose d’engagement et de vulnérabilité.  Vivre pleinement, c’est entrer dans l’arène de la vie et oser livrer le combat avec audace et courage sans avoir la certitude sur la fin du combat.  C’est d’être conscient de sa vulnérabilité et reconnaître la réalité sans se laisser freiner ni paralyser par elle.
Bonne semaine et oser livrer le combat avec audace et courage !
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Photo by Eduard Delputte on Unsplash

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Et toi, quel est ton rêve ?

woman-g6c81ea249 6401Pierre Bergeron

Quel est ton rêve ?

Quand j’ai terminé mon secondaire, je caressais le rêve de servir Dieu et mon pays comme aumônier militaire dans les Forces armées canadiennes.  Ça m’aura pris 21 ans avant que celui-ci se réalise.

Et toi, quel est ton rêve ?

J’aime poser cette question.  Quand je la pose, certains sont en mesure de me le décrire en détails, tandis que d’autres, pour diverses raisons, semblent mal à l’aise de le partager. Une autre catégorie de personnes m’explique qu’elles n’ont pas, où n’ont plus de rêve.  Quand j’entends cela, ça me laisse perplexe, car je crois que rêver est important pour entrevoir le futur avec optimisme et enthousiasme.

Definition

Un rêve se définit comme étant « une image inspirante de l’avenir, qui stimule notre esprit, notre volonté et nos émotions, en nous donnant les moyens de le réaliser [1]».  Que tu utilises le mot rêve, fardeau, ou vision, je crois que « le rêve peut être un aperçu de la destinée que Dieu sème dans ton esprit.  Celui-ci t’interpelle et te propulse dans un parcours infiniment plus grand que ce que tes prières peuvent demander, ou que ton imagination ose espérer ».

L’un des bienfaits d’être un croyant est de porter la conviction que je ne suis pas un accident de la nature.  C’est le grand Artiste divin qui a planifié ma création, qui m’a confié des talents particuliers, des capacités spécifiques, une personnalité et une histoire unique.  C’est la même chose pour toi!

Mais comment faire pour t’assurer que ton rêve ne tourne pas en cauchemar ?

Voici dix questions essentielles pour bonifier ta réflexion par rapport à ton rêve :

1. Est-ce bien ton rêve, ou est-ce celui que quelqu’un d’autre ? 2. Est-ce que tu as une image claire de ton rêve ? 3. Est-ce que ton rêve est réaliste, c’est-à-dire qu’il dépend de facteurs relevant de ton potentiel, tes dons et talents ? 4. Est-ce que tu possèdes la passion nécessaire pour poursuivre ton rêve ? 5. As-tu un parcours stratégique pour réaliser ton rêve ? 6. Es-tu entouré par des personnes pouvant contribuer à la réalisation de ton rêve ? 7. Es-tu prêt à payer le prix pour la réalisation de ton rêve ? 8. Possèdes-tu la ténacité et la résilience nécessaires pour réaliser ton rêve ? 9. Est-ce que le parcours menant à la réalisation de ton rêve te procure de la satisfaction ? 10. Est-ce que la réalisation de ton rêve est profitable à d’autres que toi?

Si tu penses que tu n’as plus de rêve, je te laisse avec une citation inspirante de Dale Turner : « Les rêves sont renouvelables.  Quel que soit notre âge et quelle que soit notre condition, il y a encore en nous des possibilités inexploitées et une nouvelle beauté qui attend de naître ».  Ne laisse pas les démolisseurs de rêves te voler ta destinée.  Bref, il n’est jamais trop tard pour rêver!

Ton reve est-il en pause ?

Des personnes ont pris le temps de m’écrire pour me partager leur rêve, tandis que d’autres m’ont partagé les circonstances difficiles de leur vie qui font obstacle à la réalisation du leur.

Crois-moi, je comprends très bien cette réalité, car je la vis depuis des mois maintenant.

La vie n’est pas un scénario hollywoodien qui se déroule tel que le scripteur l’a imaginé.  La vie est plus souvent parsemée d’imprévus de courte durée, tandis que pour d’autres, ces imprévus peuvent sembler interminables.

Par exemple, mon épouse a subi un triple pontage cardiaque en octobre dernier et a dû être réopérée d’urgence le 29 décembre, suite à des complications. Tu comprendras que depuis le mois d’octobre, j’ai dû me transformer en aidant naturel, pour soutenir mon épouse qui est alitée pendant sa convalescence.  Je veille également sur ma mère qui aura bientôt 98 ans, en faisant ses courses, du lavage et en l’accompagnant, elle aussi, à ses rendez-vous médicaux.

Des pressions

Je vis également la pression d’assumer mes responsabilités professionnelles (mon rêve) qui sont de composer de nouvelles formations, rédiger des blogues et monter un nouveau site web, etc.   Dans ces moments difficiles, il est important de solliciter le soutien de ses proches pour nous aider à surmonter le défi, tout en continuant d’avancer.  Je suis donc reconnaissant pour le soutien de notre famille.

Cependant, certaines personnes sont freinées dans la progression de leurs rêves, soit à cause de la maladie d’un proche, d’un accident, la naissance d’un enfant, une dépression, un divorce, la perte d’un emploi, des déceptions, etc.  Bref, il arrive qu’on soit victime de malheureuses circonstances, mais parfois, nos choix peuvent nous paralyser.  Savais-tu que la déception est souvent l’écart qui sépare nos attentes de la réalité quotidienne et de la réalisation du rêve?

Chacun d’entre nous a déjà expérimenté cet écart qui se produit lorsqu’une expérience engendre des résultats différents de ceux espérés. Nous devons tous composer avec des désirs inassouvis, ou des rêves inachevés.  Il est facile dans de tels moments de baisser les bras et d’abandonner en se disant : « Je n’y arriverai pas! »

Le prix à payer

Toutefois, le fait d’affronter les obstacles et surmonter les échecs est le prix à payer pour connaître la réussite.   Quand je repense à mon parcours pour atteindre mon rêve de servir Dieu et mon pays dans les Forces armées canadiennes, j’ai dû attendre 21 ans avant de le réaliser.

Voici donc la leçon de vie que je retiens : « Je ne dois pas renoncer à mes aspirations mais plutôt modifier le parcours pour m’y rendre. »   Mon service militaire m’a appris l’importance de l’agilité et de l’adaptabilité pour réaliser la mission.  Alors courage! Dveloppe un esprit combatif et ne renonce pas à tes rêves et aspirations juste parce que la vie t’amène à ralentir ou les mettre en pause un moment.  Ça fait partie de ton histoire et de ta destinée.

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[1] JOHN C. MAXWELL, Du rêve à la réalité, Éditions du trésor caché, Varennes, 2009, Pg.11

Image par S. Hermann & F. Richter de Pixabay

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S’aimer jusqu’au bout est possible !

Rachel et moi, il y a plus de 20 ans de cela, avions l’habitude avec notre Église chaque année pour Pâques et pour Noël, de visiter avec le groupe du culte des enfants, une maison de retraite où de nombreuses personnes âgées venaient écouter les chants des tout-petits. Notre Église désirait ainsi apporter joie et chaleur à ces aînés, parfois bien seuls au moment des fêtes, au travers du message de l’Évangile chanté.

Un jour, nous eûmes l’heureuse surprise de rencontrer un couple de personnes du quatrième âge, ils avaient 98 ans chacun, et venaient de fêter leur 80 années de mariage, incroyable, non ? Pas de doute, ils avaient traversé ensemble beaucoup d’épreuves : les deux guerres mondiales, peut-être avaient-ils eux-mêmes perdus des enfants, ils avaient aussi dû connaître à plusieurs reprises la maladie… que de choses ils avaient à raconter !

Tous les deux avaient une belle peau fripée par les années, mais ce qui nous surprit le plus était que, loin de se plaindre, ils rayonnaient d’une véritable joie de vivre.
Des rhumatismes, des articulations douloureuses, des soucis… en avaient-ils ? Oui, sans aucun doute ! Mais ils avaient une étincelle de bonheur dans le regard qu’ils se portaient l’un envers l’autre, qui valait tous les discours. Ils se tenaient par la main, et se bécotaient avec un plaisir non-dissimulé, qui révélait une longue poursuite amoureuse l’un de l’autre.

Rachel et moi étions loin de nous imaginer, à cet instant, combien leur exemple nous influencerait.

Oui, vieillir ensemble est une bénédiction ! Après un cancer à 37 ans, suivi d’une méningite l’année d’après, nous avons réalisé Rachel et moi que vieillir en couple était une grâce incroyable ! Nous avons décidé de faire en sorte que chaque jour compte pour notre couple et notre famille.

ericOui, s’aimer jusqu’au bout est possible ! Il n’y a pas de fatalité dans le couple, car Christ est toujours du côté de notre mariage.

Non, l’amour n’est pas supposé mourir entre deux conjoints après quelques années de vie commune. Ou alors, Dieu nous aurait trompés en nous proposant la monogamie comme style de vie, ce qui est impossible.

Si chacun dans le couple demeure intentionnel, investit dans des temps de vie spirituelle commune, pratique le pardon, met en place des rendez-vous amoureux, des loisirs en commun, fait l’effort de chercher à comprendre les besoins fondamentaux de l’autre en les lui demandant, et en les mettant en pratique au quotidien... alors il n’y a aucune raison pour que votre amour ne se renforce pas d’année en année !

Aujourd’hui, est-ce que j’aime ma femme plus qu’avant, non pas plus, mais beaucoup mieux, ça oui c’est certain ! Et c’est accessible à chacun d’entre nous, avec l’aide et la grâce de notre Sauveur.

Eric & Rachel Dufour

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La Pornographie

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Eric & Rachel Dufour

L'accès à la pornographie est de plus en plus facile depuis l'avènement d'Internet et constitue un problème endémique pour de nombreuses personnes. La pornographie peut sembler sans danger, avec peu de risques et sans aucune conséquence apparente. " Elle n'implique pas des personnes « réelles » autour de nous, elle semble n'avoir aucune conséquence et de plus cela ne fait de mal à personne".

Mais est-ce vraiment la réalité ? Non, ça ne l'est pas !

Nous voulons vous informer sur ce « monstre » qui rôde et se renforce, à cause du mur de silence érigé autour de ce sujet, trop longtemps resté tabou.

Nous discuterons plus en détail de ce sujet lors de notre Live sur YouTube ! 

CLIQUEZ Pour visionner (apres mercredi)

Aussi: Les secrets d'un mariage réussi  

image: Pixabay/BilliTheCat

 

 

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Guérie de la cécité

Par Shirley Potter

Cette grand-mère raconte comment Dieu lui a donnée une vision 20/20 dans son œil gauche après avoir été légalement aveugle.

112Je vivais au sommet de la montagne. J'avais un super boulot, je faisais beaucoup de voyages. Je rentrais tout juste d'une affectation spéciale à Washington DC, et c'est là que je voulais être sur mon cheminement de carrière.

J'ai dû travailler de longues heures, même certains week-ends, mais je croyais toujours en Dieu, lisais ma Bible à l'occasion et faisais mes prières.

Vous savez comment est la vie, tant de choses nous attirent à notre époque. J'ai pensé que durant tout le temps libre que j'avais le week-end, je méritais de me reposer. Je pourrais toujours me rattraper plus tard avec Dieu.

La cécité frappe

Le matin du 18 novembre 2004, ma vie a changé pour toujours. Je me suis réveillée et n'ai pu voir qu'une masse grise. En utilisant la vision latérale, j'ai pu trouver mon téléphone et appeler à l'aide. Je suis allée voir mon optométriste. Il a dit avoir vu des saignements sévères aux deux yeux et m'a envoyée immédiatement chez un ophtalmologiste. On m'a diagnostiqué une dégénérescence maculaire humide dans les deux yeux.

À cette époque, le seul traitement disponible pour les saignements était les brûlures au laser, alors j'ai commencé des semaines de ce traitement pour arrêter les saignements. Chaque fois que mon médecin pensait qu'il avait arrêté les saignements, j'avais des suintements jusqu’à la visite suivante, nécessitant encore plus de brûlures. Après des semaines de brûlures, mon médecin a arrêté tous les saignements. On m'a dit de rentrer chez moi, de laisser mes yeux guérir jusqu'à mon prochain rendez-vous.

Je suis allée habiter avec ma fille car je ne pouvais pas prendre soin de moi. Ce fut la période la plus humiliante de ma vie. J'avais toujours été une personne qui prenait la responsabilité de sa vie.

Bien sûr, je parlais à Dieu de mes problèmes, je Lui donnais même le soin de les gérer. Si je ne recevais pas de réponse tout de suite, je les reprenais, pensant « Dieu as-tu pensé à ceci ? ». Comment pouvais-je être aussi arrogante ? C'était une bataille qui était au-dessus de mes forces.

En attendant que mes yeux guérissent, je ne pouvais voir qu'un cercle noir entouré de couleurs. Quand je regardais les visages de ma famille, je voyais le cercle noir au lieu de leur visage. S'ils étaient assez loin, je pouvais voir leurs cheveux mais jamais leurs traits de visage. Je ne pouvais pas voir la télévision, quelle que soit la taille de l'écran. Je ne pouvais pas assortir mes vêtements, cuisiner mes repas, agir à ma guise ou même regarder dehors.

Pas d'amélioration

Enfin, le jour est venu de mon bilan de santé. J'étais excitée parce que le cercle noir s'était estompé et que je pouvais voir de la couleur. Alors que mon fils me conduisait à mon rendez-vous, j'étais tellement heureuse de pouvoir identifier les couleurs de camions ! Je savais que mes yeux s'amélioraient : « donnez-leur juste un peu plus de temps ».

Quand je suis allée voir mon médecin, il a fait une longue série de radiographies et d'examens. En regardant le tableau pour mesurer l’acuité visuelle, je ne pouvais même pas voir le grand E en haut du tableau.

Légalement aveugle

Enfin, l'infirmière nous a appelés, mon fils et moi, dans le cabinet du médecin. Il m'a dit que c'était le mieux que mes yeux ne seraient jamais et il a posé le diagnostic :

« légalement aveugle des deux yeux ».

Son infirmière nous a emmenés au dernier étage où il y avait différents articles qui pourraient m'aider à gérer mon handicap, une horloge parlante - un énorme engin qui ressemblait à un rétroprojecteur pour grossir considérablement les choses - des livres en braille, des livres audio. 

Ce fut une expérience horrible, je ne savais pas comment je pourrais m'adapter.

Ma foi en Dieu s'est tellement développée au cours de cette épreuve ! Je suis allée à l'église régulièrement avec mes enfants, j'ai écouté des enregistrements de la Bible et j'ai prié. Je ne pouvais pas accepter l'idée d’être aveugle pour le reste de ma vie. J'ai vraiment mis toutes mes peurs au pied de la croix. Je savais que par la grâce de Dieu, je pourrais supporter les défis auxquels je faisais face.

Dieu fait une promesse

Alors le Saint-Esprit m'a parlé. Je n'oublierai jamais où j'étais, la position de mon corps et le son de Sa voix. Il m'a dit que je reverrais ! C'était en 2005. Je me suis accrochée à cette promesse, la tenant près de mon cœur.

Je n'ai pas souvent parlé de mes expériences à cause des réactions des gens. Les gens, même ceux qui allaient régulièrement à l'église, me faisaient juste un sourire pitoyable, ils hochaient la tête et s'éloignaient. Ils semblaient penser que Dieu ne faisait plus de miracle. Mais je savais, et je croyais dans mon cœur que je reverrais.

Dieu tient Sa parole

J'ai dû quitter mon travail, emménager avec mon fils, mais je devenais chaque jour plus forte dans ma foi. Les années ont passé, aucune amélioration dans mes yeux mais plus de saignements. Ma foi n'a pas faibli ! Je savais ce que mon Sauveur avait dit, je reverrais.

En juillet 2011, je me suis réveillée et j'ai tout de suite su que mon œil gauche était en hémorragie. J'ai appelé mon médecin. On m'a dit que mon médecin était en vacances mais qu’il y avait un nouveau médecin dans le personnel, il pouvait me voir immédiatement.

Après avoir été examinée, on m'a dit qu'il y avait eu un nouveau médicament, approuvé par le gouvernement et qui venait de sortir le mois précédent. Ma clinique venait de recevoir leur première commande. C'était une piqûre qui serait donnée dans la partie supérieure de mon œil, cela arrêterait les saignements et remplacerait le traitement des brûlures au laser fait auparavant.

Je suis rentrée chez moi cet après-midi-là pour décider si je voulais ce traitement. J'ai pris la décision de l’essayer, qu'avais-je à perdre ? Je suis retournée le lendemain, j'ai reçu le traitement et, une fois de plus, j'ai été renvoyée chez moi. C'était six ans après que le Saint-Esprit m'ait dit que je reverrais.

La vision revient

Je n'ai pas vu tout de suite mais au cours des semaines suivantes, j'ai guéri lentement, très lentement. Quand je suis retournée pour mon examen, j'étais très excitée de pouvoir partager ce miracle avec mon médecin ! Cependant, quand je lui ai dit que je pouvais voir avec mon œil gauche, il a juste secoué la tête.

Il a dit qu'en raison du nombre de brûlures que j'avais, chaque morceau de ma macula était couvert de cicatrices, je ne pouvais pas voir. Mais je savais la vérité, je pouvais voir ! Je lui ai dit de mettre le diagramme des yeux en place et de me le montrer. Il m'a fait ce sourire condescendant, « bien sûr, Shirley », et il a tourné le tableau. J'ai pu lire à partir de mon œil gauche avec une vision de 20/20.

Le docteur ne pouvait pas le croire ! « Mais comment ? » marmonna-t-il.

J'ai dit : « Par la grâce de Dieu ! ».

Ils m'ont donc renvoyée pour d'autres radiographies car cela ne pouvait pas arriver. Ensuite, mon fils et moi avons de nouveau été appelés au bureau du médecin.

Il avait trouvé une minuscule tache sur mon œil qui n'était pas couverte de cicatrices, une tache si minuscule qu'il ne l'avait pas vue jusqu'à ce qu'il revienne et regarde à nouveau.

Seulement par la grâce de Dieu !

Dieu a mis six ans pour tenir Sa promesse de me permettre de revoir. Il tient toujours Ses promesses et elles se réalisent en Son temps, par Sa volonté et à Sa manière. Dieu fait toujours des miracles !

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Je suis désolé(e)...

2015-07-29 160038

« Je suis désolé(e) », trois petits mots qui vont simplifier et apaiser vos disputes.

« Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas. Que le soleil ne se couche pas sur votre colère. » Éphésiens 4:26

Voilà un verset clé à garder en tête quand nous avons besoin d’une ligne directrice pour gérer les disputes dans le couple.

La bible nous encourage fortement à ne pas laisser les tensions s’installer, sans résolution entre nous. Il y a une dimension spirituelle cachée dans ce verset… La discorde qui s’envenime donne un accès au diable… et voilà vraiment un invité dont nous n’avons pas besoin, surtout en cas de tension !

Alors, comment fait-on pour respecter ce verset ? Il est bien évident … que ce n’est pas évident !
 
Certaines conversations, difficultés, disputes sont tellement douloureuses et profondes que nous avons besoin de temps. Le temps permet à la colère de s’apaiser, aux idées de se clarifier, au Saint-Esprit de travailler nos cœurs, aux conversations de reprendre, et aux solutions de naître.

La bible ne nous demande pas d’avoir résolu les dites disputes avant la fin de la journée, mais simplement de ne pas terminer la journée en étant en colère l’un avec l’autre. Cela fait une grosse différence !

« Pour le moment, tu m’énerves, mais je t’aime, c’est mon choix… et je suis désolé(e) ! »

Voilà une disposition de coœur qui permettra au Saint-Esprit de faire son travail dans le cœur de chacun.
Si chacun honore cette démarche dans son coeur, c’est un pas vers l’autre qui est fait…

N’attendez pas de vous sentir réconciliés pour avancer vers l’autre, pensez à ce verset d'Ephésiens… Il ne s’agit pas d’avoir résolu la dispute mais d’avoir un état de cœur qui veut la paix, qui choisit de demander pardon pour sa part, et qui fait le pas vers l’autre.

Vous n’êtes pas seul(e), Dieu est de votre côté et veut le bonheur de votre couple. Il vous aidera !
À très bientôt,
Eric & Rachel Dufour

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Tu ne m’aimes pas !

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Eric & Rachel Dufour

Combien de fois avez-vous déjà utilisé cette phrase avec votre mari quand vous vous sentiez oubliée par lui ? Les situations peuvent être diverses et variées et laissent systématiquement nos maris fâchés mais surtout dans une incompréhension débordante d’interrogations…

« Comment peux-tu dire que je ne t’aime pas simplement parce que je marche plus vite que toi ? »
« Comment peux-tu dire que je ne t’aime pas simplement parce que n’ai pas pendu ma veste en rentrant ? »
« Comment peux-tu dire que je ne t’aime pas simplement parce que j’ai oublié de t’appeler aujourd’hui, j’ai vraiment eu une journée de folie au travail ! »

Et voilà comment des tensions et des disputes se développent et peuvent devenir de vraies zones de conflits et d’éloignement entre des époux.

Il y a des vrais trésors à découvrir sous ses mines tellement douloureuses.

Une phrase qui amènera la vie

Et si vous retourniez cette phrase assassine « Tu ne m’aimes pas ! » en une phrase qui amènera la vie : « Je me sens aimée par toi quand tu... »

« Quand tu marches à ma hauteur ou me prend la main lorsque nous nous rendons quelque part ensemble, je me sens tellement aimée et en sécurité ! »
« Quand tu penses à ranger ta veste lorsque tu reviens à la maison, je me sens tellement aimée par toi, cela me dit que tu respectes le bien être que je ressens quand notre maison est bien rangée. »
« Quand tu penses à m’appeler ou me texter une fois par jour, je me sens tellement aimée par toi ! Merci d’avoir mis une alarme sur ton téléphone pour ne jamais oublier… entendre ta voix ou lire tes mots me garde connectée à toi tout au long de la journée... »

Bien sûr, voilà simplement des exemples généraux mais réfléchissez à votre propre quotidien. Lorsque vous avez un sujet de tension récurrent qui vous laisse systématiquement triste et distant lorsque vous l’abordez, essayer de retourner l’attaque et l’accusation en investigation pour trouver le secret caché de ce qui vous fera vous sentir aimée exactement au moment où vous aviez l’habitude d’avoir des tensions avant…

« Je me sens tellement aimée quand ... » Voilà une phrase qui va changer votre vie !


Image par Pezibear de Pixabay

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Bob Marley ou Jésus ?

« … en quelques mois je suis passé d'une personne athée et perdue à un chrétien heureux et comblé »

bob-marley-156544 640Je m'appelles Nasser, j'ai 34 ans et je suis français d'origine algérienne avec un arrière plan musulman.

J'ai grandi avec mes quatre frères dans une famille modeste avec une merveilleuse maman au foyer qui avait foi en l'islam et un papa ouvrier qui travaillait dur mais. Malheureusement, il avait foi en l'alcool et à ses semblables.

J'ai beaucoup souffert de ça, à tel point que mes seules prières d'enfant étaient que mon papa arrête de boire et qu'il y aurait la paix à la maison. Puis, je me suis résigné à me dire que je n’étais pas né sous la bonne étoile et que la vie était ainsi faite.

Sa vie se dégringole

Vers 12 ans j'ai commencé à faire le Ramadan pour plaire à ma maman et à mes grands-parents. À 15 ans j'ai décidé d'aller à l'école coranique pour les mêmes raisons. J'ai appris à prier en arabe mais j'ai surtout appris tous les interdits de la religion qui me rendait paranoïaque.

Quelques mois plus tard je quittais donc cette école puis, petit à petit la religion musulmane. J'ai donc arrêté de suivre l'exemple de ma maman ce qui m'a amené, vers 16 ans, à suivre celui de mon père.

J'ai trouvé aussi mon refuge en la personne de Bob Marley qui avait subi le racisme, n'avait pas eu de père et qui prônait malgré tout la paix et l'amour mais aussi le rejet de la société.

Des festivals de reggae avec des hippies

À 19 ans, je me suis mis en couple avec une amie d'enfance qui deviendra ma femme et la mère de mes 2 magnifiques enfants. J'ai été un mari et un papa aimant mais loin d'être exemplaire parce que je pensais que tant que le frigo était plein et que les factures étaient payées je pouvais partir faire "la fête" tous les week-end avec mes amis et rentrer complètement alcoolisé quand tous le monde dormait ou pire partir des semaines complètes dans des festivals de reggae avec des hippies.

C'est à partir de 2016 que j'ai commencé à récolter les fruits de cette vie de débauche. J'ai fermé ma société de btp dont j'étais gérant pendant 6 ans et l'année d'après je me séparais de ma femme avec qui j'étais depuis 13 ans.

Mais comme j'étais aveuglé par l'ennemi ça ne m'a pas empêché de continuer de brûler la vie par les deux bouts.

Fin 2018 une amie qui me voit un lundi après un week-end très chargé (en alcool) me dit : « tu devrais te rapprocher de Jésus ».

Laisses-moi tranquille avec ton Jésus

Là, ma réaction a été directe : « oh laaaa... laisses-moi tranquille avec ton Jésus.  Si je dois me retourner vers quelque chose ce sera l'islam par rapport à mes ancêtres mais certainement pas vers Jésus. »

Elle me dit : « si tu veux je peux te laisser un nouveau testament quand même ».

Je lui ai dit : « si tu veux, mais je te préviens qu'il va prendre la poussière parce que je ne le lirais pas ».

À cela je part au travail, je monte dans ma voiture, j'allume la radio mais je ne captais plus aucune station. Au bout de quelques minutes de recherche je capte une prière dans laquelle on louait Jésus. "Oh Jésus est notre sauveur, c'est le plus grand etc..."

A la fin de cette prière la présentatrice nous dit : " vous étiez bien sur la radio RCF ",  et aussitôt je ne captais plus cette station, dont je n'avais jamais entendue parler.

En cherchant sur Internet j'ai découvert que la radio RCF c'est la « radio des chrétiens de France ».

Pas de poussière

Du coup la bible n'a pas eu le temps de prendre la poussière parce que j'ai commencé à la lire le soir même. Je suis rentré dans une période où je me posais énormément de questions, j'ai fait beaucoup de recherches sur internet, regardé des dizaines de témoignages sur You Tube des imams convertis, des miracles etc... plus je recherchais et plus Jésus devenait une évidence.

Je me suis rendu compte aussi que la vie que je menais depuis plus de 15 ans m'emmènerait partout sauf vers le bonheur. Quelques semaines plus tard (fin février 2019) j'ai décidé de me rendre à une assemblée évangélique (ADD de Pentecôte de Metz) par curiosité.

Touché par Dieu

J'ai été touché instantanément, j'ai compris que j'étais enfin sur le bon chemin et j'ai pleuré pendant toute la première demi heure. À la fin du culte, quand le pasteur a demandé si il y avait des visiteurs je me suis levé et j'ai dit avec la voix cassée : « j'habite à 500 mètres mais je reviens de très loin ».

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Libérer de la drogue pour une nouvelle vie

A 4

Mathieu Thoman

Tourner la page, repartir à zéro, sur de nouvelles bases plus solides et plus saines, c’est  ce que j’ai pu expérimenté en 2003, étant alors en pleine rupture avec ma famille, le monde scolaire et les institutions de mon pays.

A cette époque, une de mes sœurs, Rachel, m’encourageait à m’en sortir, à quitter le milieu de la délinquance et de la toxicomanie, mon quotidien depuis plusieurs années. Sa solution ? Faire appel à Jésus. Ce nom, je n’en voulais clairement pas. Je me définissais fièrement comme sans Dieu ni foi ni loi. Je n’en voyais ni l’utilité, ni le besoin.

Tout en respectant les personnes qui « ont la foi »--culture et éducation réunionnaise obligent--pour moi les chrétiens et les croyants en général étaient des gens qui ont besoin d’une béquille pour s’en sortir dans la vie, des « faibles ».

L’inscription surprise

Courant Octobre 2003, Rachel m’annonce avec un grand sourire qu’elle et ma mère m’ont inscrit à un rassemblement de jeunes chrétiens, le temps d’un week-end appelé « Espérance & Vie » à Saint-Pierre (Île de la Réunion).

J’étais tellement énervé… Mais j’ai dû accepter parce que ma mère, divorcée et à la charge de 6 enfants, cumulait deux boulots pour nous faire vivre et cet effort financier de sa part, je me devais de le respecter. J’ai tout de même mis un point d’honneur à leur faire comprendre que je n’étais vraiment pas motivé à participer à cet événement.

Loin de se démonter, ma petite sœur a même réussi à me convaincre de participer à une réunion publique qui se déroulait en plein air la veille du rassemblement jeunesse. Ce soir-là, sous l’effet de la drogue, je n’ai pas tout saisi de ce qui avait été dit mais j’ai été irrésistiblement attiré par cet appel lancé à la foule : « à tous ceux qui désirent repartir à zéro, être libre de la drogue, l’alcool, Jésus peut faire quelque chose pour vous, approchez-vous afin que nous prions pour vous et avec vous. »

C’est ce que j’ai fait après beaucoup d’hésitation, ne voulant pas être reconnu par mes compagnons de la rue. Quelqu’un a prié pour moi. Un miracle a eu lieu ! Pour la première fois depuis des années, je suis rentré à la maison sans passer par la case boîte de nuit, drogue et alcool.

Le lendemain, le miracle a continué : j’étais à jeun ! Ce matin-là, avec de plus de 300 jeunes, Greg Beggs, un missionnaire américain invité pour l’occasion, nous parlait de ce qui a motivé l’apôtre Paul à suivre Jésus. Suite à son intervention, un temps de prière nous était proposé.

Interpelé, je réalisais que Jésus était présent, je réalisais qu’il existait vraiment. Là, à ma place, je réalisais qu’il y avait un fossé entre la vie et l’éternité que me propose Dieu et ma vie actuelle. Pour la première fois depuis des années, j’ai parlé à Jésus. Je lui ai demandé de me pardonner mon indifférence à son égard, ma vie de drogué, mon égoïsme… Je lui ai demandé de venir briser mon cœur endurci, de sauver, de changer le cours de mon existence.

Il l’a fait.

J’ai été comme soulagé, libéré d’un fardeau intérieur. Plusieurs semaines après cette rencontre spirituelle avec Jésus-Christ, ma mère me faisait remarquer que je n’étais plus sous l’effet de drogue depuis un bon moment. Dans la même période, étant alors en pleine redécouverte de la Bible, j’ai lu un passage qui dit que celui qui est en Christ est une nouvelle création, les choses anciennes sont passées, tout est nouveau. C’est exactement ce qui était en train de se passer dans mon quotidien.

Être libéré instantanément de la drogue, de l’alcool et de la délinquance, cela peut sembler incroyable, miraculeux, puissant même. J’ai été comme « immergé » par la présence de Dieu jusqu’à parler une langue que je ne connaissais pas seulement 5 minutes après ma conversion.

On peut se dire : « waouh, puissant ! » Mais en réalité, mon témoignage, ma délivrance, « être rempli de l’Esprit » ne sont que la partie visible de l’iceberg. Ma conversion est en réalité le résultat de la consécration et l’obéissance de plusieurs disciples qui ont été les maillons d’une chaine pour me conduire à devenir moi aussi un disciple de Jésus.

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Dominé par la peur ou poussé en avant par le désir ?

 

« Ce que les méchants redoutent leur arrive, ce que souhaitent les justes leur est accordé. » (Proverbes 10:24 BFC)

Je me souviens encore comme j’étais excité le 3 juillet parce que je savais que nous irions le jour suivant (la fete nationale aux USA) chez tante Ruth et que nous irions tous à la rivière pour nager, pécher et MANGER.

Tout le monde devrait avoir le privilège, ne serait-ce qu’une fois dans sa vie, de goûter à la cuisine de tante Ruth.

Ma mère luttait contre la dépression et la colère et, un 4 juillet, elle a menacé de nous obliger à rester à la maison au lieu d’aller avec papa chez tante Ruth. Quand tu as tellement envie de faire quelque chose, penser que tu ne pourras pas le faire, c’est comme recevoir un coup de poignard dans ton estomac de douze ans.

Maman a finalement changé d’avis et nous avons passé un très bon moment.

Le désir et la peur sont deux forces très puissantes qui peuvent nous pousser en avant dans la joie ou nous faire traîner les pieds avec appréhension.

Le 'poison' de Job

Job avait une vie dont rêvent beaucoup de gens : une belle famille, des richesses, du respect et une position dans la communauté, mais une chose empoisonnait le plaisir que ces bénédictions lui apportaient. Dans Job 3:25, nous avons un aperçu de ce qui se passait dans le monde apparemment parfait de Job. Il souffrait dans ses pensées : « Ce que je crains, c'est ce qui m'arrive; Ce que je redoute, c'est ce qui m'atteint » (Job 3:25).

Il avait une vie merveilleuse, mais elle était assombrie par la crainte que quelque chose vienne l’en priver.

J’ai découvert que la crainte essaye de déraciner notre désir et de s’installer à sa place si nous la laissons faire. « Oui, ce serait super si j’avais ça ou ce serait merveilleux si ça arrivait. Mais, et si… on ne sait jamais… mieux vaut un tiens que deux tu l’auras. Je pourrais bien tout perdre. Et si j’avais une maladie grave, que je perdais quelqu’un que j’aime ou que je n’avais pas assez d’argent ? »

Si tu es rempli de crainte, tu as déjà perdu une chose essentielle.

Une personne qui ne désire rien n’est pas aussi proche de Dieu qu’elle devrait l’être. Quand tu t’approches de Son cœur, tu commences à ressentir Son désir et à désirer les mêmes choses.

J’ai lu une histoire à propos d’un coiffeur qui pouvait parfois savoir à quoi pensaient ses clients quand il touchait leurs cheveux. C’était de la fiction (mais je suis sûr que tu vas y penser quand tu iras faire ta prochaine coupe).

Mais quand tu t’approches du cœur de Dieu, tu sais ce qu’Il ressent et ce qu’Il veut, et tu le veux aussi. Le désir te pousse à agir, à avancer, à espérer. Le désir donne de la saveur aux journées insipides grâce à un avant-goût de ce qui vient. Et cet avant-goût nous pousse en avant vers ce qu’on désire.

 Une des définitions de la crainte est : « Ressentir une extrême répugnance à l’idée de rencontrer ou de faire face à quelque chose. Craindre le futur, craindre de dire la vérité, craindre de parler en public. »

La crainte est de la souffrance inutile. Si la chose que tu craignais se produit, tu la vis deux fois. Est-ce que craindre une chose t’a déjà permis d’être prêt à l’affronter ? Et si elle ne se produit pas, tu es quand même blessé parce que tu l’as passée et repassée dans ta tête ! A chaque fois, tu ressens un peu de la souffrance que tu aurais ressentie si elle s’était réellement produite.

Et tu te retrouves à souffrir plusieurs fois ce que tu craignais ! Selah !

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Cette génération n’est pas en pleine dégringolade !

Le fait d’additionner les années semble modifier le cerveau. Je ne sais pas si ça l’améliore où le fait régresser, mais il est certain que les années le rendent plus confus. Voici un exemple d’une chose qui me laisse perplexe :

Dans les années 50, le chanteur Pat Boone chantait : « Un jour comme aujourd’hui, nous passons le temps à écrire des lettres d’amour dans le sable. »

Et puis, quand j’étais adolescent, les Marvellettes étaient tellement en colère contre leur petit ami qui ne leur avait pas écrit qu’elles chantaient au facteur :

 « Vous êtes si souvent passé devant moi
Vous avez vu les larmes couler
Vous ne vous êtes jamais arrêter 
Pour me donner une lettre qui apaiserais mon chagrin. »

Ma question est la suivante : Comment font les jeunes gens d’aujourd’hui pour exprimer leur amour éternel ? Plus personne n’écrit de lettre !

Si tu me réponds qu’ils tweetent, qu’ils envoient des sms ou des e-mails, il y a un problème : comment peut-on déclarer sa dévotion éternelle en moins de 150 caractères ? Dis-tu des choses stupides sur Snapchat en pensant qu’elles sont romantiques ? Tu veux vraiment que tout le monde voit ça ? Souviens-toi que ta maman peut y jeter un œil à tout moment.

Et pourtant, c’est bien là que nous en sommes. 

Est-ce que les hommes des cavernes écrivaient des lettres ? 

Mais attends un peu ! Comment les hommes des cavernes exprimaient-ils leur amour éternel ? Ils n’écrivaient pas de lettre. Peut-être gravaient-ils des mots doux sur le mur de leur caverne. Et les indiens d’Amérique, il y a deux mille ans ? Je suppose que de nombreuses personnes ont finalement trouvé un moyen d’être fleur bleue sans pour autant écrire de lettre. 

 Il y a plus d’une façon de séduire une fille.

Ce qui m’amène à une autre idée. Peut-être que ce qui m’étonne le plus dans les églises d’aujourd’hui n’est pas une question de bien et de mal. Il s’agit juste d’une autre génération, avec une autre façon de s’exprimer. Et si certaines choses que je vois ne sont pas très reluisantes, ma génération avait certainement aussi sa part de choses comme ça. 

Je dois avouer avoir dit : « La moitié des membres des églises évangéliques seront sourds dans cinq ans, à cause du volume de la sono. » J’ai plaisanté à propos des chants qui répétaient indéfiniment la même phrase. 

A notre époque, quand une phrase musicale était continuellement répétée, c’était parce que l’aiguille du phonographe était coincée à un endroit. Je suppose que certains conducteurs de chant ont besoin d’être décoincés.

Il est aussi possible que j’ai émis quelques plaintes au sujet des salles si sombres que l’on n’arrive même pas à trouver une place, des chants qui étaient pris dans une tonalité telle que personne sauf un professionnel ne pouvait les chanter et il est même possible que j’ai encore ajouter d’autres critiques (remarque : rien de tout cela n’est vrai dans mon église, au cas où mes pasteurs liraient ceci). 

Je me suis aussi plaint du contenu ultra-allégé de certains chants… jusqu’à ce que je commence à regarder de plus près certains des vieux cantiques et que je réalise que les choses n’étaient pas forcément mieux au bon vieux temps. Imagine ma surprise quand j’ai réalisé que le vieux cantique du Sud que les gens aimaient tellement chanter, Souvenirs Précieux, ne mentionnait même pas Dieu !  

Dieu devait être dans le verset qui a été laissé de côté.

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Décoder la volonté de Dieu pour ta vie

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J’aurais aimé pouvoir connaître la volonté de Dieu pour ma vie aussi facilement que certains peuvent la connaître. J’entends des témoignages : « Dieu m’a parlé et m’a dit : ‘Va en Afghanistan’ » ou « Va porter deux tartes aux pommes à ton voisin » ou « Je t’appelle à de grandes choses. »

A chaque grand changement de ma vie, Il a plutôt dû murmurer, me donner des coups de coude, me pincer, m’encourager et/ou me crier dessus pendant un bon moment avant que je puisse voir les choses assez clairement (et que je trouve le courage) pour sauter.

Ça s’est passé comme ça quand j’ai lutté avec la direction de Dieu pour ma vie. Quand j’ai quitté la maison pour l’université, tout ce que je savais, c’était que je voulais obtenir un diplôme qui me permettrait de gagner de l’ARGENT ! Je ne voulais pas être incroyablement riche. Moyennement riche était suffisant.

Et puis j’ai rencontré des amis qui plaçaient la volonté de Dieu avant la leur. J’ai été attiré par la profondeur de leur relation avec le Seigneur. Je voulais connaître ça.

Je me suis finalement décidé pour une carrière de journaliste, mais Dieu ne cessait de me donner des coups de coude. Quand je regardais vers l’avenir, je me voyais toujours en train de servir Dieu en tant que pasteur. Je n’étais pas contre, mais je ne pensais pas avoir la « carrure » spirituelle pour mener une telle vie.

J’en ai parlé avec mon ami Marvin en lui disant : « Je pense que la pire des choses qu’on puisse faire, c’est décider de prêcher quand Dieu ne nous y appelle pas. »

Il a remarqué : « Il y a une chose aussi pire que ca : c’est d’être appelé et de ne pas y aller. »

« Merci, Marvin. Tu m’es d’une grande aide. » (Remarque : Marvin clame être celui qui m’a appelé à devenir prédicateur, mais c’est juste une idée qu’il se fait.)

Mais le Seigneur ne me laissait pas tranquille. J’ai dit à ma femme que j’avais quelque chose à faire et je suis allé parler au pasteur Northcutt. Il m’a dit, en gros, qu’il s’y attendait et qu’il a demandé que je prêche le dimanche soir suivant.

Toutes sortes de voix

Le matin suivant, je travaillais pour mon job d’été. Une voix ne cessait de me harceler comme une mouche agaçante : « Tu n’es pas appelé. Mais qu’est-ce que tu es en train de faire ? En plus, tu as ces dettes contractées pour tes études à rembourser. Les pasteurs ne gagnent pas beaucoup d’argent. Tu vas mourir de faim ! »

C’est à ce moment-là que j’ai reconnu qui était en train de parler.

Si la voix avait continué à me répéter à quel point j’étais incapable, ok. Mais mourir de faim ? Cette voix ne pouvait pas venir de Dieu. Le Seigneur ne m’a jamais menacé de me laisser mourir de faim.

Alors, nous avons sauté.

Pendant ma première année de ministère, cette voix m’a souvent répété en ricanant : « Tu n’es pas vraiment appelé ! » Après, les choses ont changé. Je dois admettre qu’il y a eu des moments où j’étais découragé et où je voulais abandonner, mais je savais à présent que Dieu m’avait créé pour ça. Je ne voulais pas le décevoir, même s’il y a eu des moments où j’ai VRAIMENT voulu tout abandonner.

Je savais ce qui plaisait à Dieu et je voulais le faire.

« Ah, David, » dis-tu, « Tout ça, c’est bien joli, mais je ne suis pas appelé à devenir prédicateur ni rien de tout cela (merci Seigneur) ! » Écoute un peu !

« Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement... car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir » (Philippiens 2:12-13).

Comment faire la volonté de Dieu en trois étapes

« … Son bon plaisir, » c’est Sa volonté pour notre vie. Il y a aux moins trois étapes pour accomplir Sa volonté.

- Connaître la volonté de Dieu, ce qu’Il aimerait que nous fassions. Ce matin, ma bouche a été ouverte, comprimée, vérifiée, explorée et je ne sais quoi encore par une dame dentiste qui aimait le Seigneur de tout son cœur. Si cela plaît à Dieu, conduit ce tracteur, tape sur ce clavier d’ordinateur, vends ces vêtements ou quoi que ce soit d’autre que Dieu te conduit à faire. Cherche Dieu pour savoir ce qu’il Lui plaît. Échange ton rêve contre le Sien pour toi.

- Vouloir accomplir la volonté de Dieu. Je n’ai pas toujours voulu faire la volonté de Dieu. Parfois, ce qu’Il me demandait de faire m’effrayait. Parfois, cela représentait un défi excitant. Parfois, cela m’ennuyait parce que j’avais d’autres projets. Si c’est ton cas, ne te sens pas mal pour autant. Lors de la pire épreuve de Son existence terrestre, Jésus a vu la croix – la volonté de Dieu pour Lui – qui L’attendait et il a fait cette prière dans son angoisse :

« Mon Père, s’il est possible, que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux » (Matthieu 26:39).

Ne t’inquiète pas si tu ne veux pas faire ce qu’Il te dit de faire. Moïse ne voulait pas. Jonas ne voulait pas. Tes sentiments changeront. Probablement. Et si ce n’est pas le cas, souviens-toi de ceci : Il est le chef, nous sommes Ses serviteurs.

- Faire la volonté de Dieu. « Qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. » Si Dieu t’appelle, Il t’équipe. Il produira en toi un sourire pour ces visiteurs grognons du dimanche matin, Il te donnera des super-pouvoirs pour vaincre ce gamin de quatre ans à l’école du dimanche, la patience d’écouter et d’aider ce voisin âgé, la persévérance de prier jusqu’à ce que tu touches le Ciel. Et un millier d’autres choses qu’Il nous appelle à faire.

Ne t’inquiète pas si tu ne penses pas être capable de faire ce qu’Il veut. Le travail de Dieu, c’est de t’équiper. Fais simplement ce qu’Il dit.

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Vivre le réveil

Vivre le réveil

 

Patrick Salafranque

Allons-nous vivre un réveil dans notre bon vieux pays de France comme nous l'entendons dire depuis tant d'années ?

Sans être nostalgique du passé, je me souviens avec émerveillement de mes premières visites dans cette salle de réunions située dans un des quartiers les plus mal famés de Bordeaux, "la rue où se trouvait l'église était occupait par les prostituées qui y racolaient jour et nuit".

Je n'étais qu'un enfant, mais je me rappelle avec netteté mes impressions au cours des réunions. L'ambiance y était "électrique", une atmosphère de joie et de paix planait sur l'auditoire, l'attitude des gens était totalement différente de celle rencontrée dans les églises traditionnelles, il y avait une attente, une faim, à tout moment le sentiment était que quelque chose allait se produire.

Et en effet des choses se produisaient, des gens fondaient en larme, certains témoignaient qu'ils avaient été guéris, d'autres qu'ils avaient rencontrés le Seigneur et voulaient le suivre sans détour. Le phénomène du parler en langue se manifestait spontanément et je pense à cet homme qui fut baptisé du Saint Esprit pendant que le pasteur prêchait, le pasteur lui-même semblait auréolé d'une lumière diffuse et indescriptible, et sa parole pénétrait dans les cœurs comme une épée.

On sortait de ces réunions tout bouleversées et avec l'envie d'y retourner le plus vite possible.

Je crois que la plupart des chrétiens de ce pays quelle que soit leur dénomination, ainsi que la grande majorité des chrétiens de notre vielle Europe soupirent après "le réveil".

Le réveil, mot magique qui fait rêver plus d'un chrétien et plus d'un pasteur. Ces dernières années, une quantité d'ouvrages ont attiré notre attention sur des phénomènes de réveil dans divers pays du monde et sur les moyens supposés qui ont permis de tel mouvement. Il faut reconnaître qu'au de-là de l'émerveillement et de l'étonnement que cela peut susciter, et aussi pour certains de l'agacement, la grande question demeure, "cela peut-il se produire en France ?" Dans notre bon vieux pays républicain laïque rationaliste et cartésien, "tout pour plaire" nos églises dites évangéliques peuvent-elles espérer de tels phénomènes ?

D'abord voyons la réalité en face, d'après des statistiques récentes, moins de 10% des français sont des pratiquants réguliers, 1,8% disent appartenir à la "grande" famille du protestantisme, dont 0,65% pour les évangéliques, c'est maigre, par contre 25% de nos concitoyens disent croire à la voyance et à l'astrologie. Devant cet état des lieux, après plus de 100 ans d'efforts pour les évangéliques toutes tendances confondues, est-il encore raisonnable de croire qu'un réveil de grande ampleur soit possible ?

Je suis pour ma part la quatrième génération d'une famille de pentecôtistes, j'ai donc une longueur d'avance sur le Timothée de la bible, mon arrière-grand-mère et mon arrière-grand-père se sont convertis les premiers dans les années soixante dans la ville de Bordeaux, ensuite ma grand-mère, et puis mes oncles, ma mère, enfin moi-même une douzaine d'années plus tard.

Ma jeunesse a donc été bercée par les témoignages de gens qui vivaient un réveil, c'est à dire une action évidente du Saint-Esprit qui les avait conduits à une foi vivante, et à un engagement profond à l'égard du Seigneur Jésus-Christ et de son église.

En repensant à ces lointains souvenirs "40 ans ont passés" j'ai le vague sentiment d'avoir approché un tout petit peu de ce que nous pourrions appeler un réveil.

Maintenant, force est de constater que l'ampleur de ce réveil dans notre pays a été limitée, et que malgré qu'un certain nombre d'églises soient issues de ce mouvement, les statistiques citées plus haut montrent que l'onde de choc a été de faible amplitude.

Nous pouvons dire avec le prophète "le pays n'est pas sauvé" Esaïe 26:18.

Le terme réveil n'apparaît que peu de fois dans la Bible dans le sens spirituel que nous lui donnons, mais l'idée que le mot véhicule est très présente, autant dans l'ancien que dans le nouveau testament.

Par exemple chaque fois qu'après des périodes de déclins spirituels et de recul au profit de l'idolâtrie païenne le peuple d'Israël revient à Dieu dans la repentance et le désir de se soumettre à nouveau à la loi, on parle de réveil, et les exemples sont nombreux.

Certains rois et prophètes ont étés les catalyseurs de ses réveils et parfois l'initiative est attribuée à Dieu lui-même comme dans Aggée 1:14 L’Eternel réveilla l’esprit de Zorobabel, fils de Schealthiel, gouverneur de Juda, et l’esprit de Josué, fils de Jotsadak, le souverain sacrificateur, et l’esprit de tout le reste du peuple. Ils vinrent, et ils se mirent à l’œuvre dans la maison de l’Eternel des armées, leur Dieu.

Le réveil est dans l'histoire du peuple d'Israël, un retour à Dieu accompagné d'un renouveau de zèle pour mettre la loi en pratique.

Deux sortes de réveil

Dans le Nouveau Testament je vois deux sortes de réveils, d'abord ce que j'appellerais un réveil d'évangélisation, il se produit en milieu "non chrétien". l'évangile est annoncé, Dieu confirme sa parole par des miracles et des prodiges et les conversions à Jésus-Christ sont nombreuses, c'est ce qui se produit à Jérusalem, Actes ch. 2-5, à Samarie, ch. 8, à Lydde et à Joppé, ch. 9, à Antioche, à Ephèse, etc.. Il y a une action puissante du Saint Esprit.

Ensuite un réveil d'église, c'est le besoin qui apparaît dans les lettres qui sont adressées aux églises d'Asie citées dans Apocalypse 2 et 3. Certaines avaient abandonnées leur premier amour, d'autres avaient laissées l'immoralité s'infiltrer, d'autres n'avaient plus qu'une apparence de vie, d'autres encore étaient devenus tièdes.

L'appel du Seigneur se fait pressant, repends-toi, et il appartient à chacun d'y répondre et de "ré-enflammer la flamme du don" comme Paul le dit à Timothée.

De quelle sorte de réveil avons-nous besoin dans notre pays de France ? Selon la célèbre réponse d'un journaliste, "les deux mon général".

D'autre part je vois dans l'écriture deux niveaux de réveil, le réveil personnel. Ephésiens 5:14 « C’est pour cela qu’il est dit: Réveille-toi, toi qui dors, Relève-toi d’entre les morts, Et Christ t’éclairera. »

Le réveil collectif : Romains 13:11 « Cela importe d’autant plus que vous savez en quel temps nous sommes: c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. »

Parfois il faut se réveiller à titre personnel, parfois au niveau collectif, car il ne s'agit pas de faire des amalgames, on peut être endormi dans une église réveillée et réveillé dans une église endormie.

Que faut-il pour vivre un réveil ?

Que faudrait-il pour que nous puissions vivre un grand réveil, à titre personnel et collectif, un réveil dans nos églises qui provoquerait un grand réveil d'évangélisation dans notre pays.

La réponse est certainement plus complexe qu'il n'y paraît et je n'ai pas de recettes magiques à proposer ou des méthodes qui auraient fait leurs preuves ici ou là.

Mais, je pense au chat de ma voisine "Gribouille" il m'arrive parfois de l'observer à travers la fenêtre de mon bureau, comme tout chat qui se respecte, et malgré qu'il soit un chat d'appartement Gribouille est un chasseur. C'est son instinct profond, hors une chose m'a étonné dernièrement, Gribouille n'attrape jamais rien.

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Traiter avec des gens à forte personnalité

 

Ma femme et moi allons bientôt fêter nos quarante-huit ans de mariage et si nous sommes encore ensemble sans que l’un de nous ne se soit fait étranglé, c’est que nous ne posons presque jamais de tapisserie ensemble.  Nous avons deux façons tout à fait différentes d’envisager la pose du papier peint. Elle semble penser que tout doit absolument être parfait, que toutes ces petites fleurs doivent absolument correspondre. Ma philosophie, c’est : « plus vite fait, plus vite quitte. J’ai d’autres choses à faire. Qui peut bien faire attention à ces stupides fleurs, de toute manière ? »

Vois-tu la source d’un éventuel conflit là-dedans ?

C’est souvent vrai : si vous voulez ruiner une relation, essayez de travailler ensemble. Je l’ai constaté avec des pasteurs, avec des gens au travail, avec des amis… dans le mariage.

Pourquoi ?

Comprendre le problème

La réponse la plus simple, c’est la fierté. Nous désirons être les premiers. Nous nous sentons menacés, sans contrôle et nous ne voulons personne au-dessus de nous, surtout pas une personne que nous connaissons bien. Le problème se résume parfois à cela, mais parfois, il y a plus.

Les leaders aiment mener. Ils aiment les responsabilités. Ils aiment conduire les autres vers un but. Il ne s’agit pas uniquement de fierté. Les leaders montrent le chemin.

Mais quand il y a deux ou trois leaders dans le même groupe… vois-tu la source d’un éventuel conflit ?

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AVOIR FAIM DE DIEU

« Jésus étant né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d'Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent: Où est le roi des Juifs qui vient de naître? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l'adorer. » (Matt. 2 :1, 2 NLT)

Donc, ces gars étranges arrivent et Hérode s’inquiète aussitôt de la naissance d’un roi rival, le Christ. Il les a évidemment pris au sérieux à cause de la croyance juive et il avait une idée de ce que tout cela signifiait.

Il a réuni les sacrificateurs et scribes versés dans la Loi. Il leur a posé cette question : « Où le Christ doit-Il naître ? » Les mains se sont levées dans toute la salle. « Bethléem ! » a crié quelqu’un, le visage rayonnant de fierté à l’idée de s’être distingué devant tous ses collègues. Il a même probablement cité le verset. « Bethléem... » a répété Hérode, les yeux plissés.

Arrête le film ! Attends ! Je voudrais poser une question. Voilà réunis les chefs du peuple de Dieu. Des hommes étranges ont parcouru plusieurs centaines de kilomètres pour chercher le Messie d’Israël. Ils parlent d’une étoile ou un truc comme ça. Hérode pose la question : « Où doit-il naître ? » Tout le monde connaît la réponse. C’est du niveau maternelle pour eux, ça. Ils le savent tous. Et ensuite ? Qu’est-ce qu’on mange ce midi ?

Ensuite, ils sont retournés chez eux ? Retournés chez eux ! Aucun de ces chefs religieux n’avait assez faim de Dieu, n’attendait suffisamment le Messie, pour faire le petit voyage jusqu’à Bethléem et aller voir ce qu’il en était ? « Oh, David, tu sais, nous avons ces « alertes Messie » tout le temps. Pas de quoi en faire un plat. Il faut être réaliste. Il viendra en Son temps. En plus, tu as vu comment ces hommes « sages » sont habillés ? Bizarre. Je me demande ce qu’on mange ce midi ? »

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De l'occultisme à une grâce étonnante

Sylvie

A l'âge de 16 ans Sylvie L ,était pensionnaire dans un internat. Avec des copines, elles s'enfermaient dans une petite pièce pour des séances de spiritisme. Mais, ce qui a commencé comme un jeu d'adolescente a vite pris une grande place dans sa vie.

Avec une amie, elle commençait avec des cartes et elle lisait pleins de livres sur le surnaturel, sur le bouddhisme, sur la réincarnation, etc... "J'avais une grande attirance pour ces choses-là." admit-elle.

Alors qu'elle fréquentait toujours l'école, Gilles V, son futur compagnon faisait son service militaire. Un jour le jeune soldat rendit visite à son cousin, le voisin de Sylvie. Très vite il réalisa que Sylvie était plus intéressante que son cousin.

Les deux se sont mis à vivre ensemble. Gilles, viticulteur, travaillait avec Sylvie dans le vignoble de sa mère. Ils écoutaient sur RTL une émission de voyants. "Il prédisait l'avenir aux gens et ça m'épatait !" dit-elle.

Il a sorti un livre et un coffret de cartes. Sylvie en a acheté un.

"Par la suite je suis tombée dans l'engrenage et j'ai acheté des collections et des collections de cartes."

Il y avait des gens qui venaient chez elle lui demander conseil. Elle ne demandait pas d'argent. "Je croyais que je rendais service aux gens. Je croyais que je faisais du bien... Que j'étais quelqu'un de bien." Il en fut ainsi de 1990 à 2008.

Une question brûlante

Mais, un matin elle se leva, une idée fixe dans la tête : Dieu est-il d'accord avec ce que je fais et mes dons viennent-ils de lui ?"

"Quand on commence à toucher à ces choses là, on vit des expériences surnaturelles. J'ai vu parfois des choses assez surprenantes, d'où les questions qui me sont venues".

"Je me suis levée avec cette question-là et elle ne m'a pas lâchée de la journée".

Sylvie s'est connectée à internet sur YouTube et a trouvé une vidéo d'un pasteur Suisse, Alan Rich, qui s'était plongé lui-même dans l'occultisme. Il expliquait que ces pratiques ésotériques ne venaient pas de Dieu. Sylvie est allée ensuite sur son site internet.

Dans un échange d'e-mails qui a suivi, l'évangéliste lui a fait remarquer ce que le livre de Deutéronome dans la Bible disait de ces pratiques occultes.

"Ça m'a assommée" raconte Sylvie.

"Ce que j'ai retenu dans Deutéronome était 'Abomination'. Il n'y avait pas besoin qu'il me dise cinquante phrases ou cinquante versets".

Sur le site du pasteur, Sylvie a trouvé une vidéo qui expliquait comment recevoir le pardon du péché et être sauvé. Quand il invita les gens à prier pour recevoir le pardon et donner sa vie à Jésus, là, devant son écran d'ordinateur, elle à prié - et une nouvelle vie à commencé.

Gilles

Né en Champagne, Gilles a pris l’exploitation de ses parents et est devenu viticulteur.

"J'ai fait des bêtises comme tout le monde et au début ça ne me faisait rien. Mais à la longue j'étais troublé je me suis dit : C'est pas bien ce que tu fais."

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Une fois quand Dieu a agit...

En août de cette année, ce sera le quarante-huitième anniversaire de mon premier sermon « officiel. » J’ai appris que vivre ce que je prêche est beaucoup plus difficile que de le prêcher. Par exemple...

Phyllis et moi servions comme pasteurs assistants dans l’église ou j’ai grandi. Je travaillais à côté pour pouvoir boucler les fins de mois. Nous donnions une offrande au Seigneur à partir de notre salaire. Je ne me souviens pas des détails, mais je pense que nous étions payés deux fois par mois. Nous mettions 10 % de côté pour les donner au Seigneur à la fin du mois, mais on a toujours besoin de plus d’argent quand on est jeunes mariés avec un bébé.

Alors, nous finissions toujours par piocher dans ce que nous avions mis de côté et le reversions lorsque nous touchions notre salaire. Cela nous faisait à nouveau un trou dans les finances et nous courrions sans cesse pour essayer de le combler.

Le Seigneur nous a dit de Lui donner la première part, sans la ponctionner. « Oui Seigneur. » Ça semble facile, jusqu’à ce qu’on manque d’argent.

C’était un mercredi et il ne me restait plus que quelques pièces dans la poche pour tenir jusqu’au mardi suivant, qui était jour de paye. Le pasteur Jerry m’avait demandé de prêcher ce soir-là, alors j’ai préparé un sermon tremblant sur la foi. Je crois que j’essayais de me convaincre moi-même.

Après le message, Frère Deward m’a serré la main et m’a donné discrètement un morceau de papier. Un papier avec la photo de l’ancien président Andrew Jackson dessus. Vingt dollars valaient beaucoup plus à l’époque et cela nous a permis de tenir jusqu’à la paye sans mourir de faim.

Nous n’avions parlé de notre besoin à personne sauf à Dieu. Ce frère n’avait jamais rien fait de tel avant ce jour-là. Il n’y avait aucune raison spéciale pour qu’il le fasse à ce moment-là, si ce n’est qu’il a ressenti que Dieu le poussait à le faire. Ça c’est de la coïncidence, hein ?

Nous avons commencé à percevoir comment Dieu prendrait soin de nous si nous Lui obéissions. Voilà ce que je pense :

- Il est important de placer Dieu en premier et de Lui faire confiance pour la suite. Ce n’est pas seulement vrai pour l’argent, mais pour tous les aspects de notre vie. Dieu dit à Son peuple de Lui offrir les prémices de la moisson (lors de la fête de Pentecôte). Élie a mis la veuve au défi de préparer un gâteau pour Lui avant tout. Si Dieu n’avait pas pourvu elle ET son fils seraient morts. Il est significatif de voir que dans Actes 2, la moisson du monde commence le jour de la Pentecôte – les prémices

En Israël, tous les premiers nés étaient symboliquement donnés à Dieu.

- Placer Dieu en premier met notre foi au défi. S’il n’agit pas, « aïe, aïe ! »

- Placer Dieu en premier dans nos fiances donne une stabilité à cette partie de notre vie. Un pasteur a dit que lui et sa femme avaient décidé au début de leur mariage de donner à Dieu les premiers 10 %, de mettre de côté les 10 % suivants et de vivre sur le reste. Maintenant, bien des années après, les résultats ont payé.

- Offrir les prémices te place dans une position où tu dois faire confiance à Dieu. Tant se plaignent : « Je ne vois pas Dieu agir dans ma vie. » C’est peut-être parce que nous ne nous plaçons jamais dans des situations où nous avons à dépendre de Dieu ? Il est fidèle.

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C’est comme ça. J’apprends à vivre avec ?

 

Suzy entre dans la chambre et découvre une chaussette qui la défie depuis le parquet. Son mari paresseux est étendu sur le lit, en train de lire la dernière édition de l’Équipe.

« Tu ne pourrais pas mettre tes chaussettes dans le panier à linge ? Ce n’est pourtant pas difficile !Tu es tellement mou. Je dois repasser derrière toi comme si tu étais un enfant de trois ans. »

Georges serre les dents avant de marmonner : « J’aurais dû mieux regarder ta mère avant de t’épouser. Tu lui ressembles de plus en plus. »

« Ma mère ! » s’écrie Suzy. « Si tu veux tout savoir, mon père ramassait toujours ses chaussettes et ma mère n’était pas son esclave personnel. »

« Il est probablement arrivé à la conclusion qu’il était plus facile de ramasser ses chaussettes que d’être harcelé jusqu’à la mort, » rétorque-t-il, la mine renfrognée, en tournant une page de son magasine.

Nous ne parlerons pas des dix minutes suivantes de cette conversation entre amoureux. Disons simplement que le ton est monté de façon dramatique. Comme deux joueurs au tournoi de Roland Garros, chacun a essayé de marquer le point en perçant les défenses de l’autre.

Elle a fini par fuir la chambre en claquant la porte derrière elle.

Maintenant, j’ai une question pour toi. Comment ce couple pourrait améliorer sa relation de 50 % ? Facile. L’un d’eux doit se taire. Et je ne parle pas de pester en silence. Nous devons garder nos disputes pour des choses qui valent réellement une dispute.

Si Suzy était entrée dans la chambre et y avait trouvé une autre femme, LA, ça aurait valu une discussion animée. Mais, ce couple continue à se disputer pour des petites choses futiles (mais qui sont souvent l’expression de problèmes plus profonds).

Quelqu’un doit faire quelque chose.

Le pouvoir enivrant du statu quo

Il y a de nombreuses situations que nous avons acceptées comme faisant partie de notre vie, en pensant que nous ne pouvons rien y faire. Les disputes continuelles entre Suzy et Georges, par exemple. Mais sont-ils vraiment impuissants face à cette situation ? 

Qu’en est-il d’un mari qui se plaint parce que sa femme ne fait pas la cuisine ? Il n’est pas impuissant. Il peut apprendre lui-même ! Quelqu’un m’a dit qu’il y avait des livres qui expliquent comment faire.

Et cet homme coincé dans un travail qu’il déteste ? Il a constamment des maux d’estomac à cause de cela. Sais-tu qu’il peut suivre des cours du soir pour se spécialiser dans un autre domaine ? (« Mais je sui fatigué quand je rentre à la maison »). Ou ce péché que nous avons si souvent essayé de supprimer ? Ou ce trait de caractère qui se saisit de toi et ne veut pas s’en aller ?

Nous luttons parfois un peu, mais pour nombre de ces situations, nous haussons les épaules et disons : « J’ai essayé. Les choses ne changent pas, alors pourquoi dépenser de l’énergie ? » Changer semble plus compliqué que de vivre avec cette situation.

Que faire ?

Un ami m’a parlé d’un pasteur de l’Europe de l’Est qui prêchait aux États-Unis. Alors qu’il se tenait derrière le pupitre, il a remarqué que sa brayette était ouverte. Il a eu une idée : il a demandé à tout le monde de fermer les yeux pour prier.

Pendant que leurs yeux étaient fermés, il a fermé sa brayette, mais sa cravatte s’est coincée dedans ! Nous pouvons tous imaginer sa question : « Que faire ? »

Tu peux accepter ton incapacité à changer la situation, t’asseoir et profiter de la joie de rouspéter le reste de ta vie. Ou...

Si tu ne peux pas faire ce que tu veux faire, fais ce que tu peux. Même si ce n’est qu’un petit pas, fais ce que tu peux. Arrête de te plaindre à propos de quelqu’un d’autre, en disant à quel point tu es malchanceux, etc. Fais ce que tu peux.

« La porte tourne sur ses gonds, le paresseux se retourne dans son lit. Le paresseux plonge sa main dans le plat mais trouve trop fatigant de l'amener jusqu'à sa bouche. » (Prov. 26:13, 14 BFC)

Se plaindre, c’est plus facile que d’agir. Pourquoi cesser ces joutes verbales avec son épouse quand il peut s’évader en imaginant à quel point sa vie serait merveilleuse avec cette belle jeune femme au travail ?

Pourquoi cesser d’essayer de transformer son époux quand il en a tellement besoin ? Pourquoi cesser de paresser au travail quand on est tellement mal payé et que le patron est si injuste ?

Pense à un domaine de ta vie dans lequel tu es bloqué. Que pourrais-tu y faire ? Fais le !

« Mais, tu sais... »

Allez paresseux ! Tu as tendu la main et saisi la nourriture. Ramène-la dans ta bouche. Tu peux le faire.

Une amélioration de 25 % ? 

Améliore ton mariage d’au moins 25 à 50 % en te donnant à fond, peu importe ce que ton conjoint fait. Améliore ton travail en trouvant de la fierté dans le travail bien fait. Aide ton église à retrouver la vie en étant présent à chaque réunion, en chantant de tout ton cœur (même si cela empêche ton voisin de dormir), en priant de toutes les fibres de ton être et en refusant de prendre part aux critiques et aux commérages. Tu peux le faire.

En attendant le grand réveil du siècle, fais déjà ce que tu peux faire maintenant. Lis la Parole et APPLIQUE-la à ta vie. Prie régulièrement, même si tu ne ressens rien. Manifeste la vie de Christ en toi pour que les autres voient que la foi véritable apporte vraiment quelque chose.

Ne te satisfais pas d’un : « C’est comme ça. Il faut simplement l’accepter ». Fais ce que tu peux, même si ce n’est pas grand-chose. Fais-le, c’est tout.

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Hmmm …

« Offre moi la chance de contribuer et je travaillerai dur, en étant concentré et, une fois que je commencerai à voir du progrès, je m’y consacrerai avec passion. » Travailler avant d’être passionné mesure notre talent en termes de contribution, non en un modèle idéalisé de perfection. La passion naît quand on se sent nécessaire, quand on approche de la maîtrise, quand on fait un travail qui compte vraiment. Seth Godin
 

 

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Un rêve de 15 ans est né

la-quete-daigle-etrangeIl y a de cela presque 15 ans, j’ai écrit une Tache de Café appelée Aigle Étrange (les Taches de Café ont célébré leur dix-septième anniversaire). A l’époque, j’avais été titillé par l’idée que ce serait un bon point de départ pour un livre. Bruce, un lecteur de Tache de Café, m’a écrit et m’a dit la même chose.

J’ai passé 15 ans à essayer d’être un meilleur écrivain, à essayer de trouver comment maintenir le suspens, à réfléchir et à écrire le livre qui a maturé et s’est développé. Le héros a un peu changé et est devenu plus humain. J’ai découvert certaines choses à son sujet que je ne soupçonnais pas et il a trouvé en route des amis pour l’aider (moi aussi, d’ailleurs : je remercie tous mes relecteurs, tous les experts en grammaire et tous les infographistes qui ont apporté leur contribution. ET surtout la traductrice Céline Wilhelm sans laquelle le livre n’aurait pas vu le jour en français).

Certains amis de Wesagi sont un peu comiques, ce qui ne les empêche pas d’être excellents. Il doit affronter un défi que je n’avais pas imaginé au départ.

J’ai pensé que tu aimerais peut-être lire la Tache de Café qui lui a donné vie. Si tu es intéressé par le livre ou par l’e-book, tu trouveras où le commander à la fin de la Tache de Café.


Aigle Étrange

Aigle Étrange regarda le lac qui scintillait dans l’obscurité, tout en bas. Depuis son point de vue sur la montagne, il respira à pleins poumons, comme il l’avait fait tant de fois, sensible à la beauté de la lune qui se reflétait sur les eaux sombres. Des larmes lui montèrent aux yeux.

Son Père l’avait appelé Aigle Guerrier, le jour de sa naissance. Le nom « Aigle » lui allait bien. Son peuple savait qu’aucun autre guerrier ne se battait avec plus de bravoure que lui et qu’aucun chasseur ne remplissait sa hutte avec davantage de gibier en prévision de l’hiver.

Mais il était différent. Bizarre. Ils se rappelaient le jour où il avait empêché un Vent Moqueur furieux de battre un garçon qu’ils avaient volé à une autre tribu. Les deux guerriers en étaient presque venus aux mains avant que les plus âgés ne s’interposent. Vent Moqueur avait saisi chaque occasion de le ridiculiser après cela. Aigle Étrange ne lui répondait pas.

Pourquoi quelqu’un se soucierait-il d’un esclave ? Surtout venant d’une autre tribu !

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Une rencontre désagréable, un résultat agréable

C’était vendredi soir et j’étais épuisé. Là, où nous vivions à l’époque, à Saint Maur, certains soirs, je m’installais dans mon fauteuil pour regarder NCIS. (J’aime Gibbs. J’aime bien voir des vieux gars frapper un peu les gens). Mais ce vendredi, je dirigeais une réunion, avec un autre pasteur, pour les nouveaux convertis et ceux qui s’approchaient de Christ.

Avant de commencer, le pasteur David m’a dit que nous devrions prier pour ceux qui le désiraient, après l’enseignement. Alors, à la fin, environs dix des quelque vingt personnes présentes se sont levés pour la prière. Je ne me sentais pas vraiment « l’homme de Dieu, de foi et de puissance » pendant que je priais. Ai-je mentionné que j’étais fatigué ?

Mais une jeune femme a attiré mon attention pendant que nous priions. Elle est tombée. Cela n’arrive pas très souvent en France et j’ai pensé. « C’est peut-être une charismatique. » Alors qu’elle était étendue sur le sol, son corps est devenu rigide, ses yeux se sont ouverts en grand et son regard est devenu fixe, comme un zombie. Hummm.

Ensuite elle a dit : « Je vous ai dit que je ne sortirais pas facilement. »

Et je me suis dit : « Finalement, je ne pense pas qu’elle soit charismatique. »

Maintenant, le scénario voudrait que nous prenions notre meilleure voix de chasseur de démons et que nous ordonnions fortement à cette chose de partir. Mais j’ai regardé autour de moi et j’ai vu ces jeunes convertis dont les yeux ressemblaient à des soucoupes, prêts à se précipiter vers la porte.

Alors, David et moi avons commencé à prier. Nous avons effectivement pris autorité dans le nom de Jésus, mais nous n’avons pas crié. Doucement. Pourquoi crier ? Si Jésus est là, ce n’est pas comme si c’était un match de foot. Il a déjà gagné d’avance.

Finalement, la jeune femme est revenue à elle. Elle était embarrassée quand elle a réalisé ce qui s’était passé. Je lui ai demandé de revenir le jour suivant pour que nous puissions la conseiller, parler avec elle et prier.

Dieu a fait le reste.

Une rencontre surprise

Je l’ai perdue de vue après cela. Cette église grandissait vite et j’étais souvent parti pour prêcher dans d’autres églises.

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Recette pour une vie débordante

« Ne portez de jugement contre personne et Dieu ne vous jugera pas non plus; ne condamnez pas les autres et Dieu ne vous condamnera pas; pardonnez aux autres et Dieu vous pardonnera. Donnez aux autres et Dieu vous donnera: on versera dans la grande poche de votre vêtement une bonne mesure, bien serrée et secouée, débordante. Dieu mesurera ses dons envers vous avec la mesure même que vous employez pour les autres. » (Luc 6 : 37-38, BFC)

Les docteurs d’aujourd’hui me sidèrent. Tes genoux ne fonctionnent plus ? Ils les remplacent ! Une mauvaise hanche ? Pas de problème, il y a une opération pour cela.

Personnellement, j’attends qu’ils commencent les chirurgies de remplacement de cerveau. Le mien est un peu usé. Je dis à ma femme que nous devrions travailler ensemble, parce qu’il ne me reste qu’une moitié de cerveau et qu’elle n’en a plus qu’un demi, elle aussi. On pourrait croire qu’un demi cerveau plus un autre demi ferait un cerveau entier. Mais non, c’est toujours un demi.

Actuellement, nous faisons des progrès en ce qui concerne les cerveaux artificiels. Aujourd’hui, nous avons les IA – Intelligence Artificielle (ou Ignorance Artificielle). J’aime ces émissions où l’on voit une pièce comme la verrait un robot. Quelqu’un entre et on entend un son mécanique tandis que la petite machine fait le point sur cette personne. « Homme blanc. La soixantaine. Devrait perdre 5kg. A un air bizarre. » Ensuite, un rayon mortel jaillit du robot et rôtit le pauvre gars. Une voix mécanique annonce : « Menace éliminée. »

Nous sommes un peu comme ce robot.

Menace éliminée

Nous jugeons et évaluons constamment les autres. Notre jugement en révèle davantage à notre sujet – nos valeurs, nos antécédents, notre fierté, notre insécurité – qu’il n’en révèle sur la personne que nous jugeons.

Si nous avons une mauvaise opinion des autres, cela peut révéler l’une ou l’autre de ces deux choses : soit nous avons une mauvaise opinion de nous-mêmes et nous essayons d’abaisser les autres à notre niveau, soit nous sommes arrogants et pensons que personne n’est aussi compétent, intelligent et bon que nous.

Aucune de ces attitudes ne me semble saine.

Quand on passe son temps à juger les autres, on finit par être jugés aussi, à la fois par Dieu et par les autres. Qui pourrait tenir le coup face à un examen aussi minutieux ?

Wouah ! Donc, il faut être « Alice au Pays des Merveilles », béatement aveugle, délicieusement naïf devant les fautes des autres ? Cela pourrait nous exploser au visage. Nous devons être honnêtes et lucides dans notre évaluation des autres. Si quelqu’un a mangé de l’ail et de l’oignon, nous reculons d’un pas ou deux, mais nous continuons à parler. Et nous lui offrons discrètement des Tic Tac.

Mais le genre de jugement dont Jésus parle conduit à la condamnation et la condamnation implique une finalité qui ne laisse place ni à la miséricorde, ni au changement. « Je t’ai jugé et tu vas aller en prison où tu serviras jusqu’au terme de ta peine ! Tu récoltes le résultat de tes actions. »

Profilage

Nous sommes constamment en train de « profiler » les autres. Nous mettons les gens qui sont beaux dans une catégorie et nous leur donnons une longueur d’avance. Les gens quelconques doivent

rester tout en arrière. « Il est trop blanc, trop noir, trop rouge. Elle est trop maigre, trop grosse, infirme, handicapée, etc. » Certaines des meilleures personnes que j’aie jamais rencontrées m’ont paru très bizarres de prime abord (tous mes amis qui lisent ces lignes se demandent immédiatement : « est-ce qu’il parle de moi ? »

Notre travail n’est pas de juger ni de condamner les autres. Jésus a le droit de nous juger mais il ne le fait pas. Il prie pour nous et nous aime d’une façon incroyable. (Romains 8:34,3). Le diable essaye de nous juger et de nous condamner mais le Seigneur le fait taire (Zacharie 3:1,2).

Si le Seigneur ne laisse pas Satan juger et condamner mon frère, qui suis-je pour le faire ? SELAH (fais une pause et réfléchis-y !)

Si nous cherchons des imperfections, nous en trouverons. Si nous cherchons les fruits de Dieu chez Ses enfants, nous les trouverons.

Comment agir envers notre frère moins-que-parfait ? Nous savons comment il est et nous l’aimons. Tout comme l’Esprit de Dieu nous remplit et attise les dons spirituels dans notre vie, Il attise aussi notre amour pour les autres.

L’amour voit l’invisible

Le jugement et la condamnation voient la condition de mon frère comme définitive. L’amour le voit dans un processus de changement, en train de devenir tel que Dieu le veut, même si nous devons plisser les yeux pour voir les signes de la gloire de Dieu en lui. (2 Corinthiens 3:18)

L’amour de Dieu qui remplit notre cœur -

- Est bon et patient.

- Il n’est pas fier (le jugement et la condamnation dégoulinent souvent d’un cœur fier).

- L’amour n’est pas envieux (est-ce que l’envie ne serait pas une motivation pour condamner les autres?)

- L’amour ne se vante pas, ne s’enfle pas d’orgueil (nous ne croyons pas que nous sommes les seuls à avoir tout compris).

- Il n’est pas agressif (envers notre femme, notre mari ni nos enfants)

- Il ne cherche pas son intérêt, ne s’irrite pas, ne soupçonne pas le mal,

- Il ne se réjouit pas de l’injustice, mais se réjouit de la vérité ;

- Il protège toujours.

L’amour est toujours confiant, toujours plein d’espoir… Wouah ! Attends une minute ! L’amour voit son frère non comme un criminel qui doit être condamné, mais comme une œuvre de Dieu en cours. Nous continuons d’espérer le changement parce que nous prions pour lui, nous aimons pour tirer vers lui, nous nous accrochons à lui. Nous refusons d’enfermer nos frères dans la prison de notre esprit. Nous sommes là pour eux et nous anticipons leur croissance.

L’amour persévère toujours. (Il ne cesse jamais d’espérer, ne cesse jamais de vouloir le meilleur pour cette personne. Nous ne nous laissons jamais aller à un désir de vengeance.)

(D’après 1 Corinthiens 13).

« Ô Seigneur, fais de moi cet homme par Ton Esprit. Je n’en suis pas encore là, alors s’il te plaît, sois patient avec moi. »

Voilà une question pour toi : qui est la personne que tu connais qui vit le plus comme cela ? Pour ma part, je pense à plusieurs personnes – pas parfaites, rassure-toi, mais qui croient en l’autre et l’aide à grandir par leurs prières, leur exemple et leurs encouragements. Parle-moi un peu de cette personne.

 

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« Dieu, je ne comprends pas ! »

Mon Dieu, mon dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? (Psaumes 22:1)

Mesdames, vous avez du mal à comprendre les hommes, n’est-ce pas ? Tous ces grattages peu élégants, ces rots et ces cris devant un écran de télévision quand l’équipe favorite est en train de jouer vous semble être une perte d’énergie qui pourrait être mieux employée...

… Comme par exemple, employée à vous écouter et à faire attention à vous.

Et pour vous, les gars, essayer de comprendre les femelles de notre espèce équivaut à peu près à essayer de comprendre la physique nucléaire. Après quarante sept ans, je ne comprends toujours pas entièrement ma femme, mais je connais les effets de certaines choses que je dis.

Donc, je dois toujours réfléchir pour savoir si un autre « bang » sur mon épaule vaut la joie de la taquiner un peu. « Est-ce que ça en vaut la peine ? » (Bien sûr que oui!)

Comment comprendre Dieu

Si nous ne pouvons pas nous comprendre les uns les autres, comment pouvons-nous espérer comprendre notre Créateur et Sa façon d’agir ?

Nous essayons.

Nous essayons de regarder la vie d’une façon cohérente avec la Parole de Dieu, qui peut être adaptée à toutes les occasions.

- Nous sommes positifs et nous confessons les bonnes choses, mais parfois...

- Nous sommes stoïques et nous disons que Dieu nous donne des épreuves, ou les permet, pour notre bien, alors nous « profitons de notre souffrance. » Mais ce n’est pas toujouirs un réconfort quand on souffre comme un fou.

- Nous essayons de faire de Dieu notre serviteur et nous disons : « Si je suis bon et que je fais tout comme il faut, Dieu me récompensera avec de bonnes choses. Seules les mauvaises personnes ont des problèmes. » Et quand nous avons des problèmes, nous sommes dans la confusion.

- Et, et, et...

La vie ne s’accorde pas toujours à notre façon de voir le monde, même si notre philosophie est en grande partie correcte. Mais que faire, alors ?

Même le Fils de Dieu a crié : « … pourquoi m’as-tu abandonné ? »

Que faire quand la vie semble échapper à tout contrôle ? Quand les choses ne s’accordent pas à notre philosophie de vie, il nous reste...

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Le bon côté d’être fou

stagger-2092704 640Parfois, je me dis que la vie serait plus simple si j’étais (plus) fou. Si j’étais fou, je pourrais accomplir de grandes choses.

Et si je me tapais la tête contre un mur et me réveillais persuadé d’être Napoléon ? Dans mon esprit, je commanderais de grandes armées. Les gens me révéreraient et me craindraient. Et, dans la mesure où je serais fou, je pourrais laisser de côté les parties où je grelottais en Russie et où je mourrais du cancer sur une île isolée.

Je pourrais aussi croire que je suis un grand chanteur qui aurait gagné « la France a un incroyable talent ». Je pourrais m’appeler Elvis Porter ou David Pavarotti. Je pourrais chanter à pleins poumons en descendant la rue. Tu me prendrais pour un fou, et après ? Je serais une légende dans ma tête.

Mais si je suis fou, comment pourrais-je le savoir ? L’illusion me paraîtrait réelle. « Si je suis en train de rêver, ne me réveillez pas ! »

 

Le délire des croyants en Christ ?


De nombreuses personnes pensent que les chrétiens vivent dans un monde fantaisiste.

Une des stars du nouvel athéisme, Christopher Hitchens, a écrit : « La relation entre la foi religieuse et le désordre mental est, du point de vue du tolérant et du « multiculturel », à la fois terriblement évident et hautement inavouable. »

Un article du Forbes magazine montre son désaccord : « Une nouvelle étude de ‘’Harvard’s T.H. Chan School of Public Health’’ a prouvé que les enfants et les adolescents élevés avec des pratiques religieuses ou spirituelles tendaient à avoir une meilleure santé physique et mentale que les autres enfants de leur âge. » (Cela t’amène à te demander qui est délirant quand tu considères les faits plutôt que les préjugés.)
(https://www.forbes.com/…/raising-kids-with-religion-or-sp…/…)

Ok David, mais quand même ! Le cœur du christianisme, c’est la foi en la résurrection de Jésus qui a payé le prix pour nos péchés et qui est ressuscité d’entre les morts par la puissance de Son Père. A-t-on jamais vu une chose pareille ?

Je me suis posé cette question. « Est-ce que je crois vraiment que Jésus est revenu d’entre les morts et qu’Il est toujours vivant ? » Cette foi est centrale pour être en accord avec Dieu, d’après la Bible.

« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du cœur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. (La Bible, Romains 10 :9-11)
Est-ce que je le crois ?

Et puis, j’ai pensé : “Je prie le Seigneur Jésus et je SAIS qu’Il est là, qu’Il m’entend. Un homme mort ne peut pas entendre. Un homme mort ne peut pas répondre. Oui, je crois qu’Il est vivant. »


Un sixième sens

 

Nous limitons un peu bêtement la réalité à ce que nous pouvons percevoir avec nos cinq sens. Mais Dieu nous a équipé d’un « sens spirituel » avec lequel nous pouvons savoir. Nous pouvons croire. Allons David, tu crois vraiment cela ?

A une époque, des hommes instruits ont déterminé qu’il existait seulement trois dimensions. Tu peux choisir leur nom parmi ces termes : longueur, largeur, hauteur et profondeur. A présent, nous n’en sommes plus aussi sûr.

Margaret Wertheim écrit : “… nous avons l’habitude de penser à l’espace comme ayant trois dimensions, mais la relativité décrit un univers à quatre dimensions et la théorie des cordes dit qu’il en a dix – voire onze selon les versions. Il y a des variations de la théorie en vingt-six dimensions et, récemment, des purs mathématiciens ont été tout excités par une version décrivant un espace à vingt-quatre dimensions. » (https://aeon.co/…/how-many-dimensions-are-there-and-what-do…)

Donc, est-ce que le fait de limiter notre perception de la réalité à ce que nous disent nos cinq sens est vraiment si intelligent ?


Le bon côté de la folie


Est-ce que je crois réellement que Jésus est ressuscité d’entre les morts ? Oui ! Je sais qu’Il est vivant parce que je Le connais. Je Le connais.

De nombreuses personnes croient certaines choses à propos de Jésus. Mais écoute un peu ça : « Et c'est à cause de cela que je souffre ces choses ; mais j'en ai point honte, car je sais en qui j'ai cru, et je suis persuadé qu'il a la puissance de garder mon dépôt jusqu'à ce jour-là » (2 Timothée 1 :12).

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Les arts magiques !

marten-newhall-226066-unsplashTriste réalité, pour nous croyants, que ce besoin de tant de gens d’avoir recours aux arts magiques, aux sortilèges, à la divination, d’avoir recours aux Ténèbres pour trouver une réponse, avoir une guérison ou accéder à une certaine réussite !

Nous aimerions vous rappeler, ici, ces quelques paroles de condamnation tirées de la Bible, paroles d’hier quand les temps étaient à la croyance aux esprits, et pourtant toujours paroles pour aujourd’hui tant les pratiques ou arts magiques sont encore si présents et si recherchés par nos contemporains.

« Qu’on ne trouve chez toi… personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination au Seigneur » (Deutéronome 18/10,12).
« Si quelqu’un s’adresse aux morts et aux esprits, pour se prostituer à eux, je tournerai ma face contre cet homme » dit Dieu (Lévitique 20/6).
« Ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les » dit l’apôtre Paul (Ephésiens 5/11).

D’où naît ce besoin chez tant de gens d’aller ainsi consulter ces médiums, ces sorciers, ces diseuses de bonne aventure ? Du besoin de sécurité que créent les épreuves, les soucis, les deuils, les détresses, les échecs… Besoin d’une parole qui rassure, besoin d’une force qui guérisse, besoin de bonheur, et de tant d’autres choses pour répondre à ce désir profond de chacun, être en paix, avoir enfin un avenir meilleur.

Voici, chers amis, la bonne nouvelle, celle de Dieu qui dit pour vous : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez le repos pour vos âmes » (Evangile de Matthieu 11/28,29). Celui qui parle ainsi, c’est Jésus qui est le Christ, le Sauveur de tous. Lisez les évangiles et découvrez ce bon message qui éloigne du monde occulte, ténébreux, incertain, et amène à la lumière véritable, celle qui est vie et vérité.
Ne recherchez plus dans ou auprès des Ténèbres ce que vous avez dans et avec la Lumière qui est en Jésus-Christ ! Ce qui est ténèbres vous entraîne dans le malheur, ce qui est lumière vous amène à la vie. En Jésus-Christ crucifié, ressuscité, glorifié, Dieu répond aux besoins de tout à chacun, en Lui salut et guérison, en Lui paix certaine par le pardon, en Lui paix avec soi-même, paix avec Dieu.

Si ce message vous interpelle, et si vous avez besoin d’en parler, n’hésitez pas à nous contacter. Soyez bénis par Dieu !

Pasteur Philippe BAK

image: Photo by Marten Newhall on Unsplash

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Qui est ce Jésus ?

jon-tyson-589839-unsplashColossiens 1 : en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés. 15 Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.

1.  L'IMAGE DE DIEU LE PERE

Un enfant dessinait à l'école du Dimanche. “Que dessines-tu?” lui demanda la monitrice, intéressée par ce qu'elle voyait. “Moi, je fais le dessin de Dieu,” répondit l'enfant tout fier.

La monitrice voulait bien faire son travail, alors elle l'informa que personne ne connaissait l'aspect de Dieu. “Je sais,” répliqua le petit, tout concentré sur son chef d'oeuvre, “Je n'ai pas encore terminé mon dessin.”

Colossiens 1 : 15 Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.

Nous voulons toujours voir. Philippe a plaidé : “Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. Jean 14 : 8  Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.

La réponse de Jésus était très significative:

Jean 14 : 9  Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père; comment dis-tu : Montre-nous le Père ?

L'image du Père. Si vous voulez connaître Dieu le Père, regardez son Fils. Il est l'image parfaite de Dieu. Une traduction dit “l'image exacte.” Le mot en grec pour “image” employé ici pourrait être traduit par “portrait.” Donc, en voyant Jésus, nous voyons le portrait de Dieu. Mais plus qu'un portrait, parce qu'un portrait ne vit pas. Il est...

2. LE PREMIER-NE.

Colossiens 1 : 15--Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.

Les voleurs de sa gloire sautent sur ce verset pour enseigner que Jésus n'est pas éternel, qu'Il est un être créé comme nous. Mais ouvrons les yeux! Le verset suivant dit que Jésus a tout créé. Il s'est créé Lui-même, par hasard? Non, comme Dieu le Père, Il existe de toute éternité.

Il fonctionne comme le premier-né dans ce sens : autrefois, le mâle premier-né dans une famille avait plus d'honneur que les autres enfants. A la mort du père, ce premier enfant héritait le double de ce qu'héritaient les autres. Il devenait le chef de la famille.

Souvent, chez les rois, le premier-né prenait le royaume après son père. Jésus avait la position du premier-né vis à vis de la création, bien qu'Il ne fût pas créé. C'est Lui qui est le...

3. CREATEUR

Mais suivons cette piste un moment, pour saisir une importante vérité. En Jésus tout a été créé. Il existait avant la création

Colossiens 1 : 16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. 17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.

Puis, il a tout créé. Ensuite, pour nous sauver, Il est entré dans sa création. Il est devenu ce que nous sommes, tout en gardant sa divinité. Le Fils de Dieu est devenu le Fils de l'homme, afin que les fils de l'homme deviennent des fils de Dieu.

Il y a des ramifications étonnantes à cette vérité. Jésus ne s'est pas revêtu de l'humanité pour l'abandonner, une fois la tâche accomplie. Non, Il s'est éternellement lié à nous dans l'incarnation. Il a toujours son humanité, aussi bien que sa divinité.

Celui qui était esprit a maintenant un corps... corps humain devenu spirituel à sa résurrection.

1 Corinthiens 15 : 44  il est semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal, il y a aussi un corps spirituel.

Il a un corps, comme nous en aurons un après notre résurrection. Il n'est pas entré dans notre existence seulement pour s'en laver les mains après sa résurrection. Il s'est lié éternellement aux membres de son église.

Colossiens 1 : 18  Il est la tête du corps de l'Eglise; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier.

Il est la tête de l'Eglise, nous sommes le corps. Il ne peut y avoir un lien plus étroit. Jésus s'est lié éternellement à nous.

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Le pardon répare et restaure notre vie

alp-studio-618470-unsplashJean-Marc FEREZ

Voici aujourd’hui un témoignage que j’ai à cœur de partager avec vous. Il s’agit d’une expérience de réconciliation extraordinaire que j’ai vécue en juin 2010.

Ce jour là, maman était en fin de vie. J’étais assis à côté d’elle dans la chambre d’hôpital et j’ai assisté à son dernier souffle. C’est bien sûr une expérience très douloureuse. Papa est arrivé dans la chambre quelques minutes seulement après le décès ainsi que mes deux sœurs.

Le lendemain, papa et moi sommes allés à la chambre mortuaire pour nous recueillir. D’un seul coup, je le sens me tirer par le bras et m’arrêter dans mon élan. Il me fait savoir qu’il a quelque chose de très important à me dire. Je lui réponds que je suis à son écoute.

Il me demande alors pardon ! Pardon au nom de ma maman pour tout le mal qu’elle m’a fait, pardon en son nom personnel aussi pour le mal qu’il a laissé faire. Il me fait alors comprendre que s’il avait pris ma défense il aurait perdu son couple. Il devait choisir entre sa femme et son fils. Il a décidé de ne pas assumer son rôle de papa et de laisser faire. Pour ces faits il a demandé sincèrement pardon.

Je ne savais pas quelle émotion je devais manifester. Devais-je continuer à pleurer la mort de maman ou rire aux éclats, exprimer ma joie pour cette demande de pardon ? Je n’ai exprimé aucune émotion particulière. J’ai dit que je comprenais et pardonnais. Papa nous a quittés six ans après maman, l’année dernière.

Pendant ces six ans j’ai vécu une véritable relation d’amitié avec lui. J’ai pu prendre soin de lui autant qu’il m’était possible pendant sa fin de vie. J’ai pu lui témoigner du fait que je n’avais aucun ressentiment vis-à-vis de lui. Au contraire, il n’y avait que de l’amour dans mon cœur à son égard. Oui, quand une demande de pardon est formulée, il est bon et juste que nous répondions favorablement de la même manière que nous nous attendons nous-mêmes à être pardonnés quand nous nous humilions devant les personnes que nous avons offensées.

Le pardon est réparateur

Le pardon change tout dans une vie. Il est réparateur. Il est un élément indispensable pour vivre une restauration profonde, une guérison intérieure complète. Que Dieu nous aide dans cette démarche, nous ne le regretterons jamais.

Je pense qu’il était très douloureux pour papa de s’humilier devant moi de cette façon. J’ai compris qu’il avait gardé ce fardeau dans son cœur pendant toute ma vie. J’avais quarante sept ans à l’époque. Il a sauté sur cette occasion inattendue pour me demander pardon. Il n’a pas pu pleurer la mort de sa chère épouse avant d’entreprendre cette démarche.

Son attitude m’a déchiré le cœur car j’ai compris sa souffrance. Il s’est libéré le cœur en demandant pardon. Il a déposé son fardeau devant moi avec confiance que je répondrai favorablement. Il connaissait mon témoignage chrétien. Il s’attendait à ma réponse favorable.

Ceci dit, il avait bien vu que tout au long de ma vie je n’avais jamais eu de comportement vis-à-vis de mes parents qui démontrait une quelconque trace de rancune à leur égard. Je crois, oui, qu’il attendait ce pardon pour pouvoir vivre enfin libre. Je crois qu’en même temps il demandait pardon à Dieu. Il reconnaissait son mal, son manquement. J’ai vraiment honoré et respecté sa démarche si courageuse.

Aujourd’hui je loue cet homme pour ce qu’il a fait et je suis sûr que mon Dieu a sauvé son âme et qu’il l’a accueilli dans son Royaume de gloire éternelle.

Ainsi, il nous est possible, nous-mêmes de venir demander pardon à quelqu’un que nous avons offensé. Oui s’est humiliant, difficile et il faut du courage car nous ne savons pas comment la personne en face va réagir.

Le pardon change notre vision du passé

Peut-être que cette personne se trouve amère, pleine de rancune et de haine. Cependant, il est important de venir pour le faire et Dieu nous y aide.

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La crainte-- vaincre l’épouvantail nommé Crainte

cartoon-2027047 640Internet est un fabuleux moyen de trouver de bonnes illustrations. Nous pouvons aussi y trouver l’avis d’autres personnes qui vont te dire que cette merveilleuse illustration n’est qu’un tas d’âneries.

Par exemple, il y avait cette histoire très inspirante de la maman aigle qui apprend à ses jeunes comment voler. Elle les fait monter sur son dos, vole haut, haut dans le ciel, puis les fait tomber. Le petit n’a plus qu’à battre des ailes pour essayer de voler. Quand il risque de s’écraser, elle se glisse en-dessous de lui, retourne dans le ciel avant de le laisser tomber à nouveau.

Au bout du compte, le petit apprend à voler (ou meurt).

J’allais vous parler de cette image, aujourd’hui, mais après quelques recherches profondes et ardues (peut-être quinze minutes sur youtube et internet), il semble qu’il y ait plus de votes contre la véracité de cette histoire que de votes pour.

Je commence moi-même à en douter. Au moment où l’aiglon est assez âgé pour voler, il est presque aussi gros que ses parents.

J’imagine la discussion de sa maman avec une de ses tantes : « Tu ne le croirais pas, Marie-Chantale ! Ce garçon est aussi gros qu’une vache et mange comme un cheval. Quand je me suis glissée sous lui pour le rattraper, il m’a presque écrasée sur le sol ! »

Les hauteurs nous effraient


Ça a réellement gâché une belle illustration. Mais, que sa maman le prenne ou non sur son dos, cet apprentissage du vol doit être effrayant. Les nids des aigles sont VRAIMENT très haut.

Tu t’imagines au bord d’un nid perché à trente mètres, en train de rassembler ton courage pour sauter pour la première fois ? « Ok, je peux le faire… Oui, allez, on y va… euh, demain… peut-être. Après tout, on pourrait bien en mourir. »

Comme mon copain l’aiglon, j’ai remarqué que j’avais une tendance à craindre les choses que je ne veux pas faire ou, plus particulièrement, les choses dont j’ai peur. Résultat, je tergiverse. Je me tiens au bord du nid et j’imagine tout ce qui pourrait mal tourner. L’imagination alimente le sentiment de crainte et le saut nous semble soudain haut de 300 mètres plutôt que de 30.

Le dictionnaire dit que la crainte est « une peur ou une anxiété extrême au sujet d’une chose qui va arriver ou qui pourrait arriver. »
Quelques synonymes de crainte : anxiété, appréhension, consternation, détresse, frayeur, stress, inquiétude, malaise.

Donc, ta belle-mère prévoit une visite et la crainte remonte à la surface de tes émotions.

Cet examen final et important se dresse à l’horizon et tu prévois déjà le désastre, un mois à l’avance. La crainte.

Deux amis différents ont le cancer et tu t’imagines en train de subir de la chimiothérapie. La crainte.

Le pasteur te demande d’enseigner à l’étude biblique du mercredi soir et tu imagines que personne ne va venir, que tu vas oublier tout ce que tu voulais dire et que le monde tel que tu le connaissais va arriver à son terme.
« Et si mes enfants avaient un terrible accident. »

(Pour les jeunes) « Et si j’avais un bouton le jour de mon rendez-vous. »
Et si...

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30 ans à souffrir de TOC

jeremy-perkins-278351-unsplashPar Timothée Paton

Trente ans c’est long. Trente ans de souffrance psychique et de combat constant. Les TOC ne prennent jamais de congés. Ne vous octroient jamais de jour de repos. Vous tiennent captif chaque jour de l’année. Ne vous accordent aucun répit. Vous accompagnent quel que soit l’endroit où vous vous rendez.

Je crois que seuls les quelque 3% de la population qui en souffrent peuvent mesurer à quel point les Troubles Obsessionnels Compulsifs sont oppressants, déstabilisants, terrifiants.

On les mentionne trop rarement dans les médias et jamais dans l’Église.

La définition du TOC que donne le médecin français Christophe André est la suivante : une m aladie anxieuse assez sévère. Le patient souffre d'idées fixes, qui deviennent envahissantes, angoissantes et tyranniques. Le mode opératoire de ces troubles est toujours le même : une idée intrusive surgit (ai - je bien éteint la lumière ?) qui déclenche un e très forte angoisse. Il devient impératif d'aller vérifier. Et à chaque fois que cette interrogation obsédante ressurgit, le

malade va se rassurer avec ce rituel de vérification. Mais ce mécanisme va

rapidement tourner à l'obsession, les gestes rituels n e parviendront dès lors

à baisser le niveau d'angoisse que de courts instants seulement.

   Mes tous premiers souvenirs de TOC (bien avant que je ne sache qu’ils portaient un nom) remontent au début de mon adolescence. Jusqu’à l’âge de 14 ans, j’ai vécu une enfance normale, sans souci. Mon frère, élevé dans le même environnement d’amour et de sécurité, n’a jamais souffert de tels troubles.

Le probleme commence

Nous habitions paisiblement dans un petit appartement à Clermont- Ferrand, dans le Centre de la France.

Un jour où je m’apprêtais à sortir seul, je fermai la porte à clé, comme d’habitude. Je vérifiai que la porte était bien fermée. Puis je vérifiai de nouveau. Et encore. Plusieurs fois de suite. Jusqu’à ce que la poignée se casse.

Ce jour-là, c’est comme si au fond de moi un barrage venait de se fissurer, ouvrant la voie à des torrents d’eau qui ont bien failli m’emporter.

Au fil des ans, j’ai cru parfois couler tant la force de ces Troubles Obsessionnels Compulsifs me faisait perdre pied. Sans Jésus, il y a bien longtemps que j’aurais été balayé par les flots.

Les TOC ont imprégné toute ma vie. On pensait au début que ce ne serait que passager, un problème d’adolescence. Le problème est resté et n’a fait qu’empirer au fil des ans.

Je me suis mis à tout vérifier : les portes sont-elles bien fermées ? La lumière est-elle bien éteinte ? Le frein à main de ma voiture est-il bien serré ? Une liste de craintes irrationnelles sans fin…

S’inquiéter de la sorte est inutile

Ceux qui souffrent de TOC savent pertinemment au fond d’eux-mêmes que s’inquiéter de la sorte est inutile. On ne peut pourtant se défaire de telles angoisses. Dire qu’il est insensé de s’inquiéter ainsi ne change absolument rien : la frustration n’en est souvent que plus intense.

Pendant des années je me suis senti comme ‘responsable’ de tout ce qui, à mes yeux, n’était pas à sa place. Que ce soit un simple sac en plastique sur la pelouse d’un jardin public ou un objet sur l’étagère d’un magasin, légèrement en équilibre, prêt à tomber dans le vide.

C’est comme si je pouvais voir ce que les autres ne voient pas. L’ayant vu, la responsabilité d’intervenir s’impose à moi. Le ‘syndrome du sauveur’ en quelque sorte.

Jeune pasteur, je rendais souvent visite aux membres de l’église. M’asseoir à table avec eux provoquait de très fortes anxiétés : je voyais tant de choses dans leur maison à remettre en place, au ‘bon endroit’. Me concentrer sur une conversation devenait extrêmement difficile.

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Tu fais quoi pour sauver ton couple ?

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Un matin, je devais emmener les enfants à l'école ; mon fils  Steve avait environ dix ans. Nous étions en retard et nous nous engagions dans une véritable course contre la montre.

Une fois arrivés à l'école et alors que j’allais pousser un grand soupir de soulagement, je regardai avec attention mon fils pour la première fois de la journée. Quelle fut ma surprise en voyant ses cheveux ! On aurait dit un nid d'oiseau !

« Steve, tu t'es peigné les cheveux ? »

« Je n'avais pas le temps ».

On aurait cru que la bataille d'Harmaguédon venait d’avoir lieu dans sa chevelure !

Je n'avais ni peigne ni brosse mais je fis mon possible avec mes doigts et ma bonne volonté, puis je le laissai partir.

J'imagine que sa mère aurait été scandalisée par cette scène, mais il est parfois préférable que les mères ne sachent pas tout.

Imaginez un instant qu’après avoir vu la coiffure surréaliste de mon fils, je me sois laissé distraire par quelque chose, oubliant que je ne pouvais laisser mon fiston aller l’école ainsi.

Ses amis se seraient moqués de lui toute la journée. Tous les professeurs se seraient dit : « Mais quelle mère peut laisser son fils venir à l'école coiffé comme ça ? » (Pour leur plus grand bonheur, ce ne sont ni l'enfant ni son père qui sont généralement blâmés dans de telles situations).

Savoir qu'il faut changer quelque chose sans agir est plus qu'inutile.

Une question s'impose : qu'allez-vous faire pour appliquer ce que le Seigneur a dit à votre coeur pour améliorer ?

Je vous laisse un petit indice. La bonne réponse n'est pas : « Je vais vraiment travailler à changer mon époux ! » ou « Ma femme a vraiment besoin de ce livre. Je lui offrirai à Noël. »

La seule personne que vous pouvez changer, c’est vous-même ! De plus, si vous vous améliorez personnellement, votre couple s’en portera déjà mieux.

Que faut-il changer ?

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Comment se connecter avec Dieu ?

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La question la plus importante de toutes les questions est celle-ci : « Où vais-je passer l’éternité ? »  Et une deuxieme question qui va avec: "Comment se connecter avec Dieu?"

Dieu dit dans sa Parole, la Bible : " Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du cœur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent."

"Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romains chapitre 10:9-13)

Dieu demande deux choses : la repentance de nos péchés, c’est-à-dire, nous Lui demandons pardon pour l’avoir offensé et nous nous tournons de nos péchés vers Lui pour le suivre. Puis, croire ! Croire que le Fils de Dieu, Jésus, est mort à notre place pour payer le prix que nos péchés demandaient. Croire que, si vous criez vers le Seigneur, vous serez sauvée.

Vous recevrez le don de la vie éternelle. Vous serez vraiment un enfant de Dieu. Jésus est vraiment vivant. Dieu son Père l'a ressuscité d'entre les morts. Il est avec son Père et Il entend nos prières. Nous sommes acceptés par Dieu à cause de ce que Jésus a fait.

L'experience de John


Un ami, John, a fait cela. Voilà son expérience :

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La Lettre d'Amour du Père

leave-2163258 640 1Mon Enfant,

Je regarde jusqu'au fond de ton coeur et je sais tout de toi. Psaume 139:1 Je sais quand tu t'assieds et quand tu te lèves. Psaume 139:2 Je te vois quand tu marches et quand tu te couches, je connais parfaitement toutes tes voies. Psaume 139:3

Même les cheveux de ta tête sont comptés. Matthieu 10:29-31 Tu as été créé à mon image. Genèse 1:27 Je suis le mouvement, la vie et l'être. Actes 17:28 Je te connaissais même avant que tu sois conçu. Jérémie 1:4-5 Je t'ai choisi au moment de la création. Ephésiens 1:11-12 Tu n'étais pas une erreur. Psaume 139:15

Tous tes jours sont écrits dans mon livre. Psaume 139:16 Je détermine la durée des temps et les bornes de tes demeures. Actes 17:26 J'ai fait de toi une créature merveilleuse. Psaume 139:14 Je t'ai tissé dans le ventre de ta mère. Psaume 139:13 C'est moi qui t'ai fait sortir du sein de ta mère. Psaume 71:6

Image déformée 

 

J'ai été déformé par ceux qui ne me connaissent pas. Jean 8:41-44 Je ne me suis pas éloigné, ni fâché, car je suis l'expression parfaite de l'amour. I Jean 4:16 C'est mon amour de Père que je répands sur toi. I Jean 3:1 Parce que tu es mon enfant et que je suis ton Père. 1 Jean 3:1 Je t'offre plus que ton père terrestre pourrait jamais te donner. Matthieu 7:11 Car je suis le Père parfait. Matthieu 5:48

Toute grâce que tu reçois vient de ma main. Jacques 1:17 Car je suis celui qui subvient à tous tes besoins. Matthieu 6:31-33 Mon plan pour ton avenir est toujours rempli d'espérance. Jérémie 29:11 Parce que je t'aime d'un amour éternel. Jérémie 31:3 Mes pensées vers toi sont innombrables comme le sable sur le bord de la mer. Psaume 139:17-18 Et je me réjouis de tes louanges et de ton adoration. Sophonie 3:17

Je n'arrêterai jamais de te faire du bien. Jérémie 32:40 Tu es le peuple que j'ai choisi. Exode 19:5 Je désire t'établir avec tout mon coeur et toute mon âme. Jérémie 32:41 Il est en mon pouvoir de te montrer de grandes et merveilleuses choses. Jérémie 33:3 Si tu me cherches avec tout ton coeur tu me trouveras. Deutéronome 4:29 Fais de moi tes délices et je te donnerai ce que ton cœur désire. Psaume 37:4

Car c'est moi qui t'ai donné ces désirs. Philippiens 2:13 Je suis capable de faire plus pour toi que tu pourrais probablement imaginer. Ephésiens 3:20 Car je suis ton encouragement le plus grand. 2 Thessaloniciens 2:16-17 Je suis aussi le père qui te console dans tous tes ennuis. 2 Corinthiens 1:3-4 Quand tu cries à moi, je suis près de toi et je te délivre de toutes tes détresses. Psaume 34:18

Il efface nos larmes

 

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Vous voulez des enfants, hein ?--2eme partie

child-2974160 6404. Prenez le temps d'avoir des activités avec vos enfants. Deux souvenirs se sont gravés dans ma mémoire d'enfant. Mon papa aimait la chasse et il me prenait souvent avec lui pour y aller, de même qu’à la pêche. Et il aimait le sport : je me souviens très bien de l'époque où il jouait au base-ball avec nous et venait assister à mes matchs.

J'ai décidé d'être présent pour mes enfants, non seulement pour les choses « spirituelles » mais aussi pour ce qu'ils aimaient faire, eux. Voilà pourquoi on a pu me voir dans les gradins durant des centaines de matchs de football, de volley ou de basket, auxquels mes enfants participaient...

J'ai crié contre les arbitres jusqu'à ce que ma femme me persuade que ce n'était pas un bon témoignage. C'était pourtant évident qu'ils favorisaient l'équipe adverse ! Un aveugle aurait pu le voir.

J’ai aussi passé beaucoup de mon temps libre à faire moi-même du sport avec mes enfants, à leur lire des livres et à me livrer avec eux à des tas de choses intéressantes.

Je voulais leur montrer à quel point je les aimais. (Et je dois admettre que j'aimais jouer, moi aussi !)

J’ai laissé tomber des hobbies que j'aurais peut-être aimé pratiquer seul ou avec des amis. Mais pour moi, ces moments passés avec mes enfants sont des trésors d'une valeur inestimable. Je me réjouis de ces souvenirs aujourd'hui encore.

5. Apprenez-leur à être responsables en leur donnant des tâches à leur portée. Vous pouvez même les rémunérer, mais demandez-leur des comptes. Qu'ils apprennent de leurs parents à faire ce qu'il faut, comme il le faut.

6. Montrez votre amour pour votre épouse devant les enfants, monsieur ! Faites-lui beaucoup de bisous et de câlins pour que les enfants puissent voir votre amour (et parce que c'est agréable !)

Et n'utilisez JAMAIS vos enfants pour essayer de gagner des points contre votre conjoint. Les enfants n'ont pas de place dans les querelles des adultes. Ne parlez jamais contre votre mari ou votre épouse en présence de vos petits. Monsieur, n'acceptez jamais non plus qu'un de vos enfants manque de respect envers sa maman.

En dernier recours, c'est au mari d'assurer la discipline des enfants, mais en se gardant de tout abus. Crier sans cesse ou frapper vos enfants au point qu'ils doivent cacher leurs bleus quand ils vont à l'école, n'est pas de la discipline — c'est de l'abus.

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Vous avez des enfants, hein ?

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Je me souviens du jour où ma jeune épouse de 20 ans est revenue de chez le médecin avec une nouvelle qui nous a transportés tous les deux au septième ciel : elle attendait un enfant !

Voici le contexte : j'avais 22 ans, j'étais en fac et j’allais décrocher mon diplôme de sciences politiques quelques mois plus tard. Je travaillais à mi-temps en plus de mes études et Phyllis avait un petit travail avec un salaire de misère.

Nous n'avions, en réalité, aucune idée de ce qu'un bébé représentait, mais nous l'avons rapidement appris.

Les femmes enceintes vomissent beaucoup, le saviez-vous ? En plus, elles sont parfois désagréables, ce qui rend leur mari tout aussi grognon. Il semble que la seule chose qui soit plus difficile qu'être une femme enceinte est d'être marié à une femme enceinte !

Pourtant quand notre petit Steve a fait son apparition, nous étions de nouveau aux anges — du moins avant qu'il ne rentre de la maternité. Une fois à la maison, la réalité a été tout autre : il ne voulait pas dormir de la nuit !

Nous l'avons porté à tour de rôle pour essayer de l'endormir, mais il ne s'assoupissait que quand il voulait et, une fois réveillé, il désirait sans cesse avoir de la compagnie. À cette époque, je venais juste de finir mes études et travaillais pour un journal ; j'étais en plus pasteur dans une petite église de campagne.

Le sommeil de qualité devint un luxe que nous goûtions rarement. Et en outre — comme tout bébé, certes — il avait des couches, ce qui est au début une rude épreuve pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de les changer.

Et puisqu’un bonheur n’arrive jamais seul, le petit Charles suivit de près le petit Steve, puis la petite Christi le talonna. Bref, mon épouse mit au monde trois enfants en moins de trois ans.

Il faut le vivre pour comprendre.

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Dieu, est-il l’auteur du génocide ?

skulls-1433178 640Il y a un groupe qu’on appelle les nouveaux athées qui ont vendus des millions de livres et qui sont influents parmi les gens qui cherchent une raison de croire que Dieu n’existe pas. Peut-être le plus proéminent est Richard Dawkins professeur à Oxford.

Dans le livre : Pour en finir avec Dieu (2006), Dawkins soutient qu'un créateur surnaturel a très peu de chances d’exister et que la foi religieuse est une illusion. (Wikipedia) Il dit du Dieu de l’A.T. « Le dieu de l'Ancien Testament est sans doute le personnage le plus désagréable de toute fiction… »

Il est célébré dans les universités et des cercles qui se considèrent trop intelligents pour croire en Dieu. En toute franchise, je ne suis pas trop embêté par ses arguments qui se prétendent être intelligents et scientifiques.
Si vous grattez un peu, la grande vision de l’existence qui leur donne une grande joie ne donne pas grande chose. Quand on voit leur vie personnelle, on se demande s’ils sont vraiment aussi contents de leur vie qu’ils le disent.

Je crois que plus que toute autre chose, la philosophie des athées est un effort d’échapper au regard d’un Dieu qu’ils n’aiment pas. Ils Lui reprochent Ses revendications sur leur vie et tentent de s'échapper.

Mais face à ces philosophies, il y a une réaction qui me trouble beaucoup. Il me semble que beaucoup de pasteurs réagissent à ces attaques en disant que l’Ancien Testament n’a pas le même niveau d’inspiration que le Nouveau parce que beaucoup de choses difficiles à comprendre s’y trouvent.

Ecoutez Brian Zahnd : « Même un lecteur occasionnel de la Bible remarque qu'entre le prétendu soutien divin du génocide à la conquête de Canaan et l'appel de Jésus à l'amour des ennemis dans son Sermon sur la Montagne, quelque chose a clairement changé.

Ce qui a changé n'est pas Dieu mais le degré auquel l'humanité a atteint une compréhension de la vraie nature de Dieu. La Bible n'est pas la révélation parfaite de Dieu ; Jésus est. Jésus est la seule théologie parfaite. La théologie parfaite n'est pas un système de théologie ; la théologie parfaite est une personne. La théologie parfaite ne se trouve pas dans la pensée abstraite ; la théologie parfaite se trouve dans l'Incarnation. La théologie parfaite n'est pas un livre ; La théologie parfaite est la vie que Jésus a vécue. Ce que la Bible fait inlassablement est de nous diriger vers Jésus, tout comme Jean-Baptiste l'a fait. »

« La Bible n'est pas la révélation parfaite de Dieu ; Jésus est. » La question que j’ai est celle-ci : comment sais-je qui est Jésus, si la Bible ne me le dit pas ? Et si tu réponds : « Oui, cette partie de la Bible est vraie, mais il y a des parties qui sont fausses. »

Alors, chacun décide ce qu’il croit être vrai ou faux ? Comme ça, je peux me fabriquer un « dieu à la carte » ? Ce n’est pas Dieu, ça. C’est la projection des désirs de mon cœur, ajoutée à la pensée unique pour ne pas choquer ni être critiqué.

Il se peut que ma femme désire un homme bien musclé, très intelligent, riche et beau comme tout. Elle me regarde et puis elle décide quand même de me garder. Pourtant je ne suis pas comme cela.
Dieu, Il est ce qu’Il est.

Voici un exemple de question quand même gênante : Comment un Dieu d’amour aurait pu commander le génocide de tous ces peuples quand Israël entrait le pays de la promesse ?

Un ami, John, qui est beaucoup plus théologien que moi a noté : « Je n'ai pas de réponse qui me satisfait pleinement ...

« C'est une question qui me dérange, non pas que je doute de la justice ou de l'amour de Dieu personnellement, mais cette question est utilisée comme arme par les nouveaux athées et j'aimerais pouvoir donner une réponse.

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Lisez ceci avant de vous marier --2

woman-1979272 640Dans l’article précèdent nous vous avons donné quatre choses que vous devriez chercher dans un(e) conjoint(e). Accrochez-vous bien. Nous en ajoutons encore dix dans cet article !

5--Est-ce que cette personne aime le Seigneur Jésus de tout son cœur ? Voilà le principe qui est le plus important de tous. Si vous vous mariez avec quelqu’un qui n’aime pas Dieu, vous ne deviendrez pas la personne que Dieu a prévu que vous soyez.

Quand je dis « aimer Dieu de tout son cœur » ce n’est pas seulement une question d’assistance aux réunions Chrétiennes. Est-ce que la personne essaie de vivre d’une manière qui plaise au Seigneur ? Est-ce qu’elle se pose la question : « Quelle est la volonté de Dieu pour ma vie ? » Est-ce qu’elle pratique son culte personnel, lisant la Parole de Dieu, priant et assistant aux réunions d’une église régulièrement ?

Si vous êtes mariés avec un(e) non-croyant(e), accrochez-vous. Dieu vous aidera à tenir votre promesse. Mais, si vous ne vous êtes pas encore engagé(e), mettez Dieu à la première place de votre vie.

6--Est-ce que cette personne est travailleuse ? Est-ce qu’elle se lève du canapé pour travailler pour pourvoir aux besoins et atteindre les buts fixés ? Est-ce qu’elle ira au travail chaque jour ? Voyez un peu comment elle fait à l’école ou au boulot ? Autrement, vous risquez de vous trouver seul(e) dans le couple à essayer de pourvoir à tout.

7—Est-ce que votre futur(e) partenaire pour toute la vie est facile à vivre. Si vous vous chamaillez pour un rien, pensez-vous que ça changera avec le mariage (et s’il ou elle s’entend avec tout le monde sauf vous, ne pensez-vous pas qu’il y ait une possibilité que ‘vous’ soyez ‘la’ personne difficile dans l’équation ?) La personne, peut-elle faire des compromis ou faut-il toujours qu’elle ait raison ? Est-ce qu’elle encourage ou décourage ? Est-ce que vous riez souvent ensemble ?

8—Est-il/elle gentil(le), aimable et généreux(se) ? Comment se comporte-il/elle avec les gens plus faibles ? Le garçon au restaurant par exemple ? Est-ce qu’il/elle aide les autres ?

9—Est qu’il/elle s’entend avec votre famille ? Nous croyons nous marier avec une personne mais souvent nous nous marions avec une famille. S’il y a un parent qui essaie de dominer l’enfant marié, cela présage des problèmes pour le couple.

10—Vos amis, que pensent-ils de ce mariage ? L’amour est peut-être aveugle mais nos amis restent bien voyant. Ils n’ont pas toujours raison mais si vos amis et votre famille vous avertissent, attention. Réfléchissez.

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L’article que vous devriez lire avant de vous marier

girlVous allez vous marier ? Vous êtes décidés et personne ne peut vous convaincre du contraire. Très bien.

Dieu dit : « Qui trouve une épouse trouve le bonheur : c’est une faveur que l’Eternel lui a accordée. » (Proverbes 18 :22, Semeur) Nous pouvons aussi dire que la femme qui trouve un bon mari trouve un trésor. J’ai trouvé mon « bonheur » il y a 46 ans. J’espère que ma femme a trouvé le sien aussi.

Je souris normalement quand je vois deux personnes qui se marient dans le Seigneur. Parfois, je n’ai pas de sourire, mais j’essaye de rester optimiste, en espérant que les choses s’arrangeront. Avec ces statistiques sur le nombre de divorces, vous voulez vous lancer dans le mariage avec tous les atouts possibles de votre côté.

Dieu veut que vous vous jouissiez du mariage et non pas seulement que vous l’enduriez.

Quelqu’un m’a demandé des conseils de préparation afin de choisir un(e) partenaire pour la vie. Alors, j’ai fait une liste pour ceux qui sont sérieux en faisant ce choix. J’ai sans doute oublié des choses parce que j’étais plus intelligent il y a 46 ans quand j’ai commencé. Mais, je suis chevronné par mes expériences.

Considérez ces choses avant de dire : « Oui ! ». Pouvez-vous en ajouter quelques-unes ?

1--Connaitre le Cœur d’une personne avant de lui donner le vôtre parce qu’après le mariage vous allez le connaitre.  « Garde ton cœur plus que toute autre chose, car de lui jaillissent les sources de la vie. » (Proverbes 4 : 22)

Nous nous aspergeons tellement d’aftershave et de parfum les premiers jours de fréquentation que nous ne connaissons pas la personne. Mais, nous parlons, nous avons des interactions, nous regardons la façon de vivre de l’autre et la vraie personne finit par apparaitre au milieu de sa « prétendue perfection ».

Mon épouse et moi, nous avons commencé une amitié avec un couple qui a emménagé dans notre région, il y a des années de cela. Au début, c’était les blagues, des sourires, et des rires. Un soir, pourtant, il a dit quelque chose de méchant contre un groupe de gens. Ce n’était pas seulement dit comme un préjugé, mais rempli de haine, avec passion.

Puis, d’autres choses pas agréables ont fait surface, surtout dans le comportement du mari vis-à-vis des femmes. Il a fallu un certain temps, mais à la fin, la vraie personne est sortie de sa cachette.

2-Oui, l’apparence est importante mais ce n’est pas tout.  Surtout au début, nous serons attirés par l’extérieur, mais c’est indispensable d’avoir une relation basée sur des facteurs plus profonds que la beauté.

On change.

Vous les jeunes, vous croyez que vous serez toujours comme ça. Vous me faites rire. Vous savez ce qui vous attend ? Regardez papa et maman … et plus tard papi et mamie.

C’est déprimant, n’est-ce pas ?

Votre relation doit être plus profonde qu'à fleur de peau parce que la peau va rider et même s’étirer.

Vous aurez plusieurs têtes … et ventres … dans le courant de votre vie. Si la relation se base seulement sur la beauté de la jeunesse, vous courez vers les problèmes.

3--Oui, les sentiments sont importants, mais ils ne sont pas totalement fiables.

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Pour le célibataire: Quatre conseils en attendant

portrait-2865605 640(Les quatre clefs sont à la fin de l’article)

Que faire lorsque la rencontre tant attendue tarde à venir, lorsque rien ne semble bouger dans ce domaine si précieux de notre vie que sont les sentiments et la construction de notre future famille ? Car c’est bien ce que nous avons dans le coeur : nous ne comptons pas rester célibataires longtemps !!! Et pourtant…

Les voies de Dieu ne sont pas les nôtres !

Si Dieu avait dit à Moïse qu’il resterait 40 ans dans le désert, y serait-il allé ? Si Dieu m’avait dit que passé le cap fatidique des 30 ans je ne serais toujours pas mariée, 12 ans après ma conversion, je n’aurais jamais voulu le croire !

Donc, que faire durant cette traversée du désert ??? Il y a tant de pièges à éviter, tant d’opportunités de se détourner des voies de Dieu. Car nous ne sommes pas meilleurs que le peuple hébreux dans le désert, il faut en avoir conscience…

Dieu a des projets pour notre vie

Tout d’abord, nous devons nous rappeler que Dieu a conçu d’avance des projets merveilleux pour chacune de nos vies, « un avenir et de l’espérance » nous dit Jérémie 29:11. Il a fait de chacun d’entre nous des êtres uniques, et ses projets sont uniques ! Projets de mariage, de famille, de service… Tout est lié, Dieu n’a rien oublié… Il nous promet même, en Ephésiens 3:20, de nous donner « au-delà de nos espérances » !

Vivre par la foi

Alors face à une telle promesse, nous devons vivre par la foi que Dieu accomplit sa promesse. Et si elle tarde, nous devons l’attendre nous dit Habakuk 2:3, « car elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement (…), le juste vivra par sa foi ». Il faut reconnaître que cette attente est souvent difficile, surtout lorsque l’horloge biologique nous rappelle que les mois et les années sont comptés… La tentation est alors de prendre les choses en main, de décider d’agir par nous même au lieu de laisser le Seigneur le faire.

Laissons-nous alors convaincre par le Psaume 127:1 qui déclare que « Si l’Eternel ne bâtit la maison, ceux qui la bâtissent travaillent en vain ». Alors abandonnons nos destinées entre les bonnes mains de notre Dieu (Psaume 31:15).

Sa promesse et le meilleur

Car la promesse de Dieu pour nos vies, c’est Canaan : ce qu’il y a de meilleur… Et le piège est de s’arrêter à Charan, de se contenter d’une situation qui ne nous correspond pas : dire oui à un(e) chrétien(ne) alors que l’on sait que ça n’est pas ça, ou même s’engager avec un(e) inconverti(e) qui a tant de qualités merveilleuses, mais qui n’a pas la nature de Christ.

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Trouver un sens à l’histoire de ta vie

 

A une époque, j’ai travaillé pour le journal d’une petite ville. La célébration d’un centenaire quelconque approchait et l’éditeur m’a demandé d’écrire des articles sur l’histoire de la petite ville à coté où j’étais allé à l’école.

J’ai interviewé un vieux type qui voulait me montrer un champ, près de la ville, où des bandits étaient censés avoir enterré leur butin. Personne ne l’avait jamais trouvé. Mais en chemin, il a pointé un pin proche de la route, qui était plié selon un angle bizarre.

Il m’a raconté que, dans sa jeunesse, les enfants pliaient l’arbre et s’y accrochaient pour être projeté dans les airs quand les autres lâchaient. Ils l’ont tellement fait que l’arbre est resté penché et n’a plus jamais poussé droit. 

Il n’y a pas que les arbres qui se retrouvent courbés par les circonstances. Ca arrive aux hommes et femmes aussi.

Parfois, « des choses arrivent » dans la vie et ces choses affectent notre qualité de vie, parfois même le cœur même de ce que nous sommes. Des choses arrivent – de bonnes choses et de mauvaises choses – et te changent, te propulsent dans des accomplissements dont tu n’aurais jamais rêvé ou te détruisent.

La vie est bizarre. Parfois, de bonnes choses ruinent ta vie. Demande aux gens qui ont gagné à la loterie. Et, parfois, les choses difficiles te transforment en la personne que tu rêvais d’être – demande aux gars du GIGN ou du RAID.

Abattu ou lancé ?

Nos actions et nos réactions déterminent si ces « choses » nous construisent ou nous tuent.

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Avons-nous besoin du réveil ?

blowing rockLe réveil de la rue Azusa était issu d’un contexte très particulier.

Dans le monde politique, la première guerre mondiale pointait à l’horizon et la deuxième se préparerait juste après. Il me semble que l’anxiété et la crainte que génère la guerre peuvent aussi pousser les gens à se tourner vers le Seigneur.

A l’époque, des mouvements « sainteté » dans l’Eglise attendaient vraiment la venue du Seigneur. Ces chrétiens voulaient la puissance de Dieu pour prêcher l’évangile et pour mener une vie sainte. Quand ils ont entendu parler de ce qui se passait à Los Angeles ils s’y sont attroupés par milliers.

Le réveil commença parmi les chrétiens, ce qui est normal. Ce n’était pas une nouvelle doctrine mais plutôt le rétablissement d’une vérité qui avait été laissée de côté par l’Eglise--la nécessité d’être baptisé dans le Saint Esprit. Tout le monde était convaincu que Jésus redonnait la puissance à son Eglise pour prêcher l’évangile dans le monde entier. Cela dans le but que Jésus revienne.

Il y a quelques années de cela, un homme qui faisait des recherches sur la croissance de l’Eglise dans le monde affirmait que 80% des gens qui allaient être sauvés cette année-là, seraient évangélisés par des gens des mouvements Pentecôtiste ou Charismatique.

En Afrique, en Amérique Latine, et même en Asie, l’Eglise connaît une telle croissance qu’on a du mal à suivre pour l’enseignement. Souvent, ce sont les gens baptisés du Saint Esprit qui, dans l’évangélisation, sont les premiers.

Mais franchement, en Occident, ça ne bouge pas autant. On dirait qu’une grande partie de la croissance se fait parmi les immigrés. C’est plus que super, mais où sont les populations indigènes ? Nous avons besoin de plus de Sa puissance.

La clef

Comment faire pour que Dieu agisse ainsi chez nous ? Dieu ne donne-t-il plus de ‘rues Azusa’ à notre époque ?

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Deux horribles accidents évités

train-1728537 640Un de mes amis, Christophe, fait un travail dont tous les petits garçons rêvent : il conduit des trains dans la très belle région de France qu’est l’Alsace.

Je dis « travail de rêve, » mais je ne suis pas sûr que c’est toujours ce dont rêvent les petits garçons, de nos jours. D’après ce que je sais de mes petits-enfants, ils rêvent probablement de tuer des monstres à trois têtes dans des châteaux de l’espace. C’est un bon travail aussi, si tu arrives à le décrocher.
Une nuit, alors que Christophe conduisait son train à travers la campagne, les phares ont illuminé quelque chose sur les rails, devant. Il a réagi très vite et arrêté son monstre lancé à pleine vitesse juste quelques mètres avant qu’il n’écrase un jeune homme désespéré qui se tenait sur les rails.
Cet homme avait prévu de se suicider et mon ami devait être son bourreau involontaire. Mais Christophe était éveillé, à son poste, et sa réaction rapide a sauvé la vie d’un homme. Nous entendons parler de conducteurs détruits par la drogue et l’alcool, qui causent des accidents au cours desquels de nombreuses personnes meurent.
Mais un homme doit sa vie à Christophe, qui était alerte et faisait de son mieux.
Nous devons notre vie
Quelqu’un d’autre nous a sauvé d’un accident ferroviaire éternel.
« Quant à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés, que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’œuvre parmi les hommes rebelles. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres. » (Ephésiens 2)
Ce train du jugement de Dieu se précipitait vers nous. Nous nous tenions sur les rails, coupables et condamnés, attendant l’exécution de la sentence. Le verdict signifiait une mort éternelle, une horrible conscience de la séparation d’avec Dieu, originellement prévue pour le diable. Mais tous ceux qui ne veulent pas de la seigneurie de Dieu dans leur vie le rejoindront.
« Mais Dieu est riche en compassion. A cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous a rendus à la vie avec Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés –, il nous a ressuscités et fait asseoir avec lui dans les lieux célestes, en Jésus-Christ… » (Ephésiens 2)
Mais, c’est-ce que cela ? Il y a quelqu’un qui se tient entre le train et toi et moi. C’est Jésus, et Il a payé le prix que la justice exigeait à cause de nos péchés. Le train l’a percuté, Lui, et pas nous.

« En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter. En réalité, c’est lui qui nous a fait s; nous avons été créés en Jésus-Christ pour des œuvres bonnes que Dieu a préparées d'avance afin que nous les pratiquions. » (D’Ephésiens 2, SG21)
A présent, Il offre le pardon des péchés, un nouveau cœur, purifié devant Dieu, et une vie épanouissante qui continue jusque dans l’éternité, pour tous ceux qui viennent à Lui. Demande pardon. Détourne-toi de cette vie qui te conduit à un crash avec la justice. Place ta foi dans le Seigneur Jésus. Fais-Lui confiance et sers-Le.
Échappe à l’accident ferroviaire et vit !
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Le réveil qui a secoué le monde

a1Il y plus de 100 ans, en 1906, un journaliste du Times de Los Angeles (USA) se rendit à une réunion dans la rue Azusa. Elle commençait à faire parler -beaucoup- dans la ville et au-delà. Il ne fut pas du tout impressionné de ce qu’il vit dans ce bâtiment.

Il décrivit pour ses lecteurs des gens qui : « …lisaient des énoncés bizarres et racontaient un credo que nul mortel sain d’esprit puisse comprendre. Les adeptes de cette doctrine bizarre pratiquent les rites les plus fanatiques, prêchent les théories les plus effrénées et s’excitent dans un état de folie. »

Il poursuivait : « L’assistance se compose essentiellement de gens de couleur, quelques rares blancs se trouvent parmi eux ; le voisinage passe des nuits terribles à cause des hurlements de ces adorateurs qui restent des heures à se balancer dans une attitude de prière insoutenable."

Ces gens prétendaient être baptisés du Saint Esprit et avoir le don de parler en langues !

Le journaliste insistait sur le sensationnel (avec sans doute des exagérations et un point de vue qui n’était pas impartial) sans voir le fond. Avec un peu de perspicacité spirituelle, il aurait vu des gens ayant un amour intense pour le Seigneur Jésus et un désir de le connaître dans toute sa puissance.

Des gens de toutes les nations sont venus pour être baptisés dans le Saint Esprit lors de ces réunions. Rentrés chez eux, ils ont prêché Jésus avec une puissance qui leur était inconnue auparavant. Le réveil à la rue Azusa ne dura que trois ans (bien qu’une petite église issue du réveil continua encore des années), mais il a déclenché un mouvement qui a secoué le monde.

A la fin du 20eme siècle, quand Time/Life magazine analysa les derniers mille ans pour déterminer quels étaient les 100 événements qui marquèrent le plus le dernier millenium, le réveil de la rue Azusa figura sur la liste !

Croissance incroyable

« Aujourd’hui, un demi-milliard de gens s’identifie en tant que Pentecôtiste ou Charismatique, et les Pentecôtistes à eux seuls sont plus nombreux que les Anglicans, les Baptistes, les Luthériens et les Presbytériens tous ensemble. » (Life Magasine en ligne). Dans le monde, ce mouvement est devenu la deuxième tendance chrétienne la plus grande après les Catholiques Romains.

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Boze le Rottweiler merveilleux

dog-218965 640Vous allez sûrement penser que ça devient du n'importe quoi,

mais cette semaine, j'aimerais vous encourager à être comme

 le Rottweiler de mon frère.

C'est le seul chien que je connaisse qui porte trois noms. Mon frère
Charlie l'appelait " Bozo ", ou " Boze ". Ma belle-soeur l'appelait " Lazy "
(= paresseux). Quand le premier petit fils est né, il avait du mal à dire
" Boze ", alors notre héros canin est devenu "Bubba ".

Son ancien maître, de toute évidence, ne voulait plus de lui et l'a
abandonné au bord d'une route. Et un jour, le chien affamé et affaibli est
venu au garage de mon frère (mon frère était garagiste). Et comme il a bon
coeur, il l'a nourri et vous connaissez la suite de l'histoire : depuis ce
jour là, mon frère avait un chien !

Boze est le genre de chien dont on se méfie : " Attention, chien méchant ! ".
Maintenant qu'il mange bien, il est grand, fort et à l'air menaçant. La
plupart des gens qui ne le connaissent pas marchent le plus loin possible
de lui. C'est vrai que d'après l'Encyclopédie Britannique,

" Depuis le moyen âge et jusqu'au début du 20ème siècle, le Rottweiller était le chien
de garde des bouchers. En allant au marché, ceux-ci attachaient à son cou
une bourse contenant tout leur argent. ".

Mais en fait, c'est un gentil chien : quand quelqu'un vient, il l'accueille
en le regardant passer tranquillement, la langue pendante et dégoulinante
de bave ou au pire, il l'accueille avec une indifférence flagrante.

Mais avec les autres chiens, c'est une autre histoire ! Il aime la bagarre
et s'ils entrent dans son territoire, on se croirait dans une partie de
catch avec les aboiements en plus. Il n'est pas méchant, seulement il aime
la bagarre.

Un jour, mon frère aidait sa belle-mère à la ferme. Dans son pick-up, il
traversait tranquillement le pâturage en profitant du beau paysage, avec
Boze à l'arrière du véhicule. Tout à coup, les chiens du voisin sont
apparus et ont commencé à aboyer.

Personnellement, je crois qu'il y a une sorte de protocole entre les chiens
pour des situations comme celles-ci. L'animal dans le pick-up aboie et il
prend son air méchant ; les chiens par terre aboient et ils prennent leur
air méchant. Chacun a l'air d'un gros dur, mais personne n'est blessé.
C'est un bon arrangement, surtout s'il y a des femelles tout près qui
observent la scène.

Mais le problème, c'est que Boze aime la bagarre.

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Délivré de la colère contre son père

Une fois, Claude Huot est allé dans la rue avec un ami pour inviter les gens aux réunions spéciales d’évangélisation à Pont à Mousson, près de Nancy. L’ami a remarqué à quel point cet homme d’une cinquantaine d’années a l'époque, s’animait quand il parlait de Jésus-Christ avec les jeunes et les ados dans la rue. Mais quand vous connaissez son histoire, sa passion ne vous étonne pas ...

john-and-yoko-1087206 640Du haut de ses 15 ans, Claude regardait les hippies dans la rue. Ils se fichaient du monde des adultes et avaient créé une contre-culture propre à eux. Cette confrérie de jeunes dans les années 60 et au début des années 70 ne faisait plus confiance à « l’establishment ».

« Je voyais les hippies dans la rue - cheveux longs, sac à dos, concert de pop musique - et je ne rêvais que de cela » dit-il.

Claude était l’aîné des cinq enfants de la famille Huot habitant Montbéliard. Il était profondément frustré à cause de conflits permanents avec son père. « Quand j’avais 15-16 ans je voulais déjà partir vivre dans la rue parce que je trouvais la vie à la maison tellement difficile, avec un père qui ne pensait qu’à travailler. »

C’était sa mère qui devait s’occuper des enfants, pour la plupart, et les jeunes en ont bien profité. Mais, quand papa rentrait à la maison , maman lui disait les bêtises qu’ils avaient faites.

« C’était alors des coups qui pleuvaient. Pendant des années ma relation avec mon père se limitait à des conflits, voire même à de la violence parce que régulièrement il débouclait son ceinturon pour me prouver son amour paternel. »

Alors Claude quitta le foyer familial. Vous l’auriez reconnu dans la rue à son look un peu spécial—cheveux longs, pieds nus, jeans déchirés, etc. « Ce n’était pas Coco Chanel » dit-il.

Sa mère n’a pas facilement accepté son départ. Elle grondait son mari pour le manque d’affection pour son fils et elle parcourait les rues pour essayer de trouver Claude et lui acheter quelque chose à manger.

Mais ce n’était pas tout : « C’était une maman qui pleurait souvent, mais elle pleurait dans sa chambre en priant » dit Claude. « Elle croyait en un Dieu, mais elle n’avait pas la notion de l’Evangile qu’elle possède aujourd’hui. Un jour elle est sortie de sa chambre de prières, en pleurs et dit à son mari et aux autres : ‘‘Un jour vous verrez mon fils changera et il reviendra à la maison. Il ne sera pas habillé comme maintenant - les jeans déchirés, les cheveux longs. Il aura un costume et une cravate. Dieu va le changer.’’ »

Tout le monde se moquait d’elle.

Mme Richard

Peu de temps après cette expérience, Claude 18 ans, était assis à la table du café Mulhouse de Montbéliard lorsqu’une femme d’une soixantaine d’années entra : Mme Richard, la directrice d’une école dans la ville.

« Elle s’est assise en face de moi et elle m’a appelé par mon prénom, quelque chose qui m’a étonné. » se souvient Claude.

« Comment connaissez- vous mon prénom ! »

« C’est Dieu qui me l’a dit. »

« Cette femme m’a expliqué que le Seigneur l’avait envoyé me parler spécialement. » Elle faisait la sieste chez elle, un mardi après-midi et le Seigneur lui avait parlé en disant d’aller au Café de Mulhouse. « Là tu rencontreras un jeune qui se prénom Claude. Tu lui parleras de l’amour de Dieu et du plan de Dieu pour sa vie. »

Claude était ébahi : « Quelqu’un qui ne me connaissait pas a été envoyé par Dieu pour m’interpeller et me parler du message de l’Evangile !

« A l’époque j’avais des visions du fait de la drogue que je consommais, mais avoir affaire à quelqu’un ayant des visions, indépendamment de toute consommation de drogues, et encore mieux des révélations de Dieu, ça chamboulait les choses qui se trouvaient au fond de mon coeur. »

Le jeune homme était un peu sonné. Il partit vagabonder en Turquie, Grèce et dans les Iles, mais quelque chose tournoyait à l’intérieur de lui-même. Des questions lourdes se posaient. Il revint quelques semaines après en France avec le désir de changer de vie.

Il alla alors chez les Richards et cette deuxième rencontre l’a amené directement à une décision qui donna à sa vie une réorientation à 180 degrés.

« C’est un message qui m’a percuté, m’a fait réfléchir ... avant de faire une expérience personnelle avec le Dieu de l’Evangile, je n’étais pas incroyant. Je croyais que Dieu était quelque part dans son ciel s’occupant de grandes choses, mais il ne pouvait pas être soucieux de ma personne, de ma manière de vivre. »

Claude a mis sa confiance en Jésus pour le pardon de ses péchés et prit un nouveau départ dans la vie. Il commença à étudier la Bible et à prier. Il était régulièrement aux réunions de l’église évangélique de Montbéliard et chez la famille Richard. Il y avait toute une bande de jeunes qui vint au Seigneur durant la période où Claude fit son expérience.

Surprise Bouleversante

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Quand Jésus va-t-Il revenir ?

sunset-189912 640Quand j’étais enfant, les pasteurs ne passaient pas beaucoup de temps à dire : « La racine grec de ce mot veut dire... » Non, c’était plutôt : « Hé toi ! Jésus revient et tu ferais mieux de te repentir ou bien tu vas avoir de gros soucis. » Peut-être pas toujours de façon aussi abrupte, mais il m’est arrivé de l’entendre de façon encore plus abrupte.

Quand j’ai commencé à travailler en tant que pasteur, j’ai remarqué que, si je voulais une réponse forte de mon auditoire, je devais prêcher sur la Croix, sur le Ciel et l’enfer, ou sur la seconde venue du Seigneur. Réponse garantie si je faisais ne serait-ce qu’à moitié bien mon travail.

J’ai été un peu surpris en lisant une conversation que Billy Graham a eue avec John F. Kennedy. D’après l’évangéliste, une des choses dont le président voulait parler était la seconde venue de Jésus.

Signes extraordinaires … ou bizarres ?

Quand je travaillais au Luxembourg, le secrétariat de l’Union Européenne s’y trouvait. Il y avait là un ordinateur censé pouvoir garder des données sur tout le monde. Il remplissait tout le sous-sol du bâtiment Jean Monnet, d’après ce que j’avais entendu dire.

Comme de nombreuses personnes aiment spéculer sur les signes annonçant le retour du Seigneur, certains s’étaient aventuré à dire que cet ordinateur était peut-être la Bête redoutée de l’Apocalypse.

Un ami missionnaire anglais et moi, nous avons plaisanté en disant que nous pourrions nous rendre là-bas, écrire 666 sur une fenêtre et le prendre en photo. Ensuite, nous aurions pu dire : à minuit, un certain jour de l’année, quand la lune brille à un certain angle, regardez ce qui apparaît ! Quelle augmentation de fonds cela aurait engendré pour nous aider dans notre ministère missionnaire !

Nous avons décidé de ne pas le faire pour deux raisons. Ce n’était pas vrai et je ne veux pas me mettre mal avec Dieu, étant donné qu’Il n’aime pas particulièrement les mensonges. (Pour mes amis super-sérieux, nous ne faisions que plaisanter, d’accord ? De toute façon, c’est certainement mon ami John qui y a pensé le premier. Ou pas.)

A un certain moment de ma vie, je me suis coupé de tous les « signes » un peu ridicules annonçant soi-disant le retour du Seigneur. Des « alertes enlèvement » frivoles ne font rien pour augmenter la crédibilité de l’Église. Il y a eu des livres comme : « 88 raisons pour lesquelles le Seigneur reviendra en 1988. » Quand il a été évident qu’Il n’était pas venu, l’auteur a fait savoir qu’il avait fait une petite erreur de calcul et a sorti un autre livre sur le retour du Seigneur en 1989.

Ça n’a pas mieux marché.

Tu sais quoi ? Malgré toutes les sottises et les exagérations de certains, il y a un fait inéluctable : Jésus Christ revient !

Jésus revient

Voilà la promesse que Dieu a faite à ce sujet : « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles. » (1 Thessaloniciens 4 :16-18).

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Le réveil d’une église locale en Europe

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Voilà une interview que nous avons faite il y a quelques années qui est toujours important.

Jesse & Angie Fernández (Jessie et Angie sont des missionnaires qui travaillent à Cuenca en Espagne).

Nous sommes arrivés à Cuenca pour rencontrer les pasteurs de l’Eglise des Assemblées de Dieu de la ville. Ils nous ont informés qu’ils avaient pris la décision de fermer l’église, ça, après sept ans de dur travail. Ils n’avaient pas eu beaucoup d’aide et ils avaient besoin de quelqu’un sur place pour les aider.

Mon épouse et moi avons pris la décision de déménager dans cette ville pour aider à la résurrection de cette église mourante.

Le premier Samedi nous sommes allés avec quelques croyants dans un parc. Cette poignée de croyants se mettait sous un arbre et chantait. Un drap de lit avec un verset écrit à la main a été attaché à l’arbre. Il n’y avait pas de prospectus ni de bibles et les chants n’étaient pas trop bons.

Le petit groupe courageux n’avait ni budget, ni aide ni bâtiment d’église.

Pour le réveil d’une église, il y a des choses qui sont essentielles.

  1. Nous avons évalué la situation. Nous avons regardé leur stratégie du point de vue culturel et nous avons réalisé que plusieurs choses devaient changer pour que ça passe mieux. Nous avons ajouté une table d’information avec pleins de bibles, des prospectus et des infos qui expliquaient qui nous sommes.

Nous avons aussi enlevé le drap de lit avec le verset et commandé une bannière faite d’une manière professionnelle. Nous avons acheté une sonorisation et demandé la permission de l’utiliser au parc. Nous sommes passés porte à porte pour inviter les gens et nous avons mis des affiches dans la ville chaque semaine. 

Les gens au parc commençaient à s’approcher de la table d’information pour demander des bibles gratuites et des prospectus. La Parole de Dieu était semée.

  1. Nous avons adapté notre style d’évangélisation et stratégie à la culture. Nous avons compris que les Espagnols était habitués à des émissions interview-variétés. Nous avons essayé de faire quelque chose de semblable pour que les gens nous écoutent. Nous avons mis des tables avec des micros et nous interviewions d’autres Chrétiens pendant que les gens écoutaient.

Ce que Dieu a établi était une réunion chaque semaine au parc. Les enfants nous appelaient « L’église dans le parc. »

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Les victimes pardonnent à un meurtrier de masse aux Etats-Unis

Le courage nous surprend quand nous tombons dessus de façon inattendue. La compassion et l'amour nous baignent comme une brise rafraîchissante en pleine été, quand nous les trouvons où nous nous attendions à rencontrer la haine et la vengeance.

amish-1728517 640Le 3 octobre 2006, Charles Carl Roberts, 32 ans, lourdement armé, a pris, le contrôle de la petite école Amish à Nickel Mines, une communauté agricole du comté de Lancaster, en Pennsylvanie, à environ 95 km à l'ouest de Philadelphie, USA.

Les Amish sont des descendants de colons germano-suisses de la région Alsace-Lorraine. Leur dénomination chrétienne accorde de l'importance au message évangélique du pardon. Les Amish interdisent l'utilisation de l'électricité dans leurs maisons, ne conduisent pas les automobiles ou les tracteurs pour le travail sur leurs terrains, et suivent un code vestimentaire très strict.

Roberts, qui n'était pas Amish, laissa partir les garçons et les adultes de l'école. Il gardait 10 filles comme prisonnières.

La police arriva rapidement sur les lieux, mais il a tiré sur toutes les filles, âgées de 6 à 13 ans, tuant cinq d'entre elles. Puis il s'est suicidé. Il a dit qu'il était en colère contre Dieu, selon les filles survivantes. Il leur a même demandé de prier pour lui.

Mais quelque chose d'étonnant s’est passé avant le carnage, selon Rita Rhoads, une sage-femme qui avait mis au monde deux des filles. Elle raconte : « Marian Fisher, âgée de treize ans, a demandé au tueur : ‘Tirez-sur-moi d'abord,’ Apparemment, elle essayait de sauver les plus jeunes filles. »

« Elles étaient incroyables, », a poursuivi Rhoads, « absolument incroyables. Il y avait énormément de calme et de courage dans cette salle de classe. 
La foi de leurs pères était vraiment en elles ... Combien d'adultes sont prêts à faire cela ? Pas beaucoup ! »

Sa sœur de 11 ans, Barbie, a raconté l'histoire à son grand-père qui l'a raconté à Rhoads. Barbie a demandé au tueur de tirer sur elle après. La sœur cadette a survécu.

Si le courage des petites filles nous surprend, la réaction des personnes vis-à-vis de l’homme fou qui a tué leurs enfants est tout autant choquante.

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Une bénédiction sur mille générations pour ta famille

child-child-2083948 640J’ai eu une nouvelle pensée, récemment, alors que je priais pour ma famille. Beaucoup de gens se plaisent à dire que tu peux être maudit pour les péchés de tes aïeux jusqu’à la troisième ou quatrième génération.

« Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements » (Exode 20:5-6).

Bon, je ne sais pas ce qu’il en est de la malédiction. Je pense que nous sommes coupables de voir ce que nous voulons (comme d’avoir quelque chose de nouveau et de cool à prêcher?). Mais, pourquoi se concentrer sur le négatif ?

Moi, je dirais que ce verset promet que, dès le moment où je place ma foi en Christ, une bombe atomique de bénédictions explose dans ma vie et que toutes les malédictions sont soufflées au loin. Regarde ce qu’Il dit : « fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandement. » 

Quand je donne ma vie à Christ, la malédiction du diable est brisée et Christ promet un millier d’années de bénédictions pour ma famille.

Évidemment, je sais que, sociologiquement parlant, les familles transmettent des traits de caractères – bons et mauvais. Et nous devons faire avec cet héritage dans nos vies. Mais, en Christ, nous ne sommes plus des prisonniers ! Nous pouvons grandir pour devenir meilleurs.

Des bénédictions – pour tes arrière-arrière-arrière-etc.-petits enfants.

Donc, je priais un matin quand j’ai senti que le Seigneur me poussait à prier ainsi : « Dieu, je veux que tu bénisses ma famille sur un millier de générations ! Mes enfants, mes petits-enfants, leur enfants, etc., encore et encore dans l’avenir. Fais de notre famille une source de bénédictions. Si le monde est encore là dans un millier d’années à partir de maintenant, que ma famille soit bénie et qu’elle soit une source de bénédictions pour les autres, dans le nom de Jésus. »

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Les objectifs du mari pour elle

couple-2655295 640Le mari a des objectifs pour son épouse. Ils ne doivent pas ressembler à cela : « Alors, chérie, j'ai quelques idées sur la manière dont tu peux t'améliorer. D'abord, tu pourrais perdre quelques kilos, ensuite me faire un repas de chef chaque soir, puis m'apporter le café et le journal au lit chaque matin, puis... »

Jésus s'est livré pour l'Église dans un but précis : « afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. » (Eph. 5 : 26-27, Bible Segond)

L'époux chrétien travaille pour la croissance spirituelle et l'épanouissement de sa femme. Il veut qu'elle grandisse spirituellement et dans tous les domaines de sa vie. C'est la raison pour laquelle il prie pour et avec elle régulièrement.

Se répéter est le privilège des personnes âgées et bien que je ne sois pas encore vieux je me répète parce que c’est très important. La prière à deux représente un des facteurs les plus utiles dans cet épanouissement. Quelle puissance se dégage des instants où le couple prie ensemble ! Comme nous l’avons déjà remarqué, leur puissance spirituelle fait alors plus que s’additionner, elle se multiplie.

C'est l'illustration spirituelle du principe de la synergie. Voici la définition de ce terme : « La synergie se réfère communément de nos jours au phénomène par lequel plusieurs facteurs ou influences agissant ensemble créent un effet plus grand que la somme des effets attendus s'ils avaient opéré indépendamment, ou créent un effet que chacun d'entre eux n'aurait pas créé isolément.

« Plus prosaïquement, le résultat d'une action ou d'un élément est supérieur à la somme des parties. »****

Un exemple que j’aime beaucoup est celui d’une équipe de basket qui semble médiocre en prenant chacun de ses joueurs individuellement. Mais si on les met ensemble, elle devient une machine à gagner. Parfois, une telle équipe en bat une autre, même si cette dernière est composée de joueurs plus forts sur le plan individuel, car leur jeu d’équipe n’est pas bon.

La synergie fonctionne aussi dans le couple !

Dernièrement, un de nos enfants se trouvait face à une difficulté redoutable. Mon épouse et moi y avons fait face par la prière (et le jeûne), et Dieu a agi puissamment. Bien sûr, il y avait d'autres personnes qui priaient, mais quelle puissance quand le couple prie dans l’union !

Un temps de prière quotidien, même de quelques minutes, aidera votre femme à grandir en Dieu.

L’amour pratique

Parfois, montrer l'amour de Christ à ma femme prenait (et prend) des allures très pratiques. Par exemple ...

Mes trois enfants ont dû salir 7500 Pampers durant leurs premières années. J'en ai changé peut-être un tiers. Je dis cela pour justifier ce que je vais vous raconter.

Quand mes petits-enfants sont nés, j'ai déclaré : « Je tapoterai leur dos jusqu'à ce qu'ils fassent leur rototo. Je les bercerai jusqu'à ce qu'ils ronflent. Je les câlinerai, les nourrirai, leur donnerai plein de bisous. Mais je ne changerai plus les couches sales. J'estime que 2500 couches sales suffisent à mon estomac pour toute ma vie. » Et normalement ça marche... En théorie !

Au moins deux fois ma fille, mes belles-filles (et ma femme, cette co-conspiratrice) sont venues me demander très gentiment : « Papa, tu ne pourrais pas surveiller les enfants pendant que nous faisons quelques petites courses ? Ce ne sera pas long. »

« Oui. Pas de problème. Je suis content de le faire ».

Quelques minutes après leur départ, je commence à sentir une odeur légèrement désagréable. « Non, ce n'est pas possible ! ». Mais hélas, si ! « Oh, je vais attendre. Il peut bien porter une couche sale quelques minutes ». Mais non, ni lui ni moi ne pouvons le supporter plus longtemps.

Aïe, aïe, aïe ! Je soupçonne une conspiration. Sa maman lui a probablement donné des prunes juste avant de partir. Et je les vois déjà rire entre elles : « Pouvez-vous imaginer papa en train de changer cette couche ? Ha, ha, ha ! » Ou peut-être que c'est mon petit-fils lui-même : « Cette fois-ci, je vais avoir Papi ! »

Bon, quand il faut y aller, il faut y aller. Je retiens mon souffle et je me mets au travail. Mais comme le petit semble satisfait d'être à nouveau dans une couche propre, ça vaut quand même la peine.

L'amour est concret et le mari qui aime sa femme trouvera des manières pratiques pour lui montrer combien Dieu l'aime.

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Le mari fait-il ce qu’il veut ?

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Un bon leader écoute et prend en compte le conseil de ceux qui sont avec lui. Il les prend en considération. Mais au final, il doit trancher.

J'oserais dire que le père de famille, quand il le peut, fait selon ce que sa famille désire, surtout quand cela ne change pas grand-chose. Si la mère et les enfants votent pour des vacances à la montagne alors qu’il préfère la mer, qu'il fasse plaisir à sa famille et l'emmène à la montagne !

Ainsi, il montre l'amour (semblable à celui de Christ) qu'un homme est censé éprouver envers sa femme. Celui qui n’en fait qu’à sa tête n’agit pas comme un bon chef de famille, mais comme un égoïste.

Nous allons voir que le mari doit ressembler à Christ : il doit se sacrifier et contribuer au bien des autres. Être chef de la famille ne lui donne pas carte blanche pour écraser sa femme et agir systématiquement selon ses idées.

Cependant, c'est lui qui mène la barque. Je sais que de nos jours, c'est une idée politiquement incorrecte, mais la Bible dit que le mari est le chef du couple.

Que je sois clair : il ne doit pas abuser de son autorité (et s’il interprète ces versets dans ce sens, c’est qu’il y a un problème de taille dans sa vie).

Le pasteur Ron Adema a décrit le profil d'une femme abusée. Si le mari a de tels comportement envers sa femme, qu'il se repente et apprenne à tenir son rôle comme la Bible le décrit.

Voici quelques exemples d'abus, selon lui. Un mari qui terrorise sa femme par des crises de colère, au point qu'elle n’ose plus montrer son désaccord, frôle l'abus psychologique.

Si vous devez souvent changer de comportement pour éviter ses explosions, madame attention, vous êtes concernée.

Une femme peut se poser les questions suivantes : Est-ce qu'il m’a déjà obligée à avoir des rapports sexuels alors que je lui avais dit ne pas en vouloir ? Est-ce qu'il m’accuse en permanence de flirter ou d'avoir des aventures ? Est-ce qu’il m’empêche de partir ou de faire quoi que ce soit sans sa permission à cause de sa jalousie et de ses soupçons ? A-t-il détruit mes biens dans une crise de colère ou pour se venger ? Est-ce qu'il m’a blessée physiquement et est-ce que j'ai été obligée de le cacher ?***

Dans ce genre de cas, il faut chercher de l'aide, car ce n'est pas du tout ainsi que le chef d'une famille chrétienne doit se comporter.

Mais heureusement, dans la grande majorité des mariages, ce n'est pas le cas. Le modèle biblique commande à la femme de respecter son mari. « Mais comment le respecter sincèrement s'il ne me traite pas avec l'amour que Dieu lui commande, surtout s'il n'est pas chrétien ? »

Vous devez alors lui montrer du respect par vos actes et vos paroles, même s’il n’en est pas digne. Faites-le pour le Seigneur.

Voici le bon comportement. Dites au Seigneur : « Mon mari est difficile à vivre, mais je vais le respecter par mes actes parce que je t'aime et que tu me le commandes. Je reconnais que mes sentiments ne vont pas dans ce sens, mais je les laisse de côté car je sais que tes bénédictions reviennent à ceux qui t'obéissent, et je souhaite te plaire. »

Nous ne sommes pas responsables de l'obéissance ou non de notre partenaire à la Parole de Dieu. C'est déjà assez dur d'accomplir nous-mêmes ce que le Seigneur nous demande !

« Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n'obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, en voyant leur manière de vivre chaste et réservée. » (1 Pierre 3 : 1, 2, Bible Segond)

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Pourquoi la femme doit-elle se soumettre ? Pourquoi pas lui ?

EYES

Un mariage qui témoigne

Marc voulait faire plaisir à Christi pour leur seizième  anniversaire de mariage. Il lui annonça qu’ils fêteraient l’événement à Disneyland, ce qui n’était pas très étonnant, puisqu’ils habitent en Floride, où se trouve l'un des fameux parcs à thème.

Mais quelle ne fut pas sa surprise quand elle apprit à la dernière minute qu’il s’agissait en fait de Disneyland Paris !

En plus, elle n’avait pas fini d’être étonnée. J’eus la joie d’assister à un nouveau partage de leurs voeux de mariage devant la Tour Eiffel. Il lui offrit une magnifique alliance pour remplacer celle de leur mariage car alors, il n’avait pas pu lui en acheter une aussi belle.

Je fus touché lorsqu’ils répétèrent leurs voeux, avec tant d’émotion qu’elle en pleura. Voici ce qu’il lui dit :

« Moi Marc, je te prends, Christi, pour épouse, toi mon amie de toujours, et ma fidèle partenaire. Devant Dieu, je te promets solennellement de t’accompagner fidèlement dans la maladie aussi bien que dans la santé, dans les bons comme dans les mauvais moments, dans la joie aussi bien que dans la tristesse. Je promets de t’aimer sans condition, de te soutenir dans ce que tu entreprendras, de t’honorer et te respecter, de rire et pleurer avec toi, et de te chérir jusqu’à ce que la mort nous sépare. »

Le mariage est-il devenu ringard ?

Le mariage semble quelque peu démodé pour bon nombre de nos contemporains. Aujourd'hui, chacun choisit sa formule pour vivre en couple : mariage traditionnel, PACS (« mariage light » ?), mariage homosexuel, ou encore concubinage.

Qui vous critiquera ? Le leitmotiv de notre génération est « la tolérance ». Ceux qui s’affirment politiquement corrects tolèrent tous ceux qui sont d’accord avec eux, mais ce n’est pas pour autant qu’ils tolèrent ceux qui affirment que Dieu a un plan pour le mariage : unir un homme et une femme, en Christ, pour la vie.

À votre avis, pourquoi le diable combat-il le mariage avec une telle férocité ? La réponse va peut-être vous surprendre : parce qu’un mariage chrétien réussi est un témoignage de l’amour de Christ pour le monde !

Paul cherche à retenir notre attention quand il parle des ramifications du mariage dans la nouvelle alliance : « Le mariage est certes un grand mystère, mais derrière ces paroles se cache une vérité encore plus profonde : l'union de Christ et de l'Église, dont la réalité humaine n'est que le symbole. » (Ephésiens 5 : 32, Parole Vivante)

Si la relation que j’ai avec ma femme fonctionne comme Dieu l’a prévu, notre mariage est une image de la relation intime entre Jésus-Christ et son Église !

Néanmoins, le mariage n'est plus la formule préférée par la majorité. Selon l’Insee, il y a eu 274 084 mariages en France en 2006, mais en même temps 139 147 divorces étaient prononcés. Certaines sources affirment que 2,4 millions de couples vivaient hors mariage en 2006, contre seulement 446 000 en 1975.*

La statistique la plus choquante est peut-être celle-ci : plus de la moitié des enfants nés en 2006 ont été mis au monde par des mères non mariées.

Bien entendu, beaucoup d’entre eux sont venus au monde au sein d’un couple vivant une union différente du mariage. Mais ces autres types d’union annoncent-ils clairement la relation entre Christ et l'Église ?

Et quel est le message véhiculé par un couple marié en Christ ?

Le couple chrétien (Ephésiens 5 ; 1 Pierre 3)

eDans le couple chrétien, la femme symbolise le rôle de l'Église vis-à-vis de Christ. Elle montre combien l'Église aime et respecte Jésus, et comment elle doit lui faire confiance en toutes choses.

C'est Paul qui nous le dit. J'aime beaucoup la manière dont il introduit cela : « Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps et dont il est le Sauveur. Or, de même que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses ». (Eph. 5 : 22-24, Bible Segond)

J'aime beaucoup ces versets. Ils suffisent à déclencher une crise d’hystérie chez une militante du droit des femmes !

Pourtant, si nous réalisions à quel point ces idées étaient révolutionnaires pour une époque où beaucoup considéraient la femme comme la possession de l’homme, nous serions dans l'admiration. A travers Paul, le Saint-Esprit ordonnait d’avoir un grand respect pour les femmes.

Malheureusement, certains maris utilisent ces versets comme prétexte pour écraser leur épouse. « La Bible dit que je suis le chef de cette famille, alors fais ce que je dis ! »

Pour la femme, c'est peut-être déstabilisant de lire de tels versets. Et si mon mari agit en dictateur ? S’il est injuste ou méchant ?

« Nous devons prendre garde à un élément très important dans ce passage », observe le pasteur David Curtis. « À qui s'adresse-t-il ? Aux femmes. Pas aux maris... Souvent l’homme utilise l'instruction adressée à sa femme pour lui faire savoir qu'elle n'est pas à la hauteur, selon lui.

« Est-il correct de lire le courrier de quelqu’un d’autre ? Messieurs, ce passage ne vous est tout simplement pas adressé. »

Le pasteur Curtis ajoute : « La soumission n'est pas un commandement que le mari doit faire respecter. »**

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Comment redémarrer la croissance dans ta vie

kangaroo-1454587 640Savais-tu qu’un kangourou grandissait toute sa vie ? Tu ne le savais pas, hein ? En comptant leur queue, les plus grands d’entre eux peuvent atteindre 2 mètres. Heureusement, ils vivent seulement vingt ans en captivité (et moins longtemps à l’état sauvage).

S’ils vivaient cinquante ans, ils ressembleraient à Godzilla.
Le requin blanc femelle grandit toute sa vie et peut atteindre six mètres de long. Le plus grand requin blanc mâle grandit seulement jusqu’à un peu moins de quatre mètres. Pourquoi sont-ils plus petits que les femelles, je ne sais pas. Peut-être qu’ils fument et boivent trop. En tout cas, je pense qu’ils ne doivent pas se permettre de mal répondre à leur femme.

Ne serait-ce pas super si nous les humains, nous pouvions grandir quand nous vieillissons ? Les personnes de quatre-vingt ans pourraient mesurer trois mètres de haut et jouer au basket pour la NBA. Mais ce n’est pas comme cela que ça marche. La plupart du temps, quand on arrive à dix-huit ans, il faut se satisfaire de la taille qu’on a, parce qu’on ne grandira plus beaucoup. En largeur, c’est une autre histoire.

Si tu souhaites réellement grandir, cela dit, il y a un domaine où tu peux devenir un géant : grandir dans la connaissance de Dieu. En fait, si notre taille physique reflétait la taille de notre homme spirituel, il y aurait des mini-pouces un peu partout.

Et pas mal de géants.

Le problème, c’est que nous voulons souvent juste assez de Dieu pour aller au Ciel, mais pas plus. Nous devons aller à certains endroits et nous avons des choses à faire, et Dieu pourrait nous ralentir parce qu’Il réclame la première place dans notre vie. Mais pour ceux qui ont faim de Dieu et qui veulent grandir, devenir matures, le ciel est le point de départ. Il y a quelqu’un que je cite toujours dans les Taches de Café. Si je cherchais combien de fois j’ai écrit : « Paul a dit… » dans les Taches de Café ces seize dernières années, j’en trouverais certainement des centaines. Si quelqu’un mesurait trois mètres dans sa connaissance du Seigneur, c’était bien cet apôtre.

Pourtant, Paul a dit …« Et je considère même tout comme une perte à cause du bien suprême qu’est la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur. A cause de lui je me suis laissé dépouiller de tout et je considère tout cela comme des ordures afin de gagner Christ et d’être trouvé en lui non avec ma justice, celle qui vient de la loi, mais avec celle qui s’obtient par la foi en Christ, la justice qui vient de Dieu et qui est fondée sur la foi. Ainsi je connaîtrai Christ, la puissance de sa résurrection et la communion à ses souffrances en devenant conforme à lui dans sa mort pour parvenir, d’une manière ou d’une autre, à la résurrection des morts. » (Philippiens 3:8-11 SG2)

Voilà qui est déroutant

Attends une minute, Paul. Voyons ! Tu viens juste de décrire à quel point il était précieux de connaître Jésus Christ, ensuite tu dis que tu veux le connaître. Mais de quoi parles-tu ?

C’est comme cela. Phyllis et moi nous fréquentions depuis plusieurs mois quand elle m’a dit : « Je ne t’ai jamais vu en colère. Que faut-il pour te mettre en colère ? »

Il s’est écoulé quarante-cinq ans depuis lors, et elle ne me pose plus cette question. Elle a trouvé le truc. Elle me connaissait, mais maintenant, elle me CONNAIT ! Je ne sais pas ce qu’elle en pense de son côté, mais pour moi « CONNAÎTRE ! » est bien mieux que « connaître. »

As tu faim de CONNAÎTRE ! Dieu ? Ou te satisfais-tu de ta police d’assurance, sans plus ?

Alors, comment apprendre à mieux connaître Dieu ?

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La joie de Dieu – ton lieu sûr contre les catastrophes

baby-72224 640Quand tu étais enfant, avais-tu une bonne cachette ?

Tu te glissais dans ta cachette et ton méchant grand frère ne pouvait pas te trouver. Ta vilaine petite sœur devait se trouver quelqu’un d’autre à embêter. Même maman ne pouvait pas t’y trouver.
Ce dernier point avait ses avantages et ses inconvénients. Tu pouvais être sorti d’affaires sur le moment, mais tu finissais bien par devoir manger. Et quand tu sortais enfin de ta cachette, maman n’était pas contente. Je suis un témoin vivant du fait que la vie perd de son éclat quand maman n’est pas contente.
Mais en attendant qu’elle finisse par t’attraper, là, dans ta petite cachette, tu es...

En sécurité !

Es-tu en sécurité ?


Écoute un peu ça :
« Maintenant donc, mes frères et sœurs, réjouissez-vous dans le Seigneur! Je n’hésite pas à vous écrire les mêmes choses, et cela contribue à votre sécurité. » (Phil. 3:1 SG21) Incroyable, n’est-ce pas ? Se réjouir dans le Seigneur nous met « en sécurité ! » C’est une protection.

Une protection contre quoi ? Contre le fait de croire ces profiteurs qui essayent de nous faire penser que nous serons sauvés par la circoncision ou une œuvre quelconque (Philippiens 3:2). La joie est un endroit sûr qui nous protège de la religion amère. C’est un endroit puissant de paix, qui nous aide à vivre avec confiance en notre Seigneur, même quand un ouragan de problèmes de catégorie cinq souffle derrière notre fenêtre.

Protégé contre les stratagèmes que le diable ourdit contre toi.
Alors, comment faire pour me réjouir dans le Seigneur ?
Je veux dire, on ne peut pas vraiment ouvrir le robinet de la joie comme on ouvre le robinet d’eau, n’est-ce pas ? Non, on ne peut pas la simuler, mais on peut ouvrir les yeux et, si on voit la réalité de Dieu, on crie de joie comme si notre équipe de foot favorite venait tout juste de remporter la Coupe du Monde. (Ou comme si notre mari venait de nous offrir trois douzaines de roses alors qu’il n’avait rien fait qui exige de se faire pardonner).


Voilà quelques suggestions si tu veux mettre en marche ta machine à joie.

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Des yeux purs

eyeFred Stoeker

En ce qui concerne votre sexualité, marchez-vous comme Dieu l'entend ?

Moi, ce n'était  pas le cas. Pendant mes années d'études, je surveillais de près la date de sortie de mes magazines pornographiques préférés à la maison de la presse du campus. J'étais embourbé  dans le péché sexuel.

Mais, un beau soir de mai après mes études, j'ai ouvert mon coeur à Christ. Dans l'année qui suivit, Dieu me fit rencontrer  mon épouse Brenda.

Jamais je n'avais vu pareille pureté.

J'ai vite compris qu'il me fallait prendre une décision concernant la pornographie. Depuis mon mariage en 1981, je n'ai plus rien acheté de la pornographie ni visionné de cybersexe sur Internet.

Toutefois, semblable a l'enfant qui oublie de se laver la nuque et les oreilles au moment  du bain, je  n'avais fait qu'un ménage de surface. Je m'attardais encore et toujours  sur les publicités de lingerie contenues dans les revues.

Mes yeux étaient captifs de ces mannequins de papier glacé et autres dames légèrement vêtues. Au cours de voyages d'affaires, je persistais à regarder des films pas trop bien. II me semblait que Dieu ne se préoccupait pas trop de ces choses-là.

Cependant, la norme  divine était bien plus élevée que je n'avais imaginé et, bien vite, je sentis qu'il me faudrait payer, dans ma vie spirituelle, le prix pour ces écarts y compris l'éloignement d'avec Dieu. Quelle est la norme divine ?

Tu ne peux pas contrôler les yeux ?

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La compassion--l'arme secrète du couple

cartoon-1657827 640La compassion

Les partenaires doivent s'entraider pour guérir les blessures de l'épreuve, en se comprenant et en ayant de la compassion l'un envers l'autre.

J'ai entendu l'histoire d'un petit garçon qui avait rendu visite à son voisin qui venait de perdre son épouse. La mère entendit dire que son bambin avait fait beaucoup de bien au voisin, et elle lui demanda comment il s'y était pris. « Je suis monté sur ses genoux et j'ai simplement pleuré avec lui ».

Les époux sont particulièrement bien placés pour compatir l'un avec l'autre. Nous avons une histoire commune. Ma femme et moi avons eu pendant 46 ans des expériences qui nous ont formés et touchés. Nous cheminons ensemble depuis l'âge de 20 ans (pour elle) et 21 ans (pour moi).

Elle sait ce qui me plaît et ce qui me fâche. Elle sait quel serait mon choix entre un bon match de foot et du shopping dans un magasin de chaussures (les magasins de chaussures ont un effet néfaste sur ma santé mentale). Quant à moi, je sais que son choix sera exactement le contraire du mien dans cette situation.

Si quelque chose devait arriver à l'un d’entre nous, et que l’autre envisageait de se remarier, nous ne trouverions jamais une autre personne sur terre qui aimerait nos enfants comme nous les aimons et qui prendrait tant de joie à parler d'eux et de nos petits-enfants, qui n’ont pas leur égal sur terre.

Personne n'est aussi bien placé pour nous consoler et nous encourager dans l’épreuve que notre conjoint.

Faites attention à ne pas trop sermonner votre partenaire dans l'épreuve. Il faut s’encourager par la Parole de Dieu, mais il y a des petits sermons tout faits qu'on lance parfois en se disant qu'un bon chrétien parlerait ainsi.

Soyons sensibles au Saint Esprit et communiquons de manière à réconforter l’autre au lieu de l’agacer ou de le culpabiliser, parce qu'il ne réagit pas en « bon chrétien » comme nous.

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Une clef pour les couples dans l'orage: Une bonne digestion

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Chacun est différent dans ses réactions face aux difficultés. Il y en a qui se tournent tout de suite vers leur conjoint pour obtenir réconfort et courage.

D'autres réagissent différemment. Ils semblent se replier sur eux-mêmes. Cette réaction n'est pas toujours mauvaise. Ils ont besoin d'un moment pour regagner leur équilibre.

Ils sont comme un boxeur qui reçoit un coup, secoue la tête pour reprendre ses esprits et se recentrer pour continuer le combat. Ils ont besoin d'un peu de temps pour digérer, puis c'est reparti.

Dans un couple, chacun doit apprendre à reconnaître à quel moment l'autre a besoin d'espace, et doit attendre jusqu'à ce qu'il soit prêt à renouer le contact.

Il faut rester prudent, cependant. Certaines personnes se replient sur elles-mêmes et n’en ressortent plus. Elles pensent se protéger de la douleur en se réfugiant dans leur petit monde personnel.

Au bout d’un moment, on est en droit de leur demander de refaire surface, surtout quand il devient évident qu’elles sont totalement découragées.

Dans le couple, nous devons faire preuve de patience, d'amour, et parfois d’honnêteté directe : « Chéri(e), j'ai le sentiment que tu te replies sur toi. Il est temps que tu te rapproches de moi à nouveau parce que j'ai besoin de toi dans cette situation. »

M. Parfait

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Le Couple dans l’orage.

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Un nuage de tristesse semblait planer au-dessus de la jeune mère allongée dans le lit d’une salle de réanimation. Elle avait frôlé la mort.

Elle venait parfois à notre assemblée avec ses enfants. La cause de son angoisse est devenue évidente quand elle m'a fait part de la raison de son état : « J'ai voulu en finir. »

J'ai quitté cette église quelque temps après pour venir travailler en Europe mais j'ai appris par la suite qu'elle avait renouvelé sa tentative de suicide. Mais cette fois, elle avait réussi, laissant derrière elle un jeune mari et des enfants en bas âge.

Si on est marié depuis assez longtemps, on finit par faire face au feu des épreuves — ces situations graves et dangereuses qui atteignent chacun à un moment de la vie. Il s'agira peut-être de quelque chose qui se précipite sur le couple sans prévenir, ou simplement de l'accumulation de petites choses qui, au cours du temps, finiront par devenir trop lourdes.

L’épreuve du feu

Un dernier petit souffle d'air peut faire exploser un ballon.

L’épreuve du feu fait ressortir le pire ou le meilleur en nous — ou encore les deux à la fois.

Ceux qui réagissent mal, comme la jeune femme de l’exemple précédent, compliquent la situation à la fois pour eux-mêmes et pour les autres — le mari, les enfants, la famille et les amis. Pour le chrétien, ce n'est jamais une solution. Cela ne résout rien pour personne, chrétien ou non.

Je ne crois pas que le divorce soit préférable non plus.

Des orages viendront inévitablement. Un homme a proclamé un jour : « Nous sommes mariés depuis 33 ans — et une trentaine de ces années a été bonne. »

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La mort de Graham Stains avait-elle de sens ?

staJuste après minuit, le 23 janvier 1999 le missionnaire australien Graham STAINS, 58 ans, et ses deux fils, Philip, dix ans, et Timothy, six ans, dormaient dans le break familial.

Ils assistaient au « Camp Biblique du Jungle » près du village de Monoharpur dans l’état d’Orissa en Inde.

Soudain, les cris d’un gang violent les ont réveillés. Les hommes en colère ont entouré leur voiture et ils ont brûlé vif Graham et ses deux fils dans la voiture. 

Plus tard on a trouvé leur corps sans vie serrés dans les bras les uns des autres.

M. Staines avait travaillé presque 35 ans en Inde en aidant les pauvres, les illettrés et surtout les lépreux. Certains groupes d’Hindous radicaux l’ont accusé d’avoir obligé des gens à devenir Chrétien. L’activiste Hindous Dara Singh a été condamné avec des autres pour les meurtres.

 (voir notre interview avec Mme Stains ici http://www.victoiremagazine.fr/k2-categories/item/109-comment-pardonner-les-assassins-de-votre-famille )

Et nous ne pouvons pas nous empêcher à dire :« Quel gâchis.Des vies gaspillées !» Mais, est-ce qu’il y avait un sens dans la mort de ces martyrs ?

Sam M. avait du mal à dormir la nuit après avoir appris la nouvelle de la mort cruelle de Graham Stains et ses deux fils.

Il ne pouvait pas dormir

« J’étais pasteur dans une église florissante du sud des Indes, une ville qui s’appelle Tiruchirapalli. Un flash info nous annonça la mort du missionnaire Australien et ses deux fils. Il avait servi les Indiens pendant 30 ans et notre remerciement : un meurtre. Je n’ai pas dormi de la nuit. »

Pasteur Sam servait dans une église de 2000 personnes mais son cœur s’agitait en lui. « Bien que ma femme et moi ayons une vie confortable, nous avons été secoués par leur mort et leur sacrifice … Plus rien ne m’intéressait sinon de partir comme missionnaire dans le Nord des Indes. »

Après beaucoup de prière, ils décident de quitter l’église pour aller dans une région difficile à évangéliser et y implanter des églises. « Nous avons choisi Gujarat, un des bouillons de culture du fondamentalisme religieux. La loi contre la conversion est activement appliquée dans cet état. » 

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C’est lui ! C’est elle ! Comment le savoir ?

angel-1294116 640Fréderic Gonzalez

Pour vous qui vous intéressez au plan de Dieu pour votre vie, je crois que la première chose à faire, pour éprouver votre attirance envers une autre personne est de parler de vos sentiments naissants et de vos difficultés à les gérer.

Parlez à Dieu ouvertement, avec un cœur sincère et désireux d’obtenir son aide. Dieu est capable de vous comprendre, car en tant qu’homme, Jésus a connu les mêmes sentiments que nous. La Bible dit qu’il a été tenté en tout point comme nous.

Dieu est également capable de nous répondre par divers moyens afin de nous faire comprendre sa volonté. Il peut ouvrir ou fermer des portes qui seront favorables ou pas au commencement de cette relation amoureuse. A nous ensuite de savoir écouter, même si ce n’est pas la réponse qu’on espérait.

Pour certains, la réponse peut sembler longue à venir. Prenez courage et gardez confiance. Cela participe à l’épreuve du temps. Rappelez-vous que Dieu n’arrive jamais en retard, « Il fait toute chose bonne, en son temps » dit Ecclésiaste 3 :11.

Il est bon de chercher conseil auprès d’un adulte de confiance ; une personne fondée dans la foi, et qui vous connait bien : vos parents, un responsable d’église, le pasteur ou un membre de l’église avec qui vous avez une affinité particulière. Une personne en qui vous avez confiance et qui pourra être de bon conseil, selon la Parole de Dieu.

Apprenez à les écouter car « l’amour rend aveugle » disent certains. Et on doit avouer que c’est souvent bien vrai. Etre amoureux ne rend pas objectif. Ces personnes sont alors là pour nous permettre de ré-ouvrir les yeux, nous aider à redescendre un peu sur terre, nous montrer que ce n’est peut-être pas ce qu’il y a de mieux pour nous ou au contraire nous apporter un encouragement, une confirmation, si c’est le plan de Dieu.

Une autre épreuve est celle du temps et de l’observation. Elle n’est pas négligeable. Tant de foi, poussé par les sentiments, on a tendance à précipiter beaucoup les choses. C’est souvent le cas lorsqu’on est ado mais souvent même après.

On est pressé. On ne pense qu’à être avec cette personne, l’idéalisant beaucoup. Et finalement, on ne se laisse pas vraiment le temps de bien le ou la connaitre.

Or, concernant un engagement aussi important, qui va durer toute une vie, il vaut la peine de savoir prendre un peu de temps afin de voir si les sentiments qu’on éprouve, ne sont pas qu’un coup de foudre éphémère sans véritable fondement. Un sentiment qui risque finalement de bien vite s’estomper.

Il est important d’apprendre à connaitre l’autre, d’observer ses attitudes et parfois même de se renseigner auprès de personnes fiables qui le ou la connaissent bien (son pasteur ou son responsable de jeunes par exemple). Il est important de se rendre compte de ses traits de caractère, de voir comment il ou elle se comporte en société, dans l’église comme à l’extérieur, et par la suite avec vous.

Savoir quelle est sa vision ou ses projets pour l’avenir. Tout ceci doit commencer avant de se fréquenter et doit être poursuivi pendant la période de fiançailles. C’est ainsi qu’on se rendra compte si cette personnes est faite pour nous et si on est prêt à supporter ses bons côtés comme ses mauvais, pour le reste de notre vie.

Y a-t-il un bon moment ?

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Savoir écouter, un art à développer

doe-430238 640Par Rachel Dufour

Mesdames, combien de fois par semaine voire par jour, vous trouvez-vous dans une situation où ce dont la personne en face de vous a le plus besoin est d’écoute de votre part ? N’est ce pas une part très importante de votre rôle de Servantes ?

Pour certaines d’entre nous, ce don est naturel mais ce n’est pas toujours aussi simple. Qui nous a réellement formées pour cette tâche si difficile et si primordiale à la fois? Parfois les situations sont tellement douloureuses qu’il est difficile de savoir « quoi dire ? ».

Dieu nous a créés avec un besoin d’être en relation les uns avec les autres, tout spécialement dans un moment de détresse.

Tout d’abord, il est essentiel d’entourer ceux qui souffrent :
Jean 11:19 (Louis Segond, LS) « Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère. »

Romains 12 :15 (LS) « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent; pleurez avec ceux qui pleurent. »

Faut il encore bien les entourer !

Une des choses les plus importantes est de savoir garder le silence :
Proverbes 17:28 (LS) « L’insensé même, quand il se tait, passe pour sage; Celui qui ferme ses lèvres est un homme intelligent. »

C’est vrai, parfois il vaut mieux savoir garder le silence pour pouvoir bien écouter et surtout éviter de dire des bêtises.
Qui souhaite se retrouver dans le rôle des consolateurs fâcheux de Job ?

Leurs intentions étaient plus que bonnes, et ils étaient de vrais amis :

Job 2 :11-13 (LS) « Trois amis de Job, Eliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler! … Ils se tinrent assis à terre auprès de lui sept jours et sept nuits, sans lui dire une parole, car ils voyaient combien sa douleur était grande. »

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AVEZ-VOUS REMARQUÉ LE MENDIANT ?

people-844207 640Nous sommes à Jérusalem, vers 3 heures de l’après-midi. Les apôtres Pierre et Jean se rendent à la réunion de prière. Ce devait être un événement que d’accueillir au temple des hommes de Dieu de cette envergure !

En arrivant à l’une des portes du temple, surnommée la Belle, les deux apôtres aperçoivent un paralytique. Il est facile de deviner l’existence misérable de ce pauvre handicapé ! Depuis combien d’années se retrouve-t-il ainsi, seul, assis, à faire l’aumône ? Dix ans ? Vingt ans ?

Je vis dans un pays qui compte un grand nombre de mendiants. Je les vois tous les jours. Leur vie est un cycle de misère sans fin.

À la porte du Royaume de Dieu se trouve aussi un mendiant. À l’entrée du temple, aujourd’hui, se presse tout un monde de malades, de perdus, d’oubliés qui mendient. Un monde qui aspire à la paix, à l’espérance et à une vie nouvelle.

De nombreux fidèles, ce jour-là, ont dû passer devant ce paralytique en train de quémander. Ils l’ont tellement vu, année après année, qu’ils ne le remarquent plus. Ce mendiant fait partie du décor.

Il ressemble à ce tableau accroché au mur d’un salon. Il est sous nos yeux tous les jours, on passe devant plusieurs fois dans la journée...mais si on nous demandait de décrire en détail le portrait ou le paysage qu’il représente, on aurait peut-être du mal à le faire. De même,

à force de voir défiler des images de détresse sur nos écrans, on n’y fait plus trop attention !

Dans les rues de Bogota, du Caire, de Kampala ou d’autres métropoles, on recense 200 millions d’enfants vivant dans la rue, livrés à eux-mêmes. Et on ne les voit plus.

Des multitudes d’hommes, de femmes et d’enfants s’entassent dans des camps de réfugiés, des prisons sont surpeuplées, des hôpitaux de fortune ne font plus face aux besoins... Et on ne les voit plus.

Un milliard et demi de musulmans attendent à la porte du temple...Et on ne les voit plus.

De nos jours, pour beaucoup de chrétiens, peu importe que 23 % de la population mondiale ne connaissent rien de l’Évangile...

Du moment qu’ils ont leur place à l’intérieur du temple... Certains croyants sont tellement préoccupés par le bon fonctionnement et le confort de leur église, qu’ils oublient ceux qui n’en ont encore jamais franchi la porte.

Pierre fixe alors le mendiant et lui dit : “Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus de Nazareth, lève-toi et marche”. Le Jésus que connaissait Pierre est aussi en vous. Il est le même. Sa puissance peut vous permettre de faire ce que tout l’argent du monde ne pourra jamais accomplir. Seul Christ peut pleinement sauver et restaurer.

Les deux apôtres n’ont pas seulement vu le paralytique, ils se sont impliqués dans sa situation : “Puis, Pierre le prit par la main droite et le fit lever”. Il ne suffit pas de savoir qu’il y a un mendiant. Il ne suffit pas de connaître les faits. Prier pour ceux qui n’ont pas encore rejoint la famille de Dieu est une bonne attitude, mais elle ne suffit pas. Nous devons aussi prendre le mendiant handicapé par la main et l’aider à se lever.

N’attendez pas que quelqu’un d’autre vienne s’occuper du mendiant. C’est lui, alors, qui attendrait ! Et probablement très longtemps.

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Etes-vous une oie sauvage ou une poule ?

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Quelque part j’ai entendu une histoire un peu comme celle-ci : une jeune oie sauvage a été blessé et ensuite recueillie par un fermier qui l’a mise dans son poulailler avec ses volailles.

L’oie sauvage souffrait au début mais finalement son aile s’est guérie. Au lieu de quitter sa prison, pourtant, elle s’y est habituée et menait sa petite vie tranquille à côté des poules.

Elle aimait les graines que la femme du fermier lui donnait et peu à peu la mémoire du fait qu’elle savait voler s’estompait. Et en plus elle voulait plaire aux poules qui l’entouraient. Elle grattait la terre et mangeait des vers de terres (pitouii !), mais il ne fallait pas déplaire aux poules où au coq.

Ils se croyaient les meilleurs de toute les bêtes et ils persécutaient ou faisaient fuir tous ceux qui étaient différents. (Petite note : les poules sont faites pour donner leur chair à manger et pour pondre les œufs, mais quand ce sont elles qui gèrent le monde, attention !)

Un beau jour, un bruit lointain secoua le cœur de l’oie. Elle leva les yeux et vit des oies sauvages très haut dans le ciel, volant en formation, se dirigeant vers le sud pour l’hiver.

Quelque chose dans le chant de ces bêtes étranges lui parla : « Tu n’as pas été faites pour le poulailler. Dieu t’a créée pour voler très haut et voyager très loin. » L’émotion était telle que l’oie battait des ailes et avait presque le sentiment que si elle courait un peu et se lançait, elle pourrait décoller.

Mais, en regardant les poules autour d’elle, elle se dit que finalement c’était tellement agréable là où  elle était : il n’y avait pas besoin d’aller au loin chercher de quoi manger … et pourtant quand elle regarda vers le haut et revit ces oiseaux magnifiques qui chantaient tout en avançant en formation en « v », son cœur la trahit : « Tu n’es pas une poule ! Tu n’as pas été faite pour le poulailler. Dieu t’a créée pour autre chose que de gratter par terre et manger des sauterelles minables. Même si les autres se contentent de leur vie, tu ne le peux pas. Tu as été faite pour autre chose. »

Tu as été créé pour autre chose, toi

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Bien éduquer les parents de vos petits-enfants

baby-1941747 960 720Les enfants sont mignons comme tout … quand ils dorment. Quand ils sont réveillés, c’est plus problématique. J’aimais les regarder en train de dormir quand ils étaient petits.

Mais, je reçois encore plus de joie maintenant qu’ils sont adultes en train d’élever leurs enfants dans la crainte du Seigneur. Ils servent le Seigneur et ils font leur contribution à la société en travaillant et en étant des citoyens responsables.

Et ils aiment leurs enfants.

Dans la première leçon, nous avons regardé trois choses qui nous aident pour bien élevé nos enfants. En voilà d’autres.

4. Prenez le temps d'avoir des activités avec vos enfants. Deux souvenirs se sont gravés dans ma mémoire d'enfant. Mon papa aimait la chasse et il me prenait souvent avec lui pour y aller, de même qu’à la pêche. Et il aimait le sport : je me souviens très bien de l'époque où il jouait au base-ball avec nous et venait assister à mes matchs.

J'ai décidé d'être présent pour mes enfants, non seulement pour les choses « spirituelles » mais aussi pour ce qu'ils aimaient faire, eux. Voilà pourquoi on a pu me voir dans les gradins durant des centaines de matchs de football, de volley ou de basket, auxquels mes enfants participaient...

J'ai crié contre les arbitres jusqu'à ce que ma femme me persuade que ce n'était pas un bon témoignage. C'était pourtant évident qu'ils favorisaient l'équipe adverse ! Un aveugle aurait pu le voir.

J’ai aussi passé beaucoup de mon temps libre à faire moi-même du sport avec mes enfants, à leur lire des livres et à me livrer avec eux à des tas de choses intéressantes.

Je voulais leur montrer à quel point je les aimais. (Et je dois admettre que j'aimais jouer, moi aussi !)

J’ai laissé tomber des hobbies que j'aurais peut-être aimé pratiquer seul ou avec des amis. Mais pour moi, ces moments passés avec mes enfants sont des trésors d'une valeur inestimable. Je me réjouis de ces souvenirs aujourd'hui encore.

5. Apprenez-leur à être responsables en leur donnant des tâches à leur portée. Vous pouvez même les rémunérer, mais demandez-leur des comptes. Qu'ils apprennent de leurs parents à faire ce qu'il faut, comme il le faut. C’est comme cela qu’ils apprennent à travailler sérieusement.

6. Montrez votre amour pour votre épouse devant les enfants, monsieur ! Faites-lui beaucoup de bisous et de câlins pour que les enfants puissent voir votre amour (et parce que c'est agréable !)

Et n'utilisez JAMAIS vos enfants pour essayer de gagner des points contre votre conjoint. Les enfants n'ont pas de place dans les querelles des adultes. Ne parlez jamais contre votre mari ou votre épouse en présence de vos petits. Monsieur, n'acceptez jamais non plus qu'un de vos enfants manque de respect envers sa maman.

En dernier recours, c'est au mari d'assurer la discipline des enfants, mais en se gardant de tout abus. Crier sans cesse ou frapper vos enfants au point qu'ils doivent cacher leurs bleus quand ils vont à l'école, n'est pas de la discipline — c'est de l'abus.

Le père doit non seulement veiller à ce que sa parole soit respectée, mais aussi celle de la mère. Le père n’est pas non plus un tyran. Ses enfants l’aiment parce qu'il gagne leur affection. 

Néanmoins, ils savent que quand leur père dit quelque chose, il vaut mieux le faire, parce que les conséquences de la désobéissance sont plus désagréables que la joie de montrer à son papa qu'on n'a pas besoin d’être réprimandé. C’est la même chose pour la parole de maman.

Et en tant que parents, souvenez-vous que les enfants maîtrisent la manipulation. Ce sont des maîtres dans ce domaine. Ils savent quel parent est le plus disposé à dire « oui ». Ils sont capables de redemander à maman, s'ils ne sont pas d'accord avec le « non » de papa. S'ils utilisent cette astuce, la réponse « non » devrait suivre automatiquement.

Si vous n'êtes pas d'accord avec ce que votre partenaire a dit aux enfants, discutez-en plus tard en privé, parce que si ces petits malins voient une occasion d’arriver à leurs fins, ils exploiteront au maximum la brèche ouverte entre les parents.

baby-1317604 960 720C'est dommage, mais il y a des parents qui aiment davantage leurs enfants que leur conjoint. Ils veulent que les enfants les aiment plus que l'autre parent, alors ils prennent l’attitude du « bon » et font passer leur conjoint pour « mauvais » aux yeux des enfants.

Ou, il parle du mal de l’autre aux enfants. Cela ne devait jamais arriver—même quand les parents sont divorcés. Les problèmes des parents ne sont pas les problèmes des parents.

Qui pâtit d'une telle situation où les parents se critiquent ouvertement ? Les enfants ET la confiance entre le mari et sa femme.

7. Aimez-les de tout votre coeur. Faites-leur mille câlins et petits bisous. (Il viendra un jour où ils se considéreront comme trop grands et où les bisous seront rationnés, alors profitez-en pendant qu'ils sont petits !)

Faites tout ce que vous pouvez pour les élever dans les voies du Seigneur. Aimez votre partenaire de tout votre coeur devant vos enfants parce que c'est une merveilleuse préparation pour leur propre mariage.

Ah, les enfants ! Je vous en souhaite une maison pleine. Et une tonne de patience. Mais plus que tout, je vous souhaite à vous et votre épouse un seul coeur pour les élever dans la joie, la sagesse et l'amour du Seigneur Jésus.

 

Un foyer dysfonctionnel

J'ai grandi dans un foyer où ma mère avait des gros problèmes de nerfs. Elle criait beaucoup et parfois, je pense, ses fessés étaient exagérées. Entre sa dépression et sa colère, mon frère, ma soeur et moi avions peur de la contrarier.

Papa ne disait pas grand-chose. Il était calme, mais il travaillait à 90 kilomètres de la maison, voilà pourquoi il se levait très tôt le matin et se couchait tôt le soir durant la semaine. Pour cette raison, nous les enfants, nous avions beaucoup plus affaire à maman qu'à papa.

Je ne sais pas s'il aurait pu changer quelque chose ou non. Je suis très reconnaissant à cette femme qui m’a mis au monde et qui a fait tant de bonnes choses pour moi. Je sais qu'elle nous aimait. Mais, j'avoue qu'il m'a fallu des décennies pour la comprendre, ou au moins pour saisir son problème.

Nous, ses enfants, nous étions affectés par cette situation. Le Seigneur m'a instruit et guéri. Il a changé le mal en bien parce qu'il m'a donné de la compréhension et de la compassion pour les enfants qui vivent dans une telle ambiance.

J’avais cependant besoin de la grâce de Dieu. Je voyais toujours des traces de rébellion chez ma soeur, qui n'était pas chrétienne, et je sais qu'une partie de cette frustration trouve ses origines dans le conflit avec maman.

Les parents ont une grande responsabilité. S'ils voient qu'ils sont en train de perdre le contrôle de leur propre vie et que cela commence à retomber sur les enfants, il faut demander de l’aide. Il faut admettre qu'on est trop faible face à cette épreuve et chercher la grâce de Dieu. Qu'ils trouvent quelqu'un pour les conseiller.

Peut-être pourriez-vous être une personne qui soutient ceux qui ont perdu la maîtrise de leur vie. Dans notre situation, c'était Mamie Deloney, dont je vous ai déjà parlé, qui a été utilisée par Dieu pour intervenir dans notre foyer, montrer beaucoup de patience à l'égard de maman et nous diriger vers le Seigneur.

Qui sait si le Seigneur ne vous a pas mis dans une position clé en vue d’aider un parent ou un ami ? Nos enfants sont tellement importants ! En tant que pasteur, j'entends des histoires à faire pleurer et je sais que beaucoup d'enfants subissent les conséquences du divorce de leurs parents, ou vivent dans un foyer où règne la crainte.

Si vous avez été blessé durant votre enfance, qui est le cas pour BEAUCOUP, cherchez de la guérison chez le Seigneur. Priez, lisez et méditez la Parole de Dieu, trouvez des amis avec qui vous pouvez parler à cœur ouvert.

Soyez guéri au Nom du Seigneur Jésus.

Oui, vous avez l’intention de ne pas répéter les erreurs de vos parents, mais c’est souvent exactement ce que nous faisons. Nous avons besoin de son aide et sa guérison.

Nous ne voulons pas blesser nos enfants comme nous avons été blessés. Cherchez de l’aide auprès du Seigneur et un ami ou un conseiller Chrétien, digne de confiance.

Que le Seigneur envoie un esprit de guérison dans nos familles. Nos enfants en ont terriblement besoin.

 

male-1358725 960 720Mise en pratique :

Réfléchissez : quel est le domaine où j’ai le plus besoin de faire du progrès en tant que parent ? Vous avez trop de travail (« travaille-a-holique ») ? Le temps où vous avez vos enfants est très court. Vous devez leur enseigner comment connaître Jésus, comment agir dans la vie, comment surmonter, comment travailler. Ils ont besoin de vous. Qu’est-ce que vous allez faire ?

Quel est le but des parents pour les enfants ? Ecrivez-le. Que devez-vous faire pour mieux arriver à ce but ?

Est-ce que vous prenez au sérieux le devoir de les élever dans les voies du Seigneur ? Qu’est-ce que vous faites dans ce sens en dehors du dimanche matin ? Est-ce que vos enfants voient Jésus en vous et votre façon d’agir avec votre femme/votre marie/les autres ? Avec eux ?

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Un enfant vient ? Ha, ha ! Bonne chance !

Dynamique stratégies pour bien élever vos enfants

babies-2242682  340Quelqu’un plaisantait : « Quand vous voyez vos petits-enfants, vous êtes finalement content de ne pas avoir tué vos enfants ! »

Je me souviens du jour où ma jeune épouse de 20 ans est revenue de chez le médecin avec une nouvelle qui nous a transportés tous les deux au septième ciel : elle attendait un enfant !

Voici le contexte : j'avais 22 ans, j'étais en fac et j’allais décrocher mon diplôme de sciences politiques quelques mois plus tard. Je travaillais à mi-temps en plus de mes études et Phyllis avait un petit travail avec un salaire de misère.

Nous n'avions, en réalité, aucune idée de ce qu'un bébé représentait, mais nous l'avons rapidement appris.

Les femmes enceintes vomissent beaucoup, le saviez-vous ? En plus, elles sont parfois désagréables, ce qui rend leur mari tout aussi grognon. Il semble que la seule chose qui soit plus difficile qu'être une femme enceinte est d'être marié à une femme enceinte !

Pourtant quand notre petit Steve a fait son apparition, nous étions de nouveau aux anges — du moins avant qu'il ne rentre de la maternité. Une fois à la maison, la réalité a été tout autre : il ne voulait pas dormir de la nuit !

Nous l'avons porté à tour de rôle pour essayer de l'endormir, mais il ne s'assoupissait que quand il voulait et, une fois réveillé, il désirait sans cesse avoir de la compagnie. À cette époque, je venais juste de finir mes études et travaillais pour un journal ; j'étais en plus pasteur dans une petite église de campagne.

Le sommeil de qualité devint un luxe que nous goûtions rarement. Et en outre — comme tout bébé, certes — il avait des couches, ce qui est au début une rude épreuve pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de les changer.

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Le petit héros abat le géant de l’esclavage

Nous préférons que nos héros soient grands et imposants. Du haut de ses 160 cms. William Wilberforce n’inspirait pas d’admiration, mais quand il ouvrait la bouche pour parler, les géants tremblaient…surtout le géant d’esclavage.Ce petit parlementaire anglais, né en 1759, joua un rôle décisif dans le mouvement qui fit tomber une industrie qui rapportait des millions et millions de livres aux gens influents de l’époque : l’esclavage des Africains.the-freedman-1500099 640 1

Cela parait incroyable mais, en ce temps-là, le commerce des esclaves était considéré tout aussi digne que n’importe quelle autre manière de gagner sa vie. Les gens de bien ne se braquaient pas devant la cruauté quand il s’agissait de s’enrichir.

Au départ, Wilberforce ne se souciait pas trop des problèmes des autres. Jeune homme très riche, il passait son temps à boire, jouer aux cartes et s’amuser avec ses amis de l’université.

Il étudia juste assez pour décrocher son diplôme de St. John’s Collège, à Cambridge, mais sa personnalité attirante lui était bien utile. William Pitt le jeune, futur premier ministre, était un de ses meilleurs amis et lui a sans doute donné un gout pour la politique.

Wilberforce se servit de sa personnalité et de son énorme fortune pour gagner une place dans le parlement britannique à l’âge de 21 ans, en tant que représentant de Hull. Trois ans plus tard il se présenta à l’élection pour représenter le comté de Yorkshire, un des plus influents du pays—et il gagna.

Le jeune politicien possédait d’énormes qualités de communication. L’auteur James Boswell entendit un jour un de ses discours dans les communes : « J’ai vu celui qui ne ressemblait qu’à une simple crevette monter à la table ; en l’écoutant, c’est comme s’il grandissait : la crevette devenait baleine. »

Un voyage qui réorienta sa vie

 

Wilberforce partit en vacances en famille dans le sud de la France à l’automne 1784. Il invita un ami, Isaac Milner, à voyager avec eux. Wilberforce emprunta un livre à sa cousine, « La montée et le progrès de religion dans l’âme » par Philippe Doddridge. Lui, et Milner, en discutèrent durant les longues heures de voyage. Du plus profond de son âme, les prémices d’un désir pour Dieu se réveillèrent. Le jeune homme commença à lire la Bible et à être incommodé en voyant le manque de respect envers Dieu tout autour de lui.

« Ce n’était pas tellement la crainte d’une punition qui m’a saisi, dit-il, mais c’était un sentiment de mon grand péché parce que depuis si longtemps j’avais négligé les grande miséricordes de mon Dieu et Sauveur ; l’effet que produisait cette pensée était tel que pendant des mois j’étais dans une profonde dépression à cause de la conviction de ma culpabilité. »

Tout comme le poussin lutte pour échapper à sa coquille, il semblait que Wilberforce luttait pour entrer dans un nouveau monde, ce qu’il fit pas à pas.

Quelques discussions avec le pasteur John Newton aidèrent le jeune politicien dans sa recherche. Cet ancien marin servait sur un bateau qui portait des esclaves, mais il était devenu un opposant féroce de ce commerce (Newton est par ailleurs l’auteur de l’hymne ‘Amazing Grace’).

Newton écrivit à un ami, à propos de Wilberforce : « J’estime qu’il est sur le bon chemin …J’espère que le Seigneur fait de lui une bénédiction en tant que Chrétien aussi bien qu’en tant qu’homme d’état. Ces deux rôles coïncident rarement, mais ne sont pas incompatibles. »

Deux grands objectifs

Petit ou non, le courage du jeune Wilberforce grandissait. Deux ans plus tard il écrit dans son journal intime : « Le Dieu tout-puissant a mis devant moi deux grands objectifs : la suppression du commerce des esclaves et une réforme des mœurs ». Le but du deuxième objectif consistait à faire en sorte que « la bonté soit à la mode. »

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Changé par une vision d’une éternité séparée de Dieu

man-1519667 640Un ami m’a raconté une histoire qui m’a marqué. Cet ami a atteint un haut niveau sportif, s’est blessé mais « s’est reconverti » comme entraineur de haut niveau.

Il allait à l’église mais peu à peu il s’est éloigné de Dieu. « Il y avait de la poussière dans ma vie et si vous ne balayez pas la poussière, ça ne part pas tout seul. Au contraire, elle s’accumule de plus en plus » dit-il.

Dans son travail il aimait dominer les autres car depuis son enfance il voulait toujours avoir raison, diriger les choses à sa manière. « J’avais souvent raison sur le fond, mais mille fois tort sur la forme » il admet.

Il était mal à l’aise avec ses explosions de colère et la façon dont il traitait les autres dans ses relations quotidiennes parce qu’il croyait que ce n’était pas un bon témoignage pour un chrétien.

Mais, son orgueil l’emportait sur sa conscience et il a continué jusqu’à une période où il a chuté vis-à-vis du Seigneur. Il s’est repenti et a été pardonné. Il a pris de bonnes résolutions et a cherché à s’en sortir en comptant sur ses propres forces. Hélas, il n’était pas assez fort et il est tombé de nouveau.

Encore la repentance est intervenue et le pardon, mais il est tombé une troisième fois. Et durant ce temps, malgré son péché, son péché du fond--l’orgueil-- était toujours présent, il continuait d’être dur, arrogant, voire méprisant avec ceux qui le contredisaient.


Mais, cette troisième fois était différente. Son cœur s’était vraiment endurci et il fallait une action forte du Saint-Esprit pour qu’il se rende compte de sa condition.

Il a eu un songe (ou une vision, il ne sait pas lequel, c’était si fort). Là, il s’est vu dans une pièce toute noire, terriblement seul. C’était palpable, mais il ne voyait même pas sa main devant lui. Et pourtant il avait quand même le sens qu’il était emprisonné dans une pièce, d’être entouré totalement hermétiques d’où aucun son ne pouvait sortir.

« Personne pour entendre mes cris, mes plaintes et mes supplications. L’isolement le plus grand dans la nuit la plus profonde, et un silence terrifiant. »

Le pire, c’est qu’il réalisait avec horreur, qu’il y était pour l’éternité et il n’y avait pas d’issue ! Il était là, privé de Dieu à jamais.

Un hurlement d’horreur primal s’éleva du plus profond de son âme.

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Des célibataires s’expriment: ' je ne trouve personne '

girl-1424685 640Voici le sujet : « Pour le/la célibataire qui aimerait se marier et fonder une famille mais qui ne trouve pas un/une chrétienne, qui ne voit pas d’opportunité autour de lui/elle, que devrait-il faire ? » 

Vous ne serez pas toujours d’accord avec les réponses, mais c’est une discussion.

…Pendant ce temps, de grands moments peuvent être vécu. Le célibat n’est pas synonyme de dépression. Dieu nous a appelé dans des ministères différents, il faut en profiter pour le servir car les églises ont besoin d’aide.
Il serait dommage de passer à côté parce que l’on n’a pas été patient. Personnellement, j’ai des coups de blues comme tout le monde mais la liberté que m’offre mon célibat actuellement me rend tout aussi heureuse.
Sarah
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…Le célibataire qui veut fonder une famille ne devrait pas se laisser influencer par une mentalité environnante qui dit que le célibataire est une personne à plaindre, du fait même de son célibat. Cette mentalité est particulièrement présente dans les milieux chrétiens !
…le célibataire qui veut fonder une famille ne doit pas se mettre avec une personne qu’il n’aime pas vraiment, même si cette personne est chrétienne ! Il vaut mieux quelques années de solitude dans le célibat, plutôt que toute une vie de solitude dans le mariage !
…Dieu peut aussi se glorifier dans notre célibat. Le célibataire peut servir Dieu dans des domaines qu’une personne mariée ne peut pas.
Phil
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…C’est lui même qui a créé ce vide en forme de l’Autre, Il le connaît il le comblera “faites connaître TOUS vos besoins à Dieu” puis faîtes lui confiance. C’est vraiment dur d’attendre mais c’est un engagement d’une vie: serait-il bien raisonnable de gâcher cette bénédiction de Dieu faute de patience? La solution la plus simple est de se marier avec un inconverti: le diable se chargera de vous trouver quelqu’un qui vous plaît; ça c’est sûr ça lui plaira beaucoup ce compromis!Mais le cadeau de Dieu, il faut l’attendre il viendra quand Dieu vous l’offrira. En attendant profitez de ce désert sentimental pour faire de Jésus votre bien-aimé et pour vous centrer sur les besoins des autres plutôt que sur votre manque!!
Ruth
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… ce célibataire ne doit pas se décourager. Il est vrai que c’est facile à dire, mais quand les années passent et qu’on ne vois rien arriver! Pourtant, Dieu, l’auteur de la famille a vite vu qu”Il n’est pas bon que l’homme soit seul” (Genèse 2:18). Puis L’Eternel Dieu dit: je lui ferai une aide semblable à lui…N’oublions jamais que Dieu a les temps et les circonstances entre ses mains…
Cyprien
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Ceci est une entreprise à temps plein. Dans un premier temps, je conseillerais d’essayer de multiplier les contacts au maximum et de ne surtout négliger aucun moyen moderne…
Jean-louis
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…De fois les gens se découragent et ils se disent que je peux prendre une ou un non chrétien(ne), c’est un désastre dans le couple plus tard. Mais, si Dieu te dirige vers une ou un non chrétien(ne), Il va t’aider pour qu’elle change.
Olivier
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…Fréquenter toutes les rencontres de jeunesse et visiter toutes les églises des environs n’est pas forcément une solution… Rester englué dans son église n’en est pas une non plus… Disons qu’il faut prier plus fort en attendant que le plan de Dieu se réalise! Et croyez-moi, je sais que c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire!!!
Jérémie
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…le plan de Dieu est que chaque Adam trouve sa “Eve” et chaque “Eve” son “Adam”. Peut-être, par contre le projet n’est pas de le trouver à 20 ans mais plus tard. Je n’oublie pas que parfois il y a comme un décalage horaire entre le temps de Dieu et le nôtre.

Laurence
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man-152920 640…ne pas faire une obsession de cet état de célibat, mais le prendre comme une école de Dieu qui connaît toutes choses pour notre futur et donc d’autant plus pour notre vie affective, remettre ce souci à Dieu dans la prière et continuer de grandir dans Sa présence. Les évènements de notre vie doivent se passer au temps de Dieu, nous devons Le laisser agir…
Sylvie
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…je suggérerais aux personnes concernées de réfléchir à ce que
serait réellement une vie de couple. Mesdemoiselles, imaginez : un homme dans votre vie qui laisse traîner son linge sale un peu partout dans la maison, mais rarement dans le bac prévu à cet effet (etc.)…
Lucile
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…attendre dans une attitude active… sans baisser les bras…servir Dieu dans l’église locale…être continuellement rempli de l’Esprit… persévérer dans la prière pour ce choix que Dieu fera mieux que nous.
…PAS DE COMPROMIS AVEC LE MONDE, MEME SI “IL OU ELLE” semble “Merveilleux”…
Cathy
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…En effet si le frère ou la soeur sont bien ancrés en CHRIST et trouve un
compagnon ou une compagne non convertis il se peut que cela emmène la personne à se convertir en ayant son conjoint comme exemple reconnaisse et admette DIEU dans sa vie.
Bernard
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Le ou la célibataire qui désire fonder un foyer devrait se poser la question: ne suis-je pas trop exigeant? La personne que je recherche doit-elle être tellement beau ou belle et aisée? …Il y a toujours autour de nous des gens qui nous conviennent, le problème est quelque fois que l’on voudrait plus que ce que le Seigneur nous donne.
Jean-marie
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…pour vivre à deux il faut d’abord et avant tout être capable de vivre seul….L’autre n’est pas celui qui doit venir combler nos manques ou calmer nos angoisses, le conjoint n’est pas celui qui vient tout réparer …. Etre bien avec soi c’est avoir guéri quelques blessures d’enfance, avoir trouvé son chemin avoir commencé à construire sa vie… lui avoir trouvé un sens…Le sens que j’ai trouvé c’est Jésus…
Patricia
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…partager sa vie avec quelqu’un qui ne partage pas ce qui est central dans sa vie est une épreuve continuelle, sans aucune garantie de le voir changer…Mon conseil est donc d’attendre que Dieu pourvoie en son temps. Et ne pas aller forcer la main de Dieu, en croyant que notre conjoint va se convertir…Il vaut mieux s’épargner à soi et à ses enfants des souffrances et des difficultés qui vont certainement apparaître. Celui qui fait le ciment d’un couple c’est Jésus…
Marianne
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…Je pense qu’on doit essayer de vivre chaque moment que Dieu donne,
donc de vivre dans le présent et non pas dans un futur hypothétique…J’ai appris à être content de l’état où je me trouve dit Paul. Cela s’apprend…
Caroline
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… se renseigner sur les séminaires et les camps qu’ils organisent est peut être déjà une solution pour rencontrer du monde…Demander au pasteur ce que l’église peut faire pour ses propres célibataires? …Dans mon église précédente (j’ai déménagé pour raisons professionnelles) il y a beaucoup de choses organisées par et pour les célibataires : ballades, restos, soirées etc…Favoriser les agapes inter-églises ou les soirées qui réunissent plusieurs églises…
Anne
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couple-1751103 640…Je pense qu’il(elle) devrait poser une toison devant Dieu pour savoir s’il(elle) le(la) destine à une vie de célibataire ou pas. Si c’est le cas lui demander la possibilité de rester célibataire sans brûler. Si ça n’est pas le cas lui demander de lui présenter l’âme soeur.
Albert
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Je pense que si le/la célibataire cherche quelqu’un pour fonder une famille cela ne lui arrivera jamais. Il ne faut pas chercher… Dieu guide chacun de nous, il mettra forcément quelqu’un sur notre chemin…
Nathalie

Psaumes 119:77 Manifeste-moi ta tendresse pour que je vive, puisque ta Loi fait mes délices.

 

 

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 images: pixabay.com

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Le « comment faire » d’un réveil

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Steve Hill est surtout connu comme l'évangéliste qui a prêché dans le « réveil de Brownsville ». Le « Brownsville Revival » a été une série de réunions à Brownsville Assemblée de Dieu à Pensacola, en Floride, qui a débuté en 1995 et a continué pendant cinq ans. L'évangéliste Hill est mort en 2014 d'un cancer. Il nous a accordé cette interview en 2006.

Victoire magazine : Beaucoup de chrétiens désirent le réveil mais comment survient-il ? Est-ce quelque chose que Dieu décide simplement de faire ou est-ce le résultat de l’obéissance à Dieu ?

Steve Hill : Le préalable et ce qui soutient le réveil est la prière. À Brownsville, durant les deux ans précédents le réveil, John Kilpatrick (le pasteur de l’église) criait … à Dieu tous les dimanches soirs pendant une heure ou une heure et demie. Vous devez prier.

Vous devez être disposés à travailler dur. Beaucoup de gens ne veulent pas travailler dur. La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions … La moisson a un lien direct avec le défrichage de la terre.

Vic Mag : Est-ce qu’il y aura un réveil en France ?

S.H. : La France est comme un champ en friche. Vous traversez ce champ et il y a des souches d’arbres, des pierres, et des chardons … alors vous étendez la main et vous dites : ‘dans le nom de Jésus nous enlevons tout cela ’ ? Non ! Vous vous mettez en mouvement et au travail !

Dieu est Celui qui regarde pour voir si je suis disposé à travailler avant le réveil pour faire quelque chose en vue d’apporter une grande moisson … la seule différence entre le réveil et la moisson naturelle est qu’il y a des temps souverains où Dieu descend et élargit nos frontières, il agrandit nos tentes. Il apporte quelque chose de plus grand, plus que nous n’ayons jamais rêvé.
Je crois qu’avant que Jésus ne revienne, il y aura une grande action de Dieu et soudain le monde va remarquer qu’il y a une Eglise, e c’est l’Eglise de Jésus Christ. Elle Lui ressemble, elle marche comme Lui, elle pense comme Lui, est motivée.

L’Eglise revit pour une raison—pour que le reste du monde soit sauvé. Nous sommes tellement pris par notre petit monde … l’intérieur des quatre murs de notre assemblée … Charles Finney dit : ‘Le réveil cesse quand l’Eglise arrête de regarder la mission. Les trois mille qui ont été ajoutés dans une journée ne priaient pas dans la chambre haute. Ils étaient des ‘sous-produits’ de l’action de Dieu dans la chambre haute. Voilà ce qui est important.

Est-ce possible en Europe ?

(Pasteur Hill a travaillé pour établir une église à Granada en Espagne)

Vic Mag : L’Europe sera-t-elle l’exception à la règle ?

S.H. : Pour moi, l’Espagne était l’endroit le plus dur où j’avais jamais travaillé. (Pourtant il y avait une action de Dieu sur la place de la ville de Granada qui le marqua un jour qu’il jeunait). J’étais tellement frustré que les Espagnols ne viennent pas au Seigneur. Nous faisions des sketchs dans la rue et les gens nous regardaient comme si nous étions des fous. Ils étaient dans leurs Mercedes. Ils buvaient et fumaient. Ils n’avaient besoin de rien. Ils aimaient leur fêtes et leurs booms.
Nous avons fait un sketch et il y avait une assistance d’environ 150 personnes. Ils m’ont donné le micro pour que je prêche … J’ai laissé tomber le micro, regardé le ciel et crié ... ‘Jésus, où est-tu’ ?

Le Seigneur m’a parlé dans ce lieu et il m’a dit : ‘Je suis juste là-bas.’ J’ai regardé, et là, assis, adossé à un banc se trouvait un jeune homme qui cachait son visage avec sa main, et qui pleurait. J’ai traversé la foule, je me suis approché de lui et je lui ai dit : ‘ Comment vous appelez-vous ? ’
‘David.’
‘Qu’est-ce que vous voyez, qu’est-ce que vous ressentez ? ‘
‘Je ressens quelque chose mais je ne sais pas ce que c’est.’
(‘ J’ai remarqué que la foule nous environnait ’ raconte pasteur Hill)
‘David ce que vous ressentez est la présence de Dieu.’

(Le pasteur continue) ‘… puis le Seigneur m’a dit : ‘Maintenant Steve.’ Je leur ai dit : ‘Combien d’entre vous veulent ressentir ce que David ressent ? Levez la main !’
Toutes les mains se sont levées. J’ai fait appel au ciel. En quelques secondes la présence de Dieu devint manifeste. Beaucoup de personnes ont commencé à pleurer. Nous les avons toutes amenées au Seigneur et voilà comment l’église est née … Vous avez une visitation de Dieu qui compte autant que dix ans de dur travail.

Le pain français et le réveil

Vic Mag : Vous êtes optimiste en ce qui concerne le réveil ?

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Le réveil et le chat de ma voisine

catPatrick SALAFRANQUE, pasteur

Que faudrait-il pour que nous puissions vivre un grand réveil, à titre personnel et collectif, un réveil dans nos églises qui provoquerait un grand réveil d’évangélisation dans notre pays ?

Je pense au chat de ma voisine « Gribouille ». Il m’arrive parfois de l’observer à travers la fenêtre de mon bureau. Comme tout chat qui se respecte, et malgré qu’il soit un chat d’appartement Gribouille est un chasseur. C’est son instinct profond, or une chose m’a étonné dernièrement. Gribouille n’attrape jamais rien.

Je le vois souvent en embuscade les yeux rivés sur une souris ou un oiseau dans une branche. Il bondit, court, saute, mais trop tard, l’animal lui a échappé. Gribouille est toujours bredouille. La chose m’a intrigué, et je me suis posé la question : pourquoi ?

Après réflexion je crois avoir compris le problème de Gribouille. Quand il rentre à la maison il trouve sa gamelle pleine d’un de ces délicieux pâtés pour chat. Qu’il attrape quelque chose ou qu’il n’attrape rien quand il revient à la maison il a de quoi se remplir le ventre.

Image: pexels.com/tookapic

Le problème de Gribouille est qu’il est un chasseur au ventre plein, sa survie ne dépend pas du produit de sa chasse. Je pense que si ma voisine le faisait jeûner quelques jours, Gribouille deviendrait le meilleur chasseur du monde !

Peut-être que notre problème à nous chrétiens occidentaux se situe au même niveau.

Nous cherchons le réveil le ventre plein, le cœur plein de tellement d’autres choses que de la faim de Dieu. Que nous trouvions Dieu ou que nous ne le trouvions pas quand nous rentrons dans nos maisons, « notre gamelle est pleine ».

S’il arrive ou s’il n’arrive pas, il nous reste toujours assez de confort, de loisirs, de soins médicaux de plus en plus performants, de l’assistance dans tous les domaines, pour faire face à nos problèmes. L’état providence est omniprésent et les médias nous inondent de distractions fascinantes.

Le réveil ne nous apparaît pas comme quelque chose de vital.

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Questions pour un pasteur : la polygamie ; explication du salut ; comment triompher du péché ; liberté en Christ

bulgaria-1064169 640Voilà des réponses aux questions diverses que notre équipe de « Réponses pour ta vie » (www.reponsespourtavie.com) , site sœur de Victoire, a reçu dernièrement.

La polygamie

Votre question concernant la polygamie ne manque pas d''intérêt. En effet, si l'on considère la Bible dans son ensemble, il en ressort que si la polygamie a parfois été tolérée dans l'Ancien Testament, elle n'a plus aucune place dans le Nouveau Testament.

 La monogamie est l'idéal prescrit dans les Saintes Écritures : "c'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair" (Genèse 2 : 24) lisez aussi : Genèse chapitre 2, versets 18 à 24; Malachie chap. 2, versets 14 à 16; Matthieu chap. 19, versets 4 à 6 et 1 Corinthiens chap. 6, verset 16. La monogamie seule permet l'unité totale des deux conjoints, tandis que la polygamie la rend impossible.

De tout ceci, on peut déduire que la polygamie n'est pas conforme à la volonté de Dieu, elle est contraire au plan de vie que Dieu a établi dès le commencement et toujours aujourd'hui pour l'homme et la femme qui se doivent fidélité réciproque.

Sur un plan purement humain, les statistiques nous montrent qu'il y a pratiquement autant d'hommes que de femmes sur la terre (en 2010 : 102 hommes pour 100 femmes). Donc, on peut en déduire que Dieu confirme Sa volonté concernant la monogamie en faisant naître autant de garçons que de filles.

Je prie pour que votre réengagement de suivre le Seigneur Jésus vous renouvelle dans votre être tout entier et vous fortifie à tous égards. Restez-lui fidèle et ayez foi que Lui-même sera toujours fidèle envers vous car la Bible nous dit : "Qui nous séparera de l'amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou la péril ou l'épée ? ... Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés. Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur" (Épître aux Romains, chapitre 8, versets 35 à 39). A. Luj

Explication du salut

Dieu dit dans la Bible: " Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du cœur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture: Quiconque croit en lui ne sera point confus. Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent."

"Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romans chapitre 10:9-13)

Dieu demande deux choses: la repentance de nos péchés, c’est-à-dire, nous Lui demandons pardon pour avoir offensé Dieu et nous nous tournons vers Lui pour le suivre. Puis, croire! Croire que le Fils de Dieu, Jésus, est mort à notre place pour payer le prix que nos péchés demandaient. Croire que, si vous criez vers le Seigneur, vous serez sauvée. Vous recevrez le don de la vie éternelle. Vous serez vraiment un enfant de Dieu. Jésus est vraiment vivant. Dieu son Père l'a ressuscité d'entre les morts. Il est avec son Père et Il entend nos prières. Nous sommes acceptés par Dieu à cause de ce que Jésus a fait. Priez avec moi:

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Comment survivre l'enfance de vos enfants

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Douze pratiques parentales qui marchent

Billy et Sue Burr sont mariés depuis plus de 45 ans et ont passé 40 ans ensemble comme missionnaires en Afrique.Ils ont deux enfants qui marchent avec le Seigneur.
On leur a demandé de partager des pratiques parentales qui les ont guidés.

--Nous avions un culte familial et nous avions de longues conversations avec nos enfants.

--Nousallions à l’église et quand nous avons exercé notre ministère, nous avons agi de telle manière que nos enfants se sentaient impliqués dans ce que nous faisions.

--Nous nous excusions et demandions pardon à nos enfants quand nous avions tort et nous leur avons demandé la même chose quand ils avaient tort.

--Nous jouions avec nos enfants. Nous avions des soirées pour faire des activités qu’ils appréciaient.

--Nous organisions des fêtes aux anniversaires, et à d’autres occasions spéciales. Nous avons saisi toutes les occasions possibles pour célébrer et récompenser nos enfants.

--Ily avait des règles.Le langage vulgaire et les mauvaises manières n’étaient pas tolérés. Nous faisions attention à ce qu’ils lisaient et regardaient, et il y avait des choses qui n’étaient pas permises.Il y avait des endroits où nos enfants ne pouvaient pas aller. Parfois, nous ne permettions pas à nos enfants d’être avec des gens qui étaient de mauvaises influences.

--Nous étions engagés dans tout ce que nos enfants faisaient, surtout quand ils étaient à l’école primaire. Nous connaissions les enseignants et nous allions à l’école quand il y avait quelque chose de spécial.

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Sexualité: La fidélité est toujours récompensée

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Quand on dit que l'acte sexuel est un « devoir », cela ne veut pas dire qu'un partenaire peut imposer n'importe quoi à l'autre. Je préfère parler franchement, car où entendra-t-on la vérité, sinon dans la Parole de Dieu ?

Il y a des maris qui exigent des rapports sexuels à une fréquence anormale. L'acte devient une corvée pour sa femme au lieu d'une expression de son amour pour l'homme de sa vie. Il faut un équilibre.

D'autres couples se demandent quels actes sont permis à un couple marié. Est-ce qu'on peut tout faire ? Y a-t-il des limites ? Je ne me pose pas en expert, mais je dirai que la première question à se poser est : « Est-ce que la Parole de Dieu parle de cela directement ou implicitement ? » Si la réponse est « oui », obéissez !

Si la Bible n'en parle pas, il y a une deuxième question :

« Les deux partenaires sont-ils à l'aise ? » Il ne faut jamais que l'un d'eux exige quelque chose qui mette l’autre mal à l'aise. La joie du rapport sexuel serait remplacée par de la honte.

Il ne faut pas non plus introduire « d'autres personnes » dans l'acte. Par là, je veux dire que la pornographie n'a AUCUNE PLACE dans la vie des chrétiens, ni avant ni après le mariage.

La pornographie est une sexualité pervertie et elle soulève beaucoup plus de désirs qu'elle n'en étouffe. C'est l'adultère dans le coeur et un chrétien ne doit jamais s'excuser en disant : « Cela m'aide à m'exciter. »

J'avais un ami psychologue qui aimait beaucoup le Seigneur. Il m'a dit que selon certaines études, le cerveau produit une substance chimique très forte quand on s'adonne à la pornographie. C'est comme une drogue. On devient accro.

Un autre chrétien m'a dit que sa femme et lui regardaient des films pornos pour se préparer à l'acte sexuel. Il s'est arrêté parce qu'il voyait ses images repasser dans son esprit le jour suivant et il se rendait compte qu'il ne marchait pas dans la pureté devant le Seigneur.

Il ne faut pas non plus introduire d’autres personnes dans le lit en imaginant que notre partenaire est quelqu'un d'autre. Comment exprimer notre amour à celui ou celle que nous aimons plus que tout autre si, dans notre esprit, nous élaborons une fiction ?

Notre société véhicule l'idée que l'acte sexuel est le ciel sur la terre et qu’il faut toujours que les relations s'intensifient. Mais si c'est vrai, pourquoi y a-t-il tant d'insatisfaction ?

Les gens cherchent toujours d'autres méthodes, d'autres choses pour un plaisir encore plus intense. Et nous assistons à de plus en plus de perversion. Une partie de notre société ne tourne pas rond en ce qui concerne la sexualité. Au final, les gens sont comme vidés.

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La place du sexe dans le mariage

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Avant de se marier, les jeunes doivent probablement penser que le programme de leur vie conjugale se déroulera ainsi : travailler - 35 heures par semaine ; dormir - 5 heures par jour ; et manger - 20 minutes par jour (enfin, elle s’imagine que ce sera 20 minutes ; lui, il pense plutôt deux heures et demie).

Et le reste du temps ? Ce planning laisse 96 heures chaque semaine pour la romance et l'amour.

C'est peut-être comme ça à la télé, mais dans la vie réelle, il y a beaucoup d'autres choses qui s'imposent à nous. Ceux qui pensaient passer 90% de leur temps dans des activités romantiques seront surpris.

Mais — et c'est un « mais » de taille — ceux qui ne réalisent pas que les relations sexuelles sont vraiment importantes dans le mariage se trompent. Bien sûr, ce n'est pas Hollywood ; cependant, Dieu accorde une grande importance à cet aspect de la relation dans le couple.

Dans l’histoire, l'Église a souvent voulu cacher cette partie du mariage en agissant comme si elle était « impropre » ou sale. Pour beaucoup, la seule « justification » des relations sexuelles, même dans le mariage, était la conception des enfants. L'Église interdisait même aux hommes qui travaillaient pour elle de se marier.

Ce n'est pas de la Bible

Je ne sais pas d’où sont venues de telles idées, mais certainement pas de la Bible ! Le premier but des relations sexuelles dans le mariage est l’expression de l'amour entre les partenaires et l’approfondissement de leur relation.

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Un sourire ne fait pas mal

Lettres Ecrites A Dieu Par Des Enfants

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Cher Dieu,

Peut-être que Caïn et Abel ne se tueraient pas autant s’ils avaient leurs propres chambres. Ça marche avec mon frère.

Cher Dieu,

Au lieu de laisser mourir des gens et après Tu dois en fabriquer des nouveaux, pourquoi ne pas garder ceux que vous avez déjà ?

Cher Dieu,

Je suis allé à un mariage et ils se sont donnés un baiser dans l’église même. C’est permis ça ?

Cher Dieu,

Merci pour mon petit frère, mais j’avais demandé un chiot.

 

La maman du pasteur

old-woman-945448 640Une vieille dame entra dans l’église où elle fut saluée par un jeune homme à l’accueil. « J’aimerais m’asseoir tout au milieu, à la première rangé juste devant l’estrade » dit la dame.

« O, madame, je ne sais pas si c’est sage ! Notre pasteur est très ennuyeux et il parle longtemps. Vous risquez de vous endormir devant tout le monde. »

« Jeune homme, savez-vous qui je suis ? » répondit-elle sévèrement. « Je suis la maman du pasteur ! »

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Victoire—La science a-t-elle tué Dieu ?

robot-1635794 640Les cours de science au lycée sont l’endroit idéal pour rattraper le sommeil en retard ou pour parler avec les filles quand le prof ne regarde pas, et je n’ai pas dérogé à la règle. A la fac, ce n’était pas très diffèrent…

Il semble que bien des chrétiens évitent d’étudier les sciences, parce que, à mon avis, ils s’imaginent devoir constamment affronter des scientifiques si sûrs de pouvoir effacer Dieu de l’équation de la vie. Rien que la tentative d’une réponse scientifique incluant Dieu en tant que Créateur suffit à déclencher les tirs. Ils s’écrient : « On ne peut pas mélanger science et religion ! Ce sont deux domaines incompatibles. »

Le problème est qu’ils émettent des proclamations très religieuses. Si ce qu’affirment certains scientifiques est vrai, il n’y a pas de Dieu ou, s’Il existe, Il ne s’intéresse probablement pas à nous. Beaucoup d’entre eux considèrent ceux qui croient au Dieu-Créateur-de l’Univers comme des idiots-du-village ou, au mieux, comme des gens simples et bornés.

Ils ancrent leur foi dans la nature et dans ces processus naturels supposés nous avoir amenés là où nous sommes.

Toutefois, toute science qui élude Dieu échoue à répondre à certaines questions de la plus haute importance : « D’où vient l’univers ? – Comment la vie a-t-elle commencé ?– Quelle direction prendre dans tout ça ? »

Auteur du livre ‘Une brève histoire du temps’, le professeur Stephen W. Hawking admet candidement : « Aujourd’hui encore, nous aspirons à savoir pourquoi nous sommes là et d’où nous venons. »

Alors je me suis mis à lire, à penser et à réfléchir pour mon compte. J’ai découvert qu’il n’existait pas toujours de preuves irréfutables pour bien des choses affirmées avec aplomb par des scientifiques incrédules. Ils n’ont foi qu’au fait que nous pourrions prendre leurs théories pour des faits avérés.

Ils interprètent de très minces évidences comme si elles décrivaient un ensemble complet, alors qu’en réalité leurs idées sont formées de quantités de suppositions.

J’ai aussi appris que de nombreux scientifiques hautement qualifiés croient en Dieu (et en Son Fils Jésus), y compris des lauréats du Prix Nobel.

Ce qui est probablement le plus choquant, c’est que plus nous apprenons plus l’évidence scientifique semble pointer vers le Dieu-Créateur-de-l’univers.

Je ne prétends pas être un scientifique mais je suis tombé par hasard sur plusieurs choses qui m’ont surpris.

Les origines de l’univers

La plupart des scientifiques, croyants ou non, admettent que l’univers a eu un commencement—le fameux ‘Grand Boum’ (Big Bang) – bien que l’origine ou l’objet même de l’explosion ou mouvement soit un mystère.

Dans son livre ‘Une brève histoire de presque tout’, Bill Bryson imagine ainsi le point de départ : ‘C’est ainsi que du néant commence notre univers. En un éclair, un instant de gloire trop rapide et vaste pour être décrit, la singularité prend des dimensions célestes et devient espace au-delà de toute imagination. Alors de cette première seconde vitale … naissent la gravité et toutes les lois de la physique. En moins d’une minute, l’univers s’étend sur des milliards de kilomètres  et ne cesse de grandir. »

La science appelle cet instant : T=0. La Bible l’appelle : Genèse 1 :1.

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Comment négocier les changements dans ta vie

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Changer, nous le voulons tous... Vraiment ?

Nous aimons le son de ce mot. Le changement. C’est une musique à nos oreilles. Mais l’aimons-nous réellement ?

Qu’en est-il du jour où tu te plantes devant un miroir et aperçois une touche de gris dans les cheveux noirs que tu aimes tant ? Ou une ride près d’un œil, qui ne devrait pas se trouver là ?

Qu’en est-il de la fois où tu as perdu ton travail ? Où tes enfants ont quitté la maison ? Où tu t’es retrouvé dans une nouvelle ville sans connaître personne, avec un travail que tu ne comprenais pas ? Qu’en est-il du moment où tu es passé d’une étape de ta vie à l’étape suivante, en te rendant compte que tu préférais nettement celle que tu venais de quitter ?

Nous voulons tous les résultats positifs du changement, mais le processus qui permet de passer de là où nous sommes à là où nous voulons être implique, la plupart du temps, du stress et même parfois de la souffrance.

Et, parfois, nous ne choisissons pas le changement. C’est lui qui nous choisit. Le changement peut être un des éléments moteurs les plus puissants pour le bien de note vie, mais nous devons apprendre à le négocier.

Cinq choses que tu dois savoir à propos du changement.

J’ai lu l’histoire d’un homme qui a vécu il y a 3500 ans. Savais-tu que les gens se débattaient déjà avec le changement, à l’époque ? Cette histoire nous donne un aperçu puissant de la raison pour laquelle cela vaut parfois la peine de changer.

Je pense que Jacob devait déprimer depuis des années. Vingt ans auparavant, ses autres fils l’avaient ébranlé avec la nouvelle de la mort de son fils Joseph – son favori – qui avait été déchiqueté par un animal sauvage. A présent, il avait 130 ans, la famine sévissait dans le pays et le vieil homme n’attendait plus que la mort.

Ses fils étaient descendus en Égypte pour acheter de la nourriture et, un jour, ils sont revenus avec des nouvelles incroyables : Joseph était toujours en vie et il était Premier Ministre en Égypte ! De plus, il désirait que Jacob et sa famille viennent jusqu’à lui, pour qu’il puisse prendre soin d’eux.

J’aurais été tenté de dire : « Joseph, je suis ravi d’apprendre que tu es vivant, mais j’ai 130 ans. Ces vieux os ne sont plus ce qu’ils étaient. Si tu veux me voir, viens. Nous avons une tente de libre. »

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Une chrétienne apprend l’amour profond de Dieu

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J'ai grandi dans une famille chrétienne et, très tôt, j'ai donné mon coeur au Seigneur. J'avais entendu parlé de Lui depuis toute petite et je savais qu'Il était grand, puissant, qu'Il avait créé le ciel et la Terre, qu'Il était mort sur la croix par amour pour nous.

Dans tous les aspects de ma vie, j'ai toujours voulu faire de mon mieux, principalement pour faire plaisir aux autres. J'ai bien travaillé à l'école pour faire plaisir à mes parents. J'ai toujours essayé de bien me comporter et c'était pareil dans ma relation avec Dieu. J'essayais de bien faire pour lui plaire, par crainte et respect.

J'ai vécu une bonne partie de ma vie chrétienne en me disant que j'étais une "relativement bonne chrétienne." Bien sûr, il y avait mieux, mais je m'en sortais bien. Je savais que ce qui me manquait, c'était une relation intime avec Lui. J'avais du mal à prier.

Dépression 

Et puis, il y a quelques années, alors que mon mari et moi essayions d'avoir un enfant depuis un moment, je suis tombée enceinte et j'ai fait une fausse-couche au bout de quelques mois. Au début, je l'ai assez bien pris. Je me suis dit que Dieu avait un plan et que, si j'avais perdu ce bébé, c'était pour une bonne raison, mais qu'Il nous permettrait vite d'avoir un autre enfant. Seulement, les mois ont passé et je ne suis pas retombée enceinte.

En plus, j'ai eu de gros problèmes dans mon travail, des défauts se sont révélés dans la maison que nous avions achetée et tout s'est accumulé. J'ai commencé à penser que Dieu me punissait parce que je ne priais pas assez. Plus j'essayais de prier, plus mes pensées s'égaraient à chaque fois que j'essayais, plus je culpabilisais.

J'ai sombré dans la dépression en me disant que j'étais une très mauvaise chrétienne et que tout ce qui nous arrivait était ma faute. Et puis, petit à petit, à travers des messages et des chants, Dieu m'a parlé. Il m'a montré que je n'étais ni une bonne, ni une mauvaise chrétienne, puisque personne ne peut atteindre la justification par soi-même, mais que nous sommes justes à travers le sang de Christ.

Il m'a montré qu'Il restait Dieu et qu'Il nous aimait, que ce soit dans les bons ou dans les mauvais moments, et surtout, petit à petit, Il m'a amené à réaliser son amour pour moi. Je savais que Dieu aimait les hommes, mais je n'avais jamais réalisé qu'Il m'aimait MOI, qu'Il se souciait de moi aussi, et qu'Il n'était pas seulement un Dieu puissant et lointain qui veillait sur l'ensemble de l'humanité.

Une guérison et une promesse

 

Dieu m'a guérie de ma dépression.

Un jour, alors que je priais, Il m'a parlé. Je priais pour avoir un enfant. Il m'a dit : "Ce que tu demandes, je te l'ai accordé." Ça n'a pas été immédiat. Il a fallu attendre encore sept mois, mais je suis tombée enceinte et, aujourd'hui, nous avons une belle petite fille de cinq ans pleine de vie.

J'avoue que je ne suis toujours pas une femme de prière capable de passer des heures d'affilées à genoux, mais j'entretiens maintenant une relation intime et quotidienne avec Jésus, qui est mon ami en plus d'être un Dieu saint, puissant, qui a tout créé et qui veille sur l'Histoire des hommes.

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L’héritage d’une mère qui prie

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Phyllis Porter
Je me souviens de l’époque où j’étais petite fille. Parfois je revenais un peu tôt avec l’autobus de l’école et j’entendais maman dans la chambre à coucher qui intercédait pour ses enfants et ses petits enfants.

Sans le savoir, elle m’enseignait à prier par son exemple. Nous habitions en pleine campagne à ce moment-là et il me semble que j’entends toujours sa voix, chantant fort des louanges alors qu’elle travaillait hors de la maison. Je jouais avec les voisins et maman se croyait toute seule, alors elle chantait à pleins poumons, glorifiant le Seigneur.

Cela me donna le goût de la prière. Quand je fus moi-même jeune maman, j’aimais passer du temps au piano, jouant, chantant, priant—bref me réjouissant d’un bon moment avec le Seigneur.

Un jour, ma fille Christi – qui avait quatre ans à l’époque- entra et vint pour être câlinée. Après cela, je lui ai dit d’aller jouer de nouveau et j’ai continué à prier.

Je la croyais partie jusqu’à ce que j’entende une petite voix derrière moi qui pleurait et priait. « Chérie, qu’est ce qu’il y a ? » « Elle me regarda en disant : « Jennifer (sa meilleure amie) ne connait pas Jésus ! »

Nous avons prié ensemble et elle est retournée jouer. Elle apprenait à son tour les leçons de prière.

Mon mari David a été gagné au Seigneur par sa grand-mère qui l’emmenait à l’église quand il était petit. Souvent les dimanches après-midi, il l’entendait dans sa chambre à coucher, priant et intercédant.

David dit que cela l’a tellement marqué que s’il ferme les yeux, il entend toujours sa voix qui crie à Dieu.

La prière est un héritage qui nous a été donné. Mais avons-nous donné le goût de prier à la génération qui nous suit ? Vos enfants, vous voient-ils prier et passer du temps devant le Seigneur quelquefois ? Vos petits-enfants savent t-ils que vous êtes en communication avec le trône de Dieu ?

C’est vrai que la prière est souvent solitaire et nous avons besoin de temps seuls à seuls avec le Seigneur. Mais nous avons aussi besoin de transmettre ce riche héritage de la prière à la génération qui nous suit. Cela ne se transmet pas seulement par les enseignements, mais ça se communique quand la prochaine génération sent la présence de Jésus, la puissance et la communion du Saint Esprit quand nous prions.

Personne n’avait besoin de me dire que maman avait communion avec le Père. Dans les larmes qu’elle versait on voyait la présence de Dieu.

Demandez à Dieu de vous donner un cœur de prière pour que vous puissiez le transmettre.

 

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QUITTEZ LA PLAGE !

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Si vous voulez réaliser une bonne pêche, vous devez aller là où l’eau est profonde. Quelles sont les eaux profondes vers lesquelles Dieu vous appelle ?

Dans les prisons ? Au coeur des cités difficiles de nos grandes villes ? Auprès des personnes âgées dans les maisons de retraite ?

Qui aura le courage de servir Dieu dans les eaux profondes du Soudan, du Bangladesh ou de l’Espagne ?

C’est un Juif qui amena l’Évangile à Rome. Un Romain qui l’apporta en France, un Français en Scandinavie, un Scandinave en Écosse, un Écossais en Irlande...

Qui ira jusqu’au peuple Shuwa du Tchad ? Ou s’approchera de l’ethnie Pathan, en Afghanistan, où l’on ne recense que 0,01 % de chrétiens ?

Qui aura le courage de prendre sa barque pour rejoindre les quelques 2 millions d’âmes du peuple Arakanese en Birmanie ?

Quand on prend conscience de la réalité, il devient impossible de rester sur la plage. Je vous invite à quitter la foule et à vous engager pour Jésus.

Les eaux profondes du Cambodge

En 1999, j’ai quitté la France pour les eaux profondes du Cambodge. Au fil des années, avec toute une équipe, nous avons jeté nos filets dans la capitale, Phnom Penh, où des milliers de garçons et de filles sont forcés de travailler dans la rue, chaque jour, sans répit.

Au cours de ces années vécues au Cambodge, j’ai souvent senti les vents forts faire ballotter ma barque. De temps en temps, elle a même pris l’eau.

Jésus ne nous a jamais promis que la mer serait toujours calme et qu’il n’y aurait jamais d’orage. Mais au coeur de nos tempêtes, il est à nos côtés. Si Jésus est dans le bateau, vous avez l’assurance que vous ne coulerez pas.

“Jetez vos filets pour pêcher” lance Jésus à Pierre.

Nous avons tous des filets : les dons et les talents dont Dieu nous a dotés. Certains chrétiens s’imaginent qu’ils pourront attraper quelque chose en restant confortablement établis sur le sable de la plage.

Non ! Ils n’attraperont rien. Peut-être un poisson mort ou quelques coquillages, rien de plus.

Jetez vos filets en eau profonde. Servez Dieu là où la pêche peut être abondante. Nos filets ne nous ont pas été confiés pour être suspendus dans le salon de nos maisons. Nos filets nous rappellent peut être de bonnes pêches en haute mer, ces jours passés où Dieu s’est servi de nous mais, s’ils restent accrochés au mur, ils ne servent à rien.

rough-1031185 640Nos talents ne sont pas des objets de décoration. Prenez vos filets. Ne les laissez pas se détériorer aux murs de vos souvenirs.

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Bayless Conley: un garçon de 12 ans impacte sa vie

bc1Bayless Conley se trouvait dans un parc, bien déprimé. Une expérience avec des drogues la nuit d’avant avait mal tourné. Il avait environs 20 ans à l’époque.

La drogue n’avait rien de nouveau pour lui. Déjà très jeune en Californie, l’alcool et les drogues jouaient un rôle prépondérant dans sa vie. Des mauvaises expériences, il en avait aussi fait. Mais quand il est revenu à lui-même en train de manger de l’herbe devant une maison, cela l’a convaincu qu’il devait quitter ce lieu où il serait bientôt mort.

C’est pour cela qu’il se trouvait dans l’état d’Oregon, aux USA.

Pourtant, le problème le suivait. Il devait choquer un rare passant sur cette piste isolée où il marchait ce jour-là. Sa grande barbe rouge, cette tresse avec une plume dans les cheveux, et ses vêtements bizarres ne donnaient pas l’image d’un enfant de chœur.

Ce jour-là, il pensait à Jésus Christ, bien qu’il n’ait jamais connu un chrétien qui pratiquait sa foi. « Je n’avais jamais entendu parler de l’Evangile, mais je savais qu’il y avait cette chose appelée le Christianisme … »

Il a cherché dans le yoga, les religions des Indiens Américains, et il a à un moment donné, fréquenté un peu des gens qui pratiquaient la magie noire et la sorcellerie.

Il pensait à Jésus, mais il ne connaissait pas le Jésus révélé dans la Bible. Pour lui, Jésus était un gourou, un mystique oriental. Dès son plus jeune âge, Bayless avait soif de connaitre la vérité, mais plus d’une fois la drogue a failli lui couter la vie.

« Je voulais tellement savoir pourquoi j’étais ici, et s’il y avait un Dieu. » Il était pourtant ivre la plupart du temps.

Il essaya de penser à autre chose en se promenant, mais sa réflexion revenait toujours à Jésus. Il arriva dans une partie du parc où jouaient beaucoup d’enfants qui couraient dans tous les sens.

Un petit garçon mexicain passait tout près de lui : il avait les mains dans les poches, portait des bottes de cow-boy. Il ne l’a même pas regardé, mais quand il est passé près de Bayless, quelque chose l’a touché intérieurement. Il ne le quittait pas des yeux. Il se souvient avoir pensé : « Qu’est-ce qu’il a ? Il a quelque chose de bon. Il a quelque chose que je n’ai pas. »

Bayless continua son chemin. Il s’arrêta dans le bois et s’assit sur une pierre à côté d’un petit ruisseau, pensant toujours à Jésus. Puis, il entendit un bruit, et voilà que ce garçon de 12 ans qu’il venait de voir, vint de l’autre côté du ruisseau et s’installa, lui aussi, sur une pierre. Il avait un grand sourire.

Puis, le garçon lui adressa la parole de manière très directe : Puis-je vous poser une question ? Connaissez-vous Jésus ? » Bayless fut bouleversé par cette parole. Le garçon traversa le petit cours d’eau, marchant sur des pierres, s’installa à côté de Bayless, cet homme à l’air bizarre, et lui dit : « Jésus, n’est-il pas merveilleux ? »

Ce garçon le troublait. Il parlait comme si Jésus était toujours vivant et comme s’il Le connaissait. Il continua en parlant de cette relation qu’il avait avec Jésus-Christ et Bayless était en état de choc. Le garçon l’a emmené rencontré sa mère qu’il trouva en train de dormir sur la pelouse.

Bayless pensa que ces gens étaient trop bizarres pour lui, alors il s’éloigna. Mais la mère, Ramona, criait son adresse avec une invitation à venir manger avec eux. « D’accord » répondit-il » sans penser un instant qu’il reverrait ces personnes.

Deux semaines plus tard, un  fort désir d’aller les voir saisi Bayless. Il se souvint de la rue (elle avait crié l’adresse), stationna sa voiture et partit à la recherche de leur appartement. Soudain, il entendit quelqu’un qui l’appela d’un appartement en haut.

« Bay, nous sommes ici ! » C’était la dame.

Il entra dans l’appartement : un repas de spaghettis était préparé avec un couvert mis pour lui ! « Nous vous attendions » dit Ramona, « le Seigneur nous a dit que vous seriez ici aujourd’hui. »

Le jeune homme répondit : « Attendez ! Qui vous a dit que je serai ici aujourd’hui ? »

« Le Seigneur ».

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‘Célibataire’ ne rime pas avec ‘misère’ !

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Quand vous rencontrez quelqu'un du Cambodge, il vous demande souvent : « De quel pays venez-vous ? Combien d'argent gagnez-vous ? Avez-vous une femme et des enfants ?

 

Je réponds : « Je viens de la France, Je gagne assez pour vivre. (Je ne crois toujours pas que c'est leur affaire combien je gagne) et je suis célibataire.

 

Quand ils entendent que je n'ai pas de famille, soit ils disent : « Je ne vous crois pas » ou ils rient, pensant que c'est une blague.

 

Avant de venir au Cambodge, je n'ai jamais travaillé avec autant de célibataires. Je sais que le célibat n'est pas facile pour tout le monde. Certains des célibataires que j'ai connu sur le champ missionnaire luttent parce qu'ils sont seuls et ils désirent quelqu'un avec qui ils peuvent partager leur vie.

 

Je vous dirai comment cela a été pour moi : le fait d'être célibataire n'a jamais été un fardeau. Je ne me lève pas le matin en me disant : « Je ne peux pas croire que je suis toujours seul ! C'est terrible ; je vis toujours tout seul dans cette maison !»

 

J'ai 37 ans, (Nb : à l’époque que l’article a été écrit), je suis célibataire et je suis content.

 

J'ai un frère. II s’est marié assez jeune. Je ne crois pas que Marc aurait pu rester célibataire et le Seigneur le savait. Lui et Rachel ont quatre merveilleux enfants. Mon frère a 39 ans, Il est marié et heureux.

 

Des fois, je plaisante avec mon frère lui disant que s'il a quatre enfants, lui, j'en ai des dizaines ... dans les bas quartiers et les rues de Phnom Penh ! (la capitale)

 

Je ne crois pas que les couples mariés sont plus heureux que les célibataires ni les célibataires plus heureux que ceux qui sont mariés.

 

Si vous êtes la personne que Dieu veut que vous soyez, vous serez épanoui.

 

Si vous êtes célibataire et si vous croyez que c'est bien pour vous, ne laissez pas la pression de votre famille, vos amis, votre église ou votre culture essayer de faire de vous ce que vous n'étiez pas destiné à être.

 

II y a pas mal d'écritures bibliques qui nous encouragent de nous marier et pas mal qui nous encouragent de poursuivre le célibat. L'un n'est pas mieux que l'autre.

 

Nous connaissons les bénédictions qui viennent quand on partage sa vie avec un autre, surtout quand les deux servent le Seigneur ensemble.

 

Voilà quelques-unes des bénédictions que j'ai eu en étant célibataire :

 

-Beaucoup de liberté dans le service pour le Seigneur. Je n'aurais pas pu voyager dans des pays étrangers, prêchant sur tous les six continents, voyageant parfois durant des mois, si j'avais eu une épouse et des enfants à la maison. Et je ne suis pas obligé d'être chez moi tous les jours pour le déjeuner ou à 18h le soir.

 

-J'ai beaucoup de temps. Un ami missionnaire qui est marié et content et a de beaux enfants m'a dit : « Le jour où je me suis marie, j'avais 50 % moins de temps pour le ministère. » II n'a pas de regrets, mais il sait qu’il ne peut plus faire tout ce qu'il faisait dans le temps.

 

Aux USA, j'ai un ami, Dave, qui a maintenant presque 70 ans. II est célibataire pour toute sa vie. Dave, qui vit dans l'état d'Utah, a eu un ministère pour des milliers de gens qui se sont laisses attrapés dans le filet du Mormonisme. II a vraiment fructifié sa vie.

 

Pour certains qui sont tellement passionnes par leur appel, leur vision, le célibat est parfois la meilleure option.

tpatIl y a aussi des défis au célibat :

Il y a aussi des défis au célibat :

- Vous n'avez personne avec lequel vous pouvez partager votre cœur à la fin de la journée (Heureusement, le Seigneur a pourvu à de bons 'frères ainés’, des hommes d'intégrité qui m’ont encouragé et qui m’ont donné de sages conseils.)

-Étant avec une femme célibataire pour une réunion ou conduisant une célibataire chez elle, je dois faire attention à moi-même (les tentations ne meurent pas sur le champ missionnaire !) Je dois faire attention que je ne donne pas un message incorrect à la fille et aussi faire attention que les voisins et les gens de la ville qui me connaissent ne soupçonnent pas un mauvais comportement de ma part.

Après onze ans au Cambodge, travaillant pour la plupart du temps avec des femmes célibataires, j’apprends toujours comment établir des limites et marcher comme il le faut devant Dieu.

Elle manquait son appel

Dans les années 50 quand ma mère était infirmière en Angleterre, elle a reçu un appel d’être missionnaire en France. Elle avait une amie, aussi une célibataire, qui avait un fort appel d'être missionnaire en Inde.

Maman est allée en France avec la mission WEC où elle a rencontré Papa. Son amie a rencontré un gentil chrétien qui n’avait aucune idée de quitter l’Angleterre pour un pays étranger. Ils se sont mariés, ont eu une famille, et acheté une maison. L’amie de ma mère n’est jamais allée en Inde.

Elle a servi Dieu toute sa vie, mais elle n'a jamais commencé le travail pour lequel Dieu l'a préparée.

Il y a quelques années de cela, je me souviens d’avoir prié avec une célibataire à la fin d'une réunion de jeunesse en France. Elle me parlait comment Dieu lui avait donné à cœur de servir parmi les filles vendues en esclavage en Inde.

À la fin de la prière, avec des larmes aux yeux, elle a dit : « Mais, mon petit ami, aussi un Chrétien, n'aucun désir de partir en Inde. » J'ai pensé à l’amie de ma mère et me suis demandé si cette fille chrétienne allait jamais servir Dieu en Inde.

Si Dieu vous a appelé, ne permettez à personne ni quoi que ce soit de vous empêcher d'entrer dans sa volonté pour votre vie. Vous n'avez qu'une seule

Vie. Ne la gaspillez pas.

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Flèches pour tuer le monstre d’adultère

zombie-1761851 640Tout commence de manière innocente : Une femme de cinquante ans entre dans un « chat » sur internet.

Son foyer va mal et elle est déçue de la vie. Ses enfants lui réclament toujours de l'argent et de l'aide ; ils lui causent beaucoup de soucis. Elle a récemment perdu son père et sa mère. Son mari passe une grande partie de son temps libre assis devant la télé.

Dans le chat, elle trouve un ami. II l'écoute. Un univers plein de saveur s'ouvre devant elle. La conversation « sexy » de cet homme mystérieux ranime ses passions. Elle divorce et quitte son mari au bout de trente ans de mariage pour repartir à la recherche d'un peu de joie.

Le divorce déferle sur le monde comme un tsunami. Même les chrétiens ne sont pas épargnés. Des enfants par millions en subissent les conséquences. Cela commence souvent par l'adultère.

Soyons francs. Nous sommes attaqués de tous cotes. Comme la femme infidèle décrite dans la Bible

(Proverbes 7), l'adultère va à la recherche de victimes. Regardez un programme intéressant à la télévision et tout d'un coup, la voilà. Elle vous appelle.

Par des panneaux publicitaires, par des collègues au travail, par des arguments bien formulés, elle vous séduit, si vous le lui permettez.

Apres tout, pourquoi pas ? Dieu veut-t-il nous priver du plaisir ? II y a des sociétés où les hommes ont plusieurs femmes. Ce n'est pas si mauvais que cela, n'est-ce-pas ?

Vous croyez vraiment  cela? Allez visiter le mari de cette femme décrite plus haut dans cet article !

Parlez avec ses enfants pour voir si un peu de plaisir ne fait pas de mal !

Et la femme n'a même pas trouve le bonheur. Sa situation s’empirait. Dieu ne nous a pas créés comme des chiens et des chats.

II nous appelle à un engagement exclusif dans notre vie sexuelle, pour notre bien et celui de ceux qui nous font confiance.

L'adultère a laissé pour compte des victimes sans nombre. Nous ne voulons  pas en faire partie. Nous pouvons  gagner  contre  ce monstre beau et attirant, mais combien dangereux.

Voici quelques stratégies pour abattre cet ogre 

--Admettez que vous n'êtes pas exempte de la tentation. Aussi spirituel que vous croyez être, si vous ne faites pas attention, vous aussi, vous pouvez tomber. Veillez sur vous-même.

Si vous êtes en proie  à la tentation,  réfléchissez  aux conséquences inévitables en cas de chute dans le péché sexuel. Vous blesserez horriblement votre femme ou votre mari. Vos enfants le vivront comme un coup de couteau dans le ventre. Vous découragerez vos amis chrétiens. ("Si lui, il ne pouvait pas tenir le coup, puis-je le faire, moi"? Vous salirez votre témoignage chrétien et le beau nom du Seigneur Jésus.

--Regardez la Parole  de Dieu. " Ce que Dieu veut, c'est votre progression dans la sainteté: c'est que vous vous absteniez de l'immoralité sexuelle, c'est que chacun de vous sache garder son corps dans la consécration et la dignité, sans le livrer à la passion du désir comme les membres des autres peuples qui ne connaissent pas Dieu;  c'est que personne dans ce domaine ne fasse de tort à son frère ou ne porte atteinte à ses droits, parce que le Seigneur fait justice de tous ces actes, comme nous vous l'avons déjà dit et attesté. En effet, Dieu ne nous a pas appelés à l'impureté, mais à la consécration. Celui donc qui rejette ces instructions ne rejette pas un homme, mais Dieu, qui vous a aussi donné son Saint-Esprit. » (1 Thessa. 4 :3-8, Segond 21)

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Un pasteur blessé ouvre le cœur : VICTOIRE SUR LE SILENCE

forest-868715 640            Je suis Jean-Marc, j’ai cinquante quatre ans. J’ai été pasteur dans les Assemblées de Dieu de France de 1989 à 2007. Il m’a fallu démissionner de mon poste pour raison de santé car j’ai craqué nerveusement. C’était un moment très douloureux pour moi car j’étais très attaché à mon ministère et commençais à entrer dans de bons projets pour le Seigneur. Seulement, c’est Dieu qui est maitre de la moisson et qui décide qui fait quoi et où.

            Un pasteur qui craque et qui démissionne, c’est triste mais hélas courant. Il existe plusieurs raisons à cela et chaque cas est particulier. Ceci dit, prions pour les serviteurs de Dieu car ils sont des cibles privilégiées pour le diable.

            Une cible, j’en étais une de qualité. Quand je me suis converti, je n’ai pas solutionné tous les problèmes de mon enfance. J’ai enfermé dans des lieux secrets des blessures, souffrances, événements très douloureux et graves. J’ai vécu dans le déni par rapport à ces situations pendant longtemps. Malheureusement, chacun sait qu’une blessure qu’on ne soigne pas s’infecte. Les dégâts alors sont catastrophiques.

            Mes blessures étaient bien présentes et je faisais tout pour les étouffer. D’ailleurs, je pensais qu’en exerçant mon ministère pastoral, en aidant des personnes à guérir de leurs blessures, je me guérissais moi-même en même temps. Mais ce n’est pas possible. On ne se guérit pas soi-même en guérissant les autres.

N’en parler à personne

            Très vite j’ai compris que j’avais des comportements dysfonctionnels et immatures. J’avais un peu honte de ces choses et préférais n’en parler à personne. Petit à petit ces comportements ont pris plus d’ampleur et j’ai commencé à me tourner vers certaines choses dont je suis tout simplement devenu esclave.

Au début ce n’était qu’un tout petit jeu et je pensais m’en sortir tout seul, sans l’aide de qui que ce soit. Mais non, je me suis enfoncé et très vite je me suis rendu compte que j’étais embourbé dans une addiction grave. A qui parler de cela ? J’avais peur et honte. J’étais gêné au plus haut point. Je me taisais car je pensais qu’on n’allait pas me comprendre, qu’on allait me juger, me rejeter, me retirer l’amour qu’on me portait. J’étais tout simplement malheureux.

Je continuais malgré tout à exercer mon ministère et je choisissais des messages d’encouragements pour l’église et cela me faisait du bien.

            Mais ma situation ne changeait pas, bien au contraire. Je m’enfonçais, m’enlisais de plus en plus et prenais beaucoup d’assurance dans ces choses honteuses que je pratiquais. Parallèlement à cela ma santé psychologique se dégradait. Je devenais dépressif. A cette époque j’avais l’occasion de parler à des médecins spécialistes de mon problème. Ceux-ci m’aidaient à comprendre pourquoi je faisais ces choses mais ne pouvaient pas m’aider à en sortir.

Je me retrouvais tout seul devant Dieu, priais, bien entendu, montrais ma détermination à changer de vie mais ne savais pas comment faire pour cela. Je n’osais me confier. J’étais fermé, paralysé par cette peur qui m’étouffait littéralement.

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Pensez-vous en esclave ou en homme libre?

 

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face-636092 1280L'espion crachait son histoire, la peur écrite sur son visage : « Je vous le dis, mes amis. Je n'ai jamais rien vu de pareil ! Ces gens étaient tellement grands ! Des géants ! Ils avaient une taille de quoi... trois, quatre, peut-être même cinq mètres ?

« Je me sentais comme une petite sauterelle regardant ces monstres. Et le pays ? Ça va. Ce n'est pas mal, mais je vous le dis franchement, nous ne pouvons pas le conquérir, nous. Ce pays-là vous mangerait vivant et tous les habitants sont des guerriers féroces ! Non, ce n'est pas pour moi. Je ne sais pas vous mais moi, je vote pour revenir en Egypte ».

Le peuple de Dieu était sorti de l'esclavage Egyptien pour entrer dans la liberté de Dieu. Mais ils pensaient  et agissaient comme s'ils étaient toujours des serfs du diable. Ils mangent  la défaite comme pain quotidien.  Pourquoi ? Rick Warren cite Anis Nin : « Nous ne voyons pas les choses comme elles sont. Nous les voyons comme nous sommes, nous ».

René Descartes raisonna : « Je pense, alors je suis ». Je dirais presque: « Ce que je pense, révèle ce que je suis ». Suis-je un esclave ou suis un homme libre?

Comment pense un esclave ?

L'homme sans liberté rejette ses problèmes sur quelqu'un d'autre. Moise et Dieu surtout recevaient leur venin. Mais c'est le peuple d'Israël qui voulait sortir du joug de l'esclavage. Tout comme eux, nous voulons des solutions sans implication ou sacrifice de notre cote, n'est-ce pas ? Aujourd'hui, c'est la faute du gouvernement ou notre femme ou ...qui ?

La chanson préférée de l'esclave ? « C'est ta faute si je suis comme ça » ! (C'est  comme le titre d'une chanson de country que j'ai entendu : « C'est à cause de toi que nos enfants sont moches »).

Il est plus facile de se plaindre que de changer les choses. Quelque part, il se glorifie de son statut de persécuté. Bien qu'il dise le contraire, il aura du mal à accepter un changement.

C'est incroyable combien de fois nous disons : « Quelqu'un devrait faire quelque chose » quand nous sommes capables de le changer nous-mêmes.  

Nous ne voulons pas les complications et la bataille qui seront nécessaires pour faire ce qui devrait être fait.

Israël est arrivé au pays de promesse et il refusait d'y entrer à cause des défis et son incrédulité face à ces défis.

Ils voyaient toujours les autres plus forts qu'eux-mêmes. Leur devise ?

« Je ne peux pas » ! Ils oubliaient toujours de figurer avec Dieu et ses promesses dans la formule.

Un esclave n'est jamais loin du péché. Moise s'absente trop longtemps et...c'est la débauche ! Un homme libre sait obéir au Seigneur quand il n'y a pas de sanction suspendue au-dessus de sa tête. Un esclave obéit au rythme de la crainte de ce qui lui arrivera s'il fait une bêtise. Sans cette crainte il se déchaine.

Manifestations de l'esclavage?

La vie blesse les asservis, alors ils apprennent à répondre avec méfiance ou même amertume vis à vis des autres.

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Être célibataire est-ce la fin du monde ?

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Les ados et les jeunes adultes célibataires vivent une situation qui est parfois bien délicate. De grands changements adviennent, des choix extrêmement  importants  doivent être  pris et, intérieurement, beaucoup de sentiments sont à apprivoiser.

II  y a le développement du corps et son acceptation, les études avec parfois l'éloignement familial, le choix d'un métier, la recherche  d'un emploi...

Sans oublier les premiers pas dans la foi avec toutes leurs interrogations  et le choix finalement de suivre Christ.

Au milieu de tout cela arrivent les nouveaux rapports  sociaux (parents, amis, collègues,...) et notamment ceux entre garçons et filles. Malgré le désir profond d'obéir et plaire à Dieu dans tous ces domaines, I ‘expérience  montre  que ça reste parfois difficile à cause des diverses influences.

Comment  bien vivre cette  période ?

Nous voyons l'importance de la présence de Dieu à nos côtés, le profit à tirer de sa vie de célibataire, des conseils quant au temps favorable pour se marier et nous n’oublions pas sur les pièges et défis durant le célibat.

La crainte de l’Eternel est la base de la réussite. Par le mot « crainte » on entend l’amour et le respect pour Dieu en le reconnaissant comme notre Dieu et Père, ainsi que le désir de le servir et d’obéir à sa parole, la Bible.

Ce n'est que si l'on s'attache au Seigneur et à ses préceptes, lui faisant confiance pour la direction de notre vie, que les temps difficiles, comme celui du célibat, vont devenir plus faciles à traverser. Dieu met sa pensée et sa sagesse dans notre coeur et il développe son plan parfait pour notre vie.

De nombreuses promesses nous encouragent dans ce sens. « Recommande ton sort a l'Eternel mets en Lui ta confiance, II agira » (Ps 37:5), <<  Fais de l'Eternel tes délices, et II te donnera ce que ton coeur désire » (Psaume 37:4).

Dans une période si incertaine, faite de multiples choix, il n'y a rien de plus rassurant que de pouvoir avoir confiance en Celui qui sait même lorsqu'un cheveu de notre tête tombe.

Le roi David posait cette question (dans le Psaume 119 :6): « Comment, quand on est jeune, avoir une vie pure? » et il répond : <<  C'est en se conformant à ta parole. Je veux te plaire de tout mon coeur, ne permets pas que je dévie de tes commandements! Je garde ta parole tout au fond de mon coeur pour ne pas pécher contre toi. »

II savait que suivre les ordonnances de I'Eternel sont la garantie d'une vie bénie. Dieu veut être présent, nous soutenir et nous guider dans notre croissance, nos choix et nos épreuves.

Le célibat: un temps  de croissance et d'enrichissement personnel

II est nécessaire de tirer le maximum de profit de cette période du célibat.

Pour les plus jeunes, c'est à l'adolescence qu'une personne commence réellement à se construire au niveau de la personnalité, au niveau social (études, travail, groupe d'amis,...), au niveau spirituel. C'est souvent le temps de nos premiers pas dans la foi. On plante à ce moment-là les bases de sa vie future.

On se découvre divers centres d'intérêt et on rencontre des gens auxquels on s'identifie.

Et puis on se rend compte qu'avec le développement physique pubertaire, apparaissent aussi les sentiments amoureux et les désirs physiques envers le sexe opposé. Ceci fait partie du naturel. Dans son développement, l'être se prépare à partager sa vie avec quelqu'un, former un couple, fonder une famille. Toutefois, si ceci est naturel, ca nécessite néanmoins d'être « apprivoisé » avec sagesse, patience et prudence.

En tant qu'ado au jeune adulte, nos centres d'intérêts, nos gouts, notre mode de penser évoluent très vite. Ainsi vous vous rendrez compte qu'en murissant vas critères vont souvent changer. II est difficile d'imaginer qu'à cet âge, une relation amoureuse puisse être stable, constructive et dans les plans de Dieu. Le risque est de multiplier les relations successives.

On remarque que beaucoup s'unissent et se séparent souvent, simplement au grès de leurs attirances aux sentiments passagers, sans trop penser aux conséquences. On prend quand ça nous plait et on laisse quand on n'a plus envie. On devient alors des « consommateurs » de relations amoureuses.

Ce qui n'est pas sans conséquences.

Commencer une relation amoureuse trop jeune, c'est prendre le risque de modifier son développement personnel. Lorsqu'on est avec quelqu'un, on se construit inévitablement en fonction de l'autre. La vie de l'un va forcément influencer l'autre et ainsi se développe une certaine dépendance à l'autre.

Malheureusement, si plus tard, en murissant un peu on se rend compte que finalement ce n'est pas la bonne personne et que la décision est prise de se séparer, un vide va être engendré. Notre construction personnelle en est alors fragilisée. La déception et le chagrin d'autre part provoqués par cette rupture, laissent également des traces.

Une autre conséquence est parfois l'éloignement de Dieu suite à cette rupture, rejetant la faute sur Lui.

La multiplication des histoires amoureuses peut aboutir à beaucoup de travers. Certains peuvent le vivre comme une multiplication d'échecs avec un sentiment de culpabilité.

D'autres s'habituent à ce genre de consommation, prenant les bons côtés mais fuyant quand il s'agit de prendre ses responsabilités, et sans penser aux blessures causées à l'autre. Ces mauvaises habitudes et ces plaies peuvent devenir un frein au développement d'une relation amoureuse épanouie au moment venu. II est en effet difficile de refaire confiance après s'être senti trahi.

L'engagement devient plus difficile

Ou encore difficile de s'engager après s'être habitué à fuir l‘engagement.

Je crois qu'il faut savoir tirer du célibat le maximum d'avantages. Cette période peut être vécue comme un pénible temps d'attente. Mais elle peut aussi être vécue comme la possibilité d'une certaine liberté, du temps et un esprit plus libre pour s'enrichir.

Certains profitent de cette période pour voyager, d'autres pour se perfectionner dans un domaine (musique, études supérieures,...), d'autres pour approfondir leur connaissance de la parole de Dieu.

Restez ouverts et attentifs aux autres. Mais ne gaspillez pas du temps à vous morfondre dans l'attente. Profitez du temps où vous êtes célibataire pour vous enrichir de quelque chose que Dieu pourra utiliser.

Fréderic Gonzalez

(Fred était étudiant à l’époque qu’il a écrit cet article)

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photo: pixabay, unsplash

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Dieu se révèle à un enfant

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Il est impossible à un garçon de neuf ans de rester à la maison sans satisfaire sa curiosité dans de telles circonstances.

Jacky Derand se demandait ce qu'était ce brouhaha au Foyer de Dockers derrière sa maison. Des milliers de gens s'y attroupaient. Le missionnaire français Aimé Cizeron était venu dans sa ville, Le Port, dans 111e de la Réunion. Ce garçon badaud allait faire une expérience qui marquerait toute sa vie.

Sa vie. Oui. Jusqu'à ce jour, elle n'avait pas été terrible. Jacky est né le dernier d'une famille de sept enfants. La pauvreté les opprimait. « Nous vivions dans une petite maison en bois avec des trous dans le toit, se souvient-il. Quand il pleuvait ma mère mettait des bassines sur le lit pour recueillir la pluie. Quelquefois on était même trempé, et souvent malade.

« Mon père se levait souvent la nuit saisi de crises de folie dues à l'alcool. II frappait ma mère. Ce qui a fait de moi un enfant complexé et bloqué. » II avait pourtant un coeur qui désirait Dieu « J'avais dit quand j'étais petit que s'il y avait un Dieu j'aimerais bien qu'il soit mon ami, quelqu'un en qui je pourrais me  confier ».

Arrive à la grande salle, « au foyer des dockers », il trouva des milliers des gens. «Je ne pouvais pas voir et je cherchais un endroit où je pouvais voir de loin. A ce moment-là je vis le missionnaire Cizeron imposer les mains aux gens. Aussitôt dans mon coeur est venue cette parole: "un jour tu feras comme lui."

« Je ne savais pas ce qui se passait. Le temps passa.... Mes parents ne savaient pas ou j'étais. J'étais curieux. Je me suis mis dans l'allée (avec ceux qui attendaient la prière) et j'attendis mon tour afin qu'il m'impose les mains. J'attendais dehors pour ensuite traverser toute la salle.

« II m'a donc imposé les mains. Je ressens encore ses mains aujourd'hui.

Problème à la maison

Je suis rentre à la maison, convaincu de péché. Je n'aurais pu parler à personne. Je n'avais ni les mots, ni le vocabulaire. Tout se passait uniquement dans le coeur de l'enfant que j'étais.

Je suis rentre à la maison avec cette conviction que Jésus m'aime. Jésus est mort à la croix. Jésus m'appelle à Le servir. » Dieu venait de se révéler à l'enfant. Pourtant aucune formation religieuse ne l'avait disposé à croire ainsi.

Le petit était bouleverse. « J'ai imité le missionnaire. J'ai fermé la porte. J'ai pris un bouquin. J'ai fait comme lui. J'ai prié pour les malades. J'ai chassé des démons.»

Bien qu'enfant, son zèle pour le Seigneur jaillit. II est passé dans chaque chambre de la maison et il a enlevé les icones des murs et les a brulé, ce qui lui a valu une bonne fessée quand son papa est rentre.

Ses parents se sont opposés à lui (dans le souci de le  protéger) et le petit ne comprenait pas. II en a voulu à Dieu. Mais le Seigneur n'avait pas fini.

« Dans la nuit, il m'a montré l'enlèvement de l'Eglise. J'ai entendu le son d'une trompette. Je me suis dit  'Mince ! Les pompiers jouent-ils de la trompette la nuit ? " (Ils habitaient à côté des pompiers).

« Je me suis retourne dans man lit. Le plafond avait disparu. II y avait un immense nuage. Quelqu'un tout en blanc était au milieu, les  bras croisés. II y avait un ange à sa gauche, un ange à sa droite.  Il a fait un geste. Les anges ont quitté le ciel, une centaine d'anges. Ils ont volé vers la terre. Ils ont pris les gens par la main. Ils sont montés. L'ange à sa gauche a fait la même chose. J'ai vraiment eu peur. Je pleurais : et je me répétais :

‘‘ Il est revenu, je suis resté. II est revenu.  Il est trop tard. " C'était terrible.

« Une voix s'est fait entendre : " Il n'est pas trop tard. Mais prie ! " Tout disparut. II ne restait que le Seigneur et les anges. Je me suis vite réveillé et je me suis réconcilié avec le Seigneur.

Dieu n'a pas hésité à dire la vérité à un enfant.

« Dieu est sérieux avec l'enfant, dans le sens ou Dieu ne dit pas des demi-vérités aux enfants. Jamais un homme n’oserait faire une telle chose, mais Dieu l'a fait. »

Jacky DERANDPlus de cinquante ans se sont écoulés depuis ce jour-là, mais Jacky s’émerveille toujours de la compassion de Dieu : « Ce garçon que j’étais, ce garçon qui n’intéressait personne. Et pourtant Dieu, lui, avait ses regards d’amour posés sur moi. Quelle compassion dans le cœur de Dieu pour les enfants. »

(Jacky est en train d'écrire un livre sur ses 50 ans avec Jésus)

 

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Consolés par une vision du ciel

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Le lendemain  de la naissance d'Aurélia Diatchenko, les médecins diagnostiquaient une très grave malformation cardiaque avec un espoir de vie ne dépassant pas quelques jours.

Son papa, Paul, se disait que dans une vie antérieure elle avait dû faire quelque chose de très mal et que maintenant elle le payait. Elle devait repartir, pour atteindre le nirvana.

Vingt et un ans plus tard, elle est décédée, après avoir fortement marqué tout le monde autour d'elle. Et son papa pense tout différemment : « Sa vie n'était pas pour la mort mais elle est pour sa gloire ...Aurélia a vécu pour la gloire de Dieu.»

LA JOIE FOND EN SOUCIS

Quand la petite est venue au monde pour se joindre à ses deux soeurs, Katia et Alexandra, Paul et son épouse, Dany, l'ont accueillie avec joie. Leur joie se changea vite en soucis lorsque le médecin leur a parlé du problème physique.

La petite avait déjà fait un arrêt cardiaque le premier jour et les médecins ne lui donnaient pas d'espoir de vivre. Elle n'avait pas d'artère pulmonaire, un seul poumon sur les deux  fonctionnait, et II ne travaillait qu'a 70-75%.

Mais la petite était une battante et quelques mois plus tard, elle s'accrochait toujours à la vie. Elle est sortie de l'hôpital pour aller à la maison. Pourtant, sa vie semblait tenir à un fil. Elle avait un petit masque à oxygène. « Rien que pour boire le biberon, il était difficile pour elle de respirer » raconte Dany.

L'affliction d'Aurélia provoquait beaucoup de questions chez ce couple. Ils pratiquaient la macrobiotique à l'époque. « La macrobiotique est une méthode alimentaire basée sur la philosophie orientale, le ‘ying et le yang’, etc. » dit Paul.

Paul adhérait davantage à la philosophie plus que Dany.

« C'était quelque chose qui m'intéressait particulièrement. Tous ceux qui nous entouraient, quand ma femme était enceinte de notre troisième fille, disaient : " Voilà, vous aurez un enfant extraordinaire  avec tout ce que vous faites. J'ai pratiqué le yoga, j'en faisais une heure, une heure et demie tous les jours. On avait cette alimentation. »

Et pourtant ...

CHERCHANT DES REPONSES

Paul se disait athée à l'époque mais des temps difficiles provoquent une recherche de réponses : « J'avais une Bible, la Bible que Dany avait et que je ne lisais pas ... à un moment donné j'ai dit : « Ecoute Seigneur, si tu es le Dieu qui existe, le Dieu vivant dont parle la Bible, dis-moi pourquoi ça nous arrive? » 

« J'ai ouvert la Bible dans l'évangile de Jean au chapitre neuf, comme 'par hasard.' ... il y avait l'aveugle de naissance. Les disciples posaient une question à Jésus : ‘‘Maitre, qui a péché pour que cet homme soit ne aveugle ? Jésus a répondu : " Ce n'est pas que lui ait péché ou ses parents mais c'est afin que les oeuvres de Dieu soient manifestées à travers lui. »

« C'était la question que je posais : " Mais qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu pour mériter cela ? Est-ce que c'est nous dans une vie antérieure ou Aurélia dans une vie antérieure ? II Et là, Dieu m'a répondu d'une manière précise, c'était vraiment une parole qui a touché mon coeur. »

Peu de temps après, ils ont trouvé dans la boite aux lettres une invitation à une mission de salut et guérison, à l'église évangélique de Pentecôte de Metz. Dany y est allée et dès son retour annonça a Paul : « le Seigneur peut guérir Aurélia ! »

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Devenir riche à 25 ans !

richREUSSIR MA VIE, TELS ETAIENT MON REVE  ET MON OBJECTIF. J'AVAIS 21  ANS  ET J'ETAIS  UN IDEALISTE.

JE VOULAIS TROUVER UNE COMPAGNE AVEC LAQUELLE PARTAGER  MA VIE, TROUVER UN SUPER TRAVAIL QUI ME PERMETTRAIT DE GAGNER BEAUCOUP D'ARGENT, FONDER UNE FAMILLE DANS UNE BELLE ET GRANDE MAISON... JE VOULAIS  LE « PACK » COMPLET DE L'HOMME HEUREUX.

LE SEUL PROBLEME FUT QUE LES CIRCONSTANCES  SEMBLAIENT M'ELOIGNER PEU A PEU DE MON REVE. J'AI ABANDONNÉ LES ETUDES AVANT  LE BAC, JE NE VOULAIS PLUS APPRENDRE CAR JE NE VOYAIS PAS OU ME MENAIENT LES ETUDES ET JE COURAIS APRES L'AMOUR ET NE RECOLTAIS QUE DES DECEPTIONS. J'ETAIS POURTANT SERIEUX DANS MON CCEUR MAIS PAS DANS LES ACTIONS.

J'ai travaillé, de région en région et de saison en saison, cumulant les petits boulots. J'étais plutôt débrouillard.

Un jour, un collègue de travail m'a affirmés la chose suivante : « Si tu veux réussir ta vie, il faut avoir la foi ». Quelle belle phrase ! Cela rai­ sonnait dans mon coeur. La foi pouvait me faire réussir.

En fait, j'avais la foi. J'étais certain que quelqu'un dirigeait l'univers. Je me souviens que je campais dans le jardin quand j'étais adolescent et que je me posais plein de questions en regardant le ciel et les étoiles. J'étais certain que nous n'étions pas le fruit du hasard. Et maintenant, cet homme me dit qu'il faut Ia foi. Je cherchais donc à avoir cette foi pour réussir. J'étais tellement convaincu de réussir que j'avais dit à mes amis que je serais riche a 25 ans.

Je recherchais la foi comme un malade qui cherche un remède pour guérir. Le seul problème qu'il y avait c'était que je ne savais pas de quoi je souffrais, ni quel remède prendre. Mais je continuais à y croire et j'avançais.

UNE SOIREE GOSPEL

Un jour, lors d'un voyage de formation aux Etats­ Unis, nous étions invités à une soirée Gospel dans notre hôtel. Je m'attendais à une belle et grande chorale de chanteurs noirs américains habillés en toge pour nous chanter les plus beaux airs de Gospel. Quand la soirée débuta, j'étais déçu. Que des blancs ! Jamais ils ne pourraient nous offrir une belle soirée Gospel. Les vrais chanteurs Gospel étaient les noirs.

En plus, ceux qui étaient là nous disaient qu'ils venaient d'une église de la ville et qu'ils étaient bénévoles. Même pas des pros. Et celui qui se tenait devant moi était un énorme monsieur qui me faisait pitié.

Une idée me vint à l'esprit: Pour aller à l'église, il fallait être en mauvaise santé et moi, en pleine forme, je ne pouvais que remercier Dieu de ne pas être oblige d'y aller.

Le spectacle débuta et aujourd'hui, je me souviens encore de cette heure de Gospel qui changea ma vie. C'était mon rendez-vous avec Dieu. Les paroles étaient en anglais et je ne comprenais pas un dixième de ce qui se chantait mais je pouvais voir la foi. Cette foi que je cherchais, je la voyais dans les yeux de ce gros monsieur. II aimait Dieu et vraisemblablement, Dieu l'aimait et il le savait. Cela se voyait.

En une heure de concert, ma manière de penser et de voir a changé. Dieu commençait son oeuvre en moi et son plan pour me communiquer la foi était en route. Les chanteurs ont quitté la salle et j'ai ressenti un vide. J'avais envie de parler à ces gens et surtout au gros monsieur. Je voulais lui demander de devenir mon ami. Ils sont partis mais j'ai acheté la cassette de leurs chants avec Ia ferme intention d'aller à leur église le dimanche suivant.

Le lendemain, je partais visiter seul le désert de l'Ouest américain. J'avais la cassette Gospel et je la mis dans le lecteur. Dès les premières notes de musiques, je fondis en larmes touché par l'amour et la grâce de Dieu. Je n'avais pas prévu de pleurer et encore moins de vivre ce moment intense avec Dieu. Je voulais simplement écouter des beaux chants pour me remémorer la soirée de la veille. Je roulais sur l'autoroute et je pleurais comme un enfant perdu retrouvant ses parents.

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EN UNE HEURE DE CONCERT, MA MANIERE DE PENSER ET DE VOIR  A CHANGE

J'éprouvais le besoin de demander pardon. Pardon à Dieu pour ma vie sans lui, pardon à mes parents pour avoir été un mauvais fils et pardon à mes frères et soeurs pour avoir été un mauvais frère. Je ne pourrais décrire cette expérience unique mais ce que je peux dire, c'est que l'amour de Dieu m'a touché et j'ai comme été nettoyé de tout ce qui était mauvais en moi. De retour de mon périple, je me sentais meilleur et plus léger.

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Premiers pas vers tes objectifs pour 2017: une question d'attitude

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Un jour, je me suis mis en colère et je suis resté en colère longtemps. Je m’imaginais avoir raison d’être furieux mais ça ne me faisait pas beaucoup de bien pour autant. Quand je repense à cette période de ma vie, je me souviens de beaucoup de souffrance, tandis que j’allais et venais en fulminant intérieurement.

La nuit, j’essayais de dormir tout en gardant ma rancune. Ça ne marchait pas très bien. En colère, en colère.

Et puis, il y a eu l’époque où je me sentais navré pour moi-même et où je me comparais aux autres. Ou bien peut-être veux-tu entendre parler de l’époque où je… non ? Moi non plus. C’était une période difficile.

J’ai eu beaucoup de choses mauvaises dans mon cœur et dans ma tête à une période de ma vie. Mais j’ai appris une chose : si je trouve un chat sauvage dans ma cuisine, j’ai intérêt à le chasser ou bien il va vite se sentir chez lui. Si je garde ma colère, mon auto-apitoiement ou n’importe quelle autre mauvaise attitude trop longtemps, je deviens cette chose. Je dois faire quelque chose à propos du « chat sauvage. »

Sinon, je ne suis pas simplement en colère pour un moment. Tout le monde se met en colère mais, si je m’accroche à cette colère trop longtemps, je deviens un homme colérique. Certaines personnes, si vous les séparez de leur auto-apitoiement, de leur colère, de leur esprit critique ou d’un tas d’autres attitudes de « chat sauvage, » elles cessent presque d’exister.

Je me souviens de cette histoire à propos d’une femme dont la requête constante aux réunions de prières était : « Priez pour mon terrible mari. » Les gens ont prié, Dieu l’a sauvé et a changé sa vie.

Et elle l’a quitté pour un autre homme.

Je suppose qu’elle ressentait le besoin qu’on la plaigne. Elle était définie par sa souffrance. J’imagine que son nouvel homme l’a rendue malheureuse lui aussi, comme ça son besoin d’être prise en pitié a été comblé.

Observe/développe/détermine… ton attitude

 

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Quelle est ton attitude dans la vie ? Que pensent les gens quand ils pensent à toi ?

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Des yeux purs

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Fred Stoeker

En ce qui concerne votre sexualité, marchez-vous comme Dieu l'entend ?

Moi, ce n'était  pas le cas. Pendant mes années d'études, je surveillais de près la date de sortie de mes magazines pornographiques préférés à la maison de la presse du campus. J'étais embourbé  dans le péché sexuel.

Mais, un beau soir de mai après mes études, j'ai ouvert mon coeur à Christ. Dans l'année qui suivit, Dieu me fit rencontrer  mon épouse Brenda.

Jamais je n'avais vu pareille pureté.

J'ai vite compris qu'il me fallait prendre une décision concernant la pornographie. Depuis mon mariage en 1981, je n'ai plus rien acheté de la pornographie ni visionné de cybersexe sur Internet.

Toutefois, semblable a l'enfant qui oublie de se laver la nuque et les oreilles au moment  du bain, je  n'avais fait qu'un ménage de surface. Je m'attardais encore et toujours  sur les publicités de lingerie contenues dans les revues.

Mes yeux étaient captifs de ces mannequins de papier glacé et autres dames légèrement vêtues. Au cours de voyages d'affaires, je persistais à regarder des films pas trop bien. II me semblait que Dieu ne se préoccupait pas trop de ces choses-là.

Cependant, la norme  divine était bien plus élevée que je n'avais imaginé et, bien vite, je sentis qu'il me faudrait payer, dans ma vie spirituelle, le prix pour ces écarts y compris l'éloignement d'avec Dieu. Quelle est la norme divine ?

Tu ne peux pas contrôler les yeux ?

« Que toute forme d'impureté sexuelle ne soit pas même l'objet d'une allusion parmi vous. » Ephésiens 5:3

Une allusion ? Pas même une allusion ? Des frères chrétiens répondaient à mes questions : « Tu ne peux pas contrôler tes yeux ! Ne t'en fais pas. Dieu comprendra. »

Comme personne ne paraissait concerné, je me refugiais davantage dans les activités de l'église, espérant ainsi balayer cette distance qui me séparait de Dieu. J'ai bien vite acquis la réputation de moniteur de groupe biblique efficace. Je passais pour un chrétien modèle.

Mais je connaissais la vérité. Je payais le prix de mon inconduite et les additions s'accumulaient. Dieu me réclamait des comptes. Chaque dimanche, au cours du culte, je voyais les uns et les autres manifester leur adoration sincère, mais je savais que je n'étais pas connecté de la même façon avec Lui.

Je payais le prix de ma débauche également  avec Brenda. Je ne pouvais me donner complètement à elle, me doutant  qu'elle finirait  bien un jour par découvrir  mon péché et qu'elle me détesterait. Je n'étais pas en paix. Je payais le prix de mon inconduite dans tous les domaines de ma vie, mais le pire, c'était cette distance avec Dieu. Combien je la haïssais!

Deux versets bibliques me poursuivaient. Le premier revenait quotidiennement : « Pourquoi m'appelez-vous 'Seigneur, Seigneur !' et ne faites­vous pas ce que je dis? »  Luc 6:46.

Jésus marquait un point. Etait-Il mon Seigneur, ou ne L'était-Il pas ? Le second ne cessait de trotter dans ma tête : « J'avais fait un pacte avec mes yeux, et je n'aurais pas arrêté mes regards sur une vierge. » Job 31:1

Un pacte avec les yeux ? Comment des yeux peuvent-ils tenir un pro­ messe ? Bien que je ne comprenne pas, une chose était sure : j'avais très clairement échoué. Alors que je méditais ce verset encore et encore, j'étais convaincu que Job pouvait me venir en aide.

Un pacte avec les yeux

Puis, un jour, j'étais au volant de ma voiture, alors que je venais de désobéir  à Dieu pour la millionième fois. J'étais tourmente par ma culpabilité misérable et, finalement, j'en avais assez. Frappant le volant de mes poings, je criais : « Peu importe  ce que cela me coutera et le temps que cela prendra, je veux faire un pacte avec mes yeux. C'est maintenant ou jamais ! »

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La Défense du Christianisme dans une Culture Laïque

gInterview : RAVI ZACHARIAS, Apologète chrétien

« Le membre moyen d'une église d'aujourd'hui est mal équipé et mal préparé pour faire face aux attaques qui arrivent en force. Nous laissons nos jeunes entrer  à l'université dans l'état d'agneaux qu'on mène a l'abattoir. »

Ravi Zacharias, président de Ravi Zacharias Ministries International est un apologète Chrétien. Né en Inde, il a passé la moitié de sa vie en Occident. Pendant 36 ans, Zacharias a voyagé partout dans le monde, attirant l'attention des athées, défendant le Christianisme sur les campus publics et proclamant la vérité par ses émissions radiophoniques quotidiennes et hebdomadaires.

Cette interview est tirée d'un article dans le journal « Enrichment >>  (www. enrichmentjournal.ag.org ; Ressources Spirituelles en français). Zacharias a été interviewe par Richard L. Schoonover.

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Qu'est-ce qui détruit la fondation morale  et spirituelle de la société d'aujourd'hui ?

Je  crois   qu'une   convergence   de beaucoup de facteurs a eu lieu. Une grande   partie  de   l’éducation   des années   1960  s'est  détachée   des valeurs  éthiques  et  morales  absolues. Ça s'est poursuivi dans les 40 dernières années. II y a eu beaucoup de voix qui nous alertaient. Mais ce n'est  pas  simplement  une  philosophie qui s'est installée, c'est un état d'esprit.

D'abord, la pensée laïque affirme généralement que certaines idées, institutions et interprétations religieuses ont perdu leur signification sociale. Les gens aimaient l'idée d'une société et d'un gouvernement laïque.  Mais en  termes  de valeurs morales et éthiques, ils n'ont jamais réfléchi  aux  principes  de la laïcité, qui a ouvert la porte a presque n'importe quel point de vue sur n'importe quel sujet.   Commençant  dans  les années 1960, la laïcité a, en fin de compte, mené à la perte d'un certain sens de la honte dans la société.

Ensuite vint le pluralisme, qui semble être une idée pratique et digne - et par beaucoup d'angles, elle l'est. Dans le pluralisme, un nombre important de visions du monde entrent en rivalité mais aucune n'est dominante.

Mais, ce qui est entré clandestinement avec le pluralisme a été l'absolutisme d'un régime de relativisme, c'est-à-dire, l'idée que la seule chose dont nous pourrions être surs était que tous les choix moraux sont relatifs et qu'il  n'y  a pas de point de référence pour déterminer ce qui est bien et ce qui est mal. Cela a conduit à la mort de la raison.

La dernière chose est la privatisation, qui est un compromis trouvé pour ceux qui ont une sensibilité religieuse.  En effet, si la  laïcité et le pluralisme allaient devenir dominants, qu'allait faire la société avec ces nombreuses personnes spirituellement disposées?

hEtre spirituellement disposée était vu comme une bonne chose tant que les concernées gardaient leurs croyances spirituelles privées et ne les exprimaient pas dans l’arène publique. L'ironie de tout  cela est que la laïcité—qui a ses propres suppositions concernant les absolus et tout ce qui est d’une nature métaphysique—a été admise sur la place publique.

Mais  quelqu'un   qui  croyait   a  une Essence Spirituelle,   a  une  Réalité  Suprême  et  le  fait  qu'il  existe  des absolus    transcendants     auxquels     nous    devrions    adhérer,    celui-là devait  garder  ses  croyances  pour lui-même dans le domaine du privé.

Cela ouvrait  le  chemin  a une  certaine perte de sens.

La perte du sentiment  de honte, la perte de raison et la perte  de sens

Ces trois états d'esprit  - la sécularisation, le pluralisme  et la privatisation - ont provoqué la perte du sentiment  de honte, la perte de raison et la perte  de sens. Comment  cela a-t-il  été inscrit  dans I'ADN social ? C'est là que la philosophie est intervenue, les moralisateurs  contre la moralité sont entrés en scène et la pensée unique  est  apparue.  Ceux­ci ont donné  à la société quelques paramètres qui leur ont permis d'expulser  la  moralisation à  l'extérieur du royaume laïc.

En  conséquence, tout  est devenu pragmatique. Des philosophes et des   naturalistes sont intervenus. Dans ce nouveau siècle, nous avons perdu  toutes les définitions de ce que signifie être humain et du vrai sens de la sexualité, de la vie du foyer. Nous sommes en haute mer, combattant les tempêtes de visions du monde contradictoires sans boussole.

Un changement a lieu dans l'attitude de la société d'aujourd'hui vis-à-vis du Christianisme et de l'église. Pouvez-vous l'expliquer ?

Le changement  qui a lieu est très calculée. Des religions orientales sont protégées dans la société d'aujourd'hui parce que la critique des religions orientales est perçue comme  culturellement sensible et préjudiciable. Mais la foi chrétienne est désormais la cible.

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Vous êtes amoureux? Que faire maintenant?

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Les jeunes pensent souvent que la chose primordiale dans une relation est« de tomber amoureux ». Apres cela, tout va tout seul. Mais nous savons que parfois  les gens croient ne plus s'aimer après quelques années de mariage.

Quels conseils donneriez-vous à quelqu'un qui désire se fiancer? Quelles sont les choses pratiques qui peuvent saboter un mariage, et auxquelles nous  devons faire attention même si nous  sommes « amoureux». Voici des extraits de réponses de lecteurs de notre méditation hebdomadaire Taches de Café à cette question. (Vous pouvez vous abonner à Taches de Cafe en adressant un email à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.)

Mieux servir ensemble?

Quand je  parle  avec des jeunes  dans Ia préparation  au mariage  je leur pose cette question : « Pouvez-vous mieux servir le Seigneur ensemble que séparément ? »

Crystal

Sortez les mouchoirs

Tomber amoureux  c'est bien, c'est vrai ; notre coeur et notre corps sont faits ainsi et tôt ou tard, nous sommes amoureux ; alors là, sortez les mouchoirs, ce  n'est pas si simple.

Je donnerai comme conseil à un jeune qui aime  garder  son  identité  même  s'il  est amoureux, d'apprendre  à  bien connaitre l'autre, savoir lui parler, c'est essentiel, ne pas dominer l'autre, ne  pas le mettre sous un joug, ne pas jouer avec les sentiments, bref, c'est bien de connaitre Dieu et lui demander aussi son secours, lorsqu'il y a des petits problèmes.

Caro

QUOI QU'IL ARRIVE

Je crois que c'est un engagement et quoi qu'il arrive, nous resterons ensemble devant le Seigneur. Quand vous le savez, vous pouvez faire face à tout ce qui vient dans votre couple. Je crois que si cet engagement est présent toute personne peut  se marier.  En d'autres  termes, un mariage  peut  fonctionner  même  si  les partenaires sont très différents, s'ils s'engagent à rester ensemble devant le Seigneur.

Robert

L'influence des amis

Considérez l'arrière-plan de la famille. Sont-ils semblables ou totalement différents ? Les différences    seront-elles la source de problèmes plus tard ? Et les amis ? Aimez-vous les amis l'un de l'autre ? L'influence qu'ils exercent, est-elle bonne ou mauvaise?

Glenda

 

Le Respect

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Le sang des martyrs produira t-il un réveil en France?

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Louis XIV était un persécuteur féroce du réveil protestant 

 

Le réveil spirituel en France, va-t-il se produire ? Dieu n’a pas oublié ses martyrs dans ce pays et leur sang servira comme semence pour une action du Saint-Esprit, même s’il semble que le renouvellement spirituel tarde.

 

Parmi les premiers à expérimenter le réveil durant la reforme protestante (à partir de 1523 en France), beaucoup moururent à cause de leur foi, mais cela n’empêcha pas l’action de Dieu.

 

Alors que le réveil gagnait du terrain, ses ennemis brulaient les chrétiens à petit feu, en portant leur agonie à son comble pour qu’ils renoncent à leur foi. Les chrétiens persistaient, malgré le tourment dans lequel ils vivaient à proclamer la gloire de Dieu, au prix de leur langue coupée pour certains.

 

Beaucoup d’âmes assoiffées trouvent le Seigneur à cette époque mais la lutte dura des centaines d’années faisant des dizaines de milliers de martyrs et des centaines de milliers d’exilés qui allaient enrichir les pays voisins et appauvrir la France.

 

A cette même période, des guerres de religion se sont également produites, protestants comme catholiques ont alors commis des abominations.

 

A l’époque de Louis XIV, des assemblées dans la foret attiraient des centaines de chrétiens qui voulaient servir le Seigneur.

 

L’obscurité de la nuit ne les a pas toujours protégés et lorsqu’un pasteur était capturé alors qu’il prêchait, il risquait d’être mis à mort ou de se voir envoyé aux travaux forcées dans des galères sur la Méditerranée pour de très longues années.

 

Selon Charles Bost, le courage de ces chrétiens qui ne redoutaient pas la mort gagna autant de cœurs à l’Evangile que la lecture de la Bible. Les spectateurs d’une telle scène restaient ébranlés, ne pouvant pas croire qu’un homme, au seuil de la mort, continuait à invoquer ce Jésus-Christ à cause duquel il était condamné. 

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PORNOGRAPHIE: DES OUTILS POUR LA VICTOIRE

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Eric Dufour

 

Prétendre faire le tour d’un sujet aussi vaste et brûlant que la pornographie serait extrêmement prétentieux. Mais l’objectif principal de cet article est de mettre la lumière sur ce «monstre» qui vit tapi dans la vie de beaucoup de croyants, et dont l’une des forces est d’avoir créé un mur de silence, un immense tabou autour de lui, afin de pouvoir progresser en toute impunité.

 

OUI, ce problème est aujourd’hui une priorité spirituelle, OUI, il affecte les croyants, OUI, de nombreux serviteurs de Dieu et leur famille sont affectés.

Maintenant que ces faits ont été établis et ne sont plus sujets à contestation, penchons nous sur les solutions qu’il est possible d’apporter afin de combattre cet ennemi, et aider de nombreux frères et soeurs à remporter la victoire dans ce domaine de leur vie chrétienne.

 

Tout d’abord, il s’agit d’une décision.

 

Les meilleures armes spirituelles offensives ou défensives, ne pourront jamais vous aider à remporter la victoire, si vous n’êtes pas convaincus que vous devez vous battre. Il faut d’abord reconnaître que vous avez ce problème, et accepter de payer le prix pour en être débarrassé. Ne rien vouloir changer à votre mode de vie, ne pas vous remettre en question et espérer une délivrance «magique» de la part de Dieu serait une attitude immature, vouée à l’échec.

 

Vous confier seulement dans vos propres forces et une liste de «choses à faire ou à ne plus faire», comme s’il s’agissait d’une «potion magique» serait tout autant inutile.

 

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La première et la plus importante source de force se situe dans une relation intime et constante avec Jésus-Christ. 

 

Il est la source de notre foi, Il est celui qui à le pouvoir de «créer en nous le vouloir et le faire». Si notre marche avec Christ n’est que religion, au moment de l’épreuve «notre force ne sera que faiblesse

 

Réalisons, que la pornographie est un péché d’adultère et de fornication, portant atteinte au plan de Dieu pour notre vie et pour ceux qui nous entourent. (Matthieu 5:27-29;1Cor 6:12-20) L’objectif de notre adversaire est de nous détruire ainsi que ceux que nous aimons. 

 

Comptez le prix: Regardez ceux que vous aimez et demandez vous si la pornographie vaut la peine de les sacrifier!

 

Prenez la décision de vous battre !

«Résistez au diable avec une foi ferme et il s’enfuira loin de vous...Humiliez vous devant le Seigneur et Il vous relèvera !»(Jacques 4:7-10

 

Commencez par «affamer la bête» 

 

Il s’agit du «OFF»: 

 

       -Retirez toutes les sources de tentation: (Rom13:11-14;1Pierre2:11-12;1Jean 2:15-17)

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